C'est ici que ça se passe.

Il était près de dix huit heures. Luna était lové dans le fauteuil de la salle commune des Serdaigles, le Chicaneur entre ses mains. Noël nous étions le 24 au soir, demain c'était Noël. Le feu crépitait dans la cheminée réchauffant les doigts gelée par une journée enneigée de la jeune fille de troisieme année. Depuis le commencement du Tournois des Trois sorcier Luna avait du chercher plusieurs fois ses affaires et à chaques fois cela se passait pendant qu'il y avait un grand evenement. Tout d'abord, elle n'avait pas pu assister au banquet des trois sorciers, ni à la première tache malgré l'aide qu'avait apporté Ginny Weasley pour aider Luna. Aujourd'hui, la jeune fille aux cheveux blond "sales" avait pu trouver ses affaires mais n'allait quand même pas pouvoir participé au bal de Noël. Cela ne lui importait peu mais elle aurait quand même voulu être invité. Ginny avait réussit par être invité par un garçon de quatrième année à Gryffondor qui perdait toujours son crapeaud. Comment se nommait il déjà? Ah oui Neville Londubat. Elle sortit son nez d'un article parlant des différentes maladies que l'on peut attraper près de la cheminée, pour jeter un coup d'oeil aux trois lettres posées sur la petite table devant elle. Il n'y avait pas beaucoup de monde dans la salle, seulement des élèves de la Première à la Troisieme année qui n'avait eux non plus pas été invité. Les autres par exemple les filles se maquillait dans la salle commune et se faisait belle dans l'espoir d'attirer un élève de Dumstrang et surtout Viktor Krum. Deux des trois lettres devant elle avait déjà été ouverte. Elles avaient été envoyé par son père qui avait répondu aux lettres de son Unique fille. L'une d'elle disait:

* Chère Luna,

Comment vas tu? J'espere que tu étudies bien et que tu t'es fait de nouveaux camarade. Ta tante Joséphine est encore un ange avec moi elle me gatte en ton absence c'est comme au bon vieux temps même si elle ne remplacera jamais ta mère. En tout cas je te souhaite une agréable année ma chérie. Pour ton Noël tu risques d'être heureuse toute la famille à pensé à toi.



Quand à la deuxieme qui était une réponse à la lettre qu'avait envoyé sa fille pour parler de la première épreuve.

* Chère Luna,

Tu diras tout d'abord merci à ton amie. Tu sais ce n'est pas grave si tu n'as pas pu y assister alors ne t'en fait pas je te pardonne. En tout cas on se reverra à l'été. Je pense que tu as envie d'assister aux autres épreuves.




Et enfin la dernière, Luna posa son Chicaneur près d'elle, prit l'enveloppe cachetée se trouvant sur la table, l'ouvrit, et examina tout d'abord l'écriture. Elle était très fine et penchée. Luna sortit la lettre de l'enveloppe et lu ce qu'il y avait marqué.

* Petite idiote,

Tu en as mis du temps à comprendre ce que je comptais faire. Plus je serais gentille avec ton père plus il sera heureux et il se décideras à me léguer le Chicaneur. Bien sur je ne garderais pas cette serpillere. Je m'en servirais pour le transformer en un magasine féminin et je compte bien vous mettre vous deux idiots que vous êtes à la paille et à la rue. En tout cas j'intercepte tout les hiboux que ton père recoit et même si tu veux lui dire quoique ce soit tu ne pourras pas.*

Luna se pinça les lèvres. Il fallait qu'elle fasse quelque chose. Qu'elle puisse au moins prévenir son père. Si elle envoyait une lettre sa tante Joséphine l'intercepterait toute suite. Il fallait alors qu'elle demande à quelqu'un de rencontrer son père. Il fallait trouver un élève que Luna connaissait mais qui. Elle se hissa hors de la salle commune en passant par la trappe recouvert du tableau. Il faisait déjà nuit. Luna courut à tout jambe jusqu'au rez de chaussée mais fut tout de suite intercepté par un groupe de Serpentard.

- Alors Loufoca on est pressé? Prenez lui son sac.

Deux gros Serpentards s'emparèrent de son sac et le jeta hors du chateau puis il partirent.
Luna pour montrer son mécontentement siffla des paroles incompréhensible entre ses dents puis se rua dehors pour chercher ce qui lui appartenait. La nuit était noir, il faisait froid, mais l'écharpe et les gants de la jeune Serdaigle était dans son sac. Elle chercha tout d'abord près de la lumière mais en vint et dut s'aventurer un peu plus loin.


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Alexander resta un moment interdit. Sa quoi ? Pintade ? C'était nouveau ça comme insulte ? Il regarda Lavande partir et la suivit avec son calme et son flegme habituel. Croisant Myrielle il lui dit :

- Tu sais que d'après Lavande tu es une pintade ?

La rousse sourit derrière son verre.

- Tu sais que tu sors avec une imbécile de gryffondor ?
- Tu ne m'aides pas beaucoup là...
- C'est normal qu'elle soit jalouse, tu m'as vu à côté d'elle ?
- Tu es vraiment... énervante... quand tu t'y met. J'aime Lavande.
- Je sais mais ce n'est pas pour ça que tu as bon goût. C'est une gamine. Même Stones était mieux fichu.
- Ecoute, ton avis sur Lavande... on en reparlera plus tard. Là je crois qu'il faut que j'arrange les choses.

Myrielle but une gorgée de champagne et leva son verre.

- A tes amours mon vieux !

Il jugea préférable de ne pas répondre et sortit, apercevant Lavande au loin il piqua un sprint et la rattrapa par le bras.

- Lavande !

Comme elle se débattait pour partir, il l'attrapa et la souleva, l'emmenant dans le recoin où ils avaient fini leur soirée l'an passé. Là où personne ne pouvait les voir. Il était plus fort qu'elle et avait une très bonne résistance aux coup. Elle était coincée et elle ne partirait pas avant qu'il ait fini de parler.

- Que tu piques une colère ok, que tu me plantes là par contre j'aime moins. Qu'est ce qui te gène ? Que ce soit une serpentard ou simplement que ce soit une fille ? Je sais que tu es jalouse, je m'en accomode généralement plutôt bien mais là c'est vraiment déplacé.

Alexander était quelqu'un de très calme par nature, flegmatique il prenait les choses comme elles venaient et au début il avait aussi pris la fuite de Lavande plutôt bien mais là il ressentait le besoin de s'énerver. Il n'y avait que Lavande pour le faire sortir de ses gonds, à croire que c'était un don chez elle. Peu de gens pouvaient s'en vanter...

- Tu sais qui est cette fille ? C'est Myrielle Symphonie, l'amie dont on m'a séparé quand j'étais enfant. Tu sais ce qu'elle représente pour moi ? Tu veux vraiment que je te le dise ? Elle représente tout les crimes de ma famille, tout le poid de ma culpabilité. Le seul souvenir heureux que j'ai avec elle c'est ce putain de tango qui fais que ma petite amie me plante comme un con au milieu du bal.

Il s'énervait. Il s'énervait vraiment. Il criait presque. La veine sur sa tempe ressortait tellement qu'on pourrait presque croire qu'elle allait exploser. Il espérait tellement qu'un jour Lavande arrêterais de ne voir les choses que de son point de vue. Tapant du poing sur le rebord du renfoncement où il avait piégé Lavande il changea d'expression, son énervement passager retombait mais laissait place à une immense tristesse.

- Si toi, si toi tu ne fais pas l'effort de comprendre, si toi tu ne peux pas me laisser au moins ça... alors tu as raison... je n'ai plus vraiment d’intérêt à t'approcher.

Comme soudainement fatigué, il laissa le passage libre à Lavande, se laissant glisser le long du mur. Tout allait de travers depuis le début des vacances... vraiment tout.

- Ce n'est qu'un tango...

murmura-t-il. Puis plus fort.

- Myrielle souffre à cause de moi, je tiens à elle pour ça. Toi je t'ai choisie... pour toi... mais si ça ne te suffit pas... Si tu attends de moi que j'abandonne ce que je suis pour toi, alors vas-t-en. Tu pourras crier haut et fort que je suis un salaud...

Il soupira, il se sentait sur le point de pleurer. Il aurait voulu attendre pour parler à Lavande, attendre qu'elle grandisse un peu, qu'elle s’aperçoive que tout le monde n'était pas heureux dans le monde, que lui en particulier était malheureux... mais finalement c'était maintenant qu'il avait besoin d'elle. Besoin qu'elle accepte l'existence de Myrielle, l'existence de cette histoire de famille lugubre... Il pouvait être le chevalier servant qu'elle désirait mais pour une danse, pour cette danse, il avait voulu faire revivre un moment qui avait été heureux. C'est vrai ils n'avaient plus 7 ans Myrielle et lui, la danse était sensuelle, mais Lavande avait donc aussi peu confiance en lui que ça ? Il était un si mauvais petit ami pour qu'elle doute lors de son seul écard, sur une danse, avec une fille déjà prise en plus. Il baissa la tête, il en avait marre. Il termina donc sa phrase, sans la regarder.

- Tu pourras crier haut et fort que je suis un salaud, je m'en fiche de ce que les autres pensent. J'ai ma conscience pour moi.

Il aimait danser le tango, il aimait danser cette danse avec Myrielle mais il aimait Lavande. Il trouvait ça tellement stupide, tellement égoïste aussi de la part de Lavande. Il avait envie qu'elle comprenne, qu'elle cherche même simplement à comprendre... Il ne lui en voulait pas de ne pas réussir à se mettre à sa place, il l'aimait justement parce qu'elle était différente, mais il attendait d'elle autre chose que des caprices à répétition. Il voulait son soutien. Surtout en ce moment, en ce moment que Myrielle était seule, qu'elle avait mal et qu'il se sentait si coupable... ne pouvait il donc rien faire sans que quelqu'un en souffre ?

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| Accompagner de Maelys <33 |

Le bal de Noël. C’était se soir que ça se passait. Il avait invité Maelys, une marchandise qu’il avait approuvée il y avait quelques temps. Il aurait bien voulu y aller avec Cordélia, la jeune fille des boutiques sur le Chemin de Traverse, mais il ne l’avait tout simplement pas croisée. Tant pis, il pourrait toujours aller la voir et l’inviter au Bal. En espérant que ce nase la laisse 30 secondes sans lui péter un coche de jalousie. Il est sûrement atteint de la maladie de la jalousie aiguë, ce n’est pas possible ! Enfin, il n’allait pas gâcher sa soirée pour un imbécile de première comme lui, il avait bien l’intention de s’amuser. Mais bon, s’il pouvait régler quelques petits problèmes en même temps, il ne serait pas contre…

Il avait longuement magasiné pour trouver sa tenue et il était très fier de ce qu’il avait choisi. Un pantalon noir, une chemise bleue avec la cravate assortis qui fessait ressortir le bleu glacier de son regard. Vraiment, il était très beau, comme toujours d’ailleurs. Il espérait seulement que la robe, qu’il espérait le plus décolleter possible, de Maelys s’agence bien avec le bleu de son costume. Mais bon, il avait confiance. Il sortit de la douche et resta devant le miroir à se regarder, serviette à la taille. Vraiment, quoi demander de mieux ! Il était juste assez musclé, beau comme un ange et son regard était plus que sublime. C’est sûrement pour sa que toute les filles tombent dans ses bras ! Bref, il enfila sa tenue, se vaporisa d’eau de cologne et sécha es cheveux à l’aide d’un sort rapide qui replaçait même ces magnifiques cheveux brun. Il se regarda une dernière fois, toujours aussi fière de son allure aussi … parfaite ! Il laissa ensuite la place à Simon, qui attendait toujours patiemment pour aller se préparer. De toute façon, préparer ou non, il seras toujours aussi nase et pas d’amis!

Bref, il se rendit dans la salle commune ou il avait donné rendez-vous à Mae’. Il espérait qu’elle n’allait pas tarder, il détestait attendre après les filles. Mais, pour s’encourager, il se disait qu’elle allait pointer le bout de son nez dans une tenue magnifique qui ne lui ferait pas trop honte. Il se souvenait de la fois ou une fille s’était pointée avec une tenue plus qu’affreuse. Il l’avait laisser avant même de l’avoir saluer, pas question de ce présenter, accompagner d’une horreur ! Il s’écrasa dans le divan et attendit patiemment que sa princesse arrive. Car oui, se soir, c’était Maelys sa princesse. Du moins, pour le début de la soirée…

Tenue de Sexai'Noah xD

Ridicule. Oui, Poudlard était ridicule ! Cela faisait maintenant plus d’un mois que Maelys était arrivée dans cette école minable et elle n’avait rien trouvé à faire. Cette école qui, pourtant, avait eut une certaine réputation pendant des siècles, semblait avoir particulièrement régressé. Maelys en avait entendu parler, et il y a de cela pas trop longtemps ! Mais elle avait été fortement déçue lorsqu’elle avait découvert ce qu'était réellement Poudlard ! Oui, il manquait d'abord cruellement d'activités sportives, ou tout bonnement d'activités, point. À son école - car elle y retournerait- elle suivait des cours de parascolaires de toute sortes : D'abord, cuisines magiques, qui était fort utile si l'on voulait bien manger. Ensuite, il y avait plein de sport comme la balgie, un sport bien sorcier, aussi bien que des équipes de soccer, un club d'escrime et de natation, bref, tout ce qu'on voulait, à proximité ! Les sang-de-bourbe était aussi bien accueillit que les sorcier de sang purs, et le costume était bien plus joli. Oui, décidément, Maelys n'avait qu'une seule hâte : retourner chez elle, et revoir sa vraie vie, celle ou était Mae la populaire, Mae la plus belle (quoi qu'elle l’était encore, et le serait certainement toujours, que voulez-vous ! ) Mae la charmante, Mae la bonne... et pour elle-même : Mae la sadique et hypocrite. Mae... La Wagner …

Pour couronner le tout , l’annonce désignant les trois, ou plutôt quatre, champions avait été faîte et avec le plus grand étonnement des élèves de Bauxbâtons, ce fut cette pimbêche de Delacour qui décrocha le rôle. Elle ? Championne ? Pfff …. N’importe quoi ! Même Floriot ferait une bien meilleure championne que elle ! Le seul point positif était que le sexy Noah l’avait invité au bal de Noël ! De ce fait, elle devait se faire beaucoup plus belle que d’habitude { bien qu’elle l’était dejà ^^ } ! Traversant d’un pas rapide le carrosse, la jeune allemande prit possession de la salle de bains . Évidemment, il n'y avait personne. Maelys s'en foutait un peu, de toute façon. Elle alla devant un miroir et enleva les épingles qui retenaient ses cheveux. Ceux-ci lui tombèrent alors, lui entourant parfaitement le visage d'une cascade de cheveux blonds. Tandis qu’elle continuait de se placer les cheveux d'un sens et de l'autre, tout en regardant son reflet pour voir l'effet que cela faisait la porte de la salle de bains s’ouvrit pour laisser place à cette horreur de fille qu’elle connaissait vaguement ! La jeune allemande se tourna vers sa jeune camarade, enfin, jeune, c'était relatif et lança de son habituel voix douce …

« Ma pauvre … Retourne te coucher ! Même ce bourru de garde-chasse – Agriiiid je crois – n’accepterait même pas de t’accompagner … »

Apparemment elle avait visé fort puisque quelques secondes, la jeune fille, visiblement outrée, quitta la salle de bains en sanglots ! Hum … de toute façon il n’y a que la vérité qui blesse ! Bref, bref, bref, revenons à notre chère Maelys qui maintenant enfilait soigneusement sa somptueuse robe bordeaux, que son père lui avait envoyé et qui selon l’écriteau sur la boîte provenait de Chine { Détail insignifiant au goût de l’allemande } ! Ceci étant fait, elle enfila une paire d’escarpin de la même couleur que sa robe et se contempla une dernière fois devant le miroir . Elle était sublime ! ... Baguette en main, elle exécuta rapidement un sortilège-capillaire suivi d’un sortilège d’odoritation { nouveau mot dans la langue française ^^ } pour asaissonner le tout ! Voilà, elle était enfin prête. Impérialement, elle sortit de la pièce pour rejoindre Noah, qui l’attendait déjà, dans la salle commune .

« Tu es déjà là, beau gosse ? … »

Beau gosse .. Oui, beau gosse ! C’était son beau gosse à elle ! Esquivant à nouveau un sourire, Maelys fixa d’un air mélancolique Noah qui s'était levé de son divan pour la rejoindre . Il était tout comme elle : magnifique . Doucement, elle passa ses mains autour de son cou et lui susurra …

« J’ai froid … »

Et ploc .. un baiser ! Oui, oui, elle venait de l’embrasser ! Pas étonnant de sa part, hein ? Le contact des deux lèvres persista pendant quelques minutes puis finit par se rompre .. Explosant comme début de soiréee !

Leurs gobelets de jus de citrouille en main, les deux premières années venaient de sortir du château.

La nuit était belle, maintenant que la bouche de Peter avait récupéré une température normale, il pouvait l'apprécier à ça juste valeur.
Il ignorait ce qui lui plaisait le plus... le ciel plein d'étoiles? La brise fraîche qui venait s'engouffrer dans sa tunique et lui caresser le visage? Où le bruit de leurs pas qui s'enfonçaient dans la neige en crissant.

Il repensa en riant à la proposition d'Alison de fonder un duo d'artiste.

-Oh ça c'est sur, on aurait un succès fou... lança-t-il songeur.

Il s'assit sur un banc de pierre et fit une petite place à sa cavalière.
Il leva les yeux et fixa les étoiles d'un aire rêveur... Tout ces petits points lumineux... C'était impressionnant, sublime voire merveilleux, mais ça l'était sans doute encore plus pour Alison, elle qui pouvait remarquer des tas de chose dans la voûte céleste qui échappaient au jeune lion.

Soudain, une ombre traversa le champ de vision des deux collégiens.
*un hibou sans doute...*pensa Peter en écoutant le bruissement d'aile s'éloigner vers la tour des gryffondors...
Il releva brusquement la tête
La tour des gryffondors???
*Oh non mes cadeaux!*
Il se releva brusquement, il fallait absolument qu'il aille les intercepter! Pour l'instant aucune bougie n'éclairait l'intérieur du dortoir, mais si jamais l'un de ses camarades gryffondor montait en premier... il n'avait pas le choix, il fallait qu'il monte.

Il se tourna vers Alison, qu'elle était belle dans cette robe, au milieu de toute cette neige et éclairée par la faible lueur des torches...

Il déglutit avec difficulté et se lança:
-Alison je... je suis sincèrement navré mais je dois partir... maintenant.

Il respira un grand coup et reprit:
-Tu n'y est absolument pour rien sois en sur, mais j'ai encore quelques détails à régler pour demain. Mais je tiens à ce que tu sache que... cette soirée est sans doute la plus belle que j'ai passé depuis que j'ai mis les pieds à poudlard, et tu y'est vraiment pour beaucoup alors... merci , tu était la plus chouette des cavalières, et je suis vraiment très fière que tu m'a accepté à tes cotés.
Je te reverrais sans doute demain, passe une bonne nuit!

Il déposa son verre de jus de citrouille dans une de ses petites mains et courut vers la porte principale en lui adressant de grands gestes, ce n'était pas le moment d'avoir mauvaise conscience, il était peut-être déjà trop tard!