« Ils ont bluffé… ils ont bluffé... » Marmonna Lucy en comprenant enfin ce qui s’était passé depuis le moment où ils avaient été enfermés. Freja les avait manipulé comme de simples marionnettes. La brunette observait d’un œil hagard la scène autour d’elle. Pourquoi tant de violence ? Elle avait envie de hurler, de crier à l’aide. Elle n’était pas préparée à ça ! Elle sentit ses genoux flancher, puis, elle vit Quentin tomber, blessé, et Ernie, celui qui l’avait aidé auparavant, venir au secours de celui qui devait être un ami. Ils semblaient avoir sensiblement le même âge, bien que cela dur à juger, surtout dans toute cette cacophonie. Contrairement à Freja, elle ne connaissait pas tous les sorciers en présence, elle avait juste entendu des prénoms de ci, de là. Toutefois, elle se souvenait que Freja avait parlé d’une médicomage. Laquelle était-ce déjà ? Ah, oui, la brune ! Linoah ! Lucy avait l’impression de la connaître de Poudlard, mais elle devait être dans les grandes années quand elle, elle était dans les petites.
« Mademoiselle Linoah ! Mademoiselle Linoah ! » Appela-t-elle, à défaut de connaître le nom de famille de la jeune femme. « Par ici ! Cet homme est blessé ! » Elle resta à distance respectable du blessé, lançant des sortilèges de protection avec sa baguette pour défendre leur position. Ses cours de défense contre les forces du mal ne l’avait pas préparé à ça, c’était le mieux qu’elle puisse faire. Pendant un court instant de répit, elle posa toutefois sa main libre sur l’épaule de Ernie, voulant à son tour le rassurer. « La vilaine sorcière de l’ouest a dit que cette demoiselle était médicomage, ça va aller, elle va savoir quoi faire pour votre ami. Mais nous devons continuer à repousser les attaques. » Le jeune homme brun, mari de Anabelle, la sœur du blessé, était près de sa femme et se battait non sans une certaine rage. Toutefois, comme elle, on sentait qu’il n’était pas habitué à ce type de confrontation. Freja avait dit qu’il ne fallait pas qu’il y ait de mort, alors ils devraient en profiter pour attaquer, les mettre KO… mais Lucy ne voyait pas du tout quel sort utilisé pour ça. Elle espérait que d’autres seraient plus inspiré qu’elle. Elle avait envie de pleurer, mais les larmes seraient pour plus tard, quand ce cauchemar serait terminé...
Linoah était relativement fière d'elle d'avoir résolue l'énigme. Seulement et comme beaucoup d'autres personnes présentent, ils ne savaient pas s'ils devaient se réjouir ou s'il fallait s'inquiéter de bloquer le ministère pour protéger une criminelle ? Alors oui, certes, ils étaient un peu des otages dans cette situation et s'ils ne faisaient pas les ordres ou instructions de Freja, il pouvait voir les magasins autour exploser. Quoi qu'il en soit, elle avait participé à ce blocage du ministère même s'il restait un second verrou, elle espérait simplement que si elle donnait de la bonne volonté, ils n'allaient pas le regretter ensuite...
Chacun essayer de rester calme face à cette situation, certains étaient un peu moins doués que d'autres, mais pour Linoah, il fallait surtout rester calme et profiter d'une faille quand l'occasion se présenterait. Le temps continuait de s'écouler et la tension était palpable. La rouquine qui n'était pas loin d'elle avait déjà tenté de blesser Freja en vain, et en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, le deuxième verrou était à son tour enclencher et les voilà à présent encercler avec un certain nombre de sorciers du groupe maléfique.
Alors oui, la demoiselle avait sorti sa baguette, mais elle ne savait pas vraiment quoi faire avec, il faut dire que ce n'était pas vraiment dans son quotidien de se battre contre des personnes à l'hôpital... Des maladies, blessures et autres microbes, oui, mais des sorciers qui se battent pour un idéal, elle n'était pas vraiment partisante de ce genre de concept, se battre pour faire passer ses idées, comme si ça marchait...
Elle fut alors tirée de ses pensées par la voix d'une femme qui l'appelait à l'aide. Elle avait retenu que l'aiglonne était Medicomage et qu'elle pouvait venir en aide aux sorciers qui étaient blessés. Il faut dire que les sorts fusaient de chaque coté et que son maigre Protego n'était pas assez efficace pour être vraiment utile, autant faire ce qu'elle faisait de mieux, à savoir sauver des vies ! Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle et chercha un regard qui pourrait lui venir en aide...
« Quelqu'un peut-il me donner un coup de main ? La magie a parfois ses limites et nous ne sommes pas dans un hopital non plus. »
Linoah avait besoin de repère, les situations de crise, elle ne gérait pas vraiment, elle avait toujours bien bossé, bien étudié, mais le concret, on ne pouvait pas l'inventer et elle avait vraiment besoin de pratique. La jeune femme essaya de faire preuve de calme mais ce n'était pas vraiment l'ambiance zen des blocs opératoires. Elle s'adressa alors à la jeune femme qui lui avait demandé de venir et à ceux qui étaient autour de Quentin et elle. « Si vous pouvez assurer notre protection le temps que je regarde s'il va bien... Enfin, s'il est toujours parmis nous. De ce que j'ai compris, les sang purs n'ont rien à craindre, mais je ne pense pas qu'elle ait pris le temps de vérifier si chacun de nous avait un arbre généalogique irréprochable... »
La médicomage prit la tension, observa la blessure, elle n'était pas profonde, mais elle n'était pas belle pour autant... Enfin, rien de bien grave qui ne pouvait être soigner. Quentin aurait toujours ses deux bras ! C'est qu'elle était gentille quand même non ?
Myrielle était la seule à être réellement douée en combat au corps à corps, ce qui était vraiment utile lorsqu'on était face à un sorcier très bon en défense magique. C'était l'origine de l'existence même des techniques des Symphonie qui alliaient baguette et poignards. Toutefois, Freja se débrouillait plutôt mal, elle était rapide - presque autant qu'elle - et elle la parasitait grâce à ses sbires auxquels Myrielle parvenait à échapper pour toujours rejoindre Freja... jusqu'à ce qu'elle évite encore ses coups de poignards. Cette femme énervait bien trop Myrielle, toutefois, la rousse savait aussi que ses derniers combats réels étaient beaucoup trop vieux, elle était rouillée... elle allait devoir durcir ses entraînements. Ses lèvres ne formaient plus qu'une fine ligne tant elle était concentrée, essayant de faire abstraction de son ami blessé à plusieurs mètres derrière. Même si elle n'arrivait pas à toucher Freja, elle devait rester concentré, analyser ses mouvements pour une prochaine fois. Car il y aurait forcément une prochaine fois, MS n'en resterait pas là et ils avaient perdu depuis le début, dès le moment où ils avaient été enfermés dans la boutique. C'était malheureux mais c'était trop tard pour réparer... ils ne pouvaient plus que limiter les dégâts.
Utilisation d'un gallion event
Dernière édition par Myrielle Symphonie le Ven 9 Fév - 20:41, édité 1 fois
Plus...Alors qu'il effectue une simple livraison chez Ollivanders, Owen fait partie des malchanceux coincés dans la boutique.
La suite des événements se déroule dans la confusion la plus totale. Je me fends dans un premier temps d'un Protego horribilis, et la blessure vraisemblablement grave que reçoit l'un de mes camarades les plus... belliqueux ne fait que me donner raison. L'une des jeunes femmes présentes en interpellait une autre, visiblement une médicomage, afin qu'elle s'occupe du blessé -que l'un de ses amis avait tiré à l'abri. Il était temps que ce groupe commence à faire preuve d'un peu de bon sens, surtout maintenant que quelqu'un avait eu la riche idée de bloquer le Ministère.
Avant même que j'aie le temps de sortir quelques fleurs de dictame blanc pour en extraire l'essence, la médicomage sollicite notre aide. Je ne prends pas le temps de répondre, trop conscient que le temps nous est compté avant que nous ne soyons complètement débordés. D'un geste fluide de baguette, je transvase la substance médicinale dans une fiole, avant de la tendre à la personne la plus proche.
Allez donner ça pour le blessé. C'est de l'essence de dictame.
En ce qui me concerne, j'ai d'autres projets que de jouer les apprentis guérisseurs. Mon bouclier encaisse quelques sorts mineurs, et j'en profite pour essayer de réfléchir calmement à la situation. Nous sommes très clairement en infériorité numérique, d'autant que certains d'entre nous ne semblent pas d'humeur particulièrement combative. De leurs toits, les mages de la Menace bénéficient d'un angle de vue imprenable et nous n'avons pas de réelle option de couverture. A moins que nous ne nous amusions à notre tour à faire sauter les bâtiments sur lesquels ils se trouvent, je ne vois pas comment nous pourrions nous débarrasser d'eux.
Il faut donc couper la tête de l'hydre.
Je renouvelle mon Protego, que je sens faiblir, d'un geste fluide. Ce n'est pas grand chose comparé au bouclier dont est parée Freja, mais cela devrait me fournir encore quelques secondes de tranquillité. Je passe en revue tous les sorts que je connais, mais je crains qu'aucun d'entre eux ne soit assez puissant pour percer ses défenses. Mon regard se pose sur ma baguette, et je me retiens de justesse de m'insulter tant la solution est évidente.
Je profite des derniers instants de mon Protego pour me concentrer et faire le vide dans ma tête. J'oublie les bruits de combat, les cris et les incantations. Posant la pointe de ma baguette contre mon crâne, je m'imagine devenir parfaitement invisible, et murmure l'incantation du sortilège de Désillusion. Bien sûr, je sais qu'il ne sera pas aussi parfait que celui du vieux Dumbledore qui, à ce qu'on murmure, était aussi efficace qu'une véritable cape d'invisibilité ; pour autant, cela devrait me rendre suffisamment discret pour ce que je souhaite faire.
Me coulant dans l'ombre d'une boutique, je me dirige à pas mesurés vers Freja, absorbée je l'espère par son combat contre la rousse. Je prends garde à ne rien déplacer sur mon passage, car si la désillusion fait de moi une cible moins facile, elle ne me rend pas intouchable pour autant.
Le souci avec nous, les sorciers, c'est que nous oublions trop souvent que la magie n'est pas toujours la solution.
Une fois arrivé à hauteur des combattantes, je les observe un instant. Le rythme est effréné, et je prends sûrement plus de risques qu'autre chose dans cette affaire. Mais si nous voulons une chance de blesser le serpent que représente la Menace, c'est en s'attaquant à son chef, et non à ses sous-fifres, que nous y arriverons.
Certes, rien ne garantit que les choses vont s'améliorer si nous privons Freja de son autorité ; peut-être même son remplaçant sera-t-il plus fou et plus sanguinaire. Mais peut-être aussi que l'organisation s'écroulera. Quoi qu'il arrive, je dois essayer d'arrêter cette femme.
Lorsque je pense avoir approximativement saisi le rythme de leur duel qui, par moment, s'apparenterait presque à une danse, je plonge. Littéralement. Visant la taille du chef de la Menace, j'espère parvenir à la saisir et à l'immobiliser suffisamment longtemps pour que la rousse puisse agir, ou pour déstabiliser ses sbires en attirant leur attention, laissant une fenêtre de tir à mes compagnons. Il ne reste plus qu'à espérer que je ne me vautre pas lamentablement.
(c) Yvi
Utilisation d'un gallion event
HRP : si quelqu'un veut se porter volontaire pour donner la dictame à Linoah, n'hésitez pas !
Tout était allé beaucoup trop vite. Avant qu'Anabelle n'eut le temps de réaliser ce qui se passait, la dernière ligne de code avait été déchiffrée et la tension était encore montée d'un cran. C'est à peine si la jeune femme put lever sa baguette, dans le but de lancer un sort de défense, destiné à la protéger, elle et tous ceux qui faisaient corps autour de Quentin : elle fut projetée sur le côté avant d'avoir achevé son geste. Quand elle se retourna, son frère gisait à l'endroit exact où elle se tenait, un instant plus tôt. - Quentin ! Hurla-t-elle, les yeux écarquillés d'horreur. Prise de nausée à la vue du sang qui coulait en abondance de l'épaule de son aîné, elle se laissa tomber sur les genoux, et effleura la blessure du bout des doigts. Elle fut presque aussitôt secouée de puissants tremblements. La tête lui tournait : elle se sentait au bord de l'évanouissement. Pourtant, elle était incapable de détacher son regard du visage à la pâleur cadavérique de son frère. Ne meurs pas ! Ne meurs pas ! Ne meurs pas ! Psalmodia-t-elle, comme si elle pouvait ainsi obliger la mort à faire demi-tour. Elle luttait de toutes ses forces contre l'horrible certitude qui cherchait à s'imposer à elle : elle allait perdre son frère. Elle allait perdre son frère parce qu'il avait voulu la protéger. C'était elle qui aurait dû être en train de se vider de son sang, au milieu de la rue. C'était injuste, c'était révoltant, c'était... c'était... c'était dégueulasse.
Un nouveau sentiment germa dans le coeur d'Anabelle, tandis qu'Ernie et quelques autres, dont elle ignorait les identités, bataillaient pour ramener Quentin à la vie. La rage l'envahit. Une rage sourde et sauvage, qui monta comme une vague et engloutit tout le reste. Une rage impitoyable qui réclamait, pour le sang versé par son frère, que le sang ennemi soit répandu. Elle se releva. Elle était livide, mais la lueur carnassière qui dansait au fond de ses yeux lui donnait l'air étrange et un peu fou. Elle s'avança d'un pas déterminé vers le bâtiment le plus proche, et leva sa baguette d'un geste mécanique en direction du toit : - Stupéfix ! Lança-t-elle d'un ton froid. Elle n'éprouvait visiblement aucun remord à la perspective de faire tomber dans le vide l'homme qui y était posté. En fait, elle espérait qu'il tomberait, et se briserait la nuque sur le sol. Mais elle ne prit pas le temps de voir son voeu se réaliser. Au fond d'elle, une bête sanguinaire s'était éveillée, et elle demandait à être nourrie. Sans perdre une minute, elle se dirigea droit sur l'adversaire suivant, prête à une découdre.
Tout avait été trop vite pour l’ex-Poufsouffle. Son beau-frère s’était fait blesser en protégeant sa sœur avant même qu’il ait pu faire un pas. Non pas que ça change grand-chose pour Anabelle que ce soit Quentin ou lui qui soit à terre, dans les deux cas, elle venait de monter d’un cran dans la colère.
Avant de se lancer dans une opération suicide qui sentait le pétard mouillé, un homme lui tendit des plantes qu’il devait donner ensuite à Linoah pour soigner Quentin. Adrien devant de toute façon faire quelque chose il apporta le sachet à la jeune médicomage avant de s’excuser auprès d’elle : « Désolé, je vous charge du reste... » Car il avait à faire en ce sens que sa femme pétait les plombs et que, à la base, c’était déjà elle qui avait été personnellement attaquée. Parce qu’elle avait un peu trop le sang chaud on vous l’avait dit que c’était pas une vraie Poufsouffle. « Belle ! Belle ! Calme-toi ! Par Merlin est-ce que tu vas enfin te décider à m’écouter. » Il lança un protego pour dévier un sort, non mortel cette fois, qui allait droit vers Anabelle. Elle ne prenait même pas la peine de viser. Adrien avait toujours su que la colère était mauvaise conseillère. Toutefois, lui non plus n’aiamit pas cette situation : Ollivander explosé, Quentin au sol, ça allait bien hein !
Il voulait bien sûr dire à Anabelle que les jours de Quentin n’étaient pas en danger, il était pris en charge assez sérieusement pour qu’il n’y ait rien à craindre de ce côté. Il ne pourrait rien dire sur les séquelles, mais il voulait garder confiance. Toutefois, pour que Anabelle l’écoute, encore faudrait-il qu’il arrive à la rejoindre. Il semblait que les membres de Magicis Sacra s’obstinaient à les séparer. « Ah mais ça suffit ! Lâchez-moi ! » Et il balança un coup de poing dans la figure d’un des membres de l’organisation. Cela ne lui fit pas grand mal mais au moins recula-t-il juste assez pour que Adrien puisse sprinter jusqu’à Belle. Il ne tenta quand même pas de l’arrêter, il n’était pas fou, mais il se demandait si toute cette rage ne retomberait pas encore une fois sur elle. Si MS n’allait pas encore essayé de lui faire du mal. Auquel cas, ce serait à lui cette fois de s’interposer… même s’il espérait ne pas avoir à en arriver là.
Heaven Gibson
Parchemins : 2363Âge : 14.02.84 ;; 32 ans Actuellement : Professeur de potions & styliste aux 1001 Symphonies Points : 0
Si Heaven avait préféré être dehors plutôt que dans la boutique d’Ollivander, son choix s’était montré relativement opportun lorsque Freya fit exploser la boutique. Ils étaient clairement mieux en dehors de la boutique désormais… Elle voyait d’ici son frère en train de râler qu’il devait se trouver une nouvelle baguette, mais c’était le cadet de ses soucis. Le dernier verrou enclenché –qui était la folle qui prenait parti maintenant, hein ?!- la sorcière se concentra sur sa fille. Raphaël allait hurler lorsqu’il saurait ce qui s’était passé. Le sorcier n’était pas spécialement colérique, quoi que cela dépendait, mais lorsqu’on touchait à sa famille, ce n’était même pas la peine d’essayer de le raisonner. Heaven devrait cependant essayer, pas spécialement pour le fait que son mari aille ouvertement en guerre contre Magicis Sacra.
Roze fut la première à prendre sa défense et celle de Gabrielle. Le fait que les deux sorcières se cotoient énormément pour le groupe et pour les robes de chanteuse aidait sûrement. Elle ne l’avait d’ailleurs jamais vu aussi… Active ? Disons qu’elle avait plutôt l’habitude la Roze dans la lune et que, si elle n’avait rien contre cette dernière, elle n’aurait jamais pensé qu’elle puisse la surprendre autant. Roze finit par aller aider Lara, en mauvaise posture également. Heaven lança un Protego autour de sa fille et prit le temps d’observer la scène. Comme elle ne se battait pas, elle n’était pas spécialement une cible. De plus, elle était de Sang-Pur et sa fille aussi. Elle se demanda, l’espace d’un instant, si le fait qu’elle avait fait sa scolarité à Serpentard aidait en quoi que ce soit, avant d’avoir une vision d’horreur quand Quentin fut touché. La détresse d’Anabelle eu presque pitié d’elle, mais sa folie la sidéra plus qu’autre chose. Tout allait à volo sur le Chemin de Traverse et le pire dans l’histoire était que les Membres du Ministère étaient bloqués et ne pouvaient donc pas les aider. Ils étaient seuls, contre une horde de mages noirs.
Maintenant que Quentin était à terre, entouré d’Anabelle, Ernie, Adrien –qui avait miraculeusement réussi à s’échapper de son geôlier- et d’une jeune femme visiblement médicomage, Heaven porta son attention sur Myrielle et Woolahan, qui semblaient déterminés à mettre Freya à terre. Heaven, elle était meilleure en magie qu’en combat rapproché. Lorsqu’elle vit le botaniste plonger à terre, dans une vaine tentative de renverser la chef de MS, elle lança un Protego Maxima sur ce dernier, pour éviter qu’il ne périsse dans d’atroces souffrances de la main de la sorcière, puis reporta son attention sur fille un instant, pour s’assurer que tout allait bien. Et finalement, fichue pour fichue, elle lança un sort à l’encontre d’un des hommes perchés sur les toits, tout en serrant sa fille contre elle.
Accueil 
![[Intrigue] Course poursuite ! - Page 7 Qjzy](https://www.zupimages.net/up/16/43/qjzy.jpg)
