Nouvelle année, nouveau départ!

Juliette marchait lourdement, sa valise à la main, son sac d'école sur le dos. La jeune fille avait mal aux mains et aux bras tellements que les deux choses qu'elle tenait étaient lourdes.

Hier, quelques heures tôt, Juliette s'était réveillée en sursaut, se fracassant la tête sur son banc d'avion. Elle s'était renfrogné et elle s'était assise "confortablement", attendant que l'engin s'immobilise. Son père lui avait dit qu'ils atterissaient dans dix minutes. Juliette avait acquiesé et s'était levée pour aller aux toilettes.

Quelques minutes plus tard, Juliette tenait ses bagages de ses deux mains, suivant son père, sortant tous deux dehors de l'aéroport. Après une demie heure de taxi, ils sont enfin arrivé au motel médiocre auquel son père avait choisi de réservé. Ainsi, ils n'en aurait que pour une demie journée, étant donné qu'i était cinq heure et que Juliette prenait le train le lendemain à 1:00 précise.

Le soir même, pour compensé le fait que Robert n'ait pas payé un bel hôtel à sa fille, il l'emmena manger dans un très bon restaurant, connu sous le nom de l'accadémie. Tous deux avaient parlé de la vie de Juliette chez sa mère, Robert demandant souvent comment allait Alicia. Juliette ne répondait pas, ne sachant même pas elle même comment allait présentement sa propre mère.

Le lendemain matin, à dix heures précises, Juliette se préparait déjà, enfilant sa veste de Poudlard, ne cessant de poser plein de question à son père. Malheureusement, Robert ne savait pas du tout comment était Poudlard, lui même ayant fait ses études à Durmstrang. C'était à midi trente que Juliette, accompagnée de son père, avaient pris le métro, voulant se rendre par un mode de transport moldu à la gare. Une fois arrivés sur place, Robert avait pris un chariot pour tenir sa grosse valise.

À une heure précise, Juliette agitait ses deux mains, faisant des aurevoirs aussi gros qu'un éléphant à son père. Après, elle s'était dirigée vers le couloirs. Maintenant, Juliette cherchait un compartiment vide. Après un certain temps, elle en trouva un.

Enfin, il n'était pas vide, mais pas plein non plus. Une fille se tenait à l'intérieur, tenant un livre à sa main. Distraitement et Froidement, Juliette ouvrit la porte du compartiment pour y entrer. Après avoir déposé bruyamment ses effets personnels, Juliette pris son sac et le posa sur elle. Elle s'assoya et regarda à l'extérieur, attendant que le train arrive à destination...

Le Serpentard venait juste de prendre la porte et de laisser Rowen seule avec ses misères quand il croisa Crabbe dans le couloir. Crabbe qui le cherchait et qui l’informait que Goyle était aux toilettes.

« Il finira bien par nous retrouver. Occupe toi de trouver une place pour ma valise toi, moi je vais chercher Potter… J’en ai marre de rester assis à ne rien faire. Et puis j’imagine que le pauvre petit Potter a besoin de consollation, après tout Sirius Black veut sa peau ! »

Et Drago se mit à ricanner et fut aussitôt immité de Crabbe. Puis les deux Serpentard se séparèrent et le blondinet se mit à arpenter les couloirs. Il ne croisa pas grand monde d’intéressant. En passant devant un compartiment il remarqua Diabalzane et Millicent, mais elles ne discutaient pas vraiment. Chacune semblait plutôt plongée dans ses pensées. Le Serpentard n’avait pu s’empêcher de ralentir l’allure pour regarder Diabalzane mais elle ne le remarqua pas. Son cœur se serra alors mais il continua son trajet dans le Poudlard Express. Il fut bientôt rejoint par Crabbe et Goyle et c’est à ce moment qu’il remarqua le compartiment d’Harry Potter

*Allons chamailler un peu le pauvre chouchou.*

Citation :

Scène tirée du livre
- Tiens regardez qui voilà, lança Malefoy de son habituelle voix trainante en ouvrant la port du compartiment. Potter et son poteau.
Crabbe et Goyle s’exclaffèrent avec un rire de troll.
- Alors Weasley, j’ai entendu dire que ton père avait enfin réussi à se procurer un peu d’or, cet été, dit Malefoy. J’espère que ta mère n’est pas morte sous le choc ?
Ron se leva si brusquement qu’il fit tomber par terre le panier de Pattenrond. Le professeur Lupin émit un grognement.
- Qui c’est ? demanda Malefoy en reculant machinalement d’un pas à la vue du professeur.
- Un nouveau prof, dit Harry qui s’était levé à son tour au cas où il aurait fallu retenir Ron. Qu’est ce que tu disais, Malefoy ?
Drago plissa ses yeux pâles. Il n’était pas suffisamment idiot pour provoquer une bagarre sous le nez d’un professeur.
- Venez, marmonna-t-il à Crabbe et Goyle d’un ton hargneux.
Et tous trois s’éloignèrent dans le couloir.

Drago ne dit rien pendant un instant après être sorti du compartiment d’Harry. Il marchait à vive allure et Crabbe et Goyle avaient peine à le suivre, il les entendait se cogner les épaules dans les murs du wagon mais ne se retourna pas pour les regarder. Une fois arrivé devant un compartiment occupé par seulement 2 jeunes filles dont une suffisamment petite pour être une première année il décida d’entrer et de « réquisitionner » cet endroit. Il ouvrit violemment la porte et s’appuya contre le montant de la porte alors que Crabbe et Goyle venaient se poster derrière lui.

« Désolé mesdemoiselles, mais nous réquisitionnons le compartiment… »

Drago haussa les sourcils et s’avança dans le compartiment quand le train commença à freiner. *Bizarre, très étrange* Mais le Serpentard s’installa tout de même dans le compartiment tout en attendant que les demoiselles en sortent.

[HJ : Bientôt la coupure de courant et l’arrivée des Détraqueurs ^^]

Ca faisait un moment que j'avais quitté ma mère et ma soeur sur le quai de la gare de King's Cross prenant seul la voie 9 3/4 car ma mère avait peur que ça ne traumatise Ambre... Enfin, j'étais monté dans le train et m'était trouvé un compartiment vide pour moi, mais à un moment je dû aller au toilette et le compartiment fut vite remplis par des rouges et or. Je décidais alors d'en changer, c'est alors que j'entendis la voix facilement reconnaissable, il faut bien l'avouer de Drago Malefoy. Je vis alors un garçon roux qui était en face de la porte et baguette à la main, je décidais donc de sortir la mienne et de la planter délicatement dans son dos.

"Weasley, que nous fais-tu là ? Tu n'es pas un vilain bougre pourtant alors range moi cette baguette avant de faire du mal involontairement à quelqu'un", dis-je alors que le train stoppa et que toutes les lumières s'éteignirent.

Je me retrouvais projeté contre le chambrant de la porte, j'entendis ensuite des cris, je me retournais vers le couloir et vit que les fenêtre c'était mis à givrer.

"Qu'est-ce qui...", mais je n'eus pas le temps de finir qu'une ombre noir passa devant moi.

Je ressentis alors une profonde peine comme si mon coeur avait cessé de battre pendant un cours instant. Je regardais autour de moi, seul Drago semblait être impassible à ce qui venait de se passer.

[HJ: Je reprends à l'arrivé de Juliette et réponds aux messages dans l'ordre chronologique.]

DJ:

Katie, toujours obsédée par le visage en larmes de sa petite soeur lisait son livre de métamorphose, ou tout du moins essayait. Elle avait déjà lu 5 fois le même paragraphe sans comprendre lorsque la porte de son compartiement s'ouvrit pour la première fois. Katie tourna doucement la tête vers la nouvelle venue et lui sourit en se rendant compte qu'il devait s'agir d'une première année. Cependant, la jeune fille n'étant apparement pas apte à faire la conversation, la Gryffondor plongea de nouveau son regard sur son livre.

Elle réussit enfin à comprendre se qu'elle lisait, mais cela fut de courte durée. Ses pensées se retournèrent rapidement vers la petite Clara en larmes sur le quaie. L'enfant devait maintenant rire aux éclats avec ses parents, car ses derniers ne la laisserait surement pas déprimer très longtemps. Cependant Katie, elle, était seule, son frère l'ayant abandonné pour trainer avec ses amis de Serdaigle. Mais la jeune fille savait parfaitement que c'était pour mieux cacher le désarrois qui l'avait lui aussi envahie en voyant l'état de leur petite soeur.

Katie n'eut cependant pas le temps de trop s'appitoyer sur son sort car le compartiement s'ouvrit une nouvelle fois. La Gryffondor tourna une nouvelle fois la tête mais ne sourit pas. Elle eut même un air de dégoût. Malfoy et ses deux idiots de copains venaient de pénétrer son champ de vision. Mais lorsque la jeune fille entendit l'injonction de se petit cafard de Serpentard, elle ferma son livre violament et fixa le trio d'un regard noir.

"Alors les pieds niklés, on pense pouvoir faire sa loi? Foutter le camps et aller voir ailleurs si j'y suis."

dit elle sèchement. Ses yeux rougit par les larmes et son regard furieux donnaient l'impression étrange d'un taureau près à charger. D'ailleurs il ne fallait pas grand chose à la jeune fille pour attaquer toutes personnes la cherchant d'un peu trop près.

Mais heureusement pour elle George arriva et la jeune fille se détendit quelque peu, ne se rendant pas tellement compte que le train était entrain de ralentir. Elle esquissa un sourire et prit sa baguette dans sa main tandit que son ami en faisait de même.

"Salut George."

dit elle un peu sèchement, mais cela n'était pas du à la présence de George. Elle se leva et fixa la petite tête de fouine pendant quelques secondes avant de déclarer:

"Tu fiches le camps maintenant ou bien tu attends qu'on te foute à la porte sans plus de cérémonie?"

demanda-t-elle plus froidement que jamais. Elle sentait ses mains trembler sur sa baguette, tout comme le reste de son corps. Puis un autre Serpentard fit son apparition, prenant en traitre George qui tournait le dos au couloir. La jeune fille s'apprêtait à balancer un sortilège pour pouvoir avoir enfin la paix lorsque le train stoppa net. Katie se retrouva projetté dans son fauteuil et sous l'effet du choc lâcha sa baguette. Puis elle ressentit ses peurs les plus profondes remonter à la surface et la jeune fille, complètement terrorisée se recroquevilla sur elle même, son coeur battant à tout rompre, son soufle se faisant de plus en plus court et des goutellettes de sueurs froides ruisselant sur son front. Elle eut envie de crier, mais aucun son ne sortait de sa bouche, comme si le cri restait coincé dans sa gorge.

Juliette était assise tranquillement, pensant à sa mère et à tout ce qu'elle avait vécu dans ces quatres derniers jours. Sa mère l'a mis à la porte... Soudain, Juliette fut sortie de sa rêverie car une personne avait pris la parole. La jeune fille releva la tête et regarda la fille devant elle. Celle-ci regardait à l'extrémité du compartiment. Juliette porta donc son regard vers la porte. C'est alors qu'elle vit... un rat... Enfin, une personne vraiment atrocement laide. Juliette le dévisagea avant qu'il ne prenne la parole.

-Désolé mesdemoiselles, mais nous récquisitionnons le compartiment…

Juliette n'en croyait pas ses oreilles. Ce rat... Enfin, ce garçon voulait la mettre dehors du compartiment? Juliette éclata de rire.

- Non mais tu te crois ou? Au zoo peut-être? Tu es qui pour nous demander de sortir de ton compartiment?

Elle insista sur le mot "ton".

- En passant, les mots qui sortent du dictionnaire, garde les pour toi. Désolé pour toi mais je ne sortirai pas d'ici. Et puis, dit-elle en se tournant vers la jeune fille, je ne crois pas non plus qu'elle va vouloir t'écouter. Surtout que je suis plus jeune qu'elle et que je protèste. Donc, va jouer ailleurs.

Puis, elle se retourna dehors pour continuer de regarder. Juliette avait été claire. Elle ne supportait pas des gens comme ce rat qui venait de lui adresser la parole comme si il était le dieu de l'univers. Elle se tourna discrètement pour regarder ce qu'il faisait ; il semblait sur le point de départ. Juliette avait écouté également très attentivement les répliques de la jeune fille à côté d'elle. Apparamment, elle s'appelait Katie Bell. Un garçon venait d'enter dans le compartiment et il était... Roux! Juliette lui sourit mais il ne sembla pas la remarquer. Elle aimait les gens qui n'avait pas les mêmes couleurs de cheveux que les autres... Lui, il était hot! Juliette était sur le point de lui parler lorsque le train se stoppa raide. Elle se rassoya si rapidement qu'elle eu mal au pied. Soudain, dehors, à l'extérieur, la vitre était complètement gelée. Juliette se sentit soudain attrocement seule. Elle repensait sans le vouloir aux évènement d'y il y a quelques jours. Soudain, une choses -enfin, si on pouvait appelé cela comme ça- entra dans le compartiment. Ça ressemblait à... Un détraqueur! Juliette les craignaient plus que tout. Nathan lui avait expliqué que ces choses étaient les gardiens d'Azkaban et qu'ils étaient très dangeureux. Son grand frère lui avait dit que pour les repoussés, il fallait dire une formule comme... Spero Patronum. Juliette se resaisit. Elle regarda autour d'elle. Les autres gens semblaient tous aussi terrifiés qu'elle. Elle sorti dans un élan de panique sa baguette magique et la pointa sur la chose.

- Sperooo Pattroonnuume!!! Avait-elle hurlé si fort qu'elle même avait eu mal à la tête.

Rien. Le détraqueur avait regardé autour de lui puis était sorti, toujours aussi dégoûtant. Juliette s'était donc rassise, la tête qui lui faisait toujour aussi mal, et avait rangé sa baguette.

- Pourquoi sont-ils ici alors qu'habituellement ils gardent Azkaban? Quelqu'un peut m'expliquer? Demanda Juliette dans un élan de panique.

Drago gardait accroché à ses lèvres un petit sourire hautain et supérieur. La réaction des deux jeunes filles ne se fit pas tarder. Elles protestèrent. La plus âgée se montra incroyablement vulgaire mais le Serpentard ne bougea pas d’un centimètre. Qu’est ce qu’il avait à craindre, Crabbe et Goyle ne feraient qu’une bouchée d’elle et s’occuper de mini-pouce (Juliette) ne serait qu’un bonus qui ne leur prendrait pas beaucoup de temps.

« Très joli ton vocabulaire Madame la conjonctivite… Surtout ne m’approche pas, je ne voudrai pas chopper ce truc épouventable qui rend tes yeux si rouges et si affreux. Oh non je sais… se sont des larmes… on ne va pas revoir papa-maman pendant deux mois et on est triste… »

La mini-fille (Juliette ^^) elle était secouée d’un rire forcé épouventablement désagréable et Drago ne lui accorda que peu d’attention, gardant son sérieux et son sourire méchant jusqu’à ce qu’elle sorte une phrase qui avait tellement peu de sens qu’elle le fit ricaner.

« Toi le nain de jardin je t’ai pas sonnée. » Drago prit une petite voix aigue pour imiter son ton « Les mots qui sortent du dictionnaire garde les pour toi. » Puis il reprit sa voix normale pour répliquer à Juliette « Quand tu sauras t’exprimer et que tes phrases voudront dire quelque chose préviens moi surtout, je ne voudrai pas rater ce grand moment. En attendant, vous faites ce que je vous dis et vous sortez. »

D’un signe de tête, Drago intima à Crabbe et Goyle l’ordre de se saisir de ces deux pimbêches et ils pénétrèrent dans le compartiment. Crabbe se dirigea vers Katie et Goyle vers Juliette quand Weasley apparut à la porte. La grande gourde semblait contente de le voir et lui dit bonjour avant de redemander à Drago de partir. Crabbe et Goyle avaient laissé leur mouvement en suspend et Drago avait reporté toute son attention sur George. La baguette du Gryffondor était pointée sur lui mais le Serpentard même si son cœur s’était mis à battre plus rapidement se doutait bien que le Gryffondor ne serait pas assez stupide pour s’en prendre à lui.

« Weasley… T’as perdu ton jumeau ? Tu l’as vendu quelque part en Egypte, on dit que le voyage vous a coûté si cher que vous avez été obligés de vendre des membres de votre famille en esclavage. Je doute que des personnes aussi stupides que vous puissent être efficaces comme esclaves mais les Egyptiens sont des gens si généreux… Vas-y jette moi un sort et s’en est fini de ta famille minable. Vous serez tous renvoyés de l’école jusqu’au dernier et ton père finira sur la paille. Ah non pardon, il y est déjà ! Quelle tristesse… »

Drago, Crabbe et Goyle éclatèrent de rire et Blaise arriva à ce moment là pour intimer à George l’ordre de baisser sa baguette. A ce moment-là le train s’était immobilisé complètement et tout le compartiment était sans dessus dessous. L’atmosphère devenait tout d’un coup de plus en plus oppressante et une grande panique commença à naître en Drago qui se tut d’un coup. Il s’aggrippa à la manche de Goyle et se glissa derrière lui se laissant tomber sur une banquette. Un sentiment d’angoisse profonde le saisit à la gorge et il aurait donné n’importe quoi pour s’enfuir d’ici. Il se sentait profondément mal, malheureux et avait perdu toute envie de rire. Des ombres menaçantes semblaient grandir autour de lui et son regard n’avait plus rien à se raccrocher jusqu’à ce qu’une créature horrible entre dans la pièce.

Quand Drago la vit, il entrouvrit la bouche et sa lèvre inférieure se mit à trembler laissant échapper un léger gémissement. Un frisson lui parcourut le dos mais il ne pouvait détacher son regard de la créature horrible qui avait pénétré dans le wagon. C’est alors que mini-pouce se mit à hurler un sortilège qui n’eut absolument aucun effet mais la créature ideuse quitta alors le compartiment pour s’intéresser au couloir du train.

Chacun resta choqué quelques secondes par cette apparition et Drago qui s’était recroquevillé sur sa banquette ne déserra pas les dents. Cette créature était un détraqueur et avait eu un effet plutôt dévastateur sur les personnages du compartiment. Le Serpentard ne pensait plus du tout aux provocations qu’il avait lancé deux minutes plus tôt et fixait le bout de ses chaussures l’air perdu en attendant que le train reparte.

Juliette regardait Malefoy, cet imbécile de Serpentard. Oui, elle se doutait bien de sa maison, ça paraissait évident, à en voir son comportement aussi prétentieux et irresponsable. Lorsqu'il la traita de nain de jardin, Juliette explosa de colère.

- Toi espèce de rat embulant! Avec ta tête blonde tu devrais te regarder avant de parler, imbécile. Tiens, tu veux un mirroir peut-être? Dit-elle d'un ton sarcastique en sortant un mirroir de sa poche.

Juliette était rouge de honte. Elle détèstait vraiment ce garçon, et elle lui ferait payer ce qu'il avait dit. Elle rangea dans un bruit sec son mirroir dans sa valise, puis se retourna vers lui, le sourire sarcastique sur les lèvres.

- En passant, je sais pas si tu fais de l'Alzheimmer, mais tu as dit plutôt < Désolé mesdemoiselles... Alors, tu la ferme compris! La prochaine fois, pense avant d'agir, irresponsable...

Puis, elle se retourna vers la fenêtre, espérant que le train redémarre. Elle était vraiment furax. D'un coin de l'oeil, elle regarda Katie. Elle semblait tout aussi éberluée qu'elle. Juliette lui sourit, attendant que le train reparte.

[Désolé si le poste est court mais j'était trop impatiente de répondre à notre cher Drago... ^^]