Seule

Ksénia était assise dans la salle commune des Serpantard, elle avait un livre fermer sur les genoux apparemment elle avait abandonnait la lecture pour admirait le feu qui brûlait dans la cheminée, il n'y avait pas grand chose a faire a part ça...

On était en plein milieu de l'après midi, dehors la pluie tombait a flot mais la salle commune était vide, quelques élèves étaient montaient dans les dortoirs, elle était donc toute seule dans la salle commune, ce qui n'était pas pour lui déplaire même si la compagnie était rare elle s'habituait peu a peu a vivre seule, elle voyait sa sœur presque tous les jours et lui parlait un peu...

Sa jupe argenté couvrait une partie de ses jambes et laissait voir son mollet assez pâle, toujours le regard fixé sur les flammes qui allait bientôt s'éteindre elle faisait tourné sa bague en argent autour de son doigt, en pensant aux cours, a sa famille e tous se qui pouvez se passé en se moment a n'importe qu'elle endroit...

Samara entra dans la salle commune trempée de la tête aux pieds. Elle était aller faire une ballade dans le parc sous la pluie torrentiel. Samara aimait beaucoup la pluie, et encore plus la neige. La pluie était pour elle comme son symbole de solitude. Elle aimait beaucoup marcher sous la pluie et se laisser mouiller par cette dernière, elle aimait aussi l’observer par une fenêtre.

C’est ainsi qu’elle se dirigea vers la fenêtre la plus proche d’elle, de sa salle commune. Cette dernière était vide, Samara pourrait admirer alors la pluie tomber sans être déranger par des question idiote comme: ‘Qu’est ce que tu fais?’ ou ‘Pourquoi tu regardes la pluie? C’est si déprimant!’

Elle s’assit sur le rebord de la fenêtre, toujours aussi mouiller, et jeta un bref coup d’oeil à la salle commune sombre et glacial. Le fait qu’elle soit ainsi rassura Samara. Cela lui rappelait la chaleur du domaine familial. Et c’est à ce moment qu’elle aperçu qu’elle n’était pas seule. Il y avait une jeune fille qui contemplait le feu de la cheminée, qui ne demandait qu’à être ravivé.

Samara l’observa un instant puis détourna le regard, afin de se laisser entraîner par la pluie tombante. Ce spectacle n’était pas aussi beau que la neige dévalant les cieux, mais Samara appréciait tout de même celui de la pluie chevauchant le ciel gris de nuages.

Quali ne vie la jeune fille qu’au dernier moment, elle ne faisait pas trop attention au gens qui l’entourait e se moment mais a l’arriver de celle si elle détacha son regard du feu pour le posé sur la jeune fille qui venait de rentrée dans la salle commune.

L’ombre d’un sourire passa sur ses petite lèvres rougies par le froid et elle parla d’une voie calme, et oui Ksénia était très calme, un effet du feu et de la tranquillité qui régnait dans cette salle. Ksénia n’avait pas vue sa sœur depuis quelque temps bien que sa ne lui manqua pas trop elle se demanda ce que celle ci faisait.

- Bonjours…

Murmura-elle, elle ne voulait pas que le silence déjà pesant qu’il y avait dans la salle commune s’accroît avec le silence entre les deux jeune filles. Ksénia passa une main dans ses cheveux pour les remettre d’un côté de son visage, comme elle le faisait depuis quelque temps, une habitude qu’elle avait pris avec sa sœur ou plutôt en voyant les personne de son entourage de recoiffer sans arrêt.

- Il fait toujours mauvais dehors ?…

Dit-elle doucement, elle était rentrée depuis un moment et elle ne savait pas le temps avait changer ou bien s’il était restait pluvieux et sombre. Elle n’avait pas décrocher son regard du feu depuis qu’elle était rentré dans la salle commune.

Quelle douce mélodie! Le silence! Et le bruit de la pluie qui tombe. Samara aurait pu rester sur le rebord de la fenêtre pour toujours. Mais malheureusement, elle avait des ‘obligations’. Elle ne pouvait donc pas se permettre de faire ce qu’elle désirait. Samara soupira malgré elle. En temps normal, elle n’aurait du soupirer qu’en elle-même. Si ses parents étaient là, Samara aurait déjà reçu une sanction. Mais le moment n’était pas de penser à cela. Ils n’étaient pas là, elle pouvait pour une fois s’en réjouir et se laisser un peux aller.

Samara allait fermer les yeux, et se laisser bercer par cette mélodie enchanteresse; quand la jeune serpentard présente parla. Tout dabord elle lui dit bonjour. Samara entendit à peine son bonjour, de la timidité pensa Samara. Samara la regarda, et hocha la tête, signe qu’elle la saluait également. Ensuite la jeune fille lui demanda s’il faisait toujours mauvais dehors. Samara regarda par la fenêtre comme pour vérifier si le temps n’avait pas changer en quelques minutes à peine, bien qu’elle connaissait déjà la réponse.

Samara tourna de nouveau sa tête vers la jeune fille et elle lui dit:

"Oui, il fait toujours mauvais. Bien que pour certaine personne ce temps peux être agréable."

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