Rumeur = Besoin de calme et de sérénité

Gauthier avait entendu plusieur rumeur, de trés moche rumeur qui l'affecté a un point jamais atteint. Il avait besoin de ce changé les esprits, de respirait de voir autre chose que la tête des serpentards ou des boufsouffle, il était pret a changé de maison! Corbac ce posa sur son épaule, il regarda son maitre et il avait l'air de resentir cette immence peine qui remplisait son coeur. Le jeune sorcier porta sa main sur le plumage de son oiseau, il le caressa et le posa sur son bras. Il regarda le ciel par une petite ouverture de la volière, le temps pour lui n'avait aucune importance et le froid mordant ne lui fesait rien ressentir. Le jeune homme se sentait vide, il avait mal au coeur. Gauthier regarda sa chouette et souria, il mal mais la vu de son oiseau le rassurait, il sorti une lettre de sa mère puis il la lu en souriant, il sentait qu'une personne pensait a lui, qu'il était pas un fantome mais dans son esprit l'ombre de Poulard revenait au galop, il commenca a pensé que tout le monde était contre lui, les éléves, les professeurs, et même le père noel(Albus)! Gauthier plia la lettre et la remit dans sa sombre cape, il prit Corbac et le posa sur la pierre froide, il avait tellement mal, même le regard de sa chouette lui fendait le coeur. Il avait envie de pleuré, d'hurlé a la mort ce qu'il ressentait au fond de son coeur mais aucun mot aucun son ne pouvait l'exprimé, il se sentait seul, abandonné...


"Dans l'absolue consception, Corbac, tu voi, l'etre humain selon moi, et une sous race de la nature, et en particulier les Serpentard, ce sont les venins de ce sol magie ou pas, aprés tout, les excréments qu'il vienne d'un sorcier ou d'un moldus reste des excréments, sa sent toujour mauvais non?"

Corbac bascula sa tête sur le coté ne comprennant pas un mot de son maitre, il poussa son petit crie habituel ce qui fit sourire le jeune sorcier. Gauthier essaya de gardé ce sourire mais ce sentiment d'abandon revena au galop, il était encore plongé dans ses ténébres obscure. Gauthier alla s'assoir prés de sa chouette, le dos au mur de pierre froide. Le craquement insupportable de ses os fit fuir plusieur hiboux, Gauthier regarda une chouette s'approcher de Corbac. Il serra les dents en reconnaissant le vollatile, il avait envi de tué l'animal aprochant son adoré. Le sorcier ne le fit pas son respect pour l'animal revena au galop, il repensa a toute ces personnes qui avait essayé de l'aider mais chaque personne qui avait éssayer avait fini par le poignardé! Gauthier sorti un petit mouchoir puis il essuya les suintement verdatre de son oeil mort, il repensa au parole du nain prof! Il bla blatait en disant qu'il l'aiderai, foutaise! Tout les prof étaient de mèche pour tué les élèves a cause de cette menace! Le jeune sorcier sorti le petit livre sur les créatures de sa mère, il chercha une créature fesant fuir les araignées les pétrifiants les gens d'un simple regard. Il tourna les pages avec précaution, regardant les différents dessin ou photo, Gauthier souria devant une petite créature ressenblant a si méprendre a un chat. Le jeune sorcier continua a regarder avec attention et douceur les pages, il réalisa encore une fois qu'il fesait parti de se monde mais pas celui des sorciers, ni des moldus. Il avait une certaine haine d'ailleur envers les bipedes qui ce proclamé en haut du monde.

"Tu voi Corbac, je croi que c'est ce monstre! Je te protegerais au péril de ma vie! Mais je doi trouvé un moyen de gardé ce monstre en vie aussi, chaque vie animal doit être préservé avec soin comme si le monde résidait dans ta main enfin dans ta patte dans ce cas mais d'abord je doit trouvé ce monstre mais ou? Et comment l'approcher? Je crois que je ne trouverai jamais la réponse! Ce qui me peine c'est la pétrification de la chatte de cette espece de clochard qui ce ballade la nuit! D'un coté plus je pense et plus je me dis que les centaures sont aussi mauvais que les humains, aprés tout, ils ressembleent au humains, les sabots en plus mais tu vois toi, tu a le privilège de faire parti d'un ensemble, tu voi les animaux comme toi, son les douces et véritables paroles de la terre, tu reste un messager, enfin je me comprend et arrete de regardé la bestiole de Miss Stone! Je sais qu'elle a l'air de t'apprécié mais te fait pas d'illusion, elle vien de la ville, elle n'a rien d'animal, rien qui te ressemble! ignore la!"

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Rawane venait de terminer sa lettre. Elle y avait passé,... une bonne heure. Il faut dire qu'elle s'arrêtait après chaque phrase, recommençait, barrait, chiffonnait puis jetait son chef d'oeuvre manqué dans la corbeille prévue à cet effet. L'encre s'épuisant petit à petit, il lui fallut retourner en chercher puis, en revenant, elle avait été obligée de constater, non sans peine, que son cher Chaussette s'en était donné à coeur joie sur son parchemin presque terminé. Abandonnant l'envie tentante de démolir le chat ou de la changer en,... heu,... à vrai dire, elle avait seulement appris à changer des brindilles en oiseau et des aiguille en allumettes et vice-versa. Elle abandonna donc cette idée, de toutes façons, il ne comprendrait pas, c'était sans doute un jeu pour la pauvre petite bête. Elle se rassit donc à sa table et joua à reconstituer cette espèce de puzzle. Elle recopia ensuite le tout au propre en espérant qu'aucun nouvel évènement ne viendrait la perturber. Pour une fois, son voeu fut exaucé et elle descendit jusque dans le hall d'entrée après avoir dévalé une bonne... heu centaine? Oui, disons une bonne centaine de marches. Elle reprit donc son souffle qu'elle avait du mal à trouver. Il faudrait qu'elle passe à la bibliothèque pour vérifier qu'il n'y a pas moyen d'évite ce supplice qu'était de monter ou descendre tout cela.

Elle se dirigea vers la volière, sa lettre à la main, prête à confier le message qu'il contenait à un hibou qui, elle l'espérait, serait consciencieux et ne perdrait pas sa lettre ou ne s'écraserait pas contre la fenêtre. En arrivant en haut des escaliers, elle entendit des bruissements de pages, elle allait entrer quand elle entendit une voix masculine s'élever de l'intérieur de la pièce.

-"Tu vois Corbac, je crois que c'est ce monstre! Je te protégerai au péril de ma vie! Mais je dois trouver un moyen de garder ce monstre en vie aussi, chaque vie animal doit être préservée avec soin comme si le monde résidait dans ta main enfin dans ta patte dans ce cas mais d'abord je dois trouver ce monstre mais où? ..., rien qui te ressemble! ignore la!"

Monstre, tenir en vie, préserver... Il n'en fallait pas plus à Rawane pour être affolée. Elle commença à trembler et voulut faire demi-tour lorsqu'un éclair noir lui passa au niveau des chevilles et l'envoya valser sur le sol froid de la volière.

-*Chaussette* pensa-t-elle exaspérée. *Ce chat est un malheur à pattes*
Bon, maintenant, plus question de faire demi-tour au risque que l'on pense qu'elle épiait... Qu'elle épiait qui d'ailleurs? Il ne lui fallut pas longtemps pour remarquer un jeune garçon aux cheveux noir et au visage doux, cependant, il résidait comme une force dans celui-ci et elle espérait qu'il n'allait pas se mettre en colère.

Elle se releva tant bien que mal et épousseta sa robe.

-"Heum, bon...bonjour" balbutia-t-elle plutôt gênée d'être vue dans cette position délicate.


La meilleur chose à faire était sans doute d'engager la conversation, quoiqu'en y réfléchissant bien, elle aurait aussi bien fait d'accrocher sa lettre à la patte d'un hibou et de repartir aussi vite. Oui, c'est ça qu'elle aurait du faire. Mais voyez vous, comme vous le savez sûrement, ou que vous ne tarderez pas à le constater, c'est juste après avoir dit quelque chose que l'on se rend compte de ce qu'il aurait été plus judicieux de dire, ou de taire en l'occurence. Le problème principal étant que l'on ne peut revenir en arrière. Cette fois-ci ne fit pas exception, malheureusement pour Rawane.

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