[THEME] Erreur de parcours (TERMINE)

La rentrée, enfin ! Du moins, la vraie rentrée, celle avec la magie. Bien plus que l’année précédente, Tarek se sentait arriver à Poudlard comme un vrai sorcier. Bien entendu, la magie n’avait pas encore disparu quand il était pour la première fois arrivé dans l’école de sorcellerie pour être réparti à Gryffondor, mais ça n’avait hélas pas duré et dès le lendemain il était impossible de lancer le moindre sort. Evidemment, ça n’était pas lui qui l’avait découvert : en pauvre première année qu’il était, il ne connaissait alors pas beaucoup de sorts et la première chose qu’on avait dit aux jeunes sorciers de la famille Sene quand ils étaient arrivés en Angleterre c’est qu’ils n’avaient pas le droit de lancer de faire de la magie en dehors d’une école de sorcellerie avant leurs dix-sept ans. Bref, à part de piètres essais avec Samara Sheridan le jour où la magie était revenue, il n’avait jamais réellement lancé de sort et espérait qu’avec cette nouvelle année qui commençait, il pourrait en apprendre un peu plus. Marre que ses frères se moquent de lui-même si, en l’occurrence, ils ne pouvaient pas plus utiliser leur baguette puisque, bien que n’étant pas à Poudlard, ils restaient tout de même mineurs.

Une autre chose plaisait particulièrement à Tarek pour cette rentrée 2003 : le professeur McGonagall l’avait annoncé pendant le banquet, la coupe de Quidditch reprendrait, puisque l’interdiction de voler avait été levée par le ministère quelques jours après le retour de la magie, une fois que tout le monde avait été assuré qu’elle ne se remettrait pas à disparaître comme cela, ou en tout cas il fallait l’espérer. Une année sans magie, c’était déjà assez pour que la plupart des sorciers n’aient pas envie de retenter l’expérience. Si ça n’avait pas dérangé Tarek plus que ça, il préférait tout de même être sur que ce qu’il se tannait à apprendre était vraiment utile et ne resterait pas de la théorie jusqu’à la fin de ses jours. Il se demandait d’ailleurs – mais cette question ne le turlupinait pas bien longtemps et il passait généralement à autre chose avant d’avoir trouvé une réponse plausible – ce qu’il se serait passé si jamais la magie n’était pas revenue et qu’ils avaient été des moldus sans plus aucun pouvoir. Poudlard aurait-elle du fermer ? Bien que difficile à imaginer, ça n’en restait pas moins possible car quelle était l’utilité d’une école dont les savoirs ne pouvaient plus être mis en pratique ? Bref, je vais tenter de rester dans le sujet bien que ma propension à en dévier soit élevée : si la reprise du Quidditch excitait tant Tarek, c’est qu’il comptait bien entrer dans l’équipe de sa maison. A défaut de pouvoir jouer au football comme il en avait l’habitude avant d’entrer à Poudlard, cela le bougerait et à vrai dire, ça avait l’air vraiment bien vue la façon dont en parlaient la plupart des élèves qu’il avait pu interroger à ce sujet. Au Soudan, l’état de l’Etat, sorcier comme moldu, était tel qu’aucun sport n’était vraiment organisé et s’il avait souvent joué au foot, c’était comme tous les gamins qui traînaient dans les rues.

Donc voilà, le Quidditch reprenait, et le capitaine de Gryffondor avait annoncé les tests de recrutement pour le samedi matin. Tarek ne savait pas vraiment à quel poste il comptait évoluer, il choisirait sur place, sans doute en fonction des candidats : mieux valait s’opposer aux plus faibles – ou du moins ceux qui paraissaient l’être – pour avoir une chance d’être sélectionné. Le jeune homme s’était donc levé tôt pour participer à ces sélections afin de ne pas être en retard. Heureusement, d’ailleurs, parce que c’est après avoir enfilé son petit-déjeuner plus vite que jamais que le Soudanais se rendit compte que, nom de nom, il avait oublié ses chaussettes ! Et oui, c’est trivial mais néanmoins indispensable : Tarek ne pouvait jouer correctement sans ses chaussettes porte-bonheur, celles qu’il mettait avant pour les matches de foot particulièrement important, faisant une scène à sa pauvre mère si elles n’avaient pas été lavées à temps, bref vous comprendrez l’idée, je suppose. Sans ces chaussettes, impossible d’être sélectionné, il en était sûr. Ca et l’aide d’une petite prière, bien entendu, mais pour ce dernier élément, il s’en était déjà occupé la veille, avant de se coucher.

Tarek monta donc à toute vitesse les marches qui menaient à la tour de Gryffondor – un peu trop vite à vrai dire puisqu’à force de ne pas regarder, il s’étala de tout son long dans l’escalier alors qu’un grand crac retentissait. Non, rassurez-vous, je ne fais pas un remake de Ron Weasley, sa baguette était bel et bien intacte mais sa robe de sorcier beaucoup moins. C’est ainsi que le jeune homme se retrouvait presque cul-nul, ou du moins en slip dans le couloir de Poudlard où il valait mieux que Rusard ou le professeur McGonagall ne le trouvent pas, même si cette dernière n’avait pas tellement l’habitude de se promener dans les couloirs. D’ailleurs, ça ne serait sans doute pas mieux si c’était un Préfet.

Terrifié à l’idée qu’on le trouve, donc, Tarek entra dans la première salle qu’il trouva pour tomber nez-à-nez avec…une fille ! C’était pire que tout, à vrai dire ! Surtout que celle là, en plus d’être jolie, mais ce n’est pas le sujet, avait l’air sacrément plus vieille que lui. Bon, elle n’avait pas non plus l’âge d’être un professeur, mais elle était bien en cinquième année au moins et affichait le blason de Serdaigle. Toujours est-il que le Soudanais dut se retenir pour ne pas plonger de nouveau dans la jungle des couloirs de Poudlard ou, c’était certain, encore plus de personnes le verraient et il se contenta de se cachet l’entrejambe, même s’il n’était pas à proprement parler à poil, répétons-le au cas où.

- Euh désolé, dit-il en tremblotant et en rougissant s’il avait pu rougir, ce qui n’était pas le cas, je voulais pas te déranger, mais euh…

Tarek ne sut que dire de plus pour s’excuser et expliquer sa situation à la Serdaigle qui ne devait pas tout comprendre ce qu’il se passait. Oh la la, si jamais sa maman apprenait ça, elle viendrait le chercher par la peau des fesses.

[1043 mots]

C’était la rentrée! Génial non? En fait, pour la jeune femme c’était bien. Elle retournerait à Poudlard ou enfin, elle pouvait rattraper son retard en utilisation de sort. Car voyez-vous, l’année dernière, la plus importante aussi. Imaginez-vous passer vos BUSE sans avoir pratiqué le reste de l’année? C’était l’enfer! Pur et simple. La magie avait disparu l’année de ses buses et c’était subtilement revenu non loin de la période des examens. Malgré tout, la jeune Serdaigle c’était parfaitement débrouillé mais elle y avait travaillé fort pour y arrivé. Encore aujourd’hui, elle se demandait comment elle avait passé au travers des examens. Pour les premières années ce n’était pas si pire. Ils étaient bien souvent malhabile et l’année critique était encore bien loin pour eux. Bref, cette année là fut un véritable cauchemar pour la jeune femme. D’ailleurs, elle s’était donné comme résolution de travaillé encore plus fort pour rattrapé le temps. Anne était du genre a se mettre elle-même la pression. Se poids supplémentaire dans la quête des notes parfaite. Elle n’avait pas besoin de ses parents pour sa. Elle se débrouillait parfaitement seule. Comme une grande fille. Et le pire, c’est qu’elle n’était pas si loin de l’avoir. Alors comme sa résolution exigeait. Anne avait trouvé une classe vide pour y pratiqué des sortilèges de métamorphoses. C’était l’art de commencé l’année en beauté ou plutôt l’art de s’épuisé avant la fin de l’année. Elle était ainsi. Une enfant qui apprenait très facilement et qui travaillait dure pour avoir la note parfaite en oubliant parfois de vivre. Toujours utile des périodes libres. Elle en avait justement une après son cours d’histoire de la magie. Un cours ou elle est particulièrement maladroite.

Baguette à la main, au moment de se concentré un jeune élève entra dans la salle de classe en catastrophe. Bon, la jeune fille sursauta. C’était la dernière chose à laquelle, Anne avait pensé arriver en cette première journée de cours. Tout d’abord, elle remarqua la couleur de l’élève. N’allez surtout pas croire que la jeune femme était racisme surtout qu’elle avait les traits asiatiques de sa mère. Lorsqu’elle est avec son petit frère, Éli, tous diront (ou penseront) qu’elle fut adopté. En fait, c’était littéralement faux. Anne avait les mêmes parents, mais la génétique avait décidé autrement pour les deux enfants Wild. Bref, Anne n’était pas du genre racisme. Elle était loin de cette mentalité vieillotte qui sortait d’une époque révolue. Elle le remarqua la couleur pour la simple et bonne raison qu’il était différent. Différent comme elle. Ensuite, elle remarqua le malaise du garçon et du fait qu’il se cachait entre-jambe avec ses mains. Rapidement, elle devint aussi rouge que le rouge de la cravate du jeune garçon. Il s’excusa. Et pourquoi d’ailleurs? Parce qu’il était dans une situation aussi délicate et gênante pour un Gryffondor. Bon la viens les hypothèses pour expliqué la situation dans laquelle se trouvait le garçon

« Heee… non non tu ne dérange pas… tu n’as pas subis les mauvais tours des Serpentards? » demanda la jeune fille toujours assis. La rode de sorcier était déchiré et parmi la déchirure, Anne pouvait voir le slip du garçon. « Est-ce que je peu t’aidez» demanda la jeune fille toujours rouge de tombé devant une telle situation.

543 mots

Si seulement Tarek avait subi un mauvais tour d’un Serpentard ! Au moins il aurait pu faire le héros, dire qu’il avait combattu vaillamment mais qu’à cinq contre un, il n’avait rien pu faire pour résister, voire pire qu’ils étaient tous en septième année quand lui, pauvre deuxième année, ne pouvait rien faire ! Malheureusement, la vérité était loin, bien loin de cet état de grâce et Tarek avait tellement honte qu’il n’osait pas vraiment le raconter à la jeune femme devant lui qui, au moins, avait eu le bon goût de rougir un peu. D’un autre côté, au point où il en était, il pouvait tout aussi bien déballer sa mésaventure que ça ne changerait pas grand-chose. Le tout était de s’arranger pour que la Serdaigle ne dévoile pas ce qu’il était arrivé à tout le monde, parce que sinon ! Il n’oserait plus jamais sortir dans les couloirs et ferait mieux de retourner tout de suite à Londres avec ses parents, voire directement au Soudan. Là bas, personne n’en saurait rien, et à vrai dire tout le monde s’en ficherait comme de la dernière pluie. Le pire, c’est qu’il ne serait pas difficile à identifier, à Poudlard, même s’il ne disait pas son nom à l’inconnue ! Il n’y avait pas trente-cinq-mille Soudanais à Poudlard, et surtout pas à Gryffondor.

- Euh non, commença-t-il pas très fort, avant de terminer carrément dans un murmure je suis tombé dans les escaliers.. S’il avait su que c’était là une excuse utilisée pour éviter de mettre en causes les hommes mauvais dans d’autres circonstances, sans doute Tarek n’aurait-il pas dit ça comme ça, mais il l’ignorait et peut-être Anne aussi, ni moi ni lui n’en savons rien. Toujours est-il que voilà, c’était fait, la faute était pardonnée, mais cela n’empêchait pas que le garçon avait besoin d’aide s’il voulait participer aux sélections de Quidditch qui avaient lieu dans – il regarda sa montre – une quinzaine de minutes.

Ca tombait bien, justement, la fille demandait si elle pouvait l’aider. Oui ! Ou non ! En fait, il n’en savait rien. Bien entendu, elle était la seule qui puisse lui permettre de sortir de cette salle de classe avant la nuit et sans se faire voir par quelqu’un d’autre, mais comment pourrait-elle aller chercher une robe dans la salle de Gryffondor sachant que la grosse dame ne la laisserait pas passer, à moins qu’elle ait le mot de passe ? Tarek n’était pas franchement motivé à la laisser entrer dans l’antre des lions et encore moins pour lui demander de fouiller dans ses affaires. En revanche, il y a quelque chose qu’elle pouvait faire, mais ça ne lui plairait peut-être pas.

- Est-ce que tu pourrais te retourner ? dit-il, encore une fois dans un murmure, avant d’ajouter, honteux de demander ça, s’il te plait ?

Tout en parlant, même s’il était difficile de faire deux choses en même temps, ou en tout cas deux choses comme ça, il tentait de trouver une échappatoire, ou du moins la plus simple possible, celle qui risquait le moins de faire de lui la risée du collège pour les six prochaines années, celle qui commençait incluse. Tarek ne savait pas, en effet, s’il le supporterait.

[538 mots]

La classe ou se trouvait Anne et Tarek n’avait rien de bien spécial. Elle était souvent utilisé par les élèves pour pratiqué les sortilèges récemment apprit. Les bureaux étaient placé selon les bons besoin des élèves et bien souvent sujet au sort qui tournait mal. Bref, il était fréquent de voir un bureau avec cinq pattes. Les murs étaient marqués de sortilège. Se qui ajoutait un aspect lugubre à la classe mise à disposition des élève. Tous pouvait l’utilisé mais c’est souvent les sixièmes et les septièmes années qui l’utilisaient. Après tout, cette classe était à leur disposition. Il faisait juste la permission d’un professeur, se que la Serdaigle avait eu, du professeur Flitwick. Anne c’était justement installé à un pupitre en face de la porte se qu’il aidait grandement Tarek a remarqué sa présence lorsqu’il entra dans la classe. La jeune fille était justement en train de pratiquer des sorts de métamorphose. Bref retournons à la situation de Tarek.
C’était une situation assez gênante pour le gamin. Pour Anne aussi mais pas au même niveau. Après tout ce n’était pas sa robe qui s’était déchiré mais bien celle du Gryffondor. Elle lui avait proposé son aide. Elle pouvait recoudre sa robe mais ce ne serait que temporaire. Anne n’était pas plus habile en se qui concerne la couture.

Elle lui demanda même si ce n’était pas l’œuvre des Serpentards. Car nous savons tous leur penchant pour martyriser les jeunes élèves de Poudlard. Après tout c’était dans leur malsaine habitude mais dans le cas de Tarek, ce n’était pas le cas. Loin de là. La bleue et argent apprit que c’était simplement un incident dans les escaliers. Au moins, il ne s’était pas créé des ennuies avec cette la maison des vipères. Le garçon aurait pu lui mentir mais selon sa réaction au moment de ses dires, Anne comprit que c’était la pure vérité. Par contre, bien qu’on fond d’elle, Anne trouvait la situation amusante. Elle ne laissa rien paraître pour le garçon. On s’est jamais comment un Gryffondor peu réagir. Il pourrait vous sautez dessus pour vous mordre! Sait-on jamais. Puis aussi timidement, il lui demanda de se tournez. Elle lui proposa son aide et au lieu d’accepter, il lui demanda de se tourner. Ben quoi, elle avait déjà vu un garçon a culotte. Elle avait un petit frère et sa lui arrivait de le voir sortir de la salle de bain simplement vêtu d’un caleçon. « Ils sont tout orgueilleux les Gryffondors? » Pensa la jeune fille. En fait, l’attitude du garçon avec piqué son orgueil à elle mais sa c’était un détail.

« Bon je me tourne » dit-elle d’un ton exaspérer. Elle lui proposa son aide alors que sur toutes les personnes sur qui il aurait pu tomber, il tomba sur Anne Wild, la Serdaigle qui ne fut pas nommé préfète, qui ne propageait pas les rumeurs insolite dans toute l’école. Il était tombé sur une bonne personne et voila qu’elle devait lui tournée le dos. Elle se tourna et elle commença à parlé. Car, elle devait démontrer au garçon qu’il pouvait avoir confiance en elle. « Tu sais, je ne suis pas comme la plupart des élèves. Ce qui t’arrive est gênant et je veux juste t’aidé à te rendre à ta salle commune sans qu’on voit se qui tes arrivé. Je sais que tu n’as que ma parole mais je suis toute même de la maison de Serdaigle, c’est déjà une bonne preuve de ma personnalité. Et puis, je suis pas là pour te pourrir la vie… »

594 mots

Vu – ou plutôt entendu – le ton sur lequel la Serdaigle lui répondit avant de se tourner, Tarek en déduit qu’elle n’était pas très contente de sa demande, pourtant bien innocente ! Aucun doute, elle n’avait pas compris son intention ! Sinon, ça ne lui aurait pas paru si inconvenant, mais pour le jeune homme il était vraiment perturbant de se retrouver presque tout nu devant une fille, surtout si âgée ! Bien entendu, sa mère l’avait déjà vu vêtu de la sorte, mais tout le monde sera d’accord avec moi pour bien dire que ça n’avait strictement rien à voir entre être, gamin, habillé par sa mère et, à l’école, vu par une fille plus vieille, qu’il ne connaissait pas, dans une salle de classe vide. Bref, il ne comprenait vraiment pas la réaction de la demoiselle, comme le firent comprendre ces quelques mots, lâchés à tout hasard avant d’être de nouveau interrompu.

- M…mais…

Bon, certes, pour quelques mots il s’agit plutôt d’un vague bégayement, mais ne nous attardons pas là-dessus car ce n’est pas ce qui nous importe, vraiment. Estomaqué, Tarek écouta en effet la diatribe vindicative d’Anne – dont il ne connaissait toujours pas le nom, ce qui n’est pas mon cas à moi, humble narratrice qui vous conte cette aventure. Le jeune Soudanais écoutait donc et comprenait de moins en moins ce qui arrivait à sa camarade – ou plutôt, il comprenait qu’elle avait vraiment mal compris, ce qui n’augurait rien de bon pour leur relation. En tout cas, à ce que Tarek entendait, la Serdaigle croyait qu’il croyait qu’elle voulait lui pourrir la vie, alors que Tarek – naïf – n’avait jamais pensé cela ! C’est bon, vous suivez toujours ? C’est parfait, je suis consciente qu’il peut-être un peu difficile de suivre les méandres de l’esprit ce notre jeune ami, mais nous allons tâcher de continuer à le faire.

- Mais euh…il avait du mal à parler, un peu intimidé, surtout que finalement, essayer de dire quelque chose à un dos, il n’avait pas fait attention, mais c’était plutôt compliqué. Bref, il lui demanderait sans doute de se retourner, mais pas tout de suite, il voulait d’abord s’expliquer. Pas parce qu’il avait peur qu’elle raconte toutes sortes de bêtises – c’était trop tard de toute façon, elle le ferait si elle en avait envie. Je sais que tu vas pas me pourrir la vie, c’est juste que…réellement, ça n’était pas facile à dire mais il fallait pourtant que ça sorte si Tarek ne voulait pas avoir d’ennui avec la Serdaigle qui avait beau ne pas avoir l’air méchante, pouvait sérieusement prendre la mouche. Juste que j’ai un peu honte.

Voilà, c’était dit, la cigüe avait été avalée, tout irait mieux maintenant, à condition qu’Anne accepte ces piètres excuses. Allez quoi ! Il n’était pas méchant, Tarek, un peu maladroit peut-être, mais pas méchant. Il ne demandait qu’à ce que la Serdaigle l’aide, même si malheureusement il ne voyait pas trop ce qu’elle pouvait faire. C’était déjà bien sympa de sa part, à vrai dire, de ne pas s’être sauvée pour raconter cela à tout le monde car nul doute que certains à l’école, et pas seulement à Serpentard, ce seraient empressés de répandre la nouvelle.

[536 mots]

Anne n’était pas comme la plupart des Serdaigle, elle était expressive. Comme elle avait été au moment ou elle se tournant en parlant. Il lui arrivait de se contrôlé mais se n’était pas toujours le cas. Comme tout à l’heure. Bien sur, au moment de parlé, elle était loin de se douté de la conséquence de son ton voix sur le deuxième année. En fait, la jeune fille oubliait bien souvent qu’à cet âge, on était bien souvent plus maladroit qu’autre chose. C’est lorsqu’il bégaya qu’elle comprit. Anne bassa alors la tête ainsi plusieurs mèches noires tombèrent sur ses yeux. Anne n’avait mal compris les intentions du Gryffondor. Voyez-vous, l’interprétation est faite selon diverse aspect. La personnalité entre beaucoup en jeu. De se côté Anne est assez douce comme personnalité si on oublie les fois ou elle se rebelle contre l’autorité (elle est dans la période critique pour ça, vive l’adolescence) Ensuite, il y a notre vécut qui entre en ligne de contre. Sa mère lui laisse faire se qu’elle veut ou presque, tandis que son père est l’autorité même voir presque roi de la maison. Alors comment se sens une adolescente qui gère mal ses hormones et la mère qui veut être amie avec sa fille et son père qui ne sait que dire non. ¨Ca donne la rébellion! Il y a aussi notre façon de voir les choses. Anne a prit la demande pourtant bien innocente du garçon comme l’orgueil du garçon plutôt que de le voir comme de la simple gêne venant du Gryffondor. Sans même pensée une minute qu’elle était plus vieille que lui. Bref, vous avez droit à une tournure des évènements cocasse.

Bref, lorsque le jeune Gryffondor trouva la force de parlé, elle apprit qu’elle avait vraiment mal interprété. Elle releva sa tête, tassa ses mèches rebelles. Et parla, mais cette fois d’une voix douce qui exprimait le malaise de la jeune femme. «Oh pardonne-moi. Je suis souvent sur la défensive et… ben voila que sa donne. J’ai juste mal comprit tes intentions. » Anne maintenant calmé – il faut dire que la demande innocente du Gryffondor l’avait énervé. Oui, un Serdaigle avec un certain caractère. «Au fait, quel est ton nom? Enfin je n’ai pas envie de t’appelé Le Gryffondor ou le lion pendant le temps que nous cherchons une solution. Je suis Anne, Anne Wild ». Bon peut-être que le garçon n’aurait pas envie de se présenté. Et elle ne lui en voudrait pas. Il était dans une situation délicat et peut-être ne voudrait-il pas que celle qui l’aidera soit en mesure de se rappelé son nom. Mais qu’il lui dit ou non, un jour ou l’autre, elle va le connaître. Et puis, elle savait a qui s’adressé. La jeune Moreau- oui je fais allusion à Nina Moreau- était facile a faire parlé. Du moins selon les rumeurs. Donc, elle n’aurait qu’à lui demandé. Bon, elle devait d’abord la trouvé dans l’école. Par contre, avant d’élaboré se genre de plan, laissons le garçon réagir a sa demande. Car peut-être qu’il allait lui simplifier la vie en lui donnant son nom tout simplement. Ça commencerait bien l’année scolaire .

525 mots

Tarek l’avait mal comprise, elle l’avait mal compris, un partout la balle au centre, les deux jeunes gens - dont l’un était plus jeune que l’autre – pouvaient donc reprendre sur des bases saines ce qui arrangeait tout particulièrement notre Soudanais préféré, vous l’aurez compris puisque c’était lui qui était en mauvaise posture et non la gentille Serdaigle qui avait tout de même accepté de se retourner, même si elle n’appréciait pas cette demande, un geste désintéressé pour lequel le Gryffondor lui était reconnaissant, même si à présent il avait un peu honte de le lui avoir demandé. Restait à savoir ce qui était le plus honteux entre être à moitié à poil devant elle ou lui parler de dos.

- C’est pas grave, répondit-il doucement en s’approchant du bureau du professeur près duquel, si j’ai bien compris, se trouvait la Serdaigle. Après tout, quitte à être en culotte, mieux valait que ce soit bien installé et non comme un idiot devant la porte. D’ailleurs, peut-être devrait-il demander à la jeune femme de la bloquer afin que personne n’entre à l’improviste et ne risque de découvrir l’improbable scène qui se joue sous nos yeux ébahis ? En attendant, il s’assit sur la table. Ou le bureau. C’est à ce moment que la fille se présenta et lui demanda son nom. ~~C’est la STASI c’est ça ?~~

- Enchanté, Anne, je m’appelle Tarek Sene.

Une chose était sûre maintenant, il n’avait plus le choix de lui faire confiance : elle connaissait son nom déjà peu ordinaire dans les couloirs du château et savait à quoi il ressemblait, ainsi que sa maison, ce qui n’était pas très compliqué. Si elle devait le dénoncer à qui que ce soit, ça serait un jeu d’enfant pour cette fille qui n’était justement plus une enfant. Tarek non plus n’en était plus un, d’ailleurs, vous dirait-il sûrement même si la narratrice soutient qu’à de nombreux égards, il avait parfois oublié de grandir. Cela n’empêche pas que le Soudanais était dans un certain nombre de domaines plus matures que ses camarades. Il était l’un des rares, en effet, du moins il lui semblait, qui n’aurait pas rechigné aux tâches ménagères si sa maman n’était pas une sorcière qui pouvait donc le faire par la magie. Il ne s’en était pas moins occupé de ses sœurs pendant que celle-ci était au travail.

Que Tarek se soit enfin entendu avec Anne ne réglait cependant pas le principal problème du Soudanais qui n’avait toujours pas de robe correcte.

- Et maintenant, on fait quoi ?

Ces mots n’avaient pas encore quitté sa bouche qu’une idée lui vint. Anne lui semblait assez vieille. Il ne savait pas vraiment dire quel âge elle avait, mais elle était au moins en cinquième année et devait donc bien connaître un sort qui lui permettrait de recoudre la robe de Tarek, ne serait-ce que de façon provisoire ! Histoire qu’il puisse monter jusqu’à son dortoir pour la changer ! Le Soudanais n’attendit pas plus longtemps pour soumettre son idée à la jeune femme.

- Dis, tu connaîtrais pas un sort pour réparer ça ?

Tarek se demandait même comment il n’avait pas pu y penser avant tellement c’était évident. Ils étaient des sorciers, pas de simples moldus résignés à devoir tout faire à la main ! S’ils étaient à l’école pour apprendre à maîtriser la magie, autant que ça serve dans la vie de tous les jours !

[572 mots]

Anne était toujours retourné alors qu’elle s’excusait d’avoir aussi mal réagit. Le garçon en profit pour sortir du cadre de porte. Et surtout de refermé la porte sur eux. Laissant ainsi aucune possibilité aux intrus de voir se qui se passait dans la classe. Bon, dans la situation actuelle fermée la porte n’était peut-être pas la meilleure solution. Imaginé, McGonagall entré dans la classe avec une jeune femme et un jeune était habillé simplement de culotte. De quoi se posé de nombreuse question. Et bien souvent se qui ses réellement passé pour Tarek serait prise pour une ridicule excuse pour caché un autre méfait. Bien sur, Anne y avait pensé à la possibilité de cet évènement. Mais Anne n’était pas divine donc elle ne pouvait pas savoir avec certitude si oui ou non un professeur allait débarquer dans la classe. Résulta, elle devait se dépêché d’une certaine façon.

Après c’être présenté, le garçon fit de même. C’était une prise deux (comme au cinéma) de leur rencontre quelques peu particulière vu la situation de garçon. On ne s’entend pas a rencontré quelqu’un avec une robe déchiré et en slip. Ce qui ravie la jeune fille c’était qu’elle n’aurait pas à recourir à une cinquième année pour savoir le nom du garçon. À moins qu’il aille mentis. Chose possible lorsqu’on se retrouvait dans une situation aussi délicate. Par contre, Anne laissait le bénéfice du doute au garçon, avant de l’accusé de méfait, car il semblait sincère et que la réputation de la maison jouait en sa faveur. Anne toujours retournée, s’aperçut qu’il s’était installé la son bureau – enfin le bureau de lui appartenait pas, mais c’était tout même lui qu’elle avait choisit. Elle ne l’avais pas vu mais le bruit trahissait l’action du garçon. Surtout lorsqu’il demanda : Et maintenant, on fait quoi ? Effectivement, elle se devait de faire de quoi mais avant qu’elle aille pu répondre quelques choses, il parla de nouveau.

Comme si le garçon venait de réalisé qu’elle était en sixième et de se fait, en connaissait plus en magie que lui, il lui demanda si elle connaissait un sortilège. Oui elle en connaissait un – réparo. Était-ce simplement utilisable contre la robe du garçon. Sinon, elle n’aurait qu’a transformé un objet en aiguille et l’autre en fils noir et de le réparé à la main si le réparo ne fonctionnait pas, ça sa allait fonctionner. «Attend que je réfléchisse un moment » dit-elle après sa réponse en se tourna vers lui. Maintenant qu’il était au bureau comme elle, Anne ne risquait pas de voir la couleur de ses culottes. « Bon, il y a deux options. Le première la plus simple, est d’utilisé réparo. Il est simple mais je ne sais pas si oui ou non cela va fonctionner » Anne avait comme logique que si se sort était aussi fonctionnel, il y aurait peu de dépense sur les vêtements de sorcier à cause de déchirure. « Si cela ne fonctionne pas, je peux transformer deux objets, un en aiguille et l’autre en fils, mais je ne suis pas doué pour la couture à la main. Sa va tenir au moins jusqu’à ta salle commune et que tu puisses te changer. Pour une ou l’autre, il va falloir ta robe que je puisse agir sans danger pour toi» En fait, Anne se voyait mal être accroupi avec une aiguille pour lui réparé sa robe.

♦ 561 mots , sans les paroles de Tarek ♦

Si Anne lui demandait de réfléchir, c’est qu’effectivement il devait y avoir une formule magique qui permettait de réparer les dégâts qu’il avait faits lui-même. Encore fallait-il que la jeune femme s’en souvienne et sache l’exécuter, ce qui n’était pas sûr. Certes, elle était à Serdaigle, ce qui augmentait les chances que ce soit le cas, s’il fallait s’en fier aux stéréotypes qui déterminaient la répartition dans une maison ou dans une autre et que tout le monde connaissait, mais cela suffirait-il ? Tarek ne savait pas si un tel sort était complexe ou non, et à quel niveau on l’apprenait. Tout ce dont il était sûr, c’est que lui n’en connaissait pas, ce qui en l’occurrence se retrouvait pour le moins embêtant. Heureusement, il était tombé sur Anne qui se trouvait être plutôt compréhensive dans son genre.

Enfin, la solution tomba des lèvres de la Serdaigle. Tarek écouta patiemment, tout aussi patiemment qu’il avait attendu qu’elle livre le fond de sa pensée. Ainsi qu’il l’avait imaginé, il existait effectivement un sortilège de réparation mais Anne n’était pas sûre de savoir assez bien le faire pour pouvoir réparer la robe de Tarek. Sinon, elle proposait de la recoudre à la main en transformant deux objets en aiguilles, mais cette solution ne paraissait vraiment pas viable à Tarek qui dit ce qu’il pensait à sa camarade.

- Ca te prendra des heures d’essayer de recoudre, et la métamorphose c’est plus dur, non ? Certes, en principe transformer des objets en aiguille était un sortilège qu’ils apprenaient dès le début de leur scolarité, les premiers tours destinés à former leurs esprits à la concentration nécessaire pour réussir dans la matière autrefois enseignée par le professeur McGonagall, mais il n’en restait pas moins que cela restait la matière à baguette la plus compliquée du point de vue du jeune Soudanais. Essaye reparo, s'il te plait. Si ça marche pas, on se débrouillera.

Comment il se débrouillerait (parce qu’à vrai dire, Anne était bien gentille de l’aider, mais rien ne l’y obligeait), il ne le savait pas encore. Peut-être le mieux serait-il de courir jusqu’au septième étage en espérant que les escaliers ne lui jouent pas des tours en l’empêchant d’y monter rapidement – ou encore qu’il ne tomberait sur aucun Préfet, professeur ou concierge, ce qui encore une fois n’était pas gagné, bien que l’on soit un samedi matin.

Ce que Tarek avait bien entendu, mais pas réalisé tout de suite, en revanche, c’est qu’Anne avait dit qu’il fallait qu’il enlève complètement sa robe, ce qui ne manquait pas de gêner un peu plus le Soudanais. Certes, au point où il en était, ça ne changerait de toute façon pas grand-chose, mais tout de même. Le garçon n’avait cependant pas vraiment le choix, à moins de revenir sur sa solution de secours bien plus risquée. Cela valait la peine d’essayer et de se retrouver carrément en culotte devant une fille. Heureusement, encore une fois, qu’elle n’était pas de sa classe, sinon ça aurait été carrément gênant. Tarek fit donc passer sa robe de sorcier par-dessus sa tête et la posa sur le bureau. Il frissonna un instant, mais il y avait bien plus important : que la Serdaigle puisse y faire quelque chose. Presqu’inconsciemment, Tarek croisa les doigts derrière son dos.

[547 mots]

CLASSES
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Comme défit de rentré scolaire s’en était un petit. Rien à voir avec de la magie de niveau supérieur. Bon se qui restait à savoir c’était si oui ou non, la première solution allait fonctionner. Anne eu un sourire lorsque Tarek s’exprima sur la deuxième option. La manière que le garçon c’était exprimé était spontané selon la perception de la jeune femme. D’où le sourire d’ailleurs. La deuxième solution était la plus longue des deux et le Gryffondor avait raison sur un point, le temps. Par contre, il était dans l’erreur pour se qui est de la transformation. Anne avait des notes au dessus de la moyenne dans les 90 % si elle était notée comme les enfants moldus. Transformé des objets en aiguille et en fil c’était un jeu d’enfant pour Anne. Utilisation du sortilège Réparo aussi. Mais comme dit plus haut, Anne avait des doutes. Tarek lui demanda de commencé par Réparo. Le contraire aurait étonné la jeune fille. De toute façon, elle aurait commencé par se sortilège avant de s’amusé apprentie couturière.

« Bon commençons par Réparo » dit-elle pour confirmer son choix alors que le garçon lui donna sa robe. Alors que le garçon se retrouva torse nu, Anne libéra le bureau de ses effets personnel. Elle étala la robe de sorcier du garçon pour mieux être placé lors de l’utilisation de sortilège. Ce n’était tout même pas si pire comme déchirure mais le coudre de façon non magie lui aurait donné du fil à retord. Elle prit sa baguette de sa main droite, la plus habile étant donnée que la Serdaigle est droitière. De son autre main alors que le garçon frissonnait, elle lui tandis une veste de laine bleu. Au bien sur, elle était grande pour lui mais au moins il pourrait se couvrir ou se caché derrière pendant que la jeune fille tentait de résoudre son petit problème. Tarek prit la veste mais Anne ne vit pas sa réaction car elle était déjà en train de se levé de sa chaise pointant sa baguette fait de bois de houx vis-à-vis la déchirure. D’une voix claire et douce elle prononça la formule ; « Réparo » Alors que le Gryffondor se croisait les doigts et Anne aussi (en pensée sa va de soit, vu qu’une main tenait la robe et l’autre la baguette), une lueur rosâtre sortie de la baguette de la Serdaigle pour allez sur la robe de Tarek. Tranquillement les fibres de la robe déchiré se rapprochait l’une de l’autre pour redevenir se qu’elle était au départ. La réparation magique prit environ 90 secondes. Un soulagement pour la jeune femme ainsi (surement XD) pour le garçon. « Tu vois Tarek, la magie a fonctionnée! » dit-elle avec un sourire sur le visage.

» Erreur sur la personne [TERMINE]
» Alors là, y a erreur sur la personne ! [Terminé]
» Qui me fait préférer l'erreur à l'envie X Lola [Topic terminé]
» [THEME] Help me. Please, help me. [Terminé]
» [THEME] The last first day [TERMINE]