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 Cours n° 1: troisièmes années et plus.

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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyLun 5 Mar - 21:43

Aelita fut anxieuse de se retrouver en compagnie, de Neville Londubat, il faut dire que le garçon n’était pas très doué en matière de potions. Mais elle lui souris quand même, quand elle vint s’installer prés de lui, elle eut alors un regard qui voulait dire « ne t’inquiète pas tout se passera bien cette fois ». Aelita avait déjà vu Hermione Granger, aider le pauvre Londubat et elle comptait bien faire la même chose sans toutes fois, faire le travail qu’elle lui donnerait à exécuter. La jeune Serdaigle se mit à rougir, car elle avait quand même fait perdre cinq points à sa maison, pour avoir répondu un peu trop vite à la question de son professeur.

*Dire qu’il n’a même pas donné de point pour ma réponse*, pensa-t-elle sans relever les yeux. *Par contre, il accède à la requête d’un élève, ce qui ne lui ressemble pas…, enfin*, soupira-t-elle.

Aelita se leva alors pour aller prendre tous les ingrédients, c’est à ce moment là, qu’elle vit que certains élèves étaient entrain de se débattre pour que leur manuel tienne à la bonne page. Elle eut un petit sourire condescendant, et retourna à sa place, elle prit ses feuilles de parchemin et n’eut même plus besoin de les lire, car elle connaissait maintenant la potion. Elle fut soulagée qu’Ernie lui pose un question ce qui voulait dire qu’il ne lui en voulait pas trop.

~ Nous ferions mieux, de communiquer par se biais, si nous ne voulons pas perdre des points. Je ne voulais pas faire perdre des points à ma maison, tu sais, c’est juste que ça m’a échappé tout à l’heure. Sinon est-ce que ça te dérangerait de couper les choux ? Tu me serais d’un grand secours ~

Elle lui remit le morceau de parchemin en lui souriant, tandis que Neville était occupé à lire le morceau de parchemin, elle s’afféra à prendre une pousse de mandragore et de découper des morceau fins et égaux à l’aide du couteau en argent. Elle leva les yeux un instant vers le professeur Rogue, cet instant suffit à la déconcentrer et le couteau vint lui entailler le doigt.

Aïe, fit-elle imperceptiblement, mais elle avait lâché le couteau qui tomba en un bruit métallique sur le sol des cachots.

Elle vit alors qu’une fine goûte s’échappait alors de la plaie et vint couler le long de son doigt, elle s’empressa d’y poser ses lèvres et ensuite sa langue. Aelita espérait que le professeur Rogue n’avait pas entendu le bruit qu’avait provoqué le couteau en tombant. Elle resta figée un instant, ses yeux regardant le plus possible à sa gauche, pour voir si le professeur n’arrivait pas par derrière, comme il avait l’habitude de le faire. Ce qui la faisait sursauter à chaque fois, elle sentait le goût métallique du sang lui couler dans la bouche pendant qu’elle suçait son doigt.

- Le professeur Rogue est une vraie chauve souris, il ne sort que la nuit et reste dans ses cachots sombre et froid la plus part du temps. C’est un vampire, j’en suis certain…, crois moi Aelita un jour ou l’autre on découvrira qu’il a un goût très prononcé pour le sang ! –

Les paroles de son frère Samuel, lui revinrent en mémoire et lui glacèrent le sang, elle frissonna rien qu’à cette idée, que son professeur soit un être de la nuit.


[563 mots]
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Susan Montgomery-Bones
Susan Montgomery-Bones
Directeur Poufsouffle

Parchemins : 1823
Âge : 35 printemps (21 juin 1980)
Actuellement : Professeur de sortilèges
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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyMar 6 Mar - 16:14

Susan rougit violemment (le début d’une longue série de rosissement facial d’ici la fin du cours, n’en doutons pas) lorsque Alister tira une feuille de parchemin pour communiquer. Mais quelle idiote elle faisait, de ne pas y avoir pensé elle-même ! Rogue allait probablement retirer des points à Poufsouffle parce qu’elle avait chuchoté quelques minutes auparavant.

La fillette retint de justesse un «Oh je suis vraiment désolée !» qu’elle sentait tout près de franchir ses lèvres. Inutile d’en rajouter une couche, Poufsouffle n’en avait pas besoin. Au lieu de cela, elle se contenta de gratifier le jeune garçon d’un sourire tremblotant d’admiration éperdue (ou peu s’en faut), l’air de dire «Ohlàlà ! Mais qu’est-ce qu’il est intelligent, ce petit !»

Pour dissimuler sa gêne, elle entreprit d’enfiler ses gants. Un exercice qui lui prit bien trois minutes de plus qu’il n’était nécessaire tant elle était fébrile. Travailler avec quelqu’un était déjà suffisamment stressant mais alors si en plus ce quelqu’un se révélait être un aîné particulièrement intelligent, elle risquait fort de passer pour une fillette empotée. Plus que de coutume, en tout cas.
Elle s’attacha nerveusement les cheveux («Un cheveu dans ma potion, c’est dix points en moins pour ma maison !», qu’on se le tienne pour dit !), ce qui, avec les gants, n’était pas très pratique avant d’oser lancer un coup d’œil en dessous à Alister.

Lequel venait tout juste de finir d’écrire son mot. Susan le prit avec précaution – il était si facile de faire tomber tout ce qu’on touchait lorsqu’on portait des gants qui tenaient beaucoup plus du gant de boxe que de l’élégant gant de soirée – et le lut avec attention avant d’adresser un regard plus long et visiblement un peu perplexe à son binôme. Il devait vraiment la prendre pour une petite nature et une idiote en puissance, pour lui proposer de faire toute la partie désagréable – qui était accessoirement la plus ardue – du travail. Susan avait le sentiment cuisant d’être une potiche maladroite et que le mot d’Alister transpirait de condescendance.

*Note, je le comprends, moi aussi, je ferais la même chose, si je devais travailler avec moi*, réfléchit-elle en son for intérieur.

Persuadée d’agir comme une enfant gâtée, elle hocha la tête en signe d’assentiment, repoussant fermement l’inhabituel orgueil qui menaçait de venir lui chatouiller le cœur. Après tout, Alister avait bien raison, de ne pas lui faire confiance : il ne voulait pas rater la potion et Susan n’était qu’une pauvre petite troisième année.

La fillette se dérida cependant bien vite. Et comment faire autrement face aux tentatives désespérées d’Alister pour couper le chou sauteur. Leur spécimen portait tout particulièrement bien son nom. Quoiqu’on aurait également très bien pu le surnommer «Chou mordeur».

Elle écarquilla les yeux d’un air horrifié lorsque le végétal (mais en était-ce bien un ? Ne s’agissait-il pas plutôt d’un végénal ? Forme hybride comprise entre l’animal et la plante ?) attrapa le doigt ganté (et pour le coup, elle bénissait les gants ultra rembourrés qu’on les forçait à acheter) d’Alister.
Une mimique anxieuse qui se changea persque aussitôt en un grand sourire amusé : visiblement, il n’y avait pas de mal et la situation, à bien y regarder, était franchement comique. Elle avait l’impression d’assister à un numéro de cirque «Le terrible combat entre l’homme et la Nature» ou quelque chose de ce genre.
Où l’on découvrait que les plus forts n’étaient pas nécessairement ceux qui avaient les dents les plus pointues et que la lutte pour la survie pouvait pousser à bien des extrêmes. Pour un peu, Susan aurait applaudi, si elle n’avait pas craint de blesser l’amour-propre d’Alister («vas-y, toi, si c’est si facile !») ou de se faire punir par Rogue («Les potions, Bones, sont une matière sérieuse absolument interdites aux greluches au QI de crevette congelée !»).

Finalement, Alister n’avait peut-être voulu que faire preuve de galanterie et de prévenance, en suggérant cette répartition du travail ? Car sûrement, se faire attaquer par un chou mordeur à l’état sauvage n’avait rien de très agréable, même lorsqu’on portait ses super gants garantis sans peau de castor !

Susan, désormais reconnaissante, s’empressa de poser son livre de métamorphose d’un côté du livre et son lourd encrier de l’autre de manière à ce que celui-ci tienne sans avoir besoin d’une assistance autre. Puis, saisissant la plume à son tour, elle inscrivit en écriture «pattes de mouche», à la suite d’Alister :

~ Voilà qui devrait faire l’affaire, je commence à faire bouillir l’eau. Voulez-vous que je pèse l’aconit ensuite ? ~

En attendant la réponse d’Alister, Susan déposa son chaudron (toujours au fond ni trop fin, ni trop épais) à l’endroit prévu pour le feu et, tirant sa baguette de la poche de son gilet, prononça d’une voix fluette :

- Becbinzen forte !

Une formule qu’elle trouvait bien plus rigolote que l’incendio classique, et Merlin savait à quel point on avait besoin d’humour dans les cours de Rogue !
Un feu d’une bonne intensité s’alluma sous le chaudron que Susan remplit de la dose d’eau voulue, soigneusement mesurée.


(845 mots)
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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyMar 6 Mar - 21:04

[i]Tracey manqua d’écarquiller les yeux d’horreur quand Rogue annonça les binômes à la classe. Elle avait bien sûr déjà remarqué que le faible nombre de verts et argents présent ne permettait pas de constituer beaucoup de groupes mais de là à ce que Rogue la place avec un poufsoufle ! [/i]

*C’est complètement insensé !* se dit la jeune fille alors que certains élèves se levaient pour aller rejoindre leur partenaires et songea à son plus grand effroi qu’elle devrait probablement faire de même. Cependant elle n’eut pas à sa donner cette peine et elle sursauta légèrement lorsqu’Ernie vint s’asseoir à côté d’elle et la salua d’une manière aussi grandiloquente que chaleureuse.

Jetant un œil morne au garçon elle se résigna, au moins elle connaissait Ernie et, d’après ce qu’elle savait, il n’était pas aussi désastreux en Potions que pouvaient l’être certaines personnes…. (Son regard se tourna instinctivement vers Neville Londubat qui se levait à son tour pour rejoindre son binôme.)

Bien, même si la conjoncture n’était pas idéale, Tracey se résigna à faire avec et adressa un sourire poli au garçon qui lui souriait depuis déjà quelques minutes.


« Moi de même. » Elle fit une pose. « Commence plutôt par peser l’aconite, je m’occuperai du choux et de la mandragore. Il est vrai que le maniement du couteau exige une certaine dextérité et, bien que je ne doute pas de tes talents, j’apprécierai que ma moyenne en Potions n’ait pas à dépendre de ton habilité. » acheva t-elle avec un sarcasme à peine voilé.

Une fois cela dit, Tracey se détourna du jeune garçon alors qu’elle prenait sa paire de gant et les enfilait. Puis elle se saisit de la boîte qui contenait le choux mordeur, l’immobilisa habilement à l’aide d’un sortilège et en préleva trois feuille qu’elle mit soigneusement de côté…
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Ernie MacMillan
Ernie MacMillan
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Parchemins : 683
Âge : 37 jets de cheveux (7 Octobre 1979)
Actuellement : Adulte [Département de la coopération magique internationale]
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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyJeu 8 Mar - 20:56

Et comme de juste, la remarque acerbe de la jeune sorcière passa totalement au-dessus de la tête – bien remplie mais pas toujours très douée pour les sous-entendus – de Tracey. Il était persuadé d’avoir un niveau plus que correct en potion et de ne devoir ses notes moyennes qu’à la partialité outrageantes du professeur Rogue. Une certitude qui, soit dit en passant, était en partie avérée.

Au contraire, bien loin de s’offusquer, Ernie sembla positivement enchanté de cette remarque, estimant qu’il avait un binôme bien décidé à mettre la main à la pâte et probablement déterminée à réussir la potion. Deux sentiments qui rejoignaient tout à fait ceux d’Ernie.
C’est donc d’un ton qui n’avait rien perdu de son enthousiasme (apparemment peu contagieuse), qu’il rétorqua :

- Très juste, très juste, comme le dit si bien le proverbe, on n’est jamais si bien servi que par soi-même.

Il manqua de rajouter «D’ailleurs, je ne sais pas ce que tu en penses, mais personnellement, je trouve cette idée de binôme assez peu engageante : imagine que ta potion échoue parce que ton partenaire a fait une erreur que toi tu n’aurais jamais commise ? Te voilà injustement pénalisé !» Il s’en abstint cependant, jugeant que si Rogue (la petite ordure Ce cher homme avait l’oreille fine !) venait à entendre cette remarque, Poufsouffle allait sombrer dans les abysses, question points. Le cher maître des potions devait d’ailleurs n’attendre que ça, étant donné que Serpentard se trouvait juste après Poufsouffle dans la course aux points.

Le jeune garçon se contenta donc d’enfiler ses gants avec une minutie toute particulière, sait-on jamais, des fois que le chou mordeur serait spécialement hargneux et lui sauterait sauvagement dessus pour lui dévorer les doigts dans des bruits de succions goulus. D’ailleurs, maintenant qu’il y pensait, ne fallait-il pas mieux mettre également un cache-nez ?
Mais Tracey s’en tira parfaitement avec le chou et Ernie ne put que se féliciter d’être tombé avec un binôme aussi compétent en la matière. Sans s’en apercevoir, il hocha la tête de manière affreusement approbatrice, comme s’il était un professeur fier de son élève. Une attitude qui ne manquerait pas d’agacer Tracey si elle venait à la remarquer.

Le jeune Poufsouffle releva ses manches et saisit le lourd chaudron qu’il posa à l’endroit prévu pour le feu avant de prononcer d’un ton plus qu’assuré le très drôle mais très pratique «Bekbinzen forte», une formule qu’il préférait à l’incendio non pas, comme Susan, à cause de son côté humoristique, mais parce que moins connue que le sempiternel «incendio», elle était plus susceptible d’impressionner l’entourage potentiel (la chose aurait toutefois été beaucoup plus impressionnante si Ernie ne ressortait pas le sort à chacun des cours de potion).

Puis, sans perdre de temps, il remplit le chaudron de la quantité d’eau voulue, mesurée avec grand soin, avant de prendre le petite flacon contenant la poudre d’aconit et une balance en apparence assez ancienne.
La mine tellement concentrée que s’en devenait presque risible (encore un peu et il tirerait probablement la langue, façon «gamin qui colorie son dessin sans dépasser»), Ernie pesa avec minutie, obéissant avec une bonne volonté horripilante aux «ordres» de Tracey, qui s’était auto proclamée chef de groupe. Une déclaration unilatérale qu’Ernie n’avait même pas relevé tant son côté égalitariste était exacerbé.

Ceci fait, il plaça dans une petite coupelle la bonne dose d’aconit avant de jeter un coup d’œil à l’eau… Qui bouillait joyeusement, juste ce qu’il faut pour faire du thé. Si Ernie ne s’était pas appelé Ernie et si son binôme n’avait pas été une Serpentard, si aurait probablement dit quelque chose comme «Bergamote ou nature ? Avec un nuage de lait ? Et deux sucres ?». Au lieu de quoi il se contenta d’un malheureux :

- Je pense que tu vas pouvoir mettre la première feuille de chou… Tu veux que je coupe la mandragore, pendant ce temps ?


(651 mots)
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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyLun 26 Mar - 19:02

Que de changements ! La jeune sorcière avait entendu les groupes qu’avait donnés son enseignant et cela ne l’avait guère réjouie. Elle devait donc faire équipe avec Aelita ? Cette idiote de serdaigle ? Cette fille incompétente ? Et surtout irresponsable ? La jeune sorcière était donc bien bas cette fois-ci… Cependant, le destin fit basculer sa vie grâce à une remarque très judicieuse de son collègue et préfet : Isaac Irving. Le jeune homme blond demandait un changement d’équipe, il souhaitait être avec elle plutôt qu’un poufsouffle, il était certain que la comparaison n’était même pas à faire. Une serpentard au sang pur et avec de nombreuses qualités face à un poufsouffle stupide, incapable et surement souillé… le choix était vite fait. La question ne se posait même pas.

Les changements s’effectuèrent, et Aelita fut par la suite en binôme avec Neville, lequel des deux était le plus à plaindre ? Tandis que les deux serpentards se retrouvaient ensemble. Dawn sourit à Isaac tendis qu’ils prenaient place à la table que leur avait attribué leur professeur. Dawn ne perdit pas de temps, un long travail les attendait, ils pourraient de toute façon parler quand ils patienteraient durant le temps de cuisson de la potion.


« Je vais chercher les ingrédients, et après on s’occupe de cette formidable potion… »

On pouvait nettement sentir de l’ironie dans ses propos. Nous étions en février, la neige était encore présente, recouvrant parfois le vaste parc, mais se faisant de plus en plus rare au plus grand regret de la jeune serpentarde. La jeune fille se leva, et se dirigea vers la table du fond. Elle saisit les ingrédients dont ils avaient besoin, les ustensiles se trouvant déjà sur la table, puis rejoignit son collègue et reprit, mettant une de ses longues mèches noires derrière ses épaules :

« Bon et bien je m’occupe des racines ? »

Elle attendit que son collègue approuve, puis saisit le couteau en argent et la racine de mandragore, puis elle la coupa avec précision. Dawn était une jeune fille très perfectionniste, c’est pourquoi chacun de ses morceaux de racine étaient semblables. La jeune sorcière était très fière d’elle. Ils étaient petits et égaux, on ne peut plus égaux, ses yeux ayant peut-être un décimètre intégré ?

Elle poursuivit avec l’aconite dont elle préleva 5 grammes, aimant la précision, elle attendit que la balance n’affiche bien que 5 grammes, au millième près. Puis elle jeta un coup d’œil à Isaac, observant ses faits et gestes.
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Severus
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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyLun 26 Mar - 20:46

Les élèves s’activaient… plus ou moins. Ce n’était pas la folie, c’était sûr, mais bon ils avançaient à peu prêt dans leur travail. Hélas, certains semblaient être extrêmement inactifs en cette belle journée. Mais était-ce vraiment uniquement aujourd’hui ? Non, aussi loin que remontent ses souvenirs, Rogue les avait toujours vu aussi neutre, aussi passif, des bons à rien, des idiots qui n’avaient rien à faire ici.

Les changements n’avaient pas plu à tout le monde, mais honnêtement, Rogue s’en moquait bien, il faisait comme il voulait, c’était sa classe, son cours, et ceux qui n’étaient pas contents, ils se taisaient ou été puni. Un renvoie pur et simple, quelque point en moins et une retenue, c’était assez intéressant non ?

Severus lança un regard à la pendule qui était au mur, à l’autre bout de la salle et dit :


« Plus que 30 minutes. »


[Vous avez jusqu’au 16 avril pour me finir votre travail. Une fois la date passée, vous aurez ou non, achevé votre potion, sinon nous ne sommes pas sortis de l’auberge.]
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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyLun 2 Avr - 18:23

Après sa requête le professeur de Potion accepta les changements de groupe. C’est donc Stones qui allait devoir supporter ce maladroit de Londubat… Rectification ! C’est cet incompétent de Londubat qui allait devoir se coltiner cette pimbêche de Serdaigle.

Prenant place près de sa collègue, il lui adressa un petit clin d’œil complice avant de prendre connaissance des ingrédients. * Feuilles de Chou Mordeur de Chine, super ! Queues de rat, pousse de Mandragore, aconite en poudre, eau * récita-t-il dans sa tête en grimaçant à la lecture du premier aliment. Bon allez, il fallait mettre le paquet sur cette potion afin de redresser le niveau des Serpentards. Dernier du classement, c’est vraiment impardonnable.

Dawn se désigna pour aller chercher tous les ingrédients. Le temps de se rendre à la table, prendre ce dont ils avaient besoin, Isaac prit un récipient gradué le rempli de cinquante centilitres d’eau et le versa dans le chaudron sous lequel il alluma un bon feu afin qu’elle boue. Sa collègue revint avec ce qu’il fallait et déposa le tout sur leur table de travail. Il redressa ses manches, près à attaquer les racines de Mandragore quand elle le devança, lui laissant le Chou Mordeur de Chine. « Bien, je m’occupe du reste. » répondit-il en étudiant le légume de plus près. Après quelques secondes, il alla chercher sa paire de gant en peau de dragon et empoigna la bête crudité, prête à lui arracher un doigt.

« Saleté » marmonna-t-il en lui maintenant son bec bien fermé afin d’arracher les trois feuilles requises pour la préparation. Une fois les avoir en main, il prit le couteau en argent utilisé par la jeune sorcière et le planta net dans le Chou Mordeur afin qu’il ne commette personne en danger dans le cachot de Potion. Jetant un œil à l’eau, il constata que celle-ci était en ébullition. Bien, il était temps d’insérer tous les ingrédients préalablement préparé par les deux apprentis. L’héritier Irving mit la première feuille, patienta une minute, mit la deuxième feuille sans être en avance ou en retard d’une seconde, et fit de même pour la troisième.

Les yeux rivés sur son horloge – il ne l’utilisait que pour le cours du Professeur Rogue -, il réduisit le feu, attendit que cinq minutes top chrono défilent pour mettre les deux queues de rat. Muni de sa grande louche, il la plongea pour mélanger la potion. Les trois premiers mouvements d’effectuèrent dans le sens des aiguilles d’une montre, tout en douceur, et s’enchainèrent deux autres tours dans le sens inverse. Puis, avec l’aide de quelques morceaux de bois, il réactiva les braises pour que la préparation boue à nouveau.

Durant ce temps, il prit quelques secondes pour retirer les gants en peau de dragon. Qu’est ce que ça pouvait être désagréable. Il allait se renseigner auprès de sa petite amie pour qu’elle lui confectionne une paire de gant, élégante, qu’il pouvait mettre sans problème au-dessus de sa paire personnelle.

« Tu veux bien continuer ? » demanda-t-il aimablement à son amie, passant sa main dans sa tignasse blond châtain avant de s’asseoir au bureau pour noter quelques observations.

*-*-*-*-*-*-*
523 mots
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Susan Montgomery-Bones
Susan Montgomery-Bones
Directeur Poufsouffle

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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyLun 2 Avr - 21:55

Susan se sentait vaguement coupable de ne pas avoir attendu la réponse d’Alister pour commencer à peser l’aconit mais elle tenta de se rassurer en songeant qu’il ne restait que peu de temps avant la fin du cours et que leur potion était loin d’être finie… Ce qui l’empêcha pas pour autant de lancer de temps à autre des coups d’œil anxieux à son binôme, à la recherche du moindre petit signe qui pourrait lui faire savoir qu’elle l’avait vexé ou qu’il était d’humeur chagrine.
Heureusement pour elle, Alister semblait bien trop concentré sur son travail pour se préoccuper d’une chose aussi puérile que les petits conflits entre partenaires de TP. Peut-être lui en toucherait-il deux mots à la sortie du cours ?

Secouant la tête afin d’en chasser cette inquiétante perspective – Alister était bien plus grand qu’elle et n’aurait probablement eu aucun mal à la plaquer contre un mur pour lui faire entendre ses quatres vérités, parmi lesquelles on trouvait, notamment, le respect dû aux aînés – Susan reporta son attention sur la balance, la langue légèrement tirée tandis qu’elle en ôtait l’aconit en trop. Puis, elle plaça avec minutie les cinq grammes demandés dans une soucoupe qu’elle posa près du chaudron afin de l’avoir immédiatement sous le coude au moment voulu.

S’étant acquittée de cette partie du travail, elle constata avec satisfaction que l’eau bouillait. Comme quoi, même en potion, il arrivait que la synchronisation pointe le bout de son nez pointu. La fillette saisit donc avec précaution – sait-on jamais ! – la première feuille de chou mordeur, et la laissa tomber dans le chaudron.
Aussitôt, elle posa sa montre à trotteuse sur la table et garda l’œil rigoureusement rivé dessus, de crainte de ne déposer la seconde feuille quelques secondes trop tard ou trop tôt, une erreur qui lui vaudrait certainement les remontrances de Rogue et – ce qui était bien pire étant donné qu’il s’agissait d’un membre de sa maison et non d’un prof aigri et ronchon – d’Alister. Elle laissa tomber la seconde feuille pile au moment où Rogue annonçait qu’il restait trente minutes.

Susan tressaillit : trente minutes ?! Comment était-ce possible ? Elle avait le sentiment qu’à peine un quart d’heure s’était écoulé depuis le début du cours. Elle avait donc mis tant de temps à remplir le chaudron ? L’espace d’une seconde, elle faillit de tourner vers son camarade pour lui adresser un regard mi-perplexe mi-paniqué mais, réalisant subitement qu’elle risquait de rater le moment précis auquel la troisième feuille devait être ajoutée à la potion, elle parvint de justesse à rester fixer sur sa montre.

Il y avait quelque chose de comique, à la voir ainsi penchée avec un sérieux convenant plus à un ministre qu’à une petite élève, sur la montre, comme si sa vie en dépendait. Ce qui, dans son esprit était un peu le cas : elle ne doutait pas un seul instant qu’Alister l’étriperait, si jamais elle faisait échouer la potion. Quant à Rogue, il ne manquerait certainement pas l’occasion pour la railler et signaler d’un air affligé mais non pas surpris à quel point les Poufsouffle pouvaient être sots et incompétents «Et tout particulièrement vous, Bones !»
En retenant presque son souffle, elle mit la dernière feuille dans le chaudron et, d’un coup de baguette assortit d’un «Becbinzen piano», réduisit la puissance du feu.

Elle s’autorisa un petit soupir de soulagement en constatant que le contenu du chaudron n’avait pas l’air de vouloir lui exploser à la figure (ce qui était toujours bon à savoir) et repoussa un mèche de cheveux qui s’était détachée sans son autorisation, une preuve de rébellion qu’il allait falloir prendre au sérieux.
Sans quitter sa montre des yeux, elle tâtonna vers sa gauche jusqu’à ce que sa main rencontre le bocal contenant des queues de rat. Toujours sans regarder, elle en sortit deux, qu’elle posa à côté de la soucoupe d’aconit, avant de répéter sa manœuvre de perquisition du bureau à l’aveuglette pour trouver la mandragore… Elle semblait avoir totalement oublié Alister.


667 mots.
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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyMar 3 Avr - 19:46

Alister prit un morceau de parchemin et commença à noter soigneusement un oui, quant il vit que Susan prenait quand même les devant. Elle devenait un peu plus franche en sa compagnie, ce qui fit sourire le jeune homme. Alister quant à lui était entrain de découper en morceaux fins et égaux en taille une pousse de mandragore à l’aide d’un couteau en argent. Il regardait de temps en temps Susan, qui semblait terrifiée à l’idée de faire mal ce qu’elle avait entrepris de faire.

Une fois qu’il eut tout découpé, il se plaça derrière Susan, qui diminua l’intensité des flammes à l’aide de sa baguette et d’un sortilège. Elle prit les deux queues de rats à tâtons comme si elle ne regardait pas ce qu’elle faisait, Alister se pencha alors, pour constater que c’était exactement ça.

*Elle ne doit pas aimer se genre de chose*, pensa-t-il en la regardant plonger les deux queues de rat dans le chaudron.

Il frôla alors le corps de la jeune fille sans vraiment s’en rendre compte, il vit qu’elle cherchait de nouveau les tranches de Mandragore mais il retint sa main d’aller plus loin. Elle devait patienter encore un peu avant de la mettre, il posa une main sur son épaule, pour la rassurer et lui sourire chaleureusement. Il lui fit signe ensuite de patienter pendant cinq minutes, il reprit alors sa place et prit un bout de parchemin.

~ Je suis content, d’être tombé sur vous miss Bones, vous êtes une élève très douée, malgré que je m’en doutais dés que je vous ai vu en cours. J’espère que de travailler avec moi, ne vous éprouve pas trop, je sais que je veux faire beaucoup de chose…, mais ce n’est pas pour vous vexer ou vous offenser. J’ai eu une éducation typiquement anglaise et un homme ne peut pas laisser à une femme accomplir des actes dangereux. C’est pour cela que je vous ai empêché de toucher les choux sauteurs. ~

Rédigea-t-il tout en rougissant, il espérait que la jeune fille ne remarque rien, mais il était d’un naturel assez pâle alors qu’à présent, il était écarlate. Susan aurait dû être aveugle pour ne pas le remarquer, à cette pensée il rougit encore plus. Il essaya de s’occuper mais il n’avait plus d’autre moyen que d’attendre que les cinq minutes passe, quand se fut fait, il lui donna les lamelles de mandragore qu’il avait découpées. Il faisait confiance à Susan, il savait qu’elle était douée malgré le manque total de confiance qu’elle avait en elle.

Mélangez trois fois dans le sens des aiguilles d’une montre, puis dans fois dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, lit-il avec attention puis ré augmenté le feu, puis attendre l’ébullition.

Il se plaça encore une fois derrière Susan prit sa petite main dans la sienne et la guida pour qu’elle touille comme il se devait la potion, puis il raviva le feu à l’aide de sa baguette et ils attendirent patiemment que la potion se mette à bouillir. Une fois que cela fut fait, il déposa doucement les pousses qu’il avait préalablement découpées. Il éteignit ensuite le feu à l’aide d’un sortilège de vent, il reprit la main de sa binôme et mélangea doucement dans le sens des aiguilles d’une montre la mixture, pendant cinq minutes, il garda la main de Susan dans la sienne. Une fois que les cinq minutes furent passées, il déposa lentement la poudre d’aconit que Susan avait pesée, ensuite Alister resta donc le torse collé au dos de Susan en attendant le refroidissement de la potion, sans la mélanger évidement.


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Susan Montgomery-Bones
Susan Montgomery-Bones
Directeur Poufsouffle

Parchemins : 1823
Âge : 35 printemps (21 juin 1980)
Actuellement : Professeur de sortilèges
Points : 0


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SIGNE PARTICULIER:
RELATIONS:
SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: 2
FACECLAIM:


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Ξ Sujet: Re: Cours n° 1: troisièmes années et plus.   Cours n° 1: troisièmes années et plus. - Page 3 EmptyMar 3 Avr - 20:18

Si Alister était écarlate, Susan, elle, était cramoisie. Ils devaient former une jolie paire, à eux deux ! Ils auraient pu être perdus en pleine nuit dans une forêt touffue que les secours n’auraient probablement eu aucun mal à les repérer, même myopes et sans lumière.

La fillette avait fait un bond de trois mètres en arrière lorsque son aîné l’avait frôlée en passant, manquant au passage de renverser sa chaise, qu’elle avait repoussé au début du TP pour avoir plus de place. Oh Merlin ! Voilà, on y était, elle était probablement devenue obèse et Alister ne pouvait même plus se couler, tout mince qu’il était, derrière elle.
Elle tentait de reprendre ses esprits et surtout, la maîtrise de son rythme cardiaque, la tête penchée au-dessus du chaudron (mais l’œil prudent, sait-on jamais, des fois que des bulles marrons de mauvaises augures se mettraient à crever la surface de la mixture) lorsque Alister écrivit à son tour sur le morceau de parchemin «communication».

Ben ? Il en faisait tout en roman ! La curiosité ayant raison de sa timidité, Susan osa lancer un coup d’œil au petit texte de son binôme, s’attendant plus ou moins à y trouver formulées quelques remontrances en bonne et due forme sur sa manière de prendre les queues de rat dans le chaudron ou de peser l’aconit.

Elle écarquilla donc les yeux avec une surprise grandissante au fur et à mesure qu’elle avançait dans sa lecture… Et le rosissement facial de revenir avec plus d’enthousiasme encore que précédemment. Elle ouvrit la bouche sur un «Oooh !» muet avant d’adresser un long regard perplexe à Alister, se demandant vraisemblablement s’il était ironique ou bien parfaitement sincère et, dans ce dernier cas, si il avait bel et bien toute sa tête. Finalement, elle opta pour la solution de facilité plutôt que de s’engager franchement sur l’une de ces deux fois : elle pinça les lèvres et haussa les sourcils, l’air de dire «N’importe quoi !» et, sentant que ses joues brûlantes la trahissaient – c’était tout de même agréable, de s’entendre dire que l’on était douée ! – elle piqua du nez en direction de ses chaussures, une réaction qui ne lui permis pas d’admirer le rougissement d’Alister mais plutôt la petite marque de terre qui auréolait le bout de son soulier gauche, un souvenir du cours d’herbologie de la veille, sans doute !

Elle respira un grand coup pour tenter de se calmer avant de saisir, à l’heure voulue, les queues de rat qu’elle déposa d’une main tremblante dans le chaudron, paniquée à l’idée de faire une bêtise.
Puis, elle prit les lamelles de mandragore que lui donnait Alister et, le remerciant avec un petit sourire hésitant, elle les déposa juste à côté de la poudre d’aconit.
Alors qu’elle s’apprêtait à touiller la mixture à l’aide d’une grande cuiller en bois qui faisait plus penser à l’instrument d’une ogresse de conte de fée (et qui, par conséquent, dans la main de Susan, était d’un ridicule accompli) qu’à une bête cuiller, elle sentit la main d’Alister prendre la sienne pour la guider dans sa manœuvre.

A nouveau, la Poufsouffle fit un bond de souris coincée par le vilain gros matou velu dans les airs et écrasa le bout de la chaussure de son camarade. Grimaçant de gêne en le constatant, elle ôta vivement son pied, vira au pourpre (oui, j’ai bien dit «pourpre») et balbutia un «désolée» inaudible.

Heureusement pour elle, qui n’osait plus faire le moindre geste hormis tourner mécaniquement la potion ni même respirer normalement, Alister se chargea de la fin des opérations. Lorsque tout fut fini, Susan lança un coup d’œil prudent au contenu du chaudron avant de tourner la tête, l’air interrogateur (et surtout idiot, sa nuque formait un angle très original avec le reste de son corps), vers Alister, cherchant à déterminer si la potion était réussie ou non.

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