Rends moi mon lit ! [Pv : Suzan ...]

C'était le Soir de la rentrée à Poudlard ainsi que de la répartition des nouveaux éléves qui venait d'arriver à l'école , la jeune Nora avait un peu le moral au plus bas. De plus vu qu'elle était d'une humeur de chien , il y avait comme un panneau qui disait : "Attention demoiselle méchante" , rien qua cette penser la jeune fille en rigola un peu. C'est vrai que si on pouvait voir l'humeur des personne comme ça , d'un simple petit coup d'oeil cela serait vraiment super chouette. En attendant elle voulait aller dormir mais déjà il fallait trouver son lit parceque de plus , il fallait partager son dortoir avec d'autres filles. Rien qua cette penser la jeune fille ne voulait pas tros partager l'endroit ou elle dormait mais elle n'avait pas le choix. Deux minute aprés elle vit ces valises qui était poser à côter d'un lit donc la jeune Nora déçida que celui-ci serait sont lit. Mais soudaint elle vit une autre jeune Serdaigle se mettre sur lit et y poser ces affaires.

"Et !! Tu sais que tu vient de rentrer dans une zone interdite , ici c'est mon lit , tu vois il y avait déjà mes affaires , alors respect un peu les autres , merci!
Et puis désoler de t'avoir parler comme ça , j'éspére que tu m'en voudra pas tros..."

La cérémonie de répartition était enfin passée, et Suzan se sentait tout bêtement euphorique. Elle était donc à Serdaigle. Elle n'avait plus à s'inquiéter de savoir si elle se retrouverait avec la bande de Serpentards, qui à vrai dire, ne lui paraissait pas particulièrement sympathiques. Le repas avait été délicieux, et elle se demandait sérieusement si tous les autres seraient similaires tout en se rendant en trainant des pieds jusqu'à la salle commune des Serdaigles, suivant le flot des premières années menés par leurs préfets. La fatigue commençait à se faire sentir et la nouvelle Serdaigle n'aspirait plus qu'à une chose : Dormir.

Heureusement que la préfète les menait, car Suzan était certaine qu'elle aurait été incapable de comprendre l'énigme (cf livre 7 de HP) qui leur était posé tellement sont esprit était embrumé. Sans même s'arrêter pour visiter les lieux, elle monta immédiatement dans les dortoirs qui avaient été désignés comme étant ceux des premières années. Sur place, elle remarqua que ses affaires étaient près d'un lit, et elle s'y serait volontier installée... s'il n'avait pas été juste face à la porte, chose que la jeune fille ne pouvait supporter. Elle avait toujours évité d'êter dans le champ de vue des gens dès qu'ils entraient dans la pièce, et elle évitait donc toujours soigneusement les portes.

Incommodée par cette place, elle décida donc de déplacer ses affaires et de se mettre sur un lit beaucoup plus décalé. Cependant, elle n'avait pas prit conscience qu'il était occupé, et alors qu'elle posait tranquillement ses affaires et s'assayait dessus, elle se fit reprendre par une autre Serdaigle de son âge. Elle la fixa un instant, tentant de remettre en place dans son esprit fatigué ce qu'elle venait de dire, puis, elle la fixa avec intensité, se souvenant que cette fille était l'une des trois enfants McGrinn. Elle avait repérer les deux soeurs de Ayron lors de la répartition et elle avait tout de suit enregistré que Nora était dans la même maison qu'elle.

- Je ne vois ton nom écrit nul part, je vois pas pourquoi je devrais te laisser cette place. Tes affaires, tu peux toujours les bouger.

Suzan s'était exprimée de sa voix cristalline sans animosité, sans colère, mais d'un ton suffisamment sec pour faire comprendre à sa camarade qu'elle n'était pas prête à céder la place qu'elle avait choisie. Elle se doutait bien que c'était quelque peu stupide, mais elle ne pouvait se résigner, refusant d'être face à cette maudite porte. Elle hésita légèrement à expliquer la raison de son incruste sur le lit de la jeune fille, mais elle se sentait légèrement ridicule et elle préféra faire passer ça pour un caprice.

- De toute façon, il n'y a pas que ce lit-ci dans ce dortoir. Pourquoi tu vas pas en prendre un autre hein ?

Elle se mordilla alors la lèvre timidement, se demandant si elle arriverait à conserver cette place et à emporter la lutte. Avec un peu de chance, elle serait aussi sympa que son frère et elle céderait, mais Suzan se doutait qu'il ne fallait pas trop compter là dessus.

Après avoir entendu ce que ça camarade avait à dire pour sa défense, Nora réalisa que c'était vrai qu'elle n'avait pas son nom d'écrit sur son lit mais en y réfléchissant mieux il fallait dire que l'autre fille non plus n'avait pas son nom d'écrit dessus. Du coup la demoiselle pensa à une idée qui conviendrait sûrement au deux jeunes filles, cette idée consiste à ce aucune des deux prenne le lit et plutôt qu'elle en prenne un autre juste côte à côte comme ça si l'une à un soucie ou n'arrive pas à dormir l'autre sera toujours à coter. Après ce n'était qu'une simple idée de sa par a elle, donc elle décida d’expliquer à sa jeune camarade :

" Dit , au lieu que l’on se dispute pour un simple lit ça te dirait plutôt dans prendre un autre qui seront cote à cote , comme ça si l’une fait un mauvais rêve un truc comme ça ou bien se sent mal (bah oui ça peut toujours arriver) il y aura toujours l’autre qui sera à coter. Mais après c’est toi qui voit. Et si tu veut on pourrai devenir amie au lieu de ce disputer ça serait sûrement plus chouette de faire les 400 coups à deux pendant tout nos années à Poudlard . "

Alors à ce moment la Nora ce demandait si elle n’aurait pas mieux fait de ce taire pour une fois , et oui car la jeune fille avait toujours l’habitude de dire en face des gens ce qu’elle même pensait , mais bon tant que l’autre personne ne l’avait pas mal pris ce qui restait à voir….
Mais après tout elle ce dit que quelque part cela ne serait pas mal d’avoir déjà une amie , car a part le faite qu’elle avait déjà son frère et sa sœur , cela n’empêchait pas d’avoir au moins une amie.

Suzan fixa Nora tout en écoutant ce qu'elle lui proposait. Idée plutôt bonne, sauf que Suzan refusait toute aide, de quelque personne qu'elle vienne. Cependant, l'idée n'était pas mauvaise, car grâce à ça, elle pourrait éviter d'être en face de la porte, et en plus, c'était une bonne idée de bien démarrer avec les gens de sa maison. La petite éprouvait en plus un réel plaisir à aider ceux qui comptaient pour elle, or les Serdaigles étaient désormais sa famille, elle se devait donc d'être là pour eux. Elle adressa donc un sourire à Nora avant de répondre joyeusement.

- C'est d'accord. Si t'as un soucis, tu pourras compter sur moi quoi qu'il arrive. Et puis je dois bien ça à ton frère ! Il doit être déçu de ne pas être dans la même maison que toi... Il va s'inquiéter...

En repensant à Ayron, Suzan frissonna à cause de la fameuse rencontre qu'ils avaient fait. Bellatrix Lestrange. Bien entendu, elle ne connaissait pas son nom, mais la femme lui avait tellement fait peur qu'elle avait très sérieusement cru ne jamais survivre à cette rencontre. Heureusement les deux enfants c'étaient débrouillés ils ne savaient pas comment, et étaient parvenus à s'échapper de la boutique, mais une chose était certaine, Suzan ne s'aventurerait plus dans les rues inconnues, sombres, et inquiétante, même si sa curiosité lui dit de le faire ! Elle tenait quand-même un peu à la vie malgré son instinct de survie quasi inexistant, et elle était bien déterminée à rester sur terre le plus longtemps possible.

- T'es pas triste toi d'avoir quitté ta famille ?

En réfléchissant, Suzan avait repensé à son propre frère, et sa mère, qui commençaient à lui manquer après seulement une journée de séparation, rien qu'à l'idée qu'elle ne les reverrait plus avant un sacré bout de temps. Elle n'avait jamais été séparée pendant plus qu'un week end, et elle se rendit compte qu'elle allait passer trois mois loin d'eux. Complètement anéantie par cette soudaine pensée, elle éclata en sanglots, sans se rendre compte que ce n'était ni l'endroit, ni le moment. Elle ne supportait pas qu'on la voit pleurer. Elle avait appris à toujours se montrer forte, même lorsque ça ne se passait pas bien chez elle, simplement pour être certaine qu'on ne la plaindrait pas, qu'on ne la ménagerait pas, quoi qu'il arrive.

Se sentant soudain rebutée, elle s'essuya les yeux, tentant de contrôler les pleurs et les hoquets qui accompagnaient toujours ses crises. Elle n'avait pas envie que Nora la prenne pour une chochote, une faible d'esprit, alors qu'elle pouvait parfaitement vivre sans son père. Si elle pouvait le faire pour lui, pourquoi pas pour les deux autres membres de la famille ? Elle n'en mourrait pas, et vu les évènements dans le monde magique, il était même certainement préférable qu'ils soient loin d'elle, car au moins ils seraient en sécurité tant qu'elle ne les impliquerait pas dans sa vie de "rejetée de la société".

- Excuse moi, je sais pas pourquoi je me suis mise à pleurer...

Suzan n'avait plus qu'à espérer que Nora comprendrait qu'elle n'avait pas envie d'expliquer la cause de ses pleurs.

[526 mots]

BILL

Nora était trés contente de pouvoir s'entendre enfin avec quelqu'un en plus cette personne fesait partit de sa maison et de la même année qu'elle , donc elle pouvait plus façilement ce comprendre et d'essayer de rapporter ensemble des points à Serdaigle. Mais passon , après la question que sa camarade lui demanda à propos de si elle était de triste d'avoir quitter sa famille , Nora ne savait que répondre car elle même savait quoi répondre toute suite mais avait comme quelque chose dans sa gorge , comme une boule qui l'empêchait de répondre. Alors elle mentit pour ne plus après y penser.

«Oh non ça va , ma famille ne me manque pas tros.... et toi ?»

La jeune Serdaigle savait très bien que de mentir n'était pas toujours la meilleurs des solution mais elle en avait marre de toujours se lamenter sur quelque chose et puis après tout elle verrait sont frère demain vu qu'elle devait se promener avec lui dans le parc. A cette penser heureuse la jeune fille eu comme un petit sourire du bout des lèvres qui montrait qu'elle avait retrouver un peu le moral.

«Ne t'inquiète pas tu peut pleurer devant moi , cela ne me dérange pas du tout , tu c'est tout le monde à le droit parfois , même moi parfois je pleure mais je ne sais pas pourquoi.....»

Nora avait dit ça comme si c'était un fait normal mais bon elle était un peu habituer à sortir des trucs de ce genre la , même si parfois elle préférait ce taire. Mais d'un seul coup elle pensa à une chose , c'est qu'elle ne savait toujours pas comment s'appellait ça nouvelle amie.

«Dit au faite je crois bien que j'ai oublier de te demander comment tu t'appellait ? excuse moi en ce moment j'ai beaucoup la tête dans les nuages.»

Soulagée de voir que sa crise de larme passagère n'avait pas gênée Nora, Suzan esquissa un léger sourire. Il était toujours pratique de bien s'entendre avec les gens de sa maison, et apparemment, Nora était une personne avec qui elle pourrait effectivement s'entendre. Elle retint un rire lorsque celle-ci lui demanda son prénom. Apparemment, elle n'avait pas pensé à retenir les noms de ceux qui avaient été répartis à Serdaigle. Souriante, elle décida de lui répondre donc, sans rechigner.

- Je m'appelle Suzan. Toi tu es bien Nora, la soeur de Ayron n'est-ce pas ? Je l'ai rencontré sur le chemin de traverse !

Enthousiaste, elle accompagnait ses propos de grands geste, et elle décida de s'occuper les mains. Tout en conservant son attention sur ce que répondrait Nora, elle commença à déplacer ses affaires pour les mettre sur le lit à côté, toujours à l'écart de la porte, et commença à fouiller dedans pour chercher son pyjama sans pour autant se taire. Elle était bien trop bavarde pour rester silencieuse plus de quelques secondes, et évidemment, elle se sentait plutôt en sécurité en ces lieux, elle avait donc la langue particulièrement déliée.

- Comment ça c'est passé pour toi la nouvelle ? Ma mère a bien accepté que je sois une sorcière, j'ai été contente, elle a accepté que je vienne ! Tes parents, ils ont été compréhensifs ?

Suzan avait délibérément omis de citer son père. Elle ne tenait pas à s'étendre sur lui. Moins elle en parlait, mieux elle se portait. Avec un peu de chance, Nora penserait qu'il est mort et elle éviterait toutes les questions qui pourraient gêner Suzan. Et si la chance lui souriait encore plus, il était également probable qu'elle fasse tourner la nouvelle, ce qui lui permettrait d'avoir la paix en permanence. Plutot contente, elle enleva sa robe de sorcière pour ne rester qu'en tenue de moldue, qui était beaucoup plus pratique à son goût.

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