Livres à terre [PV: Susan Bones]

Elizabeth aller avoir son premier cours d'histoire de la magie d'ici peu. L'histoire de la magie était une matière que Elizabeth connaissait très mal et dont on ne lui avait pas trop parlé. Certains disait que c'était très interressant, d'autres disaient que c'était ennuyeux. Elizabeth se faire une opinion par elle même car rien ne vallait la première impression et elle évitait au maximum les préjugés qui ne laissaient aucune chance au gens. Un préjugé était extremement négatif car les personnes qui en était les confidentes croyaient pouvoir se faire une opinion mais il n'en était rien. Elles avaient toujours le préjugés en tête et ça influençait passablement l'opinion qu'on s'en faisait. Tout ça pour dire qu'Eli trouverait le professeur ou gentil ou méchant, sa matière passionnante ou ennuyeuse à mourir, mais elle le trouverait seule. Elle alla donc vers la salle où se déroulait le cours d'histoire de la magie avec un sac plein de livres qu'elle avait dénichée à la bibliothèque de Poudlard. Plein de livres sur le Quidditch et sur les secrets de Poudlard. Livres qu'elle adorait. Ses livres parlaient de ce qu'elle aimait le plus dans la vie, à savoir cette école gigantesque réellement magique, et le sport le plus passionant du monde des sorciers, le Quidditch. Elle comptait bien intégrer l'équipe de Quidditch de Poufsouffle car elle adorait vraiment ce sport et serait fière de représenter sa maison...

Elle pensait aux épreuves de sélections dans l'équipe quand tout à coup elle entendit un grand crac et se sentit immédiatement plus légère. Elle ne compris d'abord pas pourquoi, mais c'est en se retournant qu'elle se rendit compte que son sac avait, on ne sait par quel miracle, cédé et éparpillé tout ses livres aux sols. Il faut dire que le sac qu'avait Elizabeth était extremement vieux, il avait appartenus à sa mère jadis. Sa mère l'adorait beaucoup, tout comme Elizabeth, et elle lui en avait fait cadeau quand Elizabeth était encore petite. Elle l'utilisait pour jouer et le sac était désormais vieux comme Erode. Mais cette année là, ses parents avait préféré lui acheter un Nimbus 2000. Elle ne s'en était pour l'instant pas plainte mais maintenant elle commençait à regretter un peu. Bien qu'un balai aussi génial que le Nimbus 2000 était très utile, un sac pour ranger ses livres l'était d'autant plus. C'est là qu'elle regretta de ne pas être passée dans la salle commune des Poufsouffle au lieu de lire le premier chapitre d'un livre sur les secrets de Poudlard qui parlait du transplanage. Elle regarda autour d'elle pour voir si une âme charitable aller bien l'aider mais ne vit que deux Serpentards qui ricannèrent en la voyant. Elle rale toute seule et encore plus en voyant ces deux Serpys qui étaient bêtes comme leurs pieds. Elle se baissa donc, livrée à elle même, obigée de ramasser 10 livres à elle seule et à les porter à bout de bras jusqu'au cours d'histoire de la magie car elle n 'avait pas le temps de retouner dans les sous-sols pour déposer tout ces livres...

[511 mots]
Comptabilisé

Comme à chaque rentrée, Susan avait un peu de mal à reprendre le rythme scolaire : surexcitée la veille au soir après avoir retrouvé tous ses amis, elle avait eu bien du mal à s’endormir aussi le réveil avait-il été brutal (d’autant plus qu’une fille de son dortoir avait investi dans un nouveau réveil matin plutôt agressif question sonnerie. Susan n’était pas certaine que l’appareil passerait l’année sans finir écrabouillé contre un mur.).
Pour ne rien gâcher, elle sortait tout juste d’un cours de potion or, revoir Rogue après deux longs mois de vacances faisait très mal aux yeux.

Regrettant presque déjà le calme des longues journées d’été, Susan, son sac sur l’épaule gauche et son gilet d’uniforme rejeté sur l’épaule droite – il faisait encore très doux, en ce début du mois de septembre – se dirigeait vers sa salle commune pour y déposer ses affaires de potion et récupérer celles de métamorphose.

Alors qu’elle tournait pour prendre un couloir sur sa gauche, elle croisa deux Serpentard hilares. Susan grimaça, fronça les sourcils et se colla contre le mur pour les laisser passer (ils étaient plutôt costauds et elle n’avait pas très envie de se prendre un coup de coude tout à fait par hasard, bien entendu). Un Serpentard qui pouffait n’était jamais de très bon augure aussi la jeune fille les gratifia-t-elle d’un coup d’œil suspicieux lorsqu’il la frôlèrent, coup d’œil que, fort heureusement, dans leur hilarité, les deux compères ne remarquèrent pas.

Ne doutant plus qu’elle allait découvrir quelque malheureuse victime d’une blague à l’humour typiquement serpentardien, Susan accéléra le pas dans un élan de bonté poufsoufflienne : n’était-il pas du devoir du Poufsouffle d’aider son prochain sans broncher ?
Elle ne fut pas longue à tomber sur Elizabeth. Susan ne la connaissait pas, et pour cause, la fillette avait été répartie la veille et la Poufsouffle n’avait pas eu le temps de retenir tous les noms des premières années. Un manquement grave à son devoir préfectoral que cette négligence. Sûrement Alexander avait, lui, passé toute la nuit à mémoriser le trombinoscope des nouveaux venus.

Se précipitant en direction de sa cadette en détresse, bien chargée par le poids de tous ses livres, elle s’exclama, arrivée à sa hauteur, et oubliant momentanément sa timidité face aux malheurs d’Elizabeth :

- Holàlà ! Tu vas bien ? Tu veux que je t’aide à porter ? Pourquoi tu ne mets pas tout ça dans ton sac ?

Une dernière suggestion dont elle compris la sottise quand son regard tomba sur le sac. Ah. Oui, d’accord. Le cerveau perverti par les guerres entre maison de Susan fit aussitôt le rapprochement entre ce sac déchiré et les deux Serpentard. Avec une moue mécontente, la jeune fille poussa un profond soupir de désespoir : deux mois de vacances n’avaient donc rien changé les petits encéphales étriqués des Serpents ?
Elle gratifia la première année d’un sourire navré, comme si elle se sentait personnellement responsable de l’accident, avant de se présenter :

- Susan Bones, quatrième année, enchantée.

Puis, ses yeux revinrent se porter sur le sac déchiré et, pensive, Susan pencha légèrement la tête sur le côté, se tapotant le nez de l’index droit («poc, poc»), comme si ce geste allait l’aider à trouver une solution au problème.

(544 mots)
Comptabilisé

Elizabeth désemparée à l'idée de porter tout ses livres du haut de ses petits bras de première année, s'en voulu d'être allé à la bibliothèque entre midi et deux. Elle aurait au moins pu attendre le soir pour aller voir la tête de Mme Pince, une femme très charmante. La nature d'Elizabeth l'obligeait à lire des livres constamment qu'elle trouvait génial sur le moment et dont elle était fan après l'avoir lut. Elle avait aussi une autre manie qui consistait à faire tout ce qu'elle voulait tout de suite et pas le lendemain. Tout ça pour en arriver à ce jour misérable où elle aurait du sécher le cours d'histoire de la magie. Bien qu'elle soit de nature studieuse, elle avait penssé ça sur le coup de la colère et n'aurait loupé un cours pour rien au monde.

Heureusement, une jeune fille très charmante arriva à son secours pour lui proposer son aide. Elizabeth devait avoir pitoyable par terre avec son sac déchiré et ses livres éparpillés dans tout le couloir. La jeune fille était particuièrement gentille et Elizabeth savait que c'était une fille sur qui on pouvait compter. Elle lui demanda si elle voulait de l'aide pour porter ses livres et pourquoi elle ne le mettait pas dans son sac. Elle n'avait pas du voir le sac déchiré et Elizabeth ne lui en voulait pas du tout. Elle lui répondit sur un ton très gentil:

- Mon sac viens de lacher et ses deux idiots me Serpys n'ont pas hésités à se moquer de moi comme si j'en avait besoin. Oui je veus bien que tu m'aides à les porter mais je n'ai pas le temps d'aller dans la salle commune des Poufsouffles car j'ai un cours d'histoire de la magie dans quelques instants. Ce ne te dérange pas de m'aider?

Elizabeth s'en voulait de lui demander de l'aide car cela pouvait la mettre en retard pour son cours. En plus elle ne savait même pas où était exactement la salle et elle espérait que celle-ci pourrait la lui indiquer. Elle resta à attendre sa réponse et en continuant à ramasser tout ses bouquins éparpillés un peu partout.
La jeune fille lui dit ensuite qu'elle s'apellait Susan Bones et qu'elle était en 4ème année. Elizabeth soupçonnait la jeune fille d'être préféte de Poufsouffle mais elle n'en était pas sure. Elle savait juste qu'elle était de Poufsouffle parce qu'elle l'avait croisé une fois mais n'en savait guerre plus. Elle préfera lui demanda tout en se présentant à son tour.

- Je suis Elizabeth Harris, Poufsouffle et je suis en première année. Je suis moi aussi très enchantée de te connaitre! Tu n'es pas préfete de Poufsouffle?

Elle lui avait demandé ça d'un air interrogatif et avait cessé de ramasser ses livres pour l'écouter. Si c'était le cas, elle aurait eu affaire avec deux de ses préfets en même pas deux jours. En tout cas les deux était très gentil et Elizabeth ne regrettait surement pas d'être arrivée à Poufsouffle. Elle la regarda pour savoir si elle était réellement préfete.

[508 mots]
Comptabilisé

Ahah ! Son flair infaillible ne l’avait donc pas trompée ! Les Serpentard se cachaient bien derrière cette blague idiote. Elizabeth ne semblait cependant pas en avoir bien conscience. En fait, elle avait même l’air de croire que les deux élèves s’étaient «seulement» contentés de ce moquer d’elle.
Qu’importe, c’était déjà beaucoup : la moindre des délicatesses, dans ce genre de situation, était de porter secours à la personne en difficulté, tout particulièrement lorsque cette personne était une élève de première année fraîchement débarquée à Poudlard.
Pour une maison qui se vantait de regrouper du sang noble et aristocrate, on ne pouvait pas dire que le comportement de ses membres était en adéquation avec la prétendue pureté de leur sang. Tout aristocrates qu’ils puissent être, ils se comportaient comme les derniers des malotrus, quelle honte !
La Poufsouffle pinça les lèvres, outrée face à tant de mauvaise volonté avant de décréter d’un ton qui se voulait réconfortant :

- Ne t’en fais surtout pas pour eux, c’est bête et méchant, mieux vaut les ignorer.

Dans son jeune temps, alors qu’elle n’était elle-même qu’une innocente première année aussi naïve que le têtard qui vient d’éclore, Susan avait sincèrement pensé que les Serpentard étaient à plaindre, qu’ils avaient dû être bien malheureux pour être aussi mauvais et que de toute façon, tout le monde pouvait s’améliorer si on s’efforçait d’être gentil. Depuis, elle avait passé trois années pleines en compagnie desdits Serpentard et ses illusions s’étaient petit à petit fanées comme neige au soleil à tel point que, en ce mois de septembre de l’an de grâce 1994, elle était à peu près aussi désespérée quant à une possible amélioration de la conduite des verts que quiconque.

Ce n’était cependant pas une raison suffisante pour effrayer Elizabeth en la mettant d’emblée en garde contre leurs chers camarades. Préférant donc s’arrêter là sur la question voire même éluder les éventuelles questions que la fillette pourrait lui poser à l’avenir, elle gratifia d’un sourire candide Elizabeth avant de s’empresser de répondre, pleine de bonne volonté :

- Oh non, bien au contraire, attends !

Et, s’agenouillant à son tour, Susan entreprit de ramasser les ouvrages encore à terre avant pour les garder entre ses bras une fois relevée.
A nouveau – était-ce une manie chez Poufsouffle ? – elle sourit gentiment à sa camarade avant d’hausser subitement les sourcils, les yeux pétillants et la mine enchantée :

- Mais j’y pense, je peux toujours essayer de lancer un sort sur ton sac pour le réparer !

Le «reparo» était un des sorts de base que les élèves maîtrisaient ~~hormis Crabbe et Goyle~~ dès la première année. Autrement dit, il faisait partie de ceux que Susan réussissait parfaitement.

- Enfin, si tu en as envie, rajouta-t-elle, précipitamment, craignant qu’Elizabeth ne prenne son zèle pour une tentative honteuse de lui montrer à quel point elle était forte en magie.

L’orgueil ne faisait définitivement pas partie du caractère de Susan qui piqua du nez en direction de ses souliers neufs (et fort jolis au demeurant) afin de cacher la rougeur qui lui montait aux joues.

- Euhsijesuispréféte, baragouina-t-elle finalement d'une voix inaudible.

(527 mots)
Comptabilisé

Susan lui dit que les Serpentards était bête et méchants et qu'ils vallait mieux les éviter. Chose qu'Elizabeth comptait bien faire car ils étaient plus que pitoyables. On lui avait toujours dit que Serpentard regrettait tout les nobles, alors si ça c'était de la noblesse, Elizabeth pouvait devenir professeur d'Histoire de la magie. Elle se demandait comment les Serpentards pouvait être homogènement aussi bêtes. Elle n'en connaissait pas un pour l'instant qui releve le niveau et espérait un jour rencontrer un élu. Pour l'instant elle en était encore dans le couloir avec tout ses livres à terre et Susan Bones, une élève très gentille qui l'aidait à les ramasser. Elizabeth lui demanda si ça ne la dérangait pas de l'aider à porter ses livres jusqu'au cours d'Histoire de la magie et celle-ci lui répondit par un grand sourire et un "Oh non, bien au contraire!".
Elizabeth lui répondit gentiment pour la remercier de sa délicate attention.

- Merci, c'est très gentil à toi! J'ai un cours et je ne sais même pas où est la salle.

Elizabeth réussi à prendre 6 de ses livres et laissa les 4 autres à la jeune fille de sa maison car elle ne pouvait pas tout porter sur ses petits bras. Ensuite Susan proposa à ELizabeth de lui jeter un sort pour réparer son sac. Si ça pouvait marcher Elizabeth en serait ravie! Elle conaissait ce sort car elle avait déjà vu sa mère l'utiliser pour réparer un plat un jour mais elle n'avait jamais évidemment utilisé ce sortilège étant donné qu'elle avait sa baguette depuis peu... Elle était enchantée d'enfin voir quelqu'un utiliser la magie. Elle lui répondit donc avec un grand sourire:

- Avec plaisir! Si ça peut le réparer c'est avec joie!

Elizabeth était vraiment soulagée car elle ne savait pas comment faire pour ses cours si elle n'avait plus de sac. Elle espérait vraiment que Susan y arriverait et elle espérait aussi que Elizabeth y arrive un jour. Pendant qu'elle pensait à ça, elle fut choquée de voir un fantôme. Non pas qu'un fantôme puisse l'effrayer mais celui là avait la tête à moitié coupée et des fois elle tombait sur une de ses épaules et c'était assez dégoutant à voir. Elle préféra regarder Susan qui réparait son sac.
Susan lui avoua ensuite qu'elle était préféte mais d'une voie à peine inaudible. Elle se demandait bien pourquoi, comme si c'était une honte d'être préfet... Elizabeth trouvait que c'était très bien d'être préfet parce qu'on avait la charge des élèves de sa maison et on pouvait leur enseigner ou leur rapeller ce qu'il ne savait pas. On avait un rôle qui pouvait que les autres maisons ne nous apprécie pas trop mais c'était quand même valorisant d'être les deux personnalités les plus connues de sa maison... Elizabeth ne se voyait pas par contre préféte car il y avait bien trop de responsabilité et elle ne se sentirait pas prete pour ce poste. Elle préférait mieux être membre de l'équipe de Quidditch de Poufsouffle car ça au moins, elle adorait... Elle demanda à la jeune préfete pourquoi elle disait ça d'une voie aussi petite...

- Pourquoi tu dis ça comme ça? Tu as honte d'être préfète ou quoi?

Elizabeth rigola à cette remarque car elle savait que Susan n'avait pas honte mais elle se demandait bien pourquoi elle l'avait dit d'une telle voie. Elizabeth écouta la préfete et attendit qu'elle lui donne sa réponse...

[570 mots]
Comptabilisé

Les livres toujours en main, Susan paraissait à nouveau pensive. Aussi mit-elle un peu de temps avant de réaliser qu’Elizabeth souhaitait que son sac soit réparé. Sortant de sa torpeur – qui n’avait rien à voir avec un manque d’intérêt pour sa cadette, bien au contraire ! – Susan lui sourit doucement avant de répondre d’une voix flûtée :

- Oh oui, bien entendu, attends…

Elle déposa soigneusement les livres qu’elle portait à terre, en une pile très organisée, et, après avoir farfouillé quelques secondes dans son sac entre les encriers et les parchemins, en retira sa baguette d’un geste triomphant : elle aurait eu l’air maligne, si elle l’avait oublié dans le cachot de potions !
Avec sérieux, elle pointa le fin morceau de bois sur le sac éventré et prononça avec force et conviction, un ton qui contrastait d’avec son habituelle douceur :

- Reparo !

Quelques secondes plus tard, le sac était comme neuf. Et c’est le «comme», qui est très important dans la phrase précédente, car Susan n’était pas certaine qu’à nouveau plein à craquer, il tiendrait le coup.
L’air perplexe, elle rangea sa baguette dans son sac avant de reprendre les livres d’Elizabeth, hésitant visiblement à les lui rendre.
Finalement, elle parut se décider et proposa avec une amabilité sincère (le Poufsouffle de base est toujours enchanté de rendre service !) :

- Ecoute, honnêtement, je ne suis pas convaincue que ton sac tienne le coup avec tous ces livres dedans… Il faudra que tu ailles le faire renforcer par un elfe de maison au plus vite. Par contre, je vais passer à la salle commune avant d’aller en cours, est-ce que tu veux que j’y dépose les livres dont tu n’as pas besoin ? Je peux te jurer que personne n’y touchera, dans la salle commune.

Elle adressa un coup d’œil anxieux à sa cadette, espérant que celle-ci ne douterait pas un seul instant de ses bonnes intentions, avant de reprendre :

- Sinon, si tu as besoin de tous tes livres, je peux te passer mon sac, qui lui est un costaud, et tu me prêtes le tien pour la journée… J’ai des cours plutôt pratiques que théoriques, aujourd’hui, donc je n’ai pas besoin de choses trop lourdes : ma baguette, un ou deux livres, plumes, encres et parchemins… Que du léger !

A nouveau, elle sourit largement à la fillette, prête à lui céder son sac si cette dernière acceptait son offre. D’ailleurs, son devoir préfectoral la poussait à proposer une fois de plus ses services à Elisabeth (d’ailleurs, même sans son badge de préfet, elle l’aurait fait, Susan était la caricature même de la bonne Poufsouffle !) :

- Tu veux que je te montre où est la salle d’histoire de la magie, au passage ? Nous n’en sommes pas très loin et ça ne me dérange pas du tout . D’ailleurs, rajouta-t-elle avec un grand sourire, je m’en voudrais si tu n’arrivais pas à l’heure. Imagine, Binns serait bien capable d’enlever des points à Poufsouffle !

Elle rosit subitement, songeant avec horreur que cette dernière affirmation pouvait laisser entendre à Elizabeth qu’elle ne s’occupait d’elle que pour éviter à sa maison de perdre des points, et s’empressa de corriger :

- Enfin, je veux dire, je le ferais aussi même sans cette histoire de points, c’est normal d’aider les nouveaux…

Finalement, elle apporta une réponse, très gênée, à la dernière question de la fillette :

- Oh euh… Je n’ai pas honte euh… C’est juste que euh… Certaines personnes pensent que je ne suis pas digne du poste et euh… D’autres se comportent bizarrement avec moi parce que je suis préfète…

(609 mots)
Comptabilisé

Le jeune préfete de Poufsouffle répara le sac d'Elizabeth de façon superbe et le sac paraissait comme neuf. Elizabeth espérait qu'il supporterait encore de tel poids mais elle se promis qu'à l'avenir elle ne prendrai plus autant de livres. A l'avenir surement... mais aujourd'hui... Elle n'avait toujours pas le temps de repasser dans sa salle commune et était donc obligée d'amener tout ça en cours d'histoire de la magie avec ses petits bras et aussi ceux de Susan si celle-ci voulait l'aider. Elle voyait bien que Susan la préfete modèle et encore plus l'élève de Poufsouffle modèle. Elle était vraiment un exemple pour tout les élèves de leur maison et aussi pour les élèves de Poudlard. En particulier pour une certaine maison apellée Serpentard. Susan Bones, la prefete lui proposa une chose interessante. Elle lui dit qu'elle devait retourner dans la salle commune des Poufsouffles et elle lui proposait de lui prendre tout ses livres. Elizabeth était tentée par son offre mais elle devait garder une grosse partie de ses livres. Elle était donc très touchée de l'offre de sa camarade mais ne pouvait pas accepter bien que c'était très gentil. Ensuite, Susan lui fit une autre offre qui cette fois convennait parfaitement à Elizabeth. Elle lui proposa de lui préter son sac qui était plus résistant en échange de celui d'Elizabeth qui lui convennait bien étant donné qu'elle n'avait casiment que des matières pratique ce jour là. Elle comptait bien évidemment le lui rendre le soir-même en échange du sien et le faire réparer par un elfe de maison...

- Si ça ne te dérange pas je veus bien qu'on échange nos sacs et je te le rendrait ce soir. J'ai besoin de tout mes livres en fait... Merci à toi c'est très gentil!

Elizabeth souria à la jeune préfete qui était vraiment parfaite sur tout les points. Elle était vraiment extremement gentille et ne voulait que le bien pour les autres. Elizabeth doutait de la revoir dans son futur métier. Quoi que qui sait... Si ça se trouve elle allait finir auror et pas Elizabeth, si elle était plus brillante qu'elle... Enfin... Elizabeth ne penssa pas à ça et repenssa à ce qu'avait dit la jeune fille. Elle lui avait conseillé de faire réparer son sac par un elfe de maison mais Elizabeth ne savait vraiment pas comment les joindre. Elle savait que Alexander, son préfet, y arrivait car il l'avait fait dans la grande salle pour réparer les bétises d'Allister. Ce qui d'ailleurs avait fait beaucoup rire Elizabeth. Eli demanda donc à Susan comment on faisait pour appeler un elfe de maison...

- Dit Susan... Comment on fait pour contacter un elfe de maison? Je n'en ai jamais fréquenté donc je ne sais vraiment pas...

Elizabeth écouta la réponse de Susan avant de réagir sur ce qu'elle venait de dire sur le fait d'être préfete. Elle disait à Ely que des personnes lui disait qu'elle n'était pas faite pour le poste de préfet. Franchement si Susan Bones n'était pas faites pour le poste de préfet, qui l'était? Elle était vraiment parfaite dans ce rôle et Eli ne connaissait vraiment personne d'aussi serviable et gentil que Susan. Elle se demandait bien qui avait pu dire ça et compris par avance que ce devait être des jaloux. Elle était vraiment deçue que Susan croye ce qu'on lui disait et Elizabeth comptait bien la remettre sur pied illico presto.

- Je ne connais pas l'imbécile qui a dit que tu n'étais pas faites pour le poste de préfete mais crois moi, tu es la fille la plus serviable et gentille que je conaisse. Tu mérites vraiment ce poste et je ne suis pas la seule à le dire...

Elizabeth regarda Susan dans l'espoir de l'avoir rassuré et attendit de voir si elle était toujours d'accord pour l'échange de sac. Elle avait vraiment été très gentille de proposer ça et Elizabeth comptait bien lui rendre ce service un jour ou l'autre. Peut être en étant prise dans l'équipe de Quidditch de Poufsouffle et de gagner le prochain match. Elizabeth savait que Susan serrait ravie. Elle pouvait aussi gagner des points dans un cours... En fait tout ce qui pouvait redorer l'insigne de Poufsouffle était bénéfique pour Susan. Comme quoi Susan était une excellent préfete car elle ne pensait qu'au bien de sa maison et au bien être ses élèves toute années confondues...

[730 mots]
Comptabilisé

Jamais il ne serait venu à l’esprit de Susan de blâmer sa cadette pour avoir amené autant de livres. Foi de Poufsouffle, le travail, c’était la santé, la pugnacité sans trêve, une raison de vivre ! Au contraire, Susan était enchantée de constater que la petite Elizabeth soit à ce point dans l’esprit de leur maison. Elle n’aurait probablement aucun mal à s’intégrer ! D’ailleurs, elle était tellement gentille que tout le monde n’allait pas tarder à l’adorer. En tout cas, elle avait trouvé en Susan une fidèle camarade et peut-être même une future amie, si l’avenir se révélait tout rose.
Visiblement soulagée qu’Elizabeth n’ait pas repoussé sa proposition avec dédain («Quoi ? Mon sac contre le tien ? Tu ~~déconnes~~ hallucines, Bones, je préfère encore m’exhiber avec un sac poubelle qu’avec ce truc !») , elle s’empressa d’ôter son sac de son épaule, et de s’agenouiller pour commencer à en sortir ses affaires : elle n’avait pas menti en assurant que ses cours de la journée nécessitaient peu de matériel, l’opération se révéla plutôt rapide.

Puis, une fois tout son bazar soigneusement étalé sur le carrelage du couloir, elle se redressa en tendit son sac à Elizabeth, avec une simplicité naïve et un sourire déconcertant d’angélisme :

- Je serai dans la salle commune toute la soirée, tu n’auras pas de mal à me trouver, assura-t-elle, et au pire, tu pourras toujours monter voir dans les dortoirs des quatrièmes années, d’ailleurs, poursuivit-elle, embrayant sur un sujet tout autre, tu n’es pas gâtée, pour une première journée de cours, tu n’as que des classes qui nécessitent des gros livres ? L’administration n’a pas dû faire très attention en concoctant les emplois du temps… Je veux dire, elle aurait pu penser à vos pauvres dos, tout de même !

A la limite, que les plus âgés aient des charges plus lourdes, pourquoi pas ? Ils étaient, normalement, plus costauds que les premières années («normalemen» car jusqu’à l’année passée, on confondait souvent Susan avec une élève de onze ans et, au cours de la matinée, elle avait encore eu droit à un «Oh ! Toi aussi tu suis les cours de secondes années ?» lancé par un Serdaigle enchanté d’avoir trouvé quelqu’un avec qui, pensait-il, il pourrait aller en cours de botanique. Certes, c’était un progrès, mais tout de même, elle avait quatorze ans, nom d’un chien !). Bref, laisser de malheureux pré-adolescents abîmer leurs petites colonnes vertébrales en les obligeant à trimballer tous ces bouquins manquait cruellement de raisonnement. Pourtant, Susan était persuadée que c’était MacGonagall et Dumbledore, qui préparaient les emplois du temps : avaient-ils été pris d’une fièvre sadique ?

Secouant la tête pour en chasser l’inquiétante image d’un Dumbledore et d’une MacGonagall ricanant en lançant des fléchettes sur les trombinoscopes (excepté ceux des Gryffondor, bien entendu !), Susan reporta son attention sur ce que lui demandait Elizabeth. Toute à sa volonté de bien faire, elle expliqua promptement :

- Oh ! Ce n’est pas très compliqué, il te suffit d’aller à la lingerie du sous-sol juste après le dîner, c’est l’heure à laquelle ils font récupérer le linge sale, normalement.

Restait à savoir si Elizabeth connaissait le chemin de la lingerie. Ce qui n’était pas gagné, étant donné qu’elle débarquait à Poudlard et que Susan avait mis, en première année, une bonne semaine avant de tomber dessus, et encore, uniquement parce qu’un grand de cinquième année l’y avait guidée.

Elle finit par sourire timidement à sa cadette, rosissant à nouveau, à la fois de gêne et de contentement, et murmura un :

- Merci, c’est très gentil à toi, vraiment…

qui dégoulinait de reconnaissance, tandis qu’elle se triturait machinalement les doigts, en bonne timide qu’elle était.

(618 mots)
Comptabilisé

Susan acquiessa la décision d'Elizabeth. Elle vida le peu d'affaires qu'elle avait sur elle pour les mettte sur le sol. Elle tendis ensuite son sac à Eli pour faire l'échange. Elizabeth pris donc son sac tout fraichement réparé et le tandis à la jeune préfete de Poufsouffle. Ensuite Elizabeth mis tout ses livres dans le sac de Susan et remercia encore une fois la préfete.

- Encore merci, c'est très gentil à toi!

Susan lui dit que pour un premier jours de cours, elle avait beaucoup de livres à porter. En effet, pour un premier jours de cours, Elizabeth avait pas mal de livres à prendre mais en plus de ceux là, elle avait des livres qu'elle avait pris à la bibliothèque pour bouquiner... Des livres qu'elle avait commencé à lire et quel trouvait vraiment magnifique. Certains parlaient de tout ce dont était constitué Poudlard mais la majorité parlait de Quidditch. Elle le dit à Susan:

- C'est vrai que pour un premier jour de cours je suis chargée! Mais j'ai aussi des livres pour lire sous ma lampe de chevet... J'aime bien lire des livres sur Poudlard et sur le Quidditch. Je trouve que les deux sont vraiment des choses à connaitre et en plus on ne s'en lasse jamais!

Si Elizabeth commençait à partir dans un débat sur le Quidditch, rien ne pourrait l'arreter. Elle préféra donc ne pas commencer bien qu'elle en meure d'envie... Susan lui parle ensuite de la direction de Poudlard, lui disant qu'ils auraient pu penser au pauvre petit dos des premières années. Cette remarque fit beaucoup rire Elizabeth et la jeune prefete enchaina ensuite sur la question de Elizabeth. Celle qui lui demandait comment pouvait on trouver un elfe de maison de Poudlard. Elle lui expliqua que ça se trouvait au sous-sol, mais Elizabeth décida de ne pas s'y rendre étant donné qu'elle se conaissait et connaissait aussi son sens de l'orientation. Elle penssa aussitôt à son autre préfet, Alexander Shinku et savait qu'il pouvait contacter les elfe de maisons très rapidement. Elle reporta donc ce petit problème dans le futur car elle avait pour l'instant d'autres choses en tête. Elle était en train de ranger ses livres dans le sac de Susan et quand elle eut fini elle se rapella qu'elle ne savait toujours pas dans quelle salle avait lieu le cours d'histoire de la magie avec l'ennuyeux professeur Binns. Elle décida donc de redemander à Susan.

- Tu es sure que ça ne te dérange pas de m'accompagner au cours d'histoire de la magie?

Elizabeth ne voulait surtout pas déranger sa préfete qui s'était montrée très aimable et décidemment extremement serviable et gentille. Dès qu'Elizabeth s'appretait à partir, sa curiosité la titillait et elle se décida à demander à Susan si elle était dans l'équipe des Poufsouffles ou si elle ne se contentait que d'être supportrice.

- Au fait Susan, est-ce que tu es dans l'équipe de Quidditch de Poufsouffle?

Elizabeth avait vraiment envie de savoir et elle comptait que Susan lui réponde tout en marchant dans le grand couloir de Poudlard qui menait au cours d'histoire de la magie qui, Elizabeth l'espérait, ferait gagner des points à Poufsouffle.

[526 mots]

Comptabilisé

Susan se retrouva donc avec le sac endommagé d’Elizabeth entre les mains. Elle y rangea méticuleusement et précautionneusement ses affaires, gardant cependant son livre de métamorphose à la main : mieux valait-il ne pas trop charger le sac.
Toujours avec une extrême prudence, elle le mit sur son épaule avant de le prendre par dessous de la main droite pour le tenir tout contre elle : ainsi, elle allégeait encore un peu la charge qui pesait sur le fond du sac et réduisait les risques de mauvaise surprise.

Tout en accomplissant son petit rangement stratégique, la Poufsouffle écoutait avec un intérêt non dissimulé et absolument pas feint ce que lui expliquait Elizabeth. Des propos qui la confortait dans son idée première et la réjouissait grandement : Elizabeth était, de toute évidence, l’idéal type de la Poufsouffle et comme elle n’avait, en outre, pas l’air farouche, elle n’hésiterait probablement pas à participer en cours… D’où des bénéfices considérables pour la maison en terme de points. Une excellente recrue que cette fillette, vraiment !

Susan s’efforça cependant de chasser cette pensée de son esprit, honteuse d’être à ce point intéressée : si elle continuait sur cette voie là, elle allait finir par ne voir dans les élèves de sa maison que des machines à gagner des points et par les juger uniquement sur leurs capacités à participer en cours… Ce qui n’avait rien de très humain et était bien peu glorieux.
Ignorant donc avec superbe cet aspect de la question, elle préféra se pencher sur un sujet autrement plus intéressant, à savoir le littérature sorcière :

- Oh, tu as lu l’Histoire de Poudlard alors ? Ou tu es peut-être en train de le lire ? Et sur le quidditch, tu as emprunté quels livres ? Personnellement, je trouve la bibliotheque exceptionnellement bien fournie mais très honnêtement, il est regrettable qu’on n’y trouve pas plus de romans moldus. Je veux dire, ce sont tout de même des monuments de la culture mondiale pour certain alors pourquoi nous en priver ? Et puis, c’est tout de même bien plus intéressant que de potasser des livres de théorie magique à longueur d’année.

Un peu essoufflée – le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle n’était pas coutumière d’un tel débit, au contraire, en temps normal, elle laissait échapper deux phrases avant de rester muette dix minutes – Susan se stoppa quelques secondes, le temps de jeter un bref coup d’œil à sa montre. Il allait être grand temps qu’elle accompagne Elizabeth à sa salle de cours si elle ne voulait pas la mettre cette dernière en retard !

- Non, non, s’empressa-t-elle de répondre avec un grand sourire, au contraire, c’est sur ma route… Par là… précisa-t-elle, en commençant à avancer pour bifurquer sur la gauche.

Elle se retourna pour vérifier qu’Elizabeth la suivait bien et, s’étant bien assurée que tel était le cas, répondit avec modestie :

- Euh oui, je suis batteuse dans l’équipe… Tu veux passer les sélections ? Il faudrait que tu en parles à Alexander, c’est lui le capitaine de l’équipe. Il est aussi attrapeur. En tout cas, je suis certaine qu’il serait ravi de voir débarquer une nouvelle recrue !

C’était une évidence : Poufsouffle manquait cruellement de joueurs titulaires et une poursuiveuse de plus ne serait pas du luxe. La pauvre Merryl avait dû s’accrocher dur, lors du dernier match, et Poufsouffle n’avait dû sa défaite qu’à une défaillance des poursuiveurs puisque Alexander avait attrapé le vif d’or de manière spectaculaire. En fait, en quatre ans, Susan ne l’avait vu manquer son but qu’une seule fois. Etait-ce contre Serdaigle ? Ou Serpentard peut-être ? Non, c’était Serdaigle. Ils avaient une très bonne équipe, les Serdaigle. Gryffondor aussi, d’ailleurs : Rowen était une poursuiveuse redoutable.

- Tiens, là, c’est le tableau du cochon qui s’en dédit, expliqua-t-elle, arrêtant le cours de ses pensées, il est assez marquant, pour retrouver le chemin, les tableaux sont vraiment utiles… Même si ils ont la bougeotte !

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