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 Six mois. [Pv]

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Ξ Sujet: Six mois. [Pv]   Six mois. [Pv] EmptySam 18 Oct - 0:56



Privé Ernie ( L ) !


J'espère que la mise en situation te va =) Si ce n'est pas le cas, dis moi le et j'édite <3


J'ai démarré le sujet avant les vacances de pâques simplement pour que ce soit plus rapide à terminer, donc que le temps ne joue pas contre nous Smile.





Six mois. Six mois de pur bonheur. Six mois aux côtés d’un garçon fabuleux, gentil, adorable, beau, intelligent, charismatique, attentionné, romantique. Six mois à être sur un véritable nuage paisible, à flotter doucement, se laissant bercer par des mots d’amours de toutes sortes. Oui, aujourd’hui, le 7 avril, cela faisait maintenant six mois que Juliette Horuni et Ernie MacMillan étaient en couple.
Le week-end de Pâques n’aurait pas pu mieux tomber, vous avez ma parole. Pour l’occasion, Juliette avait demandé à son père si Ernie pouvait venir passer la longue fin de semaine de cinq jours au manoir. Bien entendu, Robert avait accepté, et ce, avec joie. Il avait glissé un mot à sa fille en prétextant que ce serait le bon moment pour apprendre à connaître enfin le petit ami de sa fille.

Ainsi donc, Juliette avait invité Ernie à venir passer le week-end chez elle et ce dernier avait cordialement accepté, apparemment ravi de pouvoir rencontrer la famille de sa petite amie. Les deux tourtereaux avaient quitté Poudlard en début d’après midi et étaient arrivés à destination vers les quatre heures. La limousine de la famille Horuni était devant la gare, mais aucune trace de Robert, Karelle ou de July. * Étrange … * Avait pensé Juliette. Mais bon, après tout, avec un père à la tête d’une compagnie excessivement importante et avec une mère styliste de mode et présidente d’une agence de mannequinât, tout était possible, hein ?
Le trajet n’avait pas été très long, pour tout vous dire. Ernie et elle-même avaient discuté de tout et de rien jusqu’à arriver à la demeure des Horuni. Ils étaient alors sortis et étaient entrés dans la demeure. Aussitôt, un des majordomes leur avaient annoncés que Robert, July et Karelle allaient arriver dans un peu plus d’une heure pour se rendre au restaurant. Jolie soirée en perspective …

__________________________________________________________

Se tenant devant son miroir, Juliette était enfin prête. Sa robe était parfaite. Pas trop chic, pas trop ordinaire, bref, le juste milieu. Elle était rouge foncée et très classe. Bien entendu, vu la saison et la température à l’extérieur, elle avait la veste à manche longue qui venait avec, hein ? Prévoyante la petite ! « Bon, je crois que … » Aucunement le temps de terminer sa phrase, Juliette fut interrompue par un cognement à sa porte. Enfilant ses talons hauts en souriant, la jolie brune ouvrit la porte. July se tenait sur le seuil, souriante. Elle contempla sa belle fille de haut en bas et s’exclama : « Seigneur, plus tu vieilli, plus tu es jolie ! Allez, bien là ma chérie. Comment vas-tu ? » Juliette déposa deux baisers sur chacune des joues de sa belle mère et lui accorda un de ses sourires radieux. « Je n’ai jamais été aussi comblée. Je suis tellement heureuse, maman … » Oh seigneur.

« Oui, maman. Je crois que tu l’es devenue, au fil du temps. » Sur le coup, July ne saisit pas ce que sa belle fille voulut dire. Mais lorsqu’elle comprit, la plus vieille des deux femmes éclata en sanglots. Mal à l’aise, Juliette ne savait que faire. * J’ai dit quelque chose de mal ? Erf … * « July, je … Mais je croyais que tu serais eum … Contente … » Essuyant les larmes qui coulaient sur ces joues, la belle mère de miss Horuni pris la parole. « Je suis ravie que tu me considère comme ta mère, ma chérie. Si tu savais à quel point tu me rends heureuse ce soir … » Juliette, en entendant ces mots, sauta au cou de sa maman. Elle lui déposa un baiser sur la joue et la regarda dans ses yeux. « Je t’aime, tu le sais ça, j’espère ? Je t’aime autant que papa … »

Au même moment, on cogna à nouveau à la porte. July et Juliette se distancèrent, aussi surprise l’une que l’autre de voir Ernie arriver. Ce dernier était excessivement bien habillé. Voyant son petit ami devant le cadre de porte, la Serdaigle lui fit signe d’entrer. Elle s’approcha de lui et lui sourit avant de déposer un baiser sur ses lèvres. « Tu arrives au bon moment. » Se tournant vers July, la brunette repris la parole. « Je te présente July, ma belle … Ma mère. » Inutile de dire que Juliette était particulièrement fière de ce qu’elle venait d’accomplir. Ernie ignorait tout de la « vraie » mère de sa petite amie, et selon cette dernière, c’était peut-être mieux ainsi. Qui avait besoin de savoir que la mère de la petite grecque était en fait une folle à lier qui reniait son sang et était suivie en thérapie ? Personne, en effet …

Ce fut donc en souriant que July salua le Poufsouffle. « Eh bien, on peut dire que Juliette sait choisir ses hommes … » Se tournant vers sa fille, elle poursuivit. « Tu as fais un bon choix, ma puce. » Déposant un baiser sur la joue de la bleue et bronze, elle souffla un petit : « Allez, je vous laisse, à tantôt ! » Avant de descendre les escaliers. Aussitôt, Ernie esquissa un sourire à Juliette qui pris la parole avant qu’il eut le temps de dire quoi que ce fût. L’entraînant dans sa chambre, la jolie brune le fit asseoir sur son lit. « Tu sais, je suis désolée … » Par où commencer ? « Je n’ai pas été franche envers toi. Mes parents sont riches, extrêmement riches. Mais le fait est que je déteste en parler. Je ne te l’ai pas dis simplement pour ça. » Elle baissa les yeux, honteuse. « Tu m’en veux ? »

{ 950 Mots . ]

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Ernie MacMillan
Ernie MacMillan
Ministère

Parchemins : 683
Âge : 37 jets de cheveux (7 Octobre 1979)
Actuellement : Adulte [Département de la coopération magique internationale]
Points : 0


Informations supplémentaires
SIGNE PARTICULIER:
RELATIONS:
SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: 3
FACECLAIM:


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Ξ Sujet: Re: Six mois. [Pv]   Six mois. [Pv] EmptyDim 19 Oct - 21:28

Six mois. Ernie n'était pas peu fier de la "performance". Oh ! Il n'était pas un garçon d'un naturel volage, loin s'en faut ! Seulement, il lui semblait presque incompréhensible qu'une fille comme Juliette ait pu rester aussi longtemps avec un garçon comme lui alors qu'elle devait, de toute évidence, être très courtisée de part et d'autre du château. Certes, Ernie avaient quelques qualités et, d'une manière générale, il se trouvait plutôt bien de sa personne. Mais Juliette... Juliette était une vraie perle, un être charmant, bourré de talent et d'une intelligence redoutable. Comment avait-elle pu accepter de s'afficher à ses côtés alors qu'il n'avait même pas gagné au loto plus de deux semaines de suite ? C'était un miracle. Et Ernie en remerciait Merlin chaque jour un peu plus.
Lorsque Juliette l'avait invité chez elle pour le week-end de Pâques, Ernie avait été obligé de résister à une violente envie de se pincer pour vérifier que "non, non, je ne suis pas en plein délire nocturne !" Inutile de préciser qu'à côté de la proposition de la Serdaigle, le traditionnel repas familial n'avait pas pesé bien lourd ! Ernie s'était empressé de déroger à la tradition pour accepter promptement (des fois qu'elle changerait d'avis) l'invitation de Juliette. D'ailleurs, ses parents n'y avaient pas trop vu d'inconvénient : Juliette n'était pas une vilaine Serpentard et même s'ils pouvaient douter de l'objectivité de leur fils ("Mais si Mum, je t'assure, c'est la plus belle du monde !" "Mais oui, mais oui, mon lapin... Finis ta soupe maintenant..."), le fait qu'Ophélia elle-même se soit montrée plus que laudative au sujet de la Serdaigle jouait incontestablement en sa faveur.

Et voilà comment, quelques semaines plus tard, ivre de bonheur et plus enthousiaste qu'un jeune ministre de la magie fraîchement élu, Ernie s'était retrouvé à faire sa valise pour le premier week-end hors de Poudlard avec sa petite amie. Mieux ! Il allait rencontrer la famille de cette dernière ! C'était bien le signe qu'elle l'aimait un peu, non ?
Tout en fourrant des paires de chaussettes dans le fond de sa malle, Ernie avait essayé d'énumérer le nombre de couples qu'il connaissait à avoir été présentés aux parents. La conclusion qu'il en tira fut plutôt satisfaisante : l'immense majorité desdites couples était toujours solide depuis lors. Du coup, Ernie avait peut-être une chance de conduire Juliette à l'autel de voir l'amour qui l'unissait à Juliette renforcé après cette escapade de Pâques, non ? Enfin, à condition d'être impeccable, bien entendu ! Hors de question de se ridiculiser devant la famille de sa petite amie !
Pour la première fois de sa vie, Ernie s'était senti un peu anxieux à l'idée de rencontrer des inconnus. D'ordinaire, il était plutôt à l'aise en public mais jamais l'enjeu ne lui avait paru aussi gros.

*Enfin, des inconnus, pas tant que cela...* s'était-il corrigé mentalement en songeant aux obsèques de Nathan.

Mais au fond, il aurait mieux valu pour lui ne jamais avoir rencontré les Horuni. Les circonstances de l'hiver passé n'étaient pas des plus heureuses et Ernie espérait de tout coeur qu'on ne verrait pas en lui "Le type qui était à l'enterrement de Nathan".

*Bon sang, je devrais demander à Ophy de me prêter un peu de shampooing MacMillan n°5 ! Des fois que mes cheveux ne se mettent en tête de rebiquer...* avait-il pensé, passant du coq à l'âne, avant de filer trouver sa soeur dans la salle commune.

Et le lendemain, en milieu d'après-midi, une bouteille de shampooing supplémentaire gracieusement prêtée par Ophy dûment rangée dans sa valise, le jeune garçon était monté à bord du Poudlard-Express avec le sentiment de flotter quelque part entre le rêve et la réalité. Il avait bien du mal à réaliser qu'il allait vraiment chez Juliette ! C'était trop beau ! Il allait nécessairement se passer quelque chose avant que le train n'arrive ! La Serdaigle allait le larguer ! Voldemort allait tous les tuer ! La Terre allait disparaître, happée par un large trou noir ! Enfin, quelque chose, quoi !

*Ou pas...* Avait-il songé tandis qu'il bavassait joyeusement avec Juliette, à l'arrière de la limousine.

Une heure plus tard, Ernie était dans la chambre d'amis qui lui avait été attribuée pour le séjour. Il était content de pouvoir se poser un peu avant de voir toute la famille : au moins, il avait eu le temps de retrouver un peu ses esprits et avec lui, sa formidable assurance.
D'une main experte, il acheva de mettre la touche finale à son coiffé-décoiffé et tira son pschiit-pschiit fraîcheur fraises sauvages de la poche de son veston. Il s'en vaporisa deux grades goulées et recula de quelques pas pour observer plus nettement son reflet dans le miroir.
Pas mal... Il portait un costume moldu : pantalon noir, chemise blanche, veste noire mais s'était épargné la cravate, trop "sérieuse". Le tout lui donnait l'air à la fois décontracté et très classe. Espérons que cela suffirait à convaincre la famille de sa Belle ! Ils avaient bien plus riches qu'Ernie ne s'y était attendu... Mais après tout, il n'avait jamais parlé agent avec Juliette. D'ailleurs, parler d'argent ne se faisait pas, lorsqu'on était bien élevé !
Il adressa un dernier sourire ultra bright à son reflet avant de quitter la pièce dans le but d'aller chercher Juliette. Dans son esprit très "gentleman désuet", il lui semblait naturel de proposer à Juliette de l'escorter jusqu'à l'entrée où les attendait le reste de la famille.

Il ne trouva toutefois pas Juliette seule comme il s'y était attendu. Bon, au moins, il était convenablement habillé pour être officiellement "introduit" auprès de la mère de Juliette.
Ernie lui adressa un sourire respectueux et s'inclina légèrement un peu plus et c'était le baise-main devant July avant de répondre d'une voix grave, très posée :

- Je suis vraiment enchanté de faire votre connaissance, Madame.

Et de s'incliner légèrement de nouveau.
Ce ne fut que lorsqu'elle eut quitté la pièce qu'il s'assit sur le lit de Juliette et lui attrapa la main de Juliette en lui demandant d'un air un peu anxieux :

- J'ai été correct ? Je veux dire, je n'ai pas été malpoli, ça va ? Il faut que je revois quelque chose avant d'être présenté au reste de ta famille ou non ?

Il se passa la main dans les cheveux et leva les yeux sur Juliette en l'écoutant parler. Mais... Mais... Enfin ! Pourquoi s'excusait-elle de ne pas lui avoir dit que sa famille était riche ? Est-ce qu'il lui avait dit combien ses parents avaient en banque, lui ? Non ! Bien entendu que non ! Qu'elle était attendrissante, à demander pardon pour quelque chose d'aussi insignifiant !
Ernie exerça une légère pression sur sa main et lui sourit doucement avant de la rassurer d'une voix tendre :

- Oh Juliette ! Ce n'est absolument pas grave, voyons ! Je ne vois pas pourquoi tu te serais sentie obligée de me le dire... Et puis au moins, maintenant, je sais que tu ne sors pas avec moi en espérant me voir gagner au loto ! conclut-il, les yeux pétillants de malice, en laissant échapper un petit rire.

Il se leva alors et, s'étant approché de Juliette, la prit dans ses bras et chuchota, en lui caressant doucement les cheveux :

- Je t'assure que je ne t'en veux pas du tout, Juliette. Pourquoi t'en voudrais-je ? Je suis probablement le type le plus heureux du monde, depuis six mois !

(1251 mots à une déclaration près)

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Ξ Sujet: Re: Six mois. [Pv]   Six mois. [Pv] EmptyDim 19 Oct - 23:56

La chance. Qu’était-ce ? Chaque personne en a sa propre définition. Il n’en reste pas moins que tout le monde rêve d’en avoir. Qu’importe le domaine, c’est toujours bénéfique, et ce, demandez le à n’importe qui, il vous répondra que c’est la pure et simple vérité. Juliette Horuni, en ce moment présent, possédait la plus grande chance du monde. Une chance qu’elle n’aurait jamais pensé pouvoir – une fois dans sa vie – obtenir. Elle était amoureuse. Amoureuse de tout son cœur. Jamais de sa petite vie, la jolie brune avait éprouvé ce qu’elle éprouvait actuellement. Elle était amoureuse d’Ernie MacMillan, le garçon le plus merveilleux du monde.

Lorsque Ernie était dans les parages, Juliette se sentait automatiquement bien. Elle avait cette tranquillité d’esprit que personne ne pouvait expliquer. Celle qui la faisait sourire bêtement, sans raison. Et cette tranquillité apaisante avait un nom : Ernie MacMillan. En effet, pour notre petite Juliette, Ernie était un ange. Il était toujours là pour elle, à la rassurer quand c’était le moment et à la consoler quand elle se sentait nostalgique face aux moments partagés avec Nathan. Il était à la fois un ami, un grand frère et un amoureux. Bref, il était – aux yeux de Juliette (et à mes yeux à moi aussi !) – un être exceptionnel. Sa seule précense rassurait la bleue et bronze et la perspective de passer du temps en sa compagnie la rendait euphorique.

Cajolée par son petit ami, Juliette ferma les yeux. Elle se sentit presque aussitôt mieux. Ernie était franchement miraculeux. Décrochant sa tête du creux de son épaule, la brunette lui décrocha un sourire radieux. « Tu sais que tu es formidable ? » Déposant un léger baiser sur ses lèvres, la gamine passa ses doigts dans ceux du Poufsouffle. « Tu as été parfait, si tu veux tout savoir. Comme d’habitude, quoi. » Elle esquissa un petit sourire en coin. « Tu es tellement merveilleux … Je n’aurais pas pu demander mieux comme petit ami … Si tu savais à quel point je t’aime … » Cette fois, elle l’embrassa vraiment. Le « vraiment » veut dire que ce fut un réel baiser. Après tout, comment résister ? C’était impossible ! Ernie était si craquant … Après quelques instants, mettant fin au baiser, Juliette fit signe à Ernie de le suivre. Ils descendirent tous deux les escaliers, puis arrivèrent dans le salon de la demeure.

Karelle courut vers Juliette et lui sauta dans les bras. La petite marchait déjà, âgée de deux ans. Un sourire brillant sur son petit visage, la Serdaigle pris sa petite sœur dans ses bras. « Coucou ma puce ! Tu vas bien ? » « Oui ! » S’exclama la rouquine en souriant. * Elle parle déjà, seigneur qu’elle grandit vite … * Songea la méditerranéenne.
« Karelle, je te présente Ernie. » Se tournant vers son petit ami, Juliette fit de même.
« Ernie, voici ma petite sœur, Karelle. Elle a deux ans et elle a une tonne d’énergie à dépenser ! » « Ouiiiiiii ! » Aussitôt dit, aussitôt fait. À peine la rouquine déposée par terre qu’elle courrait déjà vers sa mère. July était en effet arrivée, vêtue d’une robe verte forêt plutôt jolie. « Mais c’est une Gucci, July ! Je l’ai vu quand j’ai pris les mesures pour la mienne … » S’exclama Juliette. « En effet. Je ne t’avais pas accompagnée pour rien, tu sais ! » Lança la femme en rigolant. Voyant bien que ce charabia ne disait strictement rien à Ernie, la brunette se tourna vers lui. « Pour résumer, cet été, nous nous sommes rendus à l’agence de fabrication de vêtements « Gucci » pour nous faire faire nos robes sur mesures. J’étais persuadée d’être la seule à avoir pris une robe, mais apparemment, ce n’est pas le cas ! » Répondit-elle en rigolant.

« Maman ! » Karelle tirait sur la robe de sa mère. Cette dernière regarda sa fille et lui murmura : « Ma chérie, ce sera la nounou qui te gardera ce soir. Maman, Papa, Juliette et Ernie doivent se rendent au restaurant. Tu promets de rester sage ma puce ? » Le visage de Karelle pris une teinte de déception, mais la petite rousse se contenta de dire : « Oui, d’accord. » Avant de laisser sa mère puisque la nounou l’appelait. July leva par la suite les yeux verts Juliette et Ernie. Elle s’adressa à ce dernier. « Vous êtes particulièrement beau ce soir, très cher. » « J’approuve ! » Lança Robert, descendant les escaliers. Juliette quitta son petit ami pour aller saluer son père. Ce dernier acceuillit sa fille avec un sourire en coin. « Tu grandis décidément toujours, ma petite perle ! Plus tu vieillis, plus tu deviens jolie. » « Eu … Merci, papa. » « Bonsoir Ernie. Je suis ravi de te rencontrer dans de nouvelles circonstances. Tu vas bien ? » Il faisait bien sûr allusion au fait qu’Ernie et la famille Horuni s’étaient rencontré aux funérailles de Nathan. « Allez, sortons. La limousine nous attend. » Lança July. Juliette revint auprès du beau blond et tous sortirent dehors. Direction le restaurant.

{ 863 Mots . ]
{ De justesse, héhéé ! =D ]

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