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| Un petit air d'Automne [Pv] | |
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Invité
Ξ Sujet: Un petit air d'Automne [Pv] Jeu 10 Jan - 18:55 | |
| Alyss était assise sur le rebord de la fenêtre, dans le dortoir de sa maison, une jambe errant dans le vide qui remuait doucement au gré du vent. Sa tête reposait au creux de ses deux mains, qui reposaient elles-même sur son genoux ramené contre son torse. Position dangereuse, n’est-ce pas ? Oui, certes, quelqu’un qui arrive en courant pourrait très bien la pousser dans le vie… mais la jeune fille était une sorcière alors si elle tombait elle n’allait pas mourir, elle souffrirait beaucoup mais ne mourrait pas. Mais si la petite Serdy pouvait éviter un quelconque incident de la sorte cela l’arrangerait énormément. Mais miss Fledge avait confiance, personne ne viendrait la faire basculer dans ce précipice. De plus si elle sursautait elle tomberait du côté chambre, elle en était sûr et certaine. L’enfant tomberait toujours du côté gauche –côté chambre- et non pas du côté droit (côté vide), elle le savait, elle se connaissait. Cette sensation de vide… elle aimait ! Celle-ci respirait l’air frais, elle se sentait bien le vent faisait voler ses doux cheveux, propres et soyeux. Son esprit vagabondait tout doucement, écoutant attentivement le souffle de l’air.
De son point de vue, Alyss pouvait tout voir ! D’abord il y avait les serres, ensuite la forêt interdite et tout ces mystérieux secrets et enfin le grand parc accompagné de son lac aux eaux sombres tout aussi intrigante. Pourquoi tout n’était pas claire au alentour de ce château. On ne savait pas exactement ce que pouvaient faire les sirènes dans le lac… On ne savait pas quelles étranges créatures peuplait les arbres broussailleux… Peut-être qu’un ennemi des autorités numéro un se cachait par là … Mais se pointer devant l’établissement de Dumbledore n’était pas non plus très malin. Alyss ne se sentait pas l’âme à braver le règlement pour confirmer ses théories, elle préférait rester sagement ici. Ce n’était pas une Gryffondor prête à toutes épreuves… D’ailleurs, au fond, l’aigle s’était déjà posé la question de si elle aurait osé mettre son nom dans la coupe de feu si elle avait été en cinquième année… Actuellement, non … Mais peut-être que dans 3 ans, elle ne penserait plus du tout de la même manière et une audace soudaine la prendrait, cela deviendrait une jeune fille affirmée et courageux, qui meurt d’envie de vivre de nouvelles aventures. Certes, faire quelques sorties dans les passages dissimulés de Poudlard ne l’effrayait pas plus que ça, et soit dit en passant, elle l’avait déjà fais, mais bon … A proscrire bien évidemment en pleine nuit, ce ne serait pas du tout une sage décision. Il vaut mieux être prudents que trop audacieux…
Soudain la jeune fille aperçut un groupe d’élève qui alla se réfugier sous un grand cerisier… Il faisait une température idéale dehors, ni trop chaud, ni trop froid. Il y avait un grand soleil mais l’air frais venait rendre agréable l’après-midi. Alyss remarqua que cela faisait une demi-heure qu’elle était jonchée de cette façon et qu’il serait temps de bouger un peu si la jeune Serdy ne voulait pas avoir mal aux fesses à force de rester assise sur la roche dure ! Sans plus attendre elle ramena doucement sa jambe sur le rebord et bascula sur la droite, retombant sur ses deux pieds, fermement, comme si elle eut fais ça toute sa vie. La deuxième année se recoiffa rapidement à l’aide ses doigts et enfila ses chaussures puis elle sortit. Cette dernière s’installa sur le toboggan et se laissa jusqu’en bas, sans trop de réaction… « 2 Tension » comme on dirait ! Elle prit au passage son sac qu’elle avait laissé sur le canapé de la salle commune. Mais oui, quelle tête de linotte, oubliez son sac de cour en pleins dans la salle commune, cela aurait été très simple de le dérober et au passage un tableau ne manqua pas de le lui faire remarquer en s’adressant d’une façon pas du tout discrète à son camarade de toile :
« Vous avez vu ces jeunes ? On se demande même s’ils n’oublient leur tête pour aller étudier en cour ! Non, mais je vous jure… Il faudrait tout reprendre de zéro avec eux, et ce serait peine perdue d’avance puisqu’ils n’écoutent rien et ne comprennent rien ! »
Alyss qui avait très bien tout entendue… et elle se demanda même si le bonhomme qui venait d’ouvrir la bouche n’avait pas parlé fort exprès afin que ses remarques ne soient entendue par la plus idiote du moment. … Pour toute réponse miss Fledge toussa d’une façon très inhabituel et se hâta de gagner la petite porte et se précipita vers l’extérieur. Elle dévala les escaliers à toute vitesse manquant de se coincer les pieds dans une mal formation de la pierre, mais évita la catastrophe en battant des bras (oui, c’est vrai ce n’est pas un super réflexe sur le coup de vouloir s’envoler mais bon …)
Après dix minutes à arpenter les couloirs et à descendre les marches d’escalier, miss Fledge quitta enfin sa caverne, le château de Poudlard ! Elle put respirer à nouveau l’air frais… certes il était un peu moins froid qu’au sommet de sa tour, mais bon, on ne peut pas tout avoir après tout ! Elle flâna un petit peu dehors, observant les petits papillons qui volaient. C’était encore la saison, l’hiver n’avait pas ravagé l’herbe, et l’air n’était pas glaciale, il faisait encore frais et le soleil n’était pas caché par les nuages et le ciel n’était pas encore assombrie. Il fallait profiter de ce temps, qui ne durerait pas bien longtemps… Profiter de pouvoir sortir sans avoir peur d’être congelé ou de ne plus sentir ses mains ou ses petits petons ! Mais, chose étrange, Alyss aimait bien le froid et elle supportait plus le glaciale que la canicule. Souvent c’était plus le contraire pour les autres… mais certains s’étonnaient de la voir arriver en t-shirt alors que certains avaient plutôt une veste et grelottait dans leur coin. En revanche pendant les saisons chaudes, elle préférait profiter des endroits froids et humides du grand château.
La deuxième année déboucha dans le parc, elle dévala la petite colline en direction des arbres qui abritaient du soleil ! Il tapait fort aujourd’hui et si elle pouvait éviter un coup de soleil cela l’arrangerait, sa peau n’était pas habitué à être exposé aussi fort. Après avoir trouvé un arbre parfait, elle se précipita dessous, posa son sac à ses côtés et se cola contre le tronc de l’arbre. L’étudiante sentait l’écorce sur son cou, mais la sensation n’était pas désagréable, si on se tenait bien droite, cela pouvait être confortable !
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Ξ Sujet: Re: Un petit air d'Automne [Pv] Jeu 10 Jan - 19:57 | |
| Tout était calme à Poudlard, Cody venait de sortir de la Grande Salle après un déjeuner avec pleins de mets des plus délicieux le paradis du palet. Rien qu’en y pensant à chaque fois il se retrouvait la bave aux lèvres. On était un Dimanche après midi et il faisait assez beau. Il avait une petite idée, avec ce beau temps oui ce serait fabuleux. Il monta rapidement dans la salle commune des Serdaigles passant à travers les faisceaux de lumière qu’était les rayons du soleil. Arrivé dans la Salle commune plongé dans le bleu des meubles, principalement ceux des canapés, et dans la couleur dorée des rayons de soleil, Cody monta dans le dortoir lui aussi décoré par les deux couleurs, prit son sac avec ses livres et redescendit. Là il fut interpellé par un élève de Serdaigle.
- Hey Cody tu devrais venir voir le tableau.
- Pourquoi c’est encore de nouveaux clubs d’annoncés c’est ça ? Pas intéressant je n’ai pas trop envie de m’inscrire dans un club trop de boulot puis je préfère pensez au Cours déjà que je n’ai pas eu un très bon bulletin.
- Ok mais j’en ai rien à faire regarde plutôt les membres de l’équipe de Quidditch.
- Tu crois que je n’ai pas déjà vu. C’est la première chose qui m’a intéressé en arrivant.
- Tiens je croyais que n’aimais pas les clubs.
- Mais tu ne comprends pas le Quidditch ce n’est pas un club le Quidditch c’est fabuleux ! Voler sur un balai ressentir les sensations lorsque l’on évite un cognard tu vois ce que je veux dire.
- Non la seule chose que je vois c’est que quand t’es attachés à quelque chose on dirait un vrai malade.
- Faut Rire ?
- Moi oui toi non ! Enfin bref t’es inscris.
- Dans l’équipe ?
- Non Remplaçant.
- Oh…Enfin c’est déjà ça j’ai peut être des chances de jouer un jour.
- Au fait tu vas où avec ton sac de cours, on est dimanche !!
- Bah pour Jeudi on a quand même un parchemin à faire en histoire de la magie.
- Pour jeudi alors prend un peu de repos viens avec moi au club d’échec.
- Parfois je me demande comment cela se fait que tu es à Serdaigle on dirait presque mon frère. Bref j’y vais-je préfère allez travailler sous le beau temps pour un début d’automne.
Puis il parti laissant son ami se rendre au club d’échec version sorcier. Les échecs il se débrouillait bien mais sans plus il n’aimait pas trop. Il trouvait ça assez barbant à force. Bien maintenant il devait allez faire son devoir d’histoire de la magie. Le livre qu’il n’avait suffisait pas et il devait avant se rendre à la bibliothèque en chercher un autre. Lorsqu’il arriva tout d’abord la porte grinça tellement fort qu’il en avait mal aux tympans et Irma Pince la bibliothécaire s’était approchée pour voir qui faisait un tel vacarme. Elle ne le quittait plus des yeux et pour la remercier de ce petit geste lorsqu’il eut fini d’emprunter le livre il rajouta pour l’embêter à la fin.
- J’espère pour lui qu’il résiste à l’eau.
Puis il parti en courant. Il sortit donc dehors dans le Parc de Poudlard. Il faisait bien une température agréable et il se précipita à la recherche d’un jolie coin d’ombre. Là il trouva un arbre avec une personne en dessous non identifiable de loin. Il respira d’abord un bon bol d’air frais avant de courir jusqu’à la petit colline. Arrivé il regarda la personne en dessous de l’arbre, c’était une jeune fille de même année que lui il ne connaissait pas les prénoms de tout le monde donc pas le sien. Il lui fit un petit signe de main, lui dit bonjour et s’installa à côté d’elle sans lui demander la permission. Non il n’était pas borné mais les arbres n’appartenaient à personne. Il sortit ses affaires et commença à rédiger son devoir.
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Ξ Sujet: Re: Un petit air d'Automne [Pv] Ven 11 Jan - 17:05 | |
| Alyss était tranquillement adossée l’arbre. Elle laissa vagabonder son esprit un instant et ferma ses lourdes paupières… Elle entendit clairement le chant des oiseaux au-dessus d’elle. Le bruit léger des allers venus du vent qui lui caressait les oreilles. La jeune fille ne pensait à rien, c’est ce qu’on pourrait appeler une forme de relaxation… ce que peut de gens savent faire vraiment. C’est-à-dire se détendre complètement, ne rien faire, fermer les yeux, gonfler tout doucement son ventre puis expirer par la bouche tranquillement. La plupart des personnes ne tiennent pas longtemps comme ça car ils souhaitent faire quelque chose de plus actif, de plus épuisant autrement dit. Qu’est-ce qu’ils sont bizarre… ils ont la possibilité de glander, d’être flemmard et pourtant il préfère se tuer à la tâche. Etrange non ? Bon c’est vrai qu’il fallait travailler et d’ailleurs miss Fledge le faisait très souvent et d’une manière appliquée et non bâclée, mais il y avait également un temps pour s’amuser (jouer au Quidditch, rencontrer ses amis, participer à des clubs comme le journal dont elle s’occupait personnellement) et également un temps pour flâner et se reposer (en l’occurrence, il y a dormir, principale activité de la nuit exception pour les fêtards et autres)
Mais malheureusement le temps pour se reposer n’était pas très long en journée. Donc la jeune fille décida enfin de déballer ses affaires de cour. Elle ouvrit son sac et déposa sur ses genoux une feuille de parchemin. Alyss sortit également une petite trousse, assez longue et l’ouvrit. Sans plus attendre, l’enfant prit un autre petit boîtier, étroit mais long qu’elle ouvrit et dont elle sortit une grande plume et dans la trousse elle saisit également un petit flacon d’encre tout en retirant la petite ficelle qui retenait le bouchon. Voici donc la jeune élève de seconde année, totalement prête à faire son devoir d’histoire de la magie qu’il fallait rendre jeudi. Pourquoi le faire aussi tôt peuvent certainement se demander quelques lecteurs … et bien la réponse est très simple d’une simplicité enfantine même me permettrais-je d’ajouter. Alyss voulait prendre l’avance pendant le week-end pour être prête éventuellement à faire face à un gros devoir dans la semaine. Comme ça elle n’accumulait pas une grosse masse de travail et conservait souvent du temps libre.
Mais pour pouvoir travailler convenablement, il fallait bien évidemment se tenir loin de toute collectivité amicale qui rendait a tâche de faire son devoir, bien compliquée ! Et oui, étant donnée qu’on était toujours tenter de parler… C’est souvent à cause de ça que miss Fledge n’arrivait pas à donner 100% d’elle-même pendant une heure d’étude à la bibliothèque. Malgré les regards accusateurs de Mme Pince, elle parlait, et vas-y que je raconte ma vie que je me présente et bla bla bla …
Au loin, la seconde année découvrit un petit peu d’agitation. Mais elle préféra se concentrer sur la consigne de son devoir… cela n’allait pas être bien simple surtout que le professeur avait dit que toutes les informations n’étaient pas dans le manuel et que cela nécessiterait un travail de recherche également. Mais d’abord, faire ce qu’elle pouvait… parce que si la jeune fille se dirigeait vers la bibliothèque elle avait peur de rencontrer quelqu’un… Et tout de même, elle ne pouvait pas se permettre de le « remballer méchamment » et donc forcément vous savez ce qui se passe.
La silhouette qu’elle avait aperçue à l’instant au sommet de la colline se rapprocha, fit un petit coucou discret à sa voisine et s’installa assez près d’elle pour profiter de l’ombre de l’arbre présuma-t-elle –euh il fais bizarre ce verbe tourné comme ça ...- Il n’en ajouta pas plus et commença à écrire sur un bout de parchemin. Alyss était vraiment très curieuse… alors elle voulut voir ce qu’il faisait. Mais cela ne ce faisait pas ! Oui mais pourtant ce n’était pas si méchant que ça il suffisait d’être discrète et uis cela ne pouvait pas être si discret que ça sinon il l’aurait déjà caché et ne se serait pas exposé de cette façon. Bien, miss Fledge céda à la tentation sachant très bien que cela la poursuivrait encore une heure plus tard, mais bon finalement tout le monde le faisait ! Rho et puis zut, elle regardait ! La petite Serdaigle fit un passage éclair sur la feuille en bougeant d’un mouvement imperceptible ces yeux ! Il ne faisait que son devoir d’histoire de la magie… Mais ce n’était pas ce que la jeune fille faisait également… et puis il semblait avoir pris un livre avec lui, peut-être pouvait-il s’aider mutuellement. Non surtout pas, si Alyss commençait à parler ce serait vraiment la catastrophe. Mais pourtant elle avait déjà bien avancé sur son devoir, à présent il lui fallait absolument l’aide d’un livre. Bon, allez, elle se lançait !
« Hum … est-ce que je te dérange ? Tu as l’air de travaillé vu que tu écris et que t’as un livre à côté de toi … Enfin bref, je m’appelle Alyss Fledge, Serdaigle. On est dans la même année et la même maison alors je t’ai déjà vu à un cour je crois. »
Et voilà ce qu’on appelle une diversion, une diversion de quoi ? De son devoir, oui elle avait déjà bien remplie sa page … Mais bon, il manquait encore quelques trucs. C’est là que la jeune fille se dit qu’elle avait le temps jusqu’à jeudi. Toute sa théorie de s’avançait etc… venait de tomber à l’eau juste au moment où elle pensa cela… Mais elle le finirait demain, si si je vous assure, elle en avait la ferme conviction ! Mais après il faut mettre les moyens… demain quand elle aurait fini son dernier cour (cour de sortilège en l’occurrence) elle pourrait se rendre à la bibliothèque, elle ne risquerait pas de croiser grand monde vu que les gens seront pour la plupart montaient dans leur salle commune respective ou aller prendre l’air dans le parc. Alyss le savait très bien car cela lui arrivait justement assez souvent… Et la jeune fille n’avait pas mis longtemps à remarquer que la plupart des gens voulait aller prendre l’air en sortant de leur cour. Mais l’étudiante était vraiment une folle, une fois sorti elle continuait ! Oui, impressionnant ? Mais comme ça ce qui est fais n’est plus à faire… Qu’est-ce que c’est beau comme diction maintenant il suffisait de l’appliquer. Surtout que son voisin lui répondrait peut-être sèchement qu’il était occupé et qu’il n’avait pas le temps pour bavarder avec une flemmarde internationale ! Comme ça l’enfant aurait eu sa leçon, travailler plutôt que de se laisser distraire inutilement
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