Miss Horuni était dans son lit à baldaquin, tranquillement entrain de rêver à de belles choses dont elle voudrait pour Noël. Ses parents lui manquaient énormément. Même si son père lui envoyait des lettres avec son hibou préféré, Zamboo, pour dire qu’ils allaient bien, elle se sentait seule… Juste un peu. Vu qu’elle n’avait rien à faire, elle décida de quitter la salle commune des Gryffondor pour ensuite se diriger dehors. Ensuite, elle se balada un peu et se rendit au Chemin de Traverse. Elle était seule à observer les personnes, pressées de toutes sortes de raisons. Elle était dans une lave de pensée. La jeune fille était silencieuse, et très attentive. C’était sur la pointe des pieds, qu’elle marchait frénétiquement en cadence. Le soleil était éblouissant aujourd’hui, et avait peine à le regarder, qu’elle s’aveuglait quasiment. C’était une belle journée pour prendre une marche. Elle n’avait pas tellement dormie la veille, donc c’était un réveil un peu brutal, ce matin. Ensuite, Anastazya eue le goût d’aller chez Pirouette et Badin, la boutique où se qu’il y a les meilleurs farces et attrapes au monde!
Lorsque tout d’un coup, elle sentie une douleur à sa tête. Anastazya releva la tête d’un bon et regarda autour d’elle. Elle vu Pansy Parkinson, la jeune fille de Serpentard, qui paraissait un peut étourdit. Elle était un peu gêner, car Pansy était plus vieille qu’elle et c’était aussi une Serpentard. C’était un peu gênant pour elle, car elle pensait lui avoir fait mal. Anastazya n’aimait pas vraiment les Serpentard, surtout Drago, qui était d’une laideur écœurante! La jeune fille ne savait pas si elle devait réagir, car un simple coup de tête, n’était sûrement qu’une vilaine erreur, mais elle se hâta de ne rien dire et de simplement l’écouter, comme elle le faisait toujours! Comme il y avait une table avec quelques chaises en bois, elle s’asseye et regarda Pansy d’un air interrogateur.
* Euh mais qu’est-ce que je fais à rester planter là à attendre qu’elle me parle? *pensa-t-elle.
Mais d’un instant, elle savait que c’était à son tour de parler! D’habitude, c’était les autres qui le faisaient pour elle, mais Anastazya devait prendre son courage à deux mains.
« Euh… Eh bien bonjour P-P-Pansy, est-ce que ça va?? Euh je t’en prie, asseye-toi! » Elle se contenta de dire juste ça. Au début, Anastazya pensait qu’elle était idiote de dire ça.
* C’est sûrement quelque chose de déplacé * ….