Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous]

Tout d’abord, bienvenue à vous amis et familles qui nous faites la joie d’être parmi nous. Nous vous remercions de vous êtes déplacer afin de partager ce beau moment avec nous. Voici pour vous un petit descriptif de l’endroit ou j'ai grandi et où ce passe ce merveilleux jour.

Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous] Domaineko21az3

Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous] Domaineko21az3

Vous êtes réunis dans le domaine Silverstone situé au sud ouest de l’Irlande. Vaste demeure que peut accueillir de nombreuses personnes en plus de la famille. Un immense jardin entour le manoir, vert et accueillant aux feuillages fournis et remplis de couleur.
C’est une belle après midi d’été ensoleillée, une légère brise souffle à travers les feuillages, ce qui rend l’atmosphère beaucoup moins étouffante. Tout est déjà prés une aire de transplanagea été mise à votre disposition juste à gauche de la maison, deux cheminées sont aussi disponibles mais n’oublions pas que c’est un mariage de sang mêle des nombreuses voitures de moldu et quelques moto sont déjà dans la cour de gravier et quelques invités sont déjà la.

Contournez la maison en passant par le petit chemin de pierre, faites quelques pas au milieu des bosquets et profité de ce moment pour écouter ce qui vous entour. Après quelques pas vous arriver sur une grande étendue d’herbe, vous devinez qu’elle est fraichement coupée parce que son odeur raisonne autour de vous. Devant vous se trouve la chapelle de pleine air, sa voute est remplie de roses blanches et de chaque coté de l’allée les bancs sont recouverts d’un tissus soyeux blancs. La décoration est soignée mais reste assez simple.

A votre droite le buffet est déjà dresser, les tables sont éparpillées sous une tente en rond pour laisser au milieu la place pour une piste de danse. Des milliers de lumières magique s’allumeront à la tomber du jour. Celles si seront comme des petites lucioles qui voleront autour des tables laissant une atmosphère douce et agréable propice aux confidences et à l’intimité.

Ça y est tout le monde est la ?
Repensez à tout ce que je viens de vous dire et laissez aller votre imagination...

Lorelai venait de quitter la chambre de Lily-Roze qui était occupée il y a encore quelques instants avec sa mère à enfiler sa robe, il fallait bien quatre mains pour l’aider à l’enfiler. La jeune femme n’en pouvait plus après avoir fait tous ses efforts elle ne pensait plus qu’à une chose sortir de la maison pour prendre un bol d’air.

C’était la première à être arrivée au Manoir des Silverstone, elle avait pensé qu’elle pourrait se rendre utile… Elle était toujours en possession de la moto de Jérémya Stones et elle s’en était donc servie pour venir jusqu’au manoir, bien sûr elle l’avait utilisée comme tout bon moldu, c’est-à-dire en empruntant des routes normales.

September était présent lui aussi, d’ailleurs le fait de l’avoir croisé dans les couloirs de la demeure lui avait rappelé certain souvenir. Quand Lily lui avait parlé de son époux elle ne c’était pas souvenue de lui mais, une fois qu’elle l’eut vue tout lui était revenu. Le crétin des îles, l’ahurit notoire comme certains l’appelaient allait épouser sa « meilleure amie » oui meilleure amie est entre guillemet. Pourquoi vous demandez vous et bien c’est très simple en fait il n’y a que pour Lily-Roze que c’est normal que Lorelai soit sa meilleure amie car, pour la jeune femme elle ne se souvint même pas lui avoir adressé un jour la parole. Elle l’avait bien aidé quelque fois pour prendre un livre à la bibliothèque ou bien pour lui passer des notes mais, rien de plus, pourtant la jeune femme pensait dure comme fer qu’elles étaient amies.

Bref, c’était avec le plus grand des étonnements que Lorelai avait revue Lily-Roze et qu’elle lui avait demandé d’être sa demoiselle d’honneur lors de son mariage. Lorelai voyant le visage presque suppliant de la jeune femme n’avait pas su lui refuser, pourtant ce n’était pas dans son tempérament. Mais, elle pensa alors que si elle devait se marier elle aussi un jour il lui faudrait quelqu’un. Et il était hors de question pour elle que ça soit sa tante ou sa cousine, donc elle avait pensé que peut-être Lily-Roze pourrait lui renvoyer l’ascenseur.

La jeune femme était encore vêtue tout de cuire quand la mère de la mariée vint lui parler sans qu’elle s’en rende vraiment compte elle se retrouva en un rien de temps dans une autre chambre à enfiler elle aussi une robe. Lorelai détestait porter ce genre de chose, elle trouvait que les pantalons étaient beaucoup mieux et qu’on se sentait moins à l’étroit à l’intérieur de ceux-ci. En plus, elle trouvait que cette robe ne lui allait pas du tout avec ses grosses fleurs un peu partout, c’est donc avec une mine de 5 pieds de long qu’elle redescendit dans le jardin.

*Enfin une chose est sur c’est que j’aurais moins chaud habillée comme ça*, se dit-elle pour se réconforter un peu.

Quelle heure pouvait-il être ? Quel jour ? Le soir était tombé depuis longtemps et il n’aurait su dire avec exactitude où il se trouvait à présent… qu’il courrait à perdre haleine.
September Quint martelait le sol de bitume de ses chaussures trouées tandis que, le buste penché en arrière, ployant sous sa course, il parcourait les allées sombres et glauques de quartier qu’il ne connaissait même pas. C’était un peu comme si, l’espace d’un instant, il avait perdu la mémoire…
Le jeune homme s’arrêta, posant les mains sur ses genoux et se penchant comme s’il s’apprêtait à vomir. Son souffle était court et il avait grand mal à le reprendre tant sa gorge lui faisait mal. Il ne savait pour quelle raison il courrait ce soir… Etait-ce pour fuir ? Ou alors pour atteindre un but ? Ou peut-être les deux ? Toujours fut-il qu’il en gardait la même conviction : il ne fallait pas faire de sur-place.

Quint se remit donc à courir, rassemblant ses dernières forces, passant par des endroits qui, jusqu’alors, lui étaient totalement inconnus. Son esprit, quant à lui, semblait lui dicter impulsivement par où il devait passer, les chemins à éviter, les routes à emprunter pour être plus rapidement à… mais plus rapidement où ?
Le jeune homme serra les dents et parcourut ainsi quelques plusieurs kilomètres, arrivant enfin en bordure d’un immense parc. Là ses jambes s’arrêtèrent, refusant d’en faire davantage, et laissa le choix à ses yeux de faire le reste du travail et contempler l’endroit dans lequel il avait mis les pieds. Il marcha alors, ouvrant un grillage d’un geste bref et précis de la main, comme s’il l’avait fait toute sa vie. Le portail s’ouvrit le laissant pénétrer dans la demeure.
September contempla les arbres et les buissons, l’herbe fraîchement coupée tandis que des illuminations et des guirlandes de fleurs et de rubans blancs s’élevaient au-dessus de sa tête. Il fronça les sourcils et continua son chemin jusqu’au un lac.
Des barques, arrêtées près de la berge, tanguaient au gré du vent tandis que d’autres décorations plus fournies envahissaient les arbres et buissons alentours –témoignage d’une fête endormie sous le voile pesant de cette chaude nuit d’été. Le jeune écrivain, comme hypnotisé et troublé, s’avança un peu plus. Il balaya l’endroit d’un regard circonspect, s’arrêtant sur chaque détail, fouillant dans son esprit et ressassant ses souvenirs… du jour où il n’avait pas encore rejoins ni Mordred ni les autres.
Ses yeux se plissèrent de concentration et il porta une main soucieuse à ses lèvres. C’est alors que la lumière se fit et Quint releva la tête…

Sans perdre plus d’un instant, il reprit sa course plus effrénée encore et passa le long d’un petit chemin de gravier, ses poumons gonflés de parfums et de senteurs douces, incomparables. Il ne s’y attarda pas et se dirigea vers la grande bâtisse, immense et somptueux manoir vers lequel il progressait au milieu des arbres et bosquets fournis.
Il y arriva finalement et comprenant alors que la porte lui serait sans doute fermée, il contourna l’une des ailes, se dirigeant vers un mur bien précis. L’ayant enfin trouvé il s’y arrêta et leva le nez vers un balcon fleuri et tout aussi décoré. September fouilla avidement dans la poche de son pantalon mais n’y trouva guère sa baguette. Se rappelant brusquement les derniers mots de son maître, ses yeux s’assombrirent soudain et il dût se résoudre à faire sans ce précieux outil…
Rassemblant alors ses forces ainsi que sa concentration, le jeune homme ferma les yeux puis, lentement, se mit à léviter peu à peu, se dégageant du sol et de sa pesanteur.
Il était à présent à hauteur du balcon, prenant ainsi le parti de s’y accrocher et de s’y hisser. Une fois cela fait, retombant lourdement sur ses pattes, il rencontra une nouvelle difficulté : cette damnée double-fenêtre était fermée !
Fermée ? En plein mois de juillet… Il aurait été dans cette chambre qu’elle ne serait pas restée ainsi. Un peu comme si on souhaitait faire barrage, comme une invitation à repartir ! Sept eut un pincement au cœur puis se rengorgea bien vite, se concentrant sur un autre sort…

« Vaporis… ».

Ses mains commencèrent à disparaître dans des volutes de fumées noires englobant bientôt ses bras, ses épaules, son buste, descendant jusqu’à ses jambes en un tourbillon noir et brumeux. L’ensemble du corps du sorcier était recouvert d’une masse ténébreuse et vaporeuse, le rendant ainsi inconsistant. Il fit un pas et passa sans encombre la fenêtre fermée, admirant avec quelle facilité il venait d’accomplir cet exploit, s’amusant à penser que les barrières qui avaient voulu le retenir ne l’avaient pas fait trop longtemps. Mais le temps n’était pas à la contemplation…
Il pénétra dans la chambre… cette dernière était vaste, meublée avec grand goût. September y reconnut d’ailleurs la coiffeuse où Lily s’asseyait habituellement pour se faire plus belle qu’elle ne l’était déjà, vérifier si elle était sublime. Le jeune homme eut un pincement au cœur puis laissa son esprit vagabonder et sa concentration se perdre… son corps reprit peu à peu son apparence habituelle.
Le visage creux et triste, une légère ombre passa dans ses yeux clairs et morts, puis il se détourna aussi bien de ce qu’il se regardait que de ses souvenirs. Ses yeux se posèrent alors sur la personne qui dormait tout au fond du lit.
Le souffle de Lily était profond et régulier, sa tête renfoncée dans ses oreillers et ses poings fermés comme pour empêcher quelque chose –ou quelqu’un- de s’enfuir. Son visage, quant à lui, ne portait aucune trace de douleur ni de tourment. Lily, sa fiancée, dormait en paix.

September s’approcha d’elle doucement un peu à l’image d’un fantôme revenu pour s’assurer que ses proches encore vivants ne souffraient pas trop de sa disparition… Son cœur était lourd, sa gorge coincée et son souffle étonnamment plus court que celui de la jeune femme. Sur une mine penaude et brisée, il s’installa tout près d’elle.

« J’ai… j’ai jamais voulu te perdre, souffla-t-il tandis qu’il caressait ses cheveux avec attention, jamais voulu m’en aller et te laisser, Lily… Je t’aime trop pour ça, pour te laisser seule ; et même si tu peux te croire abandonnée, délaissée, sache que je n’ai jamais cessé de penser à toi… ».

Il poussa un profond et douloureux soupir qui s’enroua dans sa gorge enflée. Il renifla bruyamment.

« Dingue ce que des jours et des jours d’absence peuvent faire d’un seul homme… Je ne me suis jamais senti aussi seul de toute ma vie. Sans toi, mort, loin, le remord et la honte pour seules compagnies… ».

Il passa un doigt sous ses narines comme lorsqu’il faisait quand il était petit puis se rapprocha d’elle davantage. Son visage meurtri, ravagé de coupures et de larmes, était à présent à quelques centimètres du sien.

« Je t’en supplie, chérie, je t’en supplie… -il se saisit de sa main, étonnamment chaude dans la sienne, glacée- pitié… Je t’aime plus que tout, m’abandonne pas. Je… je te promets de faire des efforts… ».

Sa voix s’enrailla et se brisa. September ferma les yeux et laissa quelques larmes perler à ses paupières.

« Je me sens si seul… ».

Et, à l’instant où il prononçait ces mots, il sentit que les doigts de sa compagne bougeaient entre les siens, que son corps encore endormi se mettait en mouvements. Le jeune écrivain se redressa un peu mieux et ouvrit de grands yeux ronds, dévorés par l’espoir de la voir se réveiller et lui parler… ce qu’elle fit.
Ses yeux bouffis par le sommeil cherchèrent un instant la raison de son prompt réveil puis ils s’arrêtèrent sur lui. Ces derniers s’écarquillèrent, son visage bientôt mû en une étrange stupeur mêlée de frayeur. L’espace d’une seconde, September crut bien qu’elle essayait de se défaire de lui.

« C’est moi, souffla-t-il tâchant de la calmer, c’est moi, Lily ! C’est moi, September ! ».

Mais il ne lui laissa pas le temps de réagir. Saisi par la panique, désireux de la garder près de soi, l’emprisonner, il la prit dans ses bras, l’enserrant dans une dernière et brusque étreinte, presque un sursaut.

« Je t’en prie…, murmurait-il, je t’en prie, Lily, ne me repousse pas…

Je n’ai plus que toi en ce monde, Lily, pitié, garde moi avec toi… Ne… ne me rejette pas je… je t’en prie… ».

Et son visage se noya dans ses cheveux, laissant un douloureux soupir s’échapper sous une respiration brûlante.

« Ne m’abandonne pas… j’ai besoin de toi… ».

Il était devenu plus vulnérable encore qu’il ne l’était déjà et jamais il ne se serait cru capable de ne pouvoir réussir à tenir le choc jusqu’au bout. Il s’était effondré, genoux à terre, face à la vision de sa future femme et la difficulté dans laquelle, à présent, il s’engouffrait jusqu’au cou. Dépendant de la réaction de Lily-Roze Silverstone, il attendait, tremblotant et fiévreux, que son verdict s’abatte sur lui comme le couperet sur le condamné… finissant de l’achever.

Doucement, le jeune homme lui rendit une dernière étreinte et se sépara d’elle, la tenant par les épaules. Un faible sourire tâcha d’illuminer ce visage fini, ravagé et sombre dont les égratignures et différentes griffures commençaient à peine à cicatriser.
Le Mangemort qu’il était à présent fut alors parcouru d’un bref et glacial frisson. Jetant un regard à lui-même, plissant les lèvres, meurtri et honteux. Un vieux t-shirt gris et détendu couvrait à peine son corps amaigri tandis qu’un blue jean troué et déchiré cachait à peine les équimoses qu’il avait sur les jambes. Sa main gauche se rapprocha du visage de Lily et il appliqua ses doigts froids sur sa joue, chaude et douce, un joli sourire illuminant ses prunelles bleues l’espace d’un instant.

« Tu es si jolie… je suis très fier d’être ton époux… ».

Puis, échappant à sa contemplation rêveuse et admirative, il vit que la jeune fille s’était appesantit sur un détail parcourant le creux de son avant-bras droit. Un tatouage, aussi large que la peau rougies et brûlée qui l’enfermait : le crâne d’un mort dont sort un serpent.
September baissa doucement et calmement la tête, comme un animal soumis et brutalisé qui se rend compte de son erreur. Il se détacha de sa bien aimée, laissant doucement retomber ses bras le long de son corps tout en se relevant.
Il lui offrit alors un bref regard l’espace d’un instant puis, déclara d’une voix monocorde :

« Je serai là demain, j’ai toujours voulu être là.
Je tiendrai ma promesse, tu peux en être sûre… ».

Il baissa à nouveau la tête puis, sans autre forme de procès, il se dirigea vers la porte de la chambre…

***

September n’avait pas fermé l’œil depuis son retour. Il était allé dans une chambre adjacente qu’on lui avait déjà toute désignée plusieurs mois auparavant afin qu’il puisse y entreposer ses affaires… comme le voulait la tradition !
Un costume et tout un nécessaire de toilette avait déjà été mis à sa disposition, et même si Lily n’avait pas semblé vouloir croire en son retour sa famille, par politesse, s’était laissé dire qu’il ne l’abandonnerait pas comme ça.

Se déshabillant avec le plus de précaution possible, évitant soigneusement de rouvrir toute blessure, September s’était ensuite glissé dans son lit… pour ne plus en bouger.
Ce n’est que le lendemain, tandis que le soleil se levait sur le balcon et dans la chambre, qu’il daigna enfin se lever. Il commençait d’ailleurs à entendre de l’agitation alentours, comme un bruissement joyeux et excité. Il n’eut pas la force de sourire…

Se dirigeant jusqu’à la salle de bain adjacente, il prit le parti de prendre une douche, se savonnant partout, se lavant les cheveux. Des filets de sang rougeâtres se mêlèrent à la mousse et à l’eau…
Sortant da la douche, il prit une serviette, la noua autour de sa taille et en revint à sa chambre. Lui qui s’attendait à ce que les hommes de la famille viennent l’aider à s’habiller, à se préparer… il ne fallait guère plus y compter à présent !

Le jeune homme avisa des sous-vêtements et des chaussettes qu’il s’empressa d’enfiler. Retournant à la salle de bain, il alluma le sèche-cheveux qui se trouvait là et entreprit de se coiffer… Ses cheveux longs et en bataille ne se disciplinèrent pas pour autant !
Soupirant, il revint à son lit, s’y installa et commença à s’habiller…

Ce n’est que lorsqu’il jeta un coup d’œil à la pendule murale qu’il constata qu’il était précisément huit heures trente. Personne n’était encore venu le voir malgré l’agitation extérieure et il en avait bientôt terminé avec son costume… mise à part le bas de son pantalon qui faisait d’horribles plis. Lily aurait été là, elle aurait su y faire ! Elle savait toujours y faire… pour lui…
Le jeune homme poussa un profond soupir et se considéra un instant dans la glace. L’affreuse pensée de ne pas avoir de témoin lui traversa alors l’esprit et il poussa un juron étouffé, fermant les yeux de dépit.
Il n’avait pas le temps de penser à cela maintenant, il fallait qu’il s’active…
September plaça correctement sa chemise, tâchant, par la même occasion, de nouer son nœud papillon. Voila bien des années qu’il ne l’avait pas fait, enfin…
Dix minutes s’écoulèrent sans que, vraiment, il ne parvienne à un résultat concluant. Abandonnant alors tout espoir, il laissa le nœud pendre le long de son cou et décida qu’il était temps de demander de l’aide –qu’il soit mal reçu ou non.

Il se rapprocha donc de la porte, collant son oreille contre le panneau et attendit que des bruits de pas se fassent entendre afin de demander du secours. Plus le temps passait, plus la tension augmentait, faisant battre son cœur.
Soudain, un bruit de talon se fit entendre. Son cœur rata un battement et il ouvrit brusquement la porte… La jeune fille, surprise par ce brusque vacarme, se retourna aussitôt, écarquillant de grands yeux stupéfaits. Ils eurent tous deux un temps de réaction avant de réellement comprendre de qui il s’agissait.
La jeune femme poussa un bref soupir douloureux, laissant échapper des larmes, posant pudiquement sa main sur la bouche. Elle n’attendit pas plus longtemps et courut vers lui, se jetant à son cou. September lui rendit son étreinte plus forte encore, la serrant dans ses bras comme de peur qu’elle ne s’enfuit, ne lui échappe. Pour lui, elle n’était encore qu’un rêve échappé de son imagination !

« On avait si peur que tu ne sois pas là, souffla la jeune fille, caressant ses cheveux, si peur, Sept… ».

Et September cligna des yeux, sa vue se brouillant.

« Moi aussi, j’ai eu peur… ».

La jolie petite brune se défit de son étreinte en un reniflement puis lui tendit un bref sourire.

« T’es… t’es beau comme un dieu, Septy ! –elle effleura le revers de satin de sa veste- Sublime ! Y a pas d’autres mots ! ».

« Merci, Kitty… ».

Il leva les yeux vers le ciel sur un visage ébahi. Les mains sur les hanches, il laissa échapper un petit rire.

« Et dire que jamais je ne croyais que tu viendrais à mon mariage… ».

« Dis pas de bêtises ! Ce que tu peux être bête, September ! Bien sûr que je serais venue, allons !! ».

« Vraiment ? ».

Il lui décocha un léger sourire narquois et la jeune fille se reprit vite, jetant un regard alentours avant de le repousser dans sa chambre.

« Trève de bavardages !! Je me demande encore ce que tu fous ici ! File te préparer, tout le monde t’attend ! ».

« Tout le monde ? Hey, Kitty, att… ».

« Quoi ? ».

La jeune femme s’arrêta, le considérant d’un regard exagéré et suspect, comme une véritable petite fille. Elle croisa les bras sur sa poitrine et sur sa robe rouge qui descendait à merveille sur ses chevilles fines et blanches. Par certains aspects, elle ressemblait vraiment trop à son frère… cette mine circonspecte sur ce petit minois et ce nez relevé en était la preuve. Le jeune marié rembraya :

« Il faut que tu m’aides ! J’arrive pas à nouer mon nœud papillon et le revers de mon pantalon me lâche à chaque pas ! ».

« Roohh mais attends ! Je suis pas couturière, Sept ! ».

« Je sais !! Reprit-il exaspéré, je sais, Kit’ ! Simplement, j’aimerais que tu m’aides, c’est important ! ».

« Je m’en doute que c’est important… ».

L’écrivain redevint calme, stoïque.

« Vas-tu entrer dans cette maudite chambre, oui ou non ? ».

« Ohh, relax, Sept ! T’énerve pas, t’énerve pas ! Bien sûr que je vais rentrer –elle jeta un regard à la dérobée- mais je te promets pas de faire de miracles ! ».

« Ton savoir-faire me suffira ! ».

« Il aurait fallu que maman soit là, réfléchit-elle – puis elle le poussa dans sa chambre, allez, oust, vilain garçon ! ».

Elle referma la porte soigneusement derrière elle…

« Kitty ? ».

« Ouais, quoi ? ».

« J’ai pas de témoin non plus… ».

Un léger silence se fit dans la pièce, le temps d’une plus mûre réflexion apparemment… La jeune fille rétorqua instantanément :

« Mais je vais t’en trouver un, moi !! Aucun problème !! ».

« D’abord, noue-moi ce nœud et aide-moi à faire ce revers ! Ajouta-t-il expressément, on s’en sortira jamais sinon ! ».

« Meeuuuhhh si qu’on s’en sortira ! Allez, tiens-toi droit ! ».

Et September n’eut que le choix de s’exécuter, sans autre forme de procès…

Non loin des préparatifs du mariage, dans un charmant hôtel mis à la disposition des invités, Malory arrangeait sa tenue une dernière fois avant de quitter les lieux. Les fenêtres de la chambre étaient grandes ouvertes afin d’évacuer la chaleur contenue dans la pièce, et malgré sentir la douce fraîcheur frôler ses bras nus, elle ne cessait de se ventiler du revers de la main.

Sur la commode se trouvait l’invitation à la réception. S’en emparant rapidement, elle s’en servit comme éventail durant quelques secondes avant d’attarder son regard sur les écrits calligraphiés. Le carton était à l’attention de Samuel Stones et sa compagne. Comment l’interpréter, elle qui depuis si longtemps espérait être vue comme telle. Retenant quelques mèches rebelles de sa paume plaquée sur le dessus de sa tête, elle se regarda dans le miroir esquissant un petit sourire.

On frappa à la porte. Ca devait être l’intéressé. Passant sa main délicatement pour réajuster sa coiffure, elle s’avança vers l’entrée, attrapa la poignée et ouvrit. A la place du beau jeune homme, un immense bouquet de fleurs dansait sous son nez. Elle était magnifique, venait-elle de lui ? Le groom entra dans la pièce et posa le colis parfumé sur la parure de soie qui ornait le lit. Le rouge des roses contrastait magnifiquement avec le blanc et l’aspect soyeux des draps.

Prenant sa bourse, elle déposa quelques sous dans la main du garçon d’étage avant de se poser sur le lit afin de rechercher une lettre, une carte, quelque chose qui répondrait à sa question. Trouvant un petit mot accroché à l’une des roses, elle se précipita dessus pour découvrir le prénom de Samuel, aurait-il enfin compris ? Mais très vite, les étincelles dans son regard s’évaporèrent, son sourire si radieux s’éteignit à la surprise de voir le nom de Matthew précédé d’un « Reviens… » rédigé par le fleuriste car l’écriture était loin d’être celle de celui qu’elle avait aimé un temps.

La porte s’ouvrit. Sous ses yeux déconfits, l’allure de Samuel se dessinait. Très vite, elle essuya une larme naissante, et se leva du lit en prenant le bouquet par les branches. Contournant le meuble, elle se rendit sur le petit balcon qui prolongeait la pièce et d’un coup, dénouant le lien des fleurs, jeta les roses d’un coup, explosant dans ce ciel bleu tel un feu d’artifice pour retomber dans la petit rivière qui ondulait sur le côté de l’hôtel.

Souriant. Prenant une bonne bouffée d’air frais. Ca y est. Son histoire avec Matthew était définitivement terminée ! Revenant dans la pièce, elle regarda Sam : « Je n’aime pas les roses ! ». Et elle s’empara de sa pochette avant de le prendre par la main pour quitter la chambre d’hôtel.

A quoi pouvait bien penser Severus Rogue, en cette belle matinée ensoleillée? Ses yeux légèrement entrouvers, il était penché sur une lettre, qu'il semblait à peine contempler, ses pensées plutôt entortillées dans les méandres de son inconscience. Après une dizaine de minutes à penser de telle manière, ses lèvres remuant sans formuler un seul mot, il ouvrit ses yeux et finit par se lever, laissant la lettre sur la table. Il savait exactement ce qu'il fertai aujourd'hui: il prendrait un bon café, préparerait les évaluations de cette année qui serviraient de vengeance contre ses élèves au cas où une envie sadique le possèderait, puis, il passerait le reste de sa journée à se concocter une bonne dose de Filamentia Interficens, pour le compte de l'Ordre, comme on le lui avait demandé, et, enfin, il respirerait une bonne dose d'un parfum transparent, beau, et délicieux pour les sens olfactifs.

Il sortit de sa chambre, l'Impasse du Tisseur étant, comme à son habitude, calme, en cette matinée idéale. Il passa dans un long couloir, puis, descendit les escaliers, sa baguette à la main, dans un reflexe paranoïaque. Il était à présent dans un couloir plus restreint, sobre, et délabré. Au fond, une pièce était un peu rassurante, une fumée délicate s'échapant de l'endroit, d'où une sensation d'intimité émanait. Severus alla vers cette pièce, puis, y entra. Une douce et fertile odeur de Thym, de Menthe, et d'autres plantes aromatiques plongeait l'endroit dans un halo inconcevable de romance et de passion culinaire. Un poêle était actif, dans lequel une tranche d'une viande nullement grossière cuisait, avec un petit assortiment d'aromates pour améliorer la cuisson. La cuisine était l'autre domaine que Severus Rogue maîtrisait avec talent, un domaine extrêmement voisin de l'art subtil des Potions, qui expliquait sans doute la véritable adresse qui possèdait Rogue pour ce délicieux don.

Il s'assit, et, sortit un couteau de sa poche intérieure pour éplucher un concombre. Au fur et à mesure de ses gestes machinaux et répétés, il se remémorait de cette année scolaire qui s'était écroulée. Dumbledore lui avait encore confirmé qu'il refuserait sa postulation pour être professeur de Défense Contre les forces du Mal, McGonagall avait encore remporté ce combat différenciel qu'il espérait vaincre depuis quatre ans déjà, depuis que ce Potter était arrivé à Poudlard... Serpentard était la plus noble des maisons qui méritait cette coupe. Gryffondor ne l'avait gagnée que par différenciation de Dumbledore, elle n'était pas véritablement méritée... Une rage aveugle s'empara de lui. Il coupa avec maladresse un morceau de concombre, qui tomba grossièrent sur la table, sur un papier à moitié sorti d'une enveloppe. Rogue laissa échapper un grognement rauque, avant de se pencher pour ramasser le concombre, et lire... le gros titre de l'enveloppe. Un mariage. D'un collègue: Quint. Il sentit une bouffée de colère et de rage sauvage le saisir lorsqu'un vague souvenir du motif de ce mot lui revint en mémoire.

A la fin de l'année, il avait eu vent de ce mariage, etnre ce professeur d'Etude des Moldus, Ô stupide matière inintéréssante et inutile, et une autre femme, qu'il connaissait de vue, et qui était, il fallait le reconnaître, belle... mais Rogue savait en lui même que ce n'était pas la plus belle femme qu'il avait vue. La date, évidemment, avait été mentionnée, et avec l'immense chance qu'il avait, c'était ce jour là, où il avait prévu une journée de routine tranquille, à rédiger un sujet de contrôle extrèmement compliqué et pervers, et à passer un après midi délicieux au fond de sa cuisine, à concoter une potion de niveau 8, illégale et extrêmement dangereuse. Il se leva d'un bond. Il irait à ce fichu mariage. Même s'il avait d'autre chose à faire, il devait y aller. On ne devait pas croire qu'il était insociable. Certes, sa personnalité le montrait, mais en lui-même, il savait qu'il ne méritait pas un tel jugement quand on pouvait se vanter d'entrer dans le cercle privilégié qu'était celui de ses amis. Oh, il en avait peu. Extrêmement peu. Très très peu. Une main suffisait largement, et encore, on pouvait couper certains doigts sur cette main. Mais ce rôle ne lui plaisait pas, aujourd'huoi. Il en avait assez qu'on le prenne pour un trouble-fête qui n'aime pas s'amuser. Certes, il avait des formes d'amusement extrêment... spéciales, mais que pouvait-on lui reprocher?

Il irait à ce mariage, pour s'amuser, sans forcément aller jusqu'à danser sur la piste réservée à cette effet, mais pour voir un peu de monde et pour lancer ses habituels commentaires déplacés et sadiques. C'était, évidemment, ça qu'il entendait par "s'amuser". Il sortit de sa cuisine, repassa par le couloir, sombre, et monta l'escalier. Il traversa le second couloir, et pénétra à nouveau dans sa chambre, où il saisit, dans un placard, une cape, sobre, noire, et extrêment propre, qui contrastait avec sa chevelure, mais longue: la touche personnelle. Rogue aimait tout ce qui était long, ce qui traînait, ce qui rampait comme un Serpent. Il se vêtit de la cape, après s'être enlevé l'actuelle robe, et l'avoir remplacée par une plus correcte, et vérifia que toutes les portes étaient bien fermées, avant de se diriger dans la salle de Transplanage.

Il essaya alors de se souvenir de l'endroit exact où il devait transplaner. Il avait entendu parler d'une cour, derrière un château, dans le domaine des Silverstone... Un nom comme cela. Un sortilège lui avait permis de rendre l'endroit transplanable pour lui, au cas où il s'y rendre, puisqu'il n'y avait jamais mis les pieds. Il transplana donc. La sensation habituelle et, chose etonnante, qui plaisait bien à Rogue. 90% des Transplaneurs haïssaient cette sensation de serrement, d'étroiteté, mais lui, il la vénérait. C'était Rogue, après tout... Il atterrit dans un jardin, agréable, mais pas à son goût, dans un côté du domaine. Après une minute d'hésitation, il se dirigea vers le bruit dominant, se préparant à entrer en contact avec un flot d'invités plus déchaînés les un que les autres, et à entrevoir une ou deux personnes connues et, qui sait, il pourrait les humilier publiquement, avec un intense plaisir.

Lorelai se trouvait toujours dans le jardin du côté où il y avait moins de monde, il fallait bien qu’elle rejoigne les autres invités pour leur dire au moins de prendre patiente. Mais, bon logiquement une mariée ça devait se laisser aussi désirer ainsi que le marié qui devait se pomponner également, elle se rendit alors du côté de la foule et croisa presque tout le monde qui c’était endimanché pour l’occasion.

- Par Merlin, regardez moi tous ses pingouins on se croirait sur la banquise, avait-elle murmuré pour elle-même.

Du moins c’est ce que la jeune femme pensait car, elle n’avait pas remarqué un homme en noir non loin d’elle. Son regard se porta ensuite vers les robes de certaines dames présentes et finalement Lorelai trouva la sienne pas si mal, même si elle n’avait pas l’habitude d’en porter. Puis elle vit que certain avait des robes de sorciers.

- Pour se faire remarquer il n’y a pas mieux, se dit-elle en hochant la tête.

Elle se mit ensuite sur la pointe des pieds et tenta de voir si Charlie était enfin arrivé, il devait logiquement être déjà présent.

- Pourquoi j’espère toujours qu’un Weasley soit à l’heure ? se demanda-t-elle en soupirant. Par Merlin et quand il va me voir dans cette robe… Non, ne pas imaginer le pire, il ne dira rien de désobligeant… Mouais, bon heureusement que les jumeaux ne viennent pas au mariage hein ! se dit-elle avec un petit sourire en coin.

Lorelai avait dit tout cela assez légèrement pour que personne ne l’entende mais, elle cherchait toujours Charlie du regard et ne croisa que le regard de certains hommes qui la détaillé avec soin. Elle se sentit soudainement comme nue en face d’eux et voulu se protéger en se cachant légèrement derrière un arbre. Bien mal lui en prit car, l’arbre en question n’était autre que le professeur amer et taciturne de Poudlard, j’ai nommé Severus Rogue. Elle ôta alors ses mains des bras du dit professeur et le regarda, le détaillant, il était égal à lui-même depuis leur dernière rencontre, il portait toujours sa robe étroite et ébène autant que ses cheveux seul sa peau étrangement pâle contrastait.

- Severus…, dit-elle en le toisant alors du regard, je ne m’attendais à pas à vous voir ici… je sais que les mariés tenaient à votre présence…, allez savoir pourquoi… Nous n’avions pas besoin d’un croquemort pourtant, lui dit-elle tout en se plaçant devant lui et en croisant les bras sous sa poitrine.

Lorelai avait besoin d’un petit divertissement pour se sentir à l’aise et quoi de plus divertissant qu’un bon duel intellectuel et acerbe.

- C’est étrange mais, pour une fois vous n’êtes pas le seul en noir, ça doit vous faire bizarre non ? Enfin, une chose est sûr vous ne ressemblez pas un pingouin vous mais, plutôt à… *un oiseau de mauvaise augure, non c’est trop cruel*… à une chauve sourit géante ! Je suppose que des élèves à vous, vous on déjà fait se compliment n’est-ce pas ? ironisa-t-elle avec un léger sourire en coin.

Lorelai se retourna alors un instant pour voir si les regard des hommes étaient encore sur elle, soudain un petit vent chaud se glissa sous sa chevelure et en souleva quelques mèches. Elle se retourna de nouveau devant le dit professeur et le regarda de nouveau droit dans les yeux.

- C’est étrange mais, vous êtes bien loin de l’image que je me faisait d’un professeur de potions… en effet ayant eut Slughorn pendant toute ma scolarité à Poudlard. J’imaginais les professeurs de potions légèrement dérangé mais, vous sortez du lot mon cher vous n’êtes ni bizarre, ni étrange, vous êtes juste un énigme…, lui dit-elle en penchant légèrement la tête. Vous êtes froid et les seuls mots qui sortent de votre bouche son aussi piquant et venimeux que des crochets de serpents, d’où le fait je suppose que vous soyez un Serpentard et de plus directeur de leur maison. Comme ils doivent vous vénérer et pourtant vous cachez quelque chose en vous de beaucoup plus doux j’en suis sûr, que cette carapace qui c’est forgée au fil des années ! lui dit-elle avec un regard beaucoup plus doux qu’elle ne l’aurait voulu.

Lorelai se donna alors mentalement des claques pour se réveiller, il ne fallait pas qu’elle oublie devant qui elle se trouvait, l’homme l’avait vexée et elle s’attendrissait maintenant sur lui. Pire elle faisait référence au passé de l’homme, elle ne voulait pourtant pas le connaître, elle ne voulait rien avoir à faire avec lui. Et pourtant… au fond elle-même elle devait s’avouer que l’homme qu’elle avait devant elle la fasciné, jamais elle n’aurait cru qu’un maître des potions pourrait tant la fasciner au point qu’elle aurait aimé retourner à l’école. La jeune femme attendit alors les réflexions de l’homme avec patiente, elle avait été trop loin. Elle le savait et elle savait aussi qu’il ne servait à rien de fuir car, elle mériterait sa colère et ses mots aussi blessant qu’ils soient, elle devait les supporter et les affronter.

"Raphaël....dépêche-toi, on va arriver en retard!" cria-t-il du rez-de-chaussé en direction de l'étage supérieur.

Son frère cadet n'était toujours pas prêt et il s'impatientait. Il était invité au mariage d'une amie et il détestait être en retard à de tels évènements. Non pas qu'il appréciait les mariages, d'ailleurs, il n'accordait que peu de valeur au mariage car il n'y croyait pas, mais c'était Lily qui se mariait et il se devait d'y aller par amitié pour elle et pour connaître le futur époux. Il espérait juste qu'elle avait fait le bon choix et qu'il la méritait vraiment! Lily était une jeune femme pleine de vie et il l'appréciait beaucoup. Elle avait un côté totalement déjanté qu'il trouvait plaisant. Tout en pensant à elle, son frère Raphaël cherchait ses gants de soie blanche qu'il ne trouvait nul part! Il cherchait frénétiquement dans ses affaires et l'appel de son frère aîné ne l'aidait pas à se calmer et à chercher tranquillement. Il perdait du temps et s'il continuait ainsi ils n'arriveraient jamais à temps. Il faillit faire appel à Vala, l'elfe de maison quand une idée lui traversa l'esprit. Comment n'y avait-il pas pensé avant? Il sortit sa baguette, lança un "accio gants de soie" et il le vit sortir de derrière une pile de vêtements avant d'attérir dans ses mains. Il se dépêcha de les enfiler puis descendit les escaliers rapidement pour rejoindre son aîné dans le hall d'entré.

Ils finirent de mettre leurs capes noirs respectives sur des vêtements décontractés mais chics à la fois, puis transplanèrent. Désagréable la sensation...comme toujours d'ailleurs! Ils se retrouvèrent alors dans un lieu totalement différent de ce qu'il avait pu imaginer. C'était un endroit très jolie, mais....beaucoup trop kitch à son goût! Le manoir était splendide...mais l'extérieur était trop franfeluche...on se serait cru dans un conte de fées moldu avec ses petites haies joliment sculptées...et ce petit chemin de pierre menant jusqu'à une "magnifique" tente blanche ornée de fleurs. Raphaël regardait ce spectacle avec un mélange d'étonnement et de dégoût. D'accord on pouvait s'aimer, se marier mais pas avec tout cet attirail inutil et voyant! Qui avait décoré les jardins ainsi? Pour les greluches romantiques et aimant les histoires à l'eau de rose il n'y avait aucun problème, mais à ses yeux, c'était de mauvais goût! On se serait cru au mariage d'une princesse moldue totalement vieux jeux, croyant encore à son prince charmant! Bref...en somme toute pathétique!
Il leva les yeux vers son frère aîné et fut surpris de voir un sourire amusé sur son visage. Que lui passait-il par la tête? Ce dernier s'avança et se permit d'explorer les lieux. La mariée ne serait peut-être pas visible avant le mariage...à moins qu'il réussisse à la voir et même lui offrir ses voeux pour son bonheur à venir?! Pendant que Samuel repérait des connaissances, Raph en fit de même et fut extrêment surpris d'y voir....le professeur Rogue! O_O Mais que faisait-il là? Connaissait-il les mariés? Il pourrait d'ailleurs se poser la question à lui-même... Il ne connaissait pas cette Lily Silvermachin-chose! Le seul qu'il connaissait et encore..."connaître" est un grand mot, ils n'ont pas pris le thé ensemble...mais c'est le marié. Son professeur d'études des moldus, September Quint. Il avait entendu parler de ce mariage assez tôt mais il n'aurait jamais pensé y assister! Par Merlin, il n'y aurait que des adultes et il ne les connaissait pas. Avec qui aurait-il pu faire la conversation? Il ne voulait pas y aller au début...à quoi bon, ce sont des inconnus à ses yeux? Quelle perte de temps!

Il s'adressa alors à son frère. "Sincèrement Sam, quelle idée absurde de venir à ce mariage?" murmura-t-il bougon.
Son frère aîné se pencha vers lui "Ca te permet de faire de nouvelles connaissances dans les milieux huppés! Et puis y a toujours de jolies filles aux mariages...crois-en mon expérience!" lui dit-il en terminant sa phrase par un clin d'oeil. Raph leva les yeux au ciel et renchérit "Milieux huppés? Comme si on n'en connaissait pas assez comme ça! Et puis tu me fais rire...c'est un mariage de sang mêlé...alors excuse-moi, mais niveau huppé, tu repasseras!" lança-t-il avec ironie. Son frère fronça les sourcils "Là n'est pas le problème Raphaël. Il s'agit du mariage d'une très bonne amie à moi et il est normal que j'y assiste." Raph le regarda droit dans les yeux "Ah ouais? Une amie...? fit-il railleur, Toi, ami avec une fille? Tu m'étonnes là! Ca ne m'étonnerait pas du tout si tu me disais que vous avez été..." Mais Raph ne pu finir sa phrase et se prit une tape derrière la tête "Enlève-moi ces pensées grivoises de ta tête! On ne parle pas de ce genre de choses quand on est bien élevé et surtout à un mariage!" dit-il en prenant un air offusqué.
Raph resta interdit...se demandant si son frère était sérieux ou se moquait de lui. Connaissant la réputation qui n'est plus à faire de l'aîné Gibson, quand il connaissait une femme c'était plus parce qu'elle était passé dans son lit qu'autre chose! Mais si Lily machin-chouette l'avait invité, alors c'était sûrement parce qu'ils étaient vraiment amis! Une femme n'inviterait jamais un ex à son mariage. C'était impossible à ses yeux et pour ainsi dire tout à fait logique. Ainsi son frère n'avait pas conquit toutes les jeunes femmes (mariées ou non) qu'il avait rencontré? Cela le surprenait...il en apprenait tous les jours avec lui!

Une jeune femme blonde, très jolie, était là, se tenant un peu plus loin, vêtue avec élégance...bien que les fleurs de sa robe soient un peu trop voyantes. Evidement, il ne la connaissait absolument pas...quoi de plus naturel quand vous venez à un mariage dans lequel vous savez pertinement qu'aucune personne que vous avez l'habitude de côtoyer ne sera là. Quant à Samuel...il la fixait comme s'il la connaissait déjà! Peut-être une ancienne conquête...ça ne l'étonnerait guère...à moins que ce soit juste une collègue! Une collègue? Que racontait-il? Samuel n'avait aucune collègue, il était joueur de Quidditch professionnel. Il poussa un léger soupir avant que son frère n'intervienne "Arrête de soupirer de la sorte! Ca fait mauvais genre!" Raph en avait marre qu'il le reprenne à chaque faux pas "Oh c'est bon...j'ai quand même le droit de m'ennuyer, non? C'est pas interdit que je sache!? Si tu souhaites tellement me divertir, parle-moi un peu des futurs mariés pour que je ne paraisse pas totalement inculte si on me parle d'eux!" déclara-t-il en le fusillant du regard et son aîné en fit de même. Leurs regards gris-verts s'affrontaient quelques secondes puis ils lâchèrent prise en même temps et Sam haussa les épaules "Très bien...que veux-tu savoir?" demanda-t-il d'une voix neutre. Raph haussa à son tour les épaules et maugréa un "C'que tu veux..." et attendit sans grand enthousiasme sa réponse.

Samuel se retenait de faire un malheur *Quelle mauvaise volonté!* songea-t-il en le fixant avec intensité. "Lily et moi sommes amis depuis longtemps. Elle est un peu plus âgée que moi, de deux ans seulement...mais là n'est pas l'importance. C'est une passionnée de Quidditch et d'ailleurs, sa famille aussi. Ils vont être là au mariage, ils sont très ouverts et bon vivant. Ils aiment rire et ses frères sont de sacrés farceurs... Lily travaille au ministère, en temps qu'organisatrice des tournois et grands évènements internationaux...elle a d'ailleurs fait partie de l'organisation de la Coupe du Monde de Quidditch l'année dernière ou encore du Tournoi des 3 sorciers...elle a eu beaucoup de boulot cette année. Je me demande comment elle a fait pour gérer vie professionnelle et vie privée, plus un mariage en fin d'année....?!?"
Il s'interrompit, observant les lieux et les invités... Son regard se stoppa sur une personne en particulier "Ma parole, dis-moi que je rêve! Severus à un mariage?! Incroyable, j'aurais tout vu..." fit-il amusé. Il reporta son regard sur son cadet pour reprendre la discussion là où il l'avait laissé "Quant à son fiancé...September Quint...je ne sais que peu de choses. Je sais qu'il était à Serdaigle, que pendant un temps il a disparu du monde des sorciers pour se fondre dans le monde des moldus, dit-il en faisant une grimace, puis comme par magie, il est revenu dans notre "monde" l'année dernière et a intégré Poudlard en tant que professeur d'étude des moldus. Je ne connais guère de chose sur lui...il est plus âgé que moi et il avait déjà quitté Poudlard quand j'ai fait ma toute première rentrée. J'ai entendu des rumeurs...comme pas mal d'autres j'imagine...mais rien de particulièrement intéressant! Sauf peut-être cette "rivalité", si on peut appeler ce genre de relation ainsi, entre Quint et Sykes à l'époque de Poudlard...." fit-il d'un sourire énigmatique.
Raph haussa un sourcil, s'apprêtant à poser des questions sur cette histoire qui avait à ses yeux beaucoup plus d'intérêt que ce mariage de sang-mêlé, quand son frère l'en empêcha en lui disant "Non, je ne te parlerais pas de cette histoire dont je ne connais presque rien et ni de Sykes...." dit-il en regardant son frère en biais. Sam connaissait la fascination de son jeune frère pour l'Auror Apophis Sykes. Il ne cherchait pas trop à comprendre le pourquoi du comment mais c'était sûrement cette fameuse réputation qu'il avait qui le précédait...En tout cas, qui ne connaissait pas l'histoire d'un des plus fameux Aurors du ministère devait avoir vécu chez les moldus durant de nombreuses années pour ne pas en avoir entendu parler.

Samuel en avait fini avec les bavardages inutiles et la seule chose qu'il voulait, c'était aller saluer la future mariée et lui offrir le cadeau de mariage qu'il lui réservait en main propre. Léger et minuscule, ce dernier tenait dans la poche intérieure de sa veste...Il ne prévint même pas son jeune frère et se dirigea vers l'entrée de la demeure, bien décidé à voir la mariée avant la cérémonie. Raphaël fut pris au dépourvu, mais ne souhaitant pas rester ici tout seul, il le suivit.

Severus Rogue s'amusait comme un petit fou dans ce petit mariage. Il s'adonnait à l'art subtil de l'humiliation. La première victime fut une vielle dame rabougrie, qui semblait connaître Rogue mieux que lui la connaissait.

- Bonjour Severus... Vous allez bien? Pourquoi vous vêtir de noir, cela gâche votre personnalité déjà si séduisante et...

- Pardonnez moi, je viens de voir quelqu'un d'intéréssant là bas, poussez vous.

Evidemment, il n'avait vu personne, mais il fallait bien qu'il s'en aille de cette imprudente qui osait lui adresser la parole sans qu'il ne la connaisse. Il se dirigea vers un buffet où quelques assortiments étaient installés.

Une envie soudaine de déposer un flacon d'Urinarus s'empara de lui. Mais sa conscience l'en empêcha. Cela ne se faisait pas, après tout... Il se retourna. Une autre dame le dévisageait, un sourire au coin des lèvres.

- Vous êtes Severus Rogue, professeur de potions à Poudlard, c'est ça?

- Attendez, je n'en suis pas sûr... Je crois que oui.

- Je suis rédactrice à la Gazette du Sorcier, et j'aimerais bien vous accorder une interview...

- Le problème, c'est que moi, je n'en ai pas envie. Aurevoir.

Il se dirigea ensuite vers le milieu de l'espace, avant de tomber nez à nez avec un homme presque totalement saoul, qui lui dit:

- 'lut Victor... T't'es pas lavé les ch'veux c'matin?

- Oh, Seigneur... Poussez vous!

Il poussa l'homme, puis, continua sa découverte, en passant dans une foule agitée. Il s'arrêta soudain, persuadé d'avoir entrevu quelqu'un. Mais c'était une fausse impression. Une jeune femme, ravissante, s'avança vers lui et lui adresse la parole, avec une intense et délicieuse acidité, les mots étant choisis avec intelligence, pour atteindre le Maître des Potions, qui écoutait avec attention le moindre mot.

Les énigmes sont faites pour ne pas être élucidées, Miss. Je ne suis pas sûr que vous soyez autorisée à me parler sur ce ton. Surtout qu'il se pourrait bien que je verse un peu de Blablablatius dans votre verre, pour que vous déblateriez devant tout le monde n'importe quoi. Je ne pense pas non plus que votre présence était indispensable ici... D'autant plus que venir sans votre cerveau ici n'était pas très conseillé... Je crois même que vous deviez vous sentir un peu honteuse dans cet assortiment qui est censé vous aller à ravir... Je me trompe, ou vous avez pris du poids depuis la dernière fois où je vous ai croisé? C'est dommage... Ou plutôt, encore une dizaine de kilos, et je pense que vous pourriez aisément passer pour une femme enceinte. Maintenant, excusez moi, mais je dois parler à cet imbécile, là bas, qui a osé verser du vin Français dans ce punch après sa préparation, au lieu de le faire avant. Ravi de vous avoir vue...

Il n'avait pas apprécié le ton de la jolie Miss Devalle, ravissante ou pas. Il savait pertinement que lorsqu'on lui parlait ainsi, il se mettait aisément en colère. Mieux valait pour elle qu'il s'éclipse, ou il risquait fortement de passer à l'acte des propos qu'il lui avait promis. Mais en même temps, il brûlait de savoir ce qu'elle allait lui répliquer. Une brulante méchanceté? Un tourment d'excuses? Oh, ça aurait été vraiment très étonnant si elle le faisait. Une gifle? Non. Il était rare qu'on lui donne des gifles par ces propos, ils étaient déplacés, mais rarement impolis et obscènes. C'était calculé tout le temps pour humilier, sans mots grossiers.

Il se préparait à partir, tout en attendant les propos de Miss Devalle, pour trouver un pretexte afin de ne pas s'en aller et de lui répliquer d'autres mots, plus démoniaques les un que les autres. Mais Miss Devalle était un sérieux adversaire, et il savait que dans ce jeu là, il n'était pas forcément gagnant...

A le jour de mariage de September et de cette fameuse Lily était enfin arrivé, le seul hic c'est que Halloween n'avait pas encore reçut sa robe pour ce mariage.... Elle attendait patiemment, non impatiemment qu'elle vient, le mariage était dans 2hoo et elle était toujours en peignoir, pantoufles et les cheveux en pétard... dans la cuisine à tourner en rond.

Elle avait hâte de quitter les manoirs des Zabini pour une journée entière, heureusement Blaise ne venait pas à ce mariage, la libération absolue. Elle avait dû se retenir de cris victoire quand elle avait su qu'il n'allait pas venir.

Bref elle était entrain de faire les cents pas dans la cuisine quand une chouette énormément fatiguée et qui allait chutée à tout moment en raison du lourd paquet attaché à sa patte à arriva, Halloween sauta sur la chouette lui enleva le paquet et comment ça à l'ouvrir non à le déchirer avec frénésie, mais la surprise fut mega énorme, elle prit la robe avec deux doigts de chaque côté du col avec une grimace <qui voulait dire c'est quoi cette robe ?!?!> apparut sur son doux visage.
La robe était rose bonbon et il avait deux fleures en haut à gauche et deux autres fleures à droite, le bas de la robe était en voile fin et le haut était un corser, en plus cette robe était longue et vaporeuse. Bref tout ce qu'elle détestait dans une robe. Elle se demandait qui avait bien pu choisir une telle horreur !!! Mais ce qui la préoccupait le plus, c'était comment elle pourrait attacher la robe, oui comme le haut était un corser, ils avaient des lacets, donc elle ne se voyait pas demander cette faveur à Blaise, donc elle devait arriver avec la robe sous le bras à ce mariage et trouver une femme qui voudrait bien lui attacher.

*je vais faire comment pour l'attacher ?!?! je n'arriverais jamais à attacher les lacets, toute seule rrho noisette*

Elle regarda de nouveau dans le paquet et trouva une paire de chaussure à haut talon bien camoufler dans du papier en soie, vu la marque du rubans qui les tenaient en semble, ses grand-parent ce n'étaient pas fichu d'elle, elle contrôla si c'était bien du 35 et elle constat que même la grandeur jouait, magnifique, il avait juste un petit souci avec ces chaussures, le talon devait mesurer environ dix centimètres et ça tenait par deux rubans de soie noirs., je ne vous cache pas que quand elle a vu les hauts talons, son visage se décomposa encore plus.

Elle les prit avec une certaine appréhension et les sorties du carton et les posa à côté de la robe sur la table

*oooh seigneur !!!! par la barbe de merlin, noisette, j'aurai mal aux pieds !!!!*

Quand elle vit l'heure, elle les posa en vrac dans le carton, mis l'horrible robe aussi dans le carton avant de fermer et de monte dans la chambre en quatrième vitesse.

Le temps de se doucher, de se laver ses cheveux couleurs de blé, de se crémer la peau avec de l'écran totale niveau 45 +, non non elle ne voulait pas rester avec sa peau laiteuse à souhait toute sa vie, elle aimerait fortement avoir une peau couleur normal, mais le soleil sur sa peau était un ennemi fort redoutable et elle ne voulait pas avoir des immense coups de soleil et souffrir le martyre pendant une semaine et ressemblait à une écrevisse par la même occasion, donc elle prévoyait. Puis choisir entre une jupe ou une robe moldue et tous les accessoires qui allait avec, bien sûr de marque pour les bijou et certain sans, mais sa maman lui avait envoyé sans marque qui faisait plus sport, Halloween avait précisé « sport » oui sa mère lui avait obeïs et lui envoyer quelques vêtements moldue et des accessoires et comme elle faisait son shopping que dans des boites de luxe, Halloween avait reçu pour l'été, une rébemble de vêtement pour jeune fille, bien sûr de sa taille de marque ou bien pas de marque, elle avait demandé spécialement. Elle choisit rapidement une robe à brettelle qui lui arrivait aux genoux de couleur vert

Elle enfila une paire de basket verte à lacet jaune fluo, elle prit un sac de sport moldue orange -rouge et mis en vrac la robe, les chaussures et bien sûr les bijoux donc, collier, bracelet, bague et boucle d'oreille de marque dans le sac et le referma, elle se dépêcha de se sécher les cheveux et se coiffa en un chignon et ce maquilla rapidement .

Elle mit une veste en jeans et ce qui casse la coiffure à moitié c'est qu'elle enfonça sur sa tête une cassette noire, elle enfila des grosses lunettes de marque de soleil cadeau de sa maman.

Puis elle parcourut l'escalier à toute vitesse se précipita dans le salon et avant de prendre de la poudre de cheminette, oui elle avait demandé l'autorisation au ministère de la magie pour débloquer le passage pour la demeure des silverstones regarda l'adresse dit au revoir à mi-mot à Blaise avant de rentrer dans la cheminé et jeta la poudre en prononçant haut et intelligente voix

« le domaine Silverstone « dit elle en articulant bien

elle disparut dans des flammes vertes pour réapparaître quelques secondes plus tard dans une autre cheminée, la cheminée se trouvait dans un salon de taille moyenne,
mais pas le temps de regarder un peu mieux que quand elle réussit à disciper la fumée d'un revers de main non chaland que deux cris lui perça les tympans .
« mamannnnn !!!!! il y a une dame dans la cheminée !!! »cria une petite fille qui partit se jeté dans la robe de sa maman
« mamammmmmmmmmm !!!! maman Noël et dans la cheminée « cria un petit garçon qui regardait Halloween avec des yeux aussi gros que des assiettes à soupe, il était ravie de la voir lui au moins.Halloween regardait le petit garçon avec une certaine impréhension, elle allait dire quelque chose quand la maman du petit garçon arriva et se stoppa nette dans l'embouchure de la porte« Mais Félicien, maman Noël n'ex...cite ...pas !!! »dit la femme en regardant Halloween avec une certaine surprise.

Halloween risqua d'une petite voix « je suis bien dans le domaine sylverstone ? au sud est de l'Irlande ? où ce passe le mariage de madame Silverstone et monsieur September» demanda t'elle légèrement anxieuse.

La femme lui sourie et l'invita de sortie de la cheminée, avec des grands gestes et lui souhaita la bienvenue.
« Mais bien sûre jeune fille, venez sorter de la cheminée, bienvenu au domaine silverstone, vous devez être un de ces invités qui sont sorciers « dit elle en souriant
Halloween sortie de la cheminée et lui sourie, rassurée de pas c'être trompée, comment elle aurait fait ? si elle était arrivée vraiment dans une maison moldue ? elle en savait rien...
La question posée par la femme la surprit, mais ne lui montra pas et lui répondit avec politesse
« Oui, je suis une de ces invités étranges « dit elle en plaisantant « je suis navrée d'avoir fait peur à la petite fille »dit elle en revenant sérieuse. « ce n'est pas grave Marie et un peu trouillarde « dit la femme en la quittant et en retournant vers son ami.
Après avoir cherché une bonne âme qui voulait bien l'aider à attacher sa robe, elle se retrouva coincé dans la salle de bain pendant une demi avec une parfaite inconnue, elle sortit de là bas métamorphosée
Elle avait refait sa coiffure avec un coup de baguette magique, elle avait donné une retouche de maquillage et elle avait mis la parure de bijou.

Maintenant habillé avec une telle robe, les cheveux coiffé, maquillé légèrement, plus les chaussures qui la grandissaient de dix centimètres, elle ne ressemblait plus du tout à l'ancienne Halloween. Mais une jeune femme...
Elle sortit de la salle de bain, remercia l'inconnue et se dirigea vers le parc, elle se sentait légèrement mal à l'aise ainsi, surtout quand elle mit les pieds dans le parc, son passage ne se fit remarquer par les jeunes hommes moldus, puis elle essaya de voir qui elle connaissait quand elle fit Raphaël Gibson, un élève de sa maison.
Elle s'avança vers lui et un jeune homme et entendit la conversation, des deux elle ne peut se retenir de dire en leur souriant d'un joli sourire remplit de tendresse« Bonjour Gibson, monsieur !!! »dit elle à son camarade de maison et au monsieur qui l'accompagnait « alors comme cela on parle de cet très cher aurore ?!?! »dit elle en les regardant « serais-tu un fan caché de cet homme Gibson ? « dit elle en se retournant sur Raphaël pour plaisanter.
*peut être j'aurais dû me présenter, aïe aïe *

la robe:

Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous] 82288110

les chaussures:

Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous] 2767_310

Ξ Sujet: Re: Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous]

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