~ Chambre d'Aura, d'Orla, d'Abygaëlle & de Sara {Pv}

Aura n’en pouvait plus. Lorsque le choipeau magique l’avait envoyée à Serdaigle, c’est avec soulagement qu’elle s’était installée à la table que sa famille avait côtoyé depuis tellement longtemps que personne ne se souvenait de la première Silverstone qui y avait mis les pieds. De plus, c’était dans la même chambre que celle ou sa mère à vécu durant six ans qu’elle allait passer ses études. Qui sait les secrets qu’Aura allait découvrir sur sa famille. Secrètement, elle espérait depuis les vacances qu’elle pourrait découvrir quel était son premier ancêtre à avoir mis les pieds à Poudlard. Lorsqu’elle entra dans la chambre, elle vit qu’il y avait plusieurs lits, à coté desquels des baguages étaient disposés. Elle allait avoir des colocataires. C’était pour elle la première fois qu’elle dormait en présence d’autres personnes. Que de premières fois se profilait dans cette école !

Lorsqu’elle s’approcha du lit, la première chose qu’elle fit, c’est de regarder les piliers de soutien des baldaquins sous tous les angles. Elle savait que l’un de ces lits avait été celui de sa mère, et elle voulait y dormir. Le seul élément dont elle disposait, c’était une anecdote que sa mère lui avait racontée. Alors qu’elle révisait ses cours allongée dans son lit, elle avait involontairement gravé une formule dans l’un des piliers, ce qui avait pour conséquence que ce pilier renvoyait les sorts. Aura n’avait pas d’autre méthode de recherche que l’observation minutieuse vu qu’elle ne connaissait aucun sort grâce auquel elle saurait trouver le lit. Elle finit par trouver sur le lit au fond à droite ce qu’elle cherchait. Une petite marque en spirale agrémentée de quelques formules. Aura sortit sa baguette, et se prépara à lancer un sort. Le seul auquel elle pensa était le sort « Avis ». Elle ne savait pas si le pilier pourrait le renvoyer, mais elle n’avait pas d’autre idée. Elle leva sa baguette, et récita la formule. Le sort se transforma en oiseau avant d’atteindre le pilier, et lorsque tous deux entrèrent en collision, un second oiseau s’envola. L’euphorie de retrouver ainsi une trace du passage de sa mère lui fit faire des bonds. Elle se précipita pour déposer ses bagages sur ce lit, et commença à déballer ses affaires. Les deux oiseaux continuaient à voler tournoyant dans la pièce. Aura espérait que cela ne dérangerait personne jusqu’à ce qu’elle trouve comment les faire disparaître.

Aura ouvrit sa valise, et commença par ranger dans sa table de nuit son précieux jeu de tarot qu’elle gardait toujours près d’elle. Elle l’avait reçu de la part de sa mère pour ses neuf ans, ce qui lui avait valu un professeur particulier et des cours en plus. Elle savait maintenant assez bien lire l’avenir d’une personne, ainsi que prévoir des évènements faciles. Il ne fallait bien sur pas lui demander les questions des examens, elle n’était pas encore à ce niveau de divination. Elle le rangea précieusement, et sortit le reste des livres pour les ranger dans sa bibliothèque. Enfin, elle sortit ses robes, et les accrocha dans le placard qui lui était réservé. Elle finit par mettre ses vêtements moldus dans les tiroirs réservés à cet effet.
Aura s’allongea sur son lit. Elle n’en pouvait plus. Cette soirée avait été riche en émotions, et elle se sentait prête pour une année entière d’apprentissage.

(554 mots)

*

Voilà, Orla était dès maintenant une Serdaigle. Elle était contente de pouvoir compter dans la maison des intelligents mais, en même temps, elle s’attendait plutôt à figurer dans les Serpentard, comme le reste de sa famille … Mais bon, ils allaient sûrement comprendre, sa grande sœur lui avait dit que Serdaigle était quand même une maison acceptable. Et puis, Serpentard ou pas, Serdaigle ou non, elle restait la même petite boule d’énergie à la chevelure rousse ! =) Le repas avait été délicieux et Orla était maintenant en direction de la salle commune. Elle avait décidé de suivre la préfete répondant au nom d’Olivia pour être certaine de ne pas se perdre. Connaissant l’étourderie légendaire de la gamine, elle pourrait très bien se ramasser dans la Cabane du garde-chasse !

Elle arriva à destination en un seul morceau. Durant tout le trajet, elle avait lancé des « Oooooohh ! » ou des « Aaaaaahhh ! » ou encore des « Uuuuhhh ! » {I know, elle est mauvaise ma blague x)]. Poudlard était mille fois mieux que ce qu’elle aurait pu imaginer ! Les quelques personnes qui avaient décidé de suivre la jeune préfète s’arrêtèrent devant un portrait. Orla, qui était occupé à regarder ailleurs, fonça de plein fouet dans le dos d’un jeune homme. Celui-ci se retourna et une expression de dégoût se dessina sur son visage lorsque son regard croisa Spaghettis. Quoi, il n’avait jamais vu de crapaud de compagnie de sa vie ? C’était peut-être pas une chose très commune chez les moldus… « Pardon, moi et Spaghettis, on regardait pas où on mettait les pieds ! » Elle leva son crapaud chéri à la hauteur de son visage en guise de présentation mais, le jeune homme marmonna un maigre « y’a pas d’quoi » avant de se retourner et d’entrer dans la salle commune. Orla haussa les épaules et enjamba à son tour le portrait.

La salle commune des aigles était magnifique ! La décoration à l’effigie des aigles était bien présente sans autant faire trop envahissante. La lumière que diffusait les diverses lampes donnait une certaine chaleur à la pièce que la jeune Serdaigle ne serait décrire. Elle éleva un nouvelle dois son crapaud à la hauteur de son visage et elle lui murmura d’un ton suraigu ; « Tu trouves pas que c’est magnifique comme endroit ! » Son regard fit une nouvelle fois le tour de la grande pièce, puis, la rouquine fila vers les dortoirs en gambadant. Oooohh, qu’est-ce qu’elle était heureuse ! Arrivée devant la porte close de sa chambre, Orla s’arrêta nette. Elle prit une grande inspiration mais, elle était beaucoup trop surexcitée pour arriver à se clamer. Elle ouvrit la porte bruyamment et s’écria joyeusement ; « Bonsoir tout le monde ! » Mais, elle fût déçue de constater qu’il n’y avait personne sauf une jeune fille couché sur son lit. Oups, elle venait peut-être de la réveiller … Elle s’approcha du lit, la main devant la bouche. « Pardon, j’voulais pas te réveiller … j’vais m’installer sans faire de bruit, tu peux te rendormir ! » Orla lui fit un grand sourire dévoilant ses dents et elle alla entreprendre à déballer les 5 grosses valises qu’elle avait traînées avec elle jusqu’à Poudlard.



*

Haute était la tour des Serdaigle, il fallait monter de grands escaliers, et le faire en compagnie de plusieurs dizaines d'autres élèves n'était pas chose aisée. Abigaëlle avait été complétement asphixiée dans le troupeau d'élèves qui montaient jusqu'à leur salle commune. Elle n'était pas grande et pas grosse, et les gens autour d'elle étaient tellement surexités qu'ils ne faisaient que la bousculer.
La jeune fille n'était pas aussi enthousiaste qu'eux. Le repas lui avait changé les idées, mais à présent qu'elle se retrouvait à nouveau toute seule, dans cette cohue, toutes ses mauvaises pensées lui revenaient en masse, et plutôt que d'essayer d'imaginer à quoi pouvaient bien ressembler les dortoir comme ses autres camarades, elle refaisait sa répartition mille fois dans sa tête, s'imaginant que le Choixpeau ait crié le nom de Serpentard à la place de celui de Serdaigle. Aurait-elle été aussi bien accueillie à leur table ? Aurait-elle fait des rencontres ? Se serait-elle fait des amis ? Toutes ces questions n'auraient bien sûr jamais de réponse, malheureusement.
Enfin, les élèves s'étaient tous engouffrés dans la salle commune, après que leur préfète ait eut répondu à la question de la statue. Elle n'avait pas fait attention à ce qu'elle avait dit, d'ailleurs depuis qu'elle était arrivée à Poudlard, elle ne faisait attention à rien, plongée dans des conflits intérieurs. D'habitude elle aurait tout noté, tout observé, mais là c'était différent, et elle n'aimait pas être ainsi. Elle aurait préféré pouvoir profiter..
Il y avait moins de bruits à présent dans la salle, et elle remarqua qu'il y avait aussi moins d'élèves. Ils avaient dut monter dans leurs dortoirs, et elle se dit qu'elle ferait mieux de faire de même.
Sans faire attention à quoi la salle commune ressemblait, un peu comme une automate, elle monta encore un étage et entra dans le dortoir qu'on lui avait indiqué.

Elle ne s'était pas attendue à y trouver déjà deux autres filles chacune sur un lit. Bien sûr elle aurait dut s'en douter,elle avait été l'une des dernières à monter, et vu le nombre de Serdaigles qu'il y avait, ils ne pouvaient pas avoir une chambre chacun. Mais ses facultés d'évaluation étaient un peu amoindries ces temps-ci. C'était peut-être aussi le voyage qui l'avait épuisée. Elle n'avait pas l'habitude des voyages en train, surtout longs comme ça, elle était souvent restée cloitrée chez elle, ne sortant que pour faire un footing ou aller à l'école.

Elle regarda autour d'elle pour voir dans quel lit elle pourrait enfin s'allonger. Il en restait deux de libres. lle décida de prendre celui qui était le plus près d'elle, et remarqua alors que ses affaires avaient été déposée à ses pieds. *Bon choix*, se dit-elle, avant d'aller s'y étendre.
Elle se rendit alors compte qu'elle avait été très mal polie, et se redressa soudain, l'air un peu mal à l'aise. Elle essaya de sourir et chercha ce qu'elle pourrait bien trouver comme excuse...

"Ce lit m'a l'air bien moelleux !" dit-elle, essayant d'avoir l'air sûre d'elle. "Je vais le prendre !"

Elle sourit, espérant que son annonce ferait oublier sa maladresse, et ajouta en s'asseyant sur le bord du lit.

"Je m'appelle Abigaëlle Lectus, et..."

Elle voulu demander aux autres filles quel était leur nom, quand soudain elle s'aperçut qu'elle connaissait l'une d'entre elles, elles s'étaient parlé à table !

"Oh ! Tu es Aura n'est-ce pas ? On s'est perdu de vue tout à l'heure, mais je suis contente de te revoir !"

C'était vrai, elle était bien contente de voir qu'elle ne se retrouvait pas encore seule avec des inconnues. Même si elles ne se connaissaient pas vraiment, elle avait trouvé la jeune fille sympatique, alors tant mieux.

[615 mots]

*

Aura venait à peine de s’effondrer sur son lit qu’une jeune fille entra en trombe dans la chambre, en disant à haute voix un grand « Bonsoir tout le monde ». Aura fut surprise de voir autant d’enthousiasme après la cérémonie de répartition. Elle-même avait du mal à rester éveillée, mais elle se forçait pour avoir la chance de rencontrer ses nouvelles colocataires. Alors qu’elle tentait de lever la tête pour tenter d’apercevoir la personne qui veniat de parler, elle vit s’approcher au dessus de sa tête une jeune fille à la chevelure rousse, une main devant la bouche. Elle s’excusa d’avoir réveillé Aura, et lui demanda de se rendormir. Lentement, Aura se redressa, sa longue chevelure blonde ondulant le long de ses épaules. Elle regarda la jeune fille dans les yeux et lui sourit. Elle était vraiment mignonne… Elle lui répondit alors :

« Ne t’inquiète pas, tu n’a pas à t’excuser, car je ne dormais pas, j’attendais de rencontrer les filles avec lesquelles j’allait passer les sept prochaines années. Je m’appelle Aura, et je suis nouvelle, comme toi ! Et toi, quel est ton nom ? »

Aura ne ressentait plus aucune fatigue depuis que la rouquine était arrivée. Elle n’avait plus qu’une envie, faire connaissance avec elle. Mais en la regardant, elle vit l’un des deux oiseaux en papier approcher, et elle tendit la main. L’oiseau se posa sur sa main. La jeune fille qui lui faisait face sembla impressionnée par ce geste. Aura se tourna alors vers elle, et lui demanda :

« J’espère qu’ils ne te dérangent pas, je n’ai pas encore eu l’occasion d’apprendre à les faire disparaître, mais il fallait que j’essaie quelque chose… S’ils te dérangent, je pourrai toujours essayer de les faire sortir dans la salle commune. »

Aura s’assit alors sur son lit, et commença à s’amuser avec les deux oiseaux qui tournoyaient autour d’elle. Elle ressentait comme une gène indescriptible, car c’était en fait la première fois qu’elle se retrouvait en présence dans sa chambre d’une autre personne. Elle avait toujours dormi seule, et cela lui faisait vraiment un drôle d’effet. Et alors qu’elle était encore perdue dans ses considérations, une autre personne fit son entrée dans la chambre. Hé bien, deux colocataires, l’année risquait d’être sacrément amusante ! Une jeune fille à l’air plus timide fit son entrée. Sans rien dire, elle se dirigea vers un lit, et s’allongea dessus. Aura le reconnut immédiatement : C’était la fille avec qui elle avait parlé durant tout le repas qui venait de se terminer, Abigaëlle ! Aura était contente, car au moins c’était une personne avec qui elle avait déjà fait connaissance, et avec qui elle était sur de bien s’entendre. L’une comme l’autre étaient assez timides. D’ailleurs, celle-ci venait de se redresser sur son lit et de lui dire qu’elle l’avait perdue de vue depuis le repas. Aura, rassurée d’avoir été au moins reconnue, lui dit :

« Excuse moi, j’ai suivi la préfète, et grâce à cela j’ai été l’une des première à rentrer dans la chambre. Et voici … C’est vrai, je ne t’ai pas encore laissé le temps de le dire… Désolé… »

Aura avait tellement parlé depuis que la jeune rouquine était entrée qu’elle ne lui avait pas encore laissé le temps de se présenter. C’était assez étonnant de la part de quelqu’un d’aussi timide qu’elle…

Clara avait peu mangé en cette nouvelle rentrée. Elle était pourtant heureuse de revoir tous ses amis mais quelque chose manquait... Son regard se perdit dans la foule, puis tout autour de la table des Bleu et Bronze mais en vain, elle ne trouvait pas ce qu'elle recherchait. Pourquoi fallait-il que Damien soit déjà parti de Poudlard ? Et puis qu'elle idée de s'enticher d'un garçon de deux ans son aîné ? Soupirant d'exaspération, elle replongea son nez dans son assiette et finit rapidement de grignoter. Elle écouta avec légèreté tous les dires de ses amis. Elles semblaient toutes ravies de leur vacances d'été. Quand son regard se posa sur la table des Serpentard, elle remarqua un bien grand nombre de regards sombres et ternes. Avaient-ils tous eu de mauvaises vacances ou était-ce le soleil qui les rendaient aussi mornes ? Elle regarda alors la table de Poufsouffle et vit Alexander et Susan qu'elle salua d'un signe de tête avec un léger sourire aux lèvres. C'était étrange, Alexander ne regardait pas en direction des Gryffondor mais... des Serpentard. Que pouvait-il bien se passer ? Et Susan semblait tout aussi absorbée par la table des Vert et Argent. Avaient-ils tous remarqué leurs têtes qui semblaient les plus accablées du monde.

N'ayant pas prêtée plus attention que cela aux premières années qui venaient d'être envoyées dans leur maison respectives, Clara avait décidé de venir saluer les jeunes filles pour leur souhaiter la bienvenue. Avait-elle raison ou tord ? Seul Merlin pouvait le dire. Mais après tout, n'était-ce pas sympathique que de recevoir une aînée pour venir papoter avec soi ?
La Serdaigle avait eut le temps de ranger ses affaires tranquillement et suite à son incident avec Terry Boot, elle s'était jurée de ne plus jamais faire la curieuse. Quelle idée aussi d'avoir peur qu'on la surprise en pantoufles et en peignoir. Elle aurait très bien pu rejoindre sa chambre sans encombre mais non... il avait fallut que sous l'effet de la pression, elle se dirige vers les dortoirs des garçons.
Ne voulant plus se souvenir d'une telle humiliation, elle se retourna vers ses amies et leur dit qu'elle allait faire un petit coucou aux premières années qui devaient maintenant être arrivées dans leur dortoir.

Toc - Toc - Toc. La jeune fille venait de frapper à la porte du dortoir des premières années. Regardant autour d'elle en se demandant si c'était réellement une bonne idée, la jeune fille attendait avec patience qu'on lui propose d'entrer. Plusieurs filles de sixième et septième années passèrent derrière Clara et elles se saluèrent mutuellement. Papotant quelques minutes pour savoir si tout allait bien, Clara leur expliqua sa situation et qu'il semblait que personne ne l'est entendu. Les jeunes filles quittèrent la Bleu et Bronze qui frappa à la porte une seconde fois, un tantinet plus fort. Peut-être n'étaient-elles pas encore arrivées. Ou alors, elles devaient papoter à droite et à gauche dans la Salle Commune des Serdaigle. Clara se souvenait parfaitement de ses tous débuts à Poudlard. Sociable et douce, la jeune fille avait facilement sympathisée avec toutes les filles et garçons de son année ainsi que les jeunes gens des années supérieurs.


[ HJ ~> Désolée de vous déranger les filles j'espère que ça ne vous embête pas que ma petite Clara vienne vous saluer arf et désolée pour mon poste, il est vraiment nulle mais je me rattraperais promis xD ]

Orla n’était pas très fière d’avoir eu comme première impression de réveiller une des filles avec qui elle allait partager son dortoir durant toute une année entière. Et même probablement le reste de toute sa scolarité à Poudlard ! Mais, tête en l’air de nature, Orla oublia ce détail assez rapidement lorsqu’elle aperçu ses 5 grosses valises au pied du lit le plus près de la fenêtre. Wahouue ! Le lit qu’elle voulait avoir justement ! Orla aimait bien sentir le visage lui chatouiller le visage quand elle se lève le matin ! Et puis, les rayons du soleil, c’est aussi une super bonne source d’énergie ! Bien que, Orla n’est pas du tout en manque d’énergie !

Elle alla déposer crapaud confortablement sur un gros oreiller bleu royal quand la blondinette qui dormait se redressa sur son lit. Ouf ! Elle ne l’avait pas réveillé ! Orla lui décrocha un sourire montrant son sourire éclatant et elle se releva d’un bond pour aller serrer la main de sa nouvelle compagne. « Moi c’est Orla ! Orla Quirke ! Et mon crapaud, y s’appelle Spaghettis ! Mais, appelle le Spagh’, c’est beaucoup moins long ! Super contente de faire ta rencontrer, tu va voir, on va bien s’éclatez ensemble ! J’ai déjà tout plein d’idée de truc qu’on va pouvoir faire ! J’ai même apportez … » Mais, Orla se retourna pour regarder Spaghettis qui venait de lâcher un croassement plutôt sonore. Quoi ? Un hibou était entrain de l’attaque? No soucis, Super’Orla à la rescousse des crapauds ! =D

Mais non, y’avait seulement un petit oiseaux pas plus gros qu’un canaris qui s’était poser sur le même oreiller que Spagh’. Eeee … depuis quand on pouvait avoir des oiseaux autres que les hiboux comme animal de compagnie ? Orla n’eut pas besoin de se poser la question bien longtemps qu’Aura sembla lire dans ses pensées et qu’elle répondit à sa question. « No soucis, j’ai rien contre les pit’pits ! Mais, tu sais déjà comment faire sortir des oiseaux d’ta baguette toi ? Ouah ! Tu dois être trop doué ! Moi, j’arrive même pas à la faire trembler un tout petit peu … » Orla partait pour lui demander si elle voulait bien lui apprendre quand la porte s’ouvrit pour laisser entrer une autre fille.

Génial ! Orla allait rencontrer une autre fille avec qui alla allait partager sa chambre ! Orla la regarda se diriger vers son lit, un sourire fendue jusqu’aux oreilles. La gamine qui venait d’arriver semblait ne pas s’être rendue compte qu’elle n’était pas la seule ce qui fit rigoler intérieurement la nouvelle Serdaigle qu’était Orla. Quand elle affirma que son lit était bien moelleux, Orla hocha de la tête. Puis, elle se présenta. Abigaëlle Lectus. « Salue ! Moi c’est Orla Quirke et le crapaud sur mon oreiller c’est Spaghettis ! Enchantée d’faire ta connaissance, tu va voir, cette année, toi moi et Aura on va s’amuser comme des vraies p’tites folles ! » Puis, quelqu’un toqua à la porte. Voilà ! La quatrième fille avec qui elle allait partager sa chambre venait de pointer le bout de son nez.

Orla piqua une course vers la porte et l’ouvrit à la volée. La brunette qui se tenait devant elle paraissait vachement plus vieille qu’une fille de onze ans mais Orla s’abstenue de faire le commentaire. Après tout, certains fessait plus vieux que leurs âges ein, faut de tout dans notre monde ! Orla tendit sa main en souriant. « Salue Salue ! Jm’apelle Orla Quirke ! Et, le crapaud sur le lit où y’a les grosses valises rose fluo c’est mon meilleur ami, Spaghettis ! Tu peux rentrer, pas obliger de rester dans l’entrée comme une touriste ! » Elle se décala vers la gauche pour laisser place à la jeune fille. Ouais, ça allait vraiment être une chouette année, Orla était à Poudlard depuis même pas 24 heures et elle adorait déjà l’endroit !