Déjà le retour! [Libre - Max. 4 personnes]

[Preums! Désolée pour le texte, il n’est pas terrible => fichue fatigue ! Mais demain je suis en vacs alors je me rattraperais ]

Ce matin, Suki fut réveillée par sa mère. Contrairement à d'habitude, elle ne mit pas très longtemps à lever sa fille, qui n'avait pourtant que très peu dormit de la nuit, trop impatiente de partir enfin à Poudlard. Et oui! La petite miss avait enfin onze ans, et surtout, on était enfin septembre!!!

Depuis ses sept ans et demi, ou "l'épisode fourchettes", Suki avait conscience du monde magique, et rêvait d'y partir chaque jour. Le monde moldu était intéressant bien sûr, mais elle y avait vécu depuis qu'elle était née. Découvrir les sorcières existaient et qu'en plus elle n'étaient pas méchantes!! Ca avait été une grande nouvelle pour la jeune fille qui n'avait pourtant jamais cru aux comptes de fées, aux malheurs de sa pauvre mère sorcière.

Mais depuis ce jour tout avait basculé; fini de renier toutes les histoires, la jeune fille à commencer à croire à tout... Sûrement un peu trop tout, ce qui la rend légèrement naïve, mais en général on la pardonne à cause de son âge. Maintenant qu'elle sait que sa mère ne lui mentait pas en lui disait que les fées...ou les trolls existaient, elle refuse de croire qu'on puisse lui mentir et par de la bonne volonté que tout le monde dit la vérité, ou presque. Après tout, la jeune fille débarque dans un nouveau monde où tout lui est inconnu; elle ne peut pas dire que quelque chose est faux sur un sujet qu'elle ne connaît pas!

Et nous voilà donc le jour de la rentrée. La veille, Suki n'avait pas fermé l'oeil avant très tard dans la nuit, trop excitée pour ça, tournant et retournant sous sa couette. Le lendemain, elle prendrait un train magique et caché du monde avant d'aller dans un immmennnce château rempli d'élèves qui faisait de la magie (sa mère lui a tout confié avant qu'elle essaye de s'endormir). Que rêver de mieux!? Mais il fallait que l'heure vienne. Ainsi elle avait attendu, attendu, attendu...avant de s'endormir. Sa mère, l'avait réveillée, et elle s'était levée, prête à partir à l'aventure! Elle avait enfilé ses affaires, avait déjeuné et brossé ses dents, avant de partir direction la gare, valise en main.

A l'arrivée, elle avait cherché la voie 9¾ en vain, avant que sa mère lui dise qu'il n'était pas caché pour rien...Et hop. Elles s'étaient arrêtées devant un mur avant de...foncer dedans. Suki eût un peu peur mais y est aller avec enthousiasme, avant de découvrir la magnifique gare. Le quai était plutôt vide, mais il était vrai qu'elles étaient énormément en avance, la mère devant aller travailler tôt. Après avoir aidé sa fille à ranger sa valise, elle l'avait fait faite monter dans le train après l'avoir serré très fort une dernière fois. Et elle était partie. Suki avança dans le train, à première vue vide, avant de choisir au hasard, l'une des portes.

Le sourire aux lèvres, elle l'ouvrit, avant de découvrir que le compartiment n'était pas vide; un garçon était déjà installé, ainsi qu'un chat très mignon dans un coin. Bien sûr, pour sa première fois dans le train elle aurait préféré être seule et qu'une autre personne arrive avant de lui parler (c'est comme ça que ça se passe normalement non?), mais après tout, étant très sociable, cela ne la dérangeait pas d'aller voir elle même une autre personne pour lui parler. De plus, elle n'allait pas faire demi tour, ce serait trop malpoli. Ainsi, toujours sourire aux lèvres, elle s'adressa au garçon, déjà un peu plus âgé qu'elle.

-Bonjour!

Elle ne s'inclina pas, se retenant, malgré le fait que ce fut petite habitude qu'elle avait prise à contre coeur de son père qui ne s'en était pas séparé, même en Angleterre.

-Est ce que je peux m'asseoir dans ce compartiment sil te plaît!?

Son ton était pour le moins amical, et, on pouvait le dire, jeune. Après tout, elle n'avait que onze ans. Mai attention, sa mère lui avait fait promettre de ne pas être trop "proche des gens", ou, en langage Suki, sauter sur eux par derrière, de sa petite taille, en hurlant "bonjour moi c'est Sukinette!". Elle attendit une réponse du garçon, qui ne semblait pas être méchant.

Après une légère examination, le jeune homme accepta la présence de la petite fille qui s'empressa de prononcer un rapide merci enjoué. Il se présenta, poliment, et elle put constater qu'il passait déjà en troisième année!! "Ouuaa un grand!". Essayant de contenir son ton trop joyeux joyeux qui en avait déjà effrayé certains (et oui, pour des gens, c'était pas normal d'être quasiment constamment heureux!), elle répondit au "et toi?" avec une phrase, qu'elle devinait être une phrase qu'elle allait souvent répéter;

-Enchantée!! Je m'appel Suki Lloyd et je suis...pas encore répartie n__n". En fait je viens d'arriver!...J'espère que je serais à Poufsouffle aussi; ma maman y était.

Les présentations finies, il s'était levé, (et était très grand!!), en lui présentant le petit wagon qui allait les accompagné enfin au "château magique". Il n'était pas très abîmé pour un wagon qui avait servit depuis des années!! Sûrement avaient ils du le rénover plusieurs fois.
"Si ça ne dérange pas, je les prendrai bien pour les places à côté des miens !". Quelle gentillesse! Suki accepta volontière, se voyant mal porter du bout de ses petits bras pas musclé sa grosse valise. Il lui prit, et elle, le remerciant a nouveau d'un "merci beaucoup!", alla s'asseoir sur l'une des banquette.

-Je suis vraiment impatiente d'arriver!! Mes parents m'ont déjà expliqué en gros ce que c'était...

Alors, la jeune fille qui s'attendait à dire "même si mon papa n'est pas vraiment un sorcier..." sentit un petit poids léger s'installer sur ses jambes; elle baissa la tête et reconnu le chat qu'elle avait repéré tout à l'heure, dans un coin du wagon. Elle s'exclama:

-Il est troooop mignoon ton chat!!!

Elle sourit de même, encore et toujours, au garçon avant de passer doucement sur le chat qui occupait la place de ses jambes. Gros ou maigre, jeune ou vieux, elle aimait absolument tous les chats!! C'est sûrement comme ça quand vos parents vous interdisent d'en avoir un, même après une semaine de faisage de tronche. Mais elle n'y pouvait; son père était allergique et ils étaient ainsi donc tous automatiquement bannis de la maison. Elle dit au garçon désormais identifié, Taylor, en haussant les épaules;

-Tu as de la chance quand même. Mon papa est allergique, et ma maman, ben... elle m'a dit que deux chatons à la maison ça ne le ferait pas... Mais je n'ai pas vraiment compris ce que ça signifie. On n’en a pas à la maison! Ah ça, je l'aurais vu sinon.

Peut être allait il se moquer d'elle mais il en était ainsi; sa mère trouvait que ça fille se comportait quelque peu comme un chaton, et aimait ça bien sûr, après tout elle était jeune, mais elle et un chaton à dans leur maison était vraiment comme qui dirait Inenvisageable!

-Poudlard, c’est certes une école avec des cours, des professeurs ennuyant, mais une école magique ! On fait toujours de quoi d’intéressant, apprendre des sortilèges, s’occuper des plantes ou des potions. Un si beau château avec pleins de couloir aussi pleins les uns que les autres de fantômes ou bien de cadres de sorcier qui bouge, ensuite, pleins de salle de classe avec la majorité vide ou avec des chaises et des bureaux. Des salles communes reposante et qui sont fait pour être nos ‘’maisons’’. Une grande salle chaleureuse et tout aussi magique. Ensuite, nous avons le parc comptant un lac et un terrain de Quidditch. Le lac regorge de créature magique mais rare son ceux qui les ont vu ! Ensuite, le terrain de Quidditch et ses tribunes toujours pleine ! Trop amusant Poudlard, tu en déduiras par toi-même !...

...A la description de Poudlard par Taylor, Suki s'imaginait immédiatement dans toutes ces scènes. Elle se voyait dans une serre, marchant des les couloirs, parlant aux fameux tableaux "vivants", se réchauffant au coin de la cheminée dans sa salle commune, ou même ce baladant dans le parc!! Un univers merveilleux l'attendait, et elle était vraiment loin de se douter à quel point il serait parfait. Sa mère avait préféré garder la surprise plutôt que de trop l'exciter avec tous ses détails croustillants, comme le ciel étoilé, ou même les escaliers magiques mais entêtés.

-Vraiment, je ne tiendrais jamaaais jusqu'a notre arrivée!!

Déjà, se retenir de sauter partout était un supplice pour la jeune. Imaginez donc sa surprise quand un bruit sonore résonna pour lui annoncer le départ du train!!! Elle voulut mettre le chat du Poufsouffle sur la banquette mais celui ci accrocha ses griffes à son t-shirt; elle se leva donc en le prenant dans ses bras pour éviter d'abîmer son t-shirt qu'elle avait soigneusement choisit pour le jour J. Se pressant, elle s'approcha de la fenêtre, pensant intérieurement, un énorme sourire aux lèvres "On démaaarrre!!"

Elle se retourna pourtant de force pour répondre à Taylor sans passer pour une malpolie en restant collée à la fenêtre. Il ne semblait pas non plus comprendre la phrase de la mère de la gamine...pas plus qu'elle en tout cas. Comment les deux élèves auraient put se douter que c'était une sorte de métaphore en même temps? Le premier chaton, c'était elle d'une certaine manière. Bien que Suki s'était entêté à demander à sa mère si elle cachait vraiment un chaton dans la maison, celle ci avait sans cesse ris en disant qu'elle comprendrait peut être un jour. Quel monde cruel!

- Dommage que ton père sois allergique mais je ne comprends pas trop ta mère, deux chat à la maison ça serai de trop, mais si ton père est allergique ???

-Je n'en sais rien! Pas la peine de me demander Ma maman est un vrai mystère!

Se décidant finalement à se rasseoir, bien que assez près de la fenêtre, Suki dit, en passant une main doucement sur Willy;

-Sinon, tu connais beaucoup de monde ici? Je veux dire à Poudlard hein. Tes parents y sont aller? Tu as des frères et soeurs? Ils ont des pouvoirs eux aussi?

Et voilà que le flot de question arrivait. Suki bouffait vraiment la cervelle de tout le monde à être aussi curieuse; mais on ne pouvait pas lui en vouloir, c'était une joyeuse née. Elle espérait tout de même ne pas effrayant son tout premier contact!

C’est vrai que parfois, les parents sont de vrai mystère.
Le fait que Taylor partage sont avis prouvait déjà que c'était plus ou moins un enfant comme les autres. En même temps, quel enfant sain d'esprit était capable de trouver que ses parents étaient entièrement normaux? Ils étaient différents et leurs gamins le savaient bien. La mère de Suki, de plus sorcière, l'avait toujours interrogée, mais la petite miss, bien élevée n'avait jamais posé de question. Sûrement que quand on est pas au courant de sa destinée, on préfère être rationnel.
Au flot de questions de la Lloyd, notamment sur la famille et les connaissance, le garçon avait été franc;

-Moi, j’ai deux petites sœurs monstrueuses adorables qui viennent ici. Elles sont en deuxième année mais par contre, elles ne sont pas jumelles. Je suis leur grand frère. Tandis que mes parents eux, sont également venus à Poudlard. Maintenant, je commence à connaître beaucoup de personnes qui sont de mon année. Sinon, je connais quelques personnes en deuxième année.

Ce qui faisait du monde! Enfin, pour un troisième année, c'était sûrement normal. Suki espérait tout de même atteindre ce niveau avant trois année, car elle était très friande des rencontres et nouvelles amitiés.

-Tu as beaucoup de chance. Moi je suis là vraiment, étrangère; Je ne connais personne et personne ne me connaît...Ce n'est pas vraiment un handicap pour moi bien sûr mais bon!

Elle sourit. Elle ne souhaitait pas se faire voir prétentieuse, car elle ne l'était pas, mais il ne fallait pas se mentir non plus. Elle se faisait facilement des amis, et elle en était consciente. Bien sûr, elle avait tout de même une réponse à sa question;

-En fait, la seule personne que je connais et qui est venu avant moi ici, c'est ma mère. Tu vois, je suis moitié moitié, car mon père est moldu. Ma mère est venue étudier ici, et elle espérait bien également que j'y rentre. J'estime que j'ai beaucoup de chance! Poudlard est à ce qu'on dit, une très bonne école.

Le train continuait de rouler et la discussion allait de bon train; deux inconnus face à une nouvelle rencontre donnaient toujours naissance à une pré-connaissance, qui était connue pour ses questions de bases (Nom âge, etc.). Celles ci étant passées, Taylor, la questionna alors sur sa connaissance de la magie. Suki, souriant maladroitement, toussa légèrement pour s'éclaircir la gorge, et, dit d'un ton qui semblait expert en la matière.

- Voyez vous Monsieur, (elle avait oublié son nom de famille sur le moment), je suis effectivement très expérimentée. Ah oui oui, surtout en l'art du "Abracadabra", une maîtrise aujourd'hui très peu répandue.

Elle leva les yeux au ciel, un grand sourire aux lèvres. Elle se dit qu'après tout elle l'avait pas à être gênée de dire la vérité.

-Tu as le droit de te moquer, mais tu vois, on dira simplement que ma mère n'était pas sure de mes pouvoirs et que, quand je les ai eut, malgré mes questions, je n'ai pas appris sept ans comme ça bien sûr. J'ai posé des questions existentielles, sur les créatures, les monstres et tout ça, mais rien vraiment dans ce qui est de vrais connaissances... Enfin, sûrement quelques unes, mais ma mère m'a dit, et elle a eût raison!, que j'étais jeune et qu'on m'apprendrais tout à l'école. Voilà.


[OooOOops Lol! Tu as mis tellement de temps à répondre (une semaine) que je n'ai plus surveillé le sujet! Heureusement que tu m'a Re-prévenue]

Enfin ! Enfin le jour où Wendy allait découvrir son école. Oui mais quelle école ! Des sorciers ! Depuis les spaghettis en Italie, Charles lui avait montré comment réussir ses tours de cartes, qui d’un coup devenait moins mystérieux, tout en restant magiques. Mais rien de plus "magique".

C’est d’ailleurs Charles uniquement qui l’avait accompagnée à la gare. Le couple Scotts avait rendez-vous chez un éditeur pour vendre leur nouveau livre de critique. Cela faisait bien les affaires de tout le monde.

Ainsi donc, la veille, Charles avait eu du mal à contenir le stress de la jeune demoiselle. Elle courrait sans arrêt de sa valise à son armoire, à son bureau à sa valise, et vis et versa. Etourdissant, le major d’homme avait dû garder un tube d’aspirine sur lui ainsi qu’une bouteille d’eau à portée de main pour ne pas avoir le mal de mer. Mais les heures passant, Wendy s’était fatiguée de s’agiter autant, et devenait plus malléable. Les valises furent ainsi plus vite faites. Charles savait très bien ce que sa petite dame aimerait dans sa valise. Même Tchoup n’avait pas fait d’histoire lorsqu’il a essayé pour la première fois sa cage de transport.

Et donc le matin tant attendu était arrivé. Dans la voiture, Wendy était calme. En fait, trop calme pour y croire. En fait, ça lui retournait l’estomac, cet inconnu. Et si elle arrivait en retard pour le train ? Et si elle se trompait de train ? Et si elle ne trouvait pas de place pour s’asseoir ? Et si personne ne voulait parler avec elle ?

« Allons, Mademoiselle, vous devriez vous détendre. Je suis sûr que tout se passera bien » avait dit le brave domestique, pour rassurer la fillette.

Arrivés en gare, Charles avait posé, avec efforts, la grosse valise de Wendy sur un chariot, ainsi que la cage du chat. Wendy était cramponnée à la bandoulière de son sac. Les articulations de ses doigts étaient blanches sous la pression. Et la démarche robotique était réellement marrante. C’est donc ainsi que Charles dirigea son chariot, le chat et sa maitresse vers l’allée entre le quai 9 et le quai 10.

« Je le savais ! Je le savais ! Je vais me tromper de train ! Je vais louper le train ! Tu vois ? 9 ¾ ? 9 ¾ ! c’est quoi encore ces histoires ? Ca n’existe pas ! Je le savais ! »
« Allons, calmez-vous mademoiselle. Asseyez-vous sur le chariot, je vais vous montrer que vous n’avez pas de quoi vous inquiéter. Allons, prenez place ! »

Wendy, les yeux mi-agressifs, mi-pleureur, fixa froidement son valet. Mais s’assit rapidement sur le wagonnet. Et le regretta tout de suite après lorsque le major d’homme pris son élan et fonça dans le pilier au milieu du quai. La fillette n’eut pas assez de temps pour crier sa peur, mais bien assez pour se cramponner et se casser un ongle en se cramponnant tant bien que mal à la cariole.
Et l’entrée du monde des sorciers lui apparut enfin. La bouchée toujours ouverte, toujours sans son, les fesses toujours posées sur le caddie, adossée à sa valise, Wendy ouvrit donc des grands yeux émerveillés.

« Ne vous avais-je pas dit, mademoiselle, que tout se passerait bien ? » sourit Charles."Vous devriez vous hâter de monter dans le train, ou il partira sans vous."

« Hum... D’accord, celle-ci alors ! » Désigna Wendy, après avoir scruté quelques compartiments. En vain, d’ailleurs, les vitres semblaient si noires qu’il n’était pas possible de réellement voir à l’intérieur. La jeune fille eut à peine le temps de sauter dans le train avec sa valise et son chat, que déjà le train partait. Il quitta le quai très vite, laissant à peine le temps aux deux individus de se faire un geste de la main. Charles souriait, comme d’habitude. Il articula « tou-se-pa-se-ra-bi-en ! » pour réconforter sa demoiselle.

*Je n’ai pas pu lui dire au revoir !* se lamenta la demoiselle en question.

Elle replaça donc correctement sa bandoulière, s’arma de sa cage et de sa valise, et avança dans le couloir du wagon. Elle stoppa net devant le premier compartiment libre, et posa la cage de Tchoup à terre. Wendy sorti un mouchoir de sa poche, et essuya la poignée. Elle l’actionna ensuite, et reprenant dans le même élan la cage de transport, elle glissa la tête par l’ouverture, et osa un timide :

« Bonjour ! Excusez-moi, je suis désolée de vous déranger, mais ... Est-ce que je peux m’asseoir et faire le trajet avec vous ? »

Elle n’aurait pas la peau aussi brune de par ses origines, son rougissement aurait été plus que visible, voir lumineux. Elle tourna son regard d’abord vers la fille, qui semblait avoir son âge, puis vers le garçon, qui lui, semblait un peu plus vieux, en attendant une réponse. Positive ou négative d’ailleurs.

[petite incrustation hoho !]