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 Un moment de détente... hum [Pv Apophis]

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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptySam 23 Juin - 13:38

Une fois sortie de la boutique, elle aperçu l’Auror, elle s’approcha de lui mais il recula, elle fit une nouvelle tentative mais il reculait toujours.

*C’est pas vrai à quoi, il joue ? On dirait un bébé Magyar qui veut jouer*, pensa-t-elle en le regardant.

Heureusement Darius sorti lui aussi pour voir si sa protégée n’avait pas besoin d’aide, il le regarda le toisa un moment du regard.


- Alors c'est lui ton client ? demanda-t-il alors que le jeune femme secouait la tête en un signe positif.

Lorelai avait un petit sourire en coin et Darius répondit à son sourire, sans que l’homme ne s’en aperçu. Entre temps le maître tatoueur avait réussi à le maintenir, malgré qu’il était plus petit d’au moins une tête, il était plus épais en muscles. L’Auror se débâtit ce qui n’aurait pas été drôle pour Lorelai si il c’était laissé faire. L’homme dit qu’il devait le lâcher car il était Auror, ce qui fit bien rire Darius vu que la plus part de ses clients venaient du ministère de la magie.

Darius le traîna alors de force dans sa boutique, et l’emmena dans l’arrière salle, où de nombreuses tables étaient disposées et où deux clients étaient entrain de se faire faire des tatouages par les apprentis de Darius. Mais le maître tatoueur, n’allait pas laisser ses apprentis toucher à l’ami de sa protégée, aussi c’est lui qui allait faire le tatouage éphémère de l’homme.

L’Aurore était entrain de paniquer, Lorelai l’aurait cru un peu plus téméraire, elle était un peu déçue de son comportement, il agissait comme un chien qu’on voudrait mettre dans un chenil. Darius expliqua alors à l’homme qu’il était dans un salon de tatouage, mais il n’eut pas le temps de continuer que l’Aurore lui demanda où était l’arrière boutique.

*Imbécile* se dit-elle en le voyant réagir de la sorte, *monsieur pense que l’on veut l’enfermer maintenant*, pensa-t-elle en secouant négativement la tête.

Darius éclata de rire, ce qui fit sourire Lorelai, puis se dernier fixa l’Aurore le détaillait comme une pièce de viande ou plutôt de peau.

- Je vais pas t'enfermer, mon grand ! dit-il sérieusement en regardant l’Auror. T'as raison, il est immense ! Ca va faire de la surface, murmura-t-il à la jeune femme qui se tenait non loin de lui. Juste que ta copine ici présente voudrait que tu serves de cobaye !

L’Auror démentit alors que Lorelai n’était pas sa copine, puis il demanda pourquoi il allait être un cobaye. Darius sortit alors son stylet avec une aiguilles à l’extrémité et lui dit que c’était pour tatouer, il demanda ensuite à l’homme si il c’était déjà fait tatouer. L’homme balança sa tête de droite à gauche avant de répliquer que ce genre de fantaisies n’existait pas dans sa famille, avant de toiser la jeune femme d’un regard ampli de haine.

- Bref..., reprit Darius, bah la demoiselle que tu vois là veut que je t'en fasse un !

Tout à coup, Lorelai vit le visage de l'Auror blêmir en un clin d'oeil et se liquéfia, il avait l’air de ne plus rien comprendre de ce qu’il lui arrivait, ce qui fit sourire la jeune femme.

*Oh là, là, le grand costaud qui à peur d’une petite aiguille de rien du tout*, pensa-t-elle en le regardant.

L’homme demanda alors paniqué, ce qu’elle voulait, si c’était le tatouer comme un reprit de justice, Lorelai vit alors dans les yeux de Darius une étincelle briller. La jeune femme lui fit alors non de la tête car elle savait ce que l’homme avait comme idée pour faire accepter à l’Auror de se faire tatouer.

- Non ! Elle veut juste un dragon sur toute la longueur de ton dos !, dit-il avec un petit rire tout en considérant l’homme devant lui de haut en bas, autant te dire que ça va être un éénoorrme tatouage ! Héhéhéhéé...

Apophis dit alors à l’homme qu’il ne tatouerez rien mais alors rien du tout sur son dos ou quelques autres parties de son anatomie.

- Et pourquoi ça ?, demanda Darius toujours en fixant l’homme.

L’homme répondit alors de manière grossière qu’il ne se laisserait pas faire, quitte à se servir de ses poings. Ce que Darius n’apprécier pas du tout, il sortit alors sa baguette et prononça un sort informulé qui projeta l’Auror contre le mur derrière lui, il glissa lentement sur ce dernier.

- Darius ! dit-elle en se précipitant vers l’Auror mais le dénommé la retint avant qu’elle n’ait pu faire un pas.
- Elle a même dit que je devrais te le faire même si tu étais inconscient, reprit-il en le fixant de toute sa hauteur, c'est ce qu'elle veut !

Effectivement, c’est ce qu’elle voulait, car elle ne voulait pas qu’il souffre, mais apparemment l’Auror n’était pas conscient de se point de vue là. Il demanda alors au maître tatoueur si Lorelai avait encore toute sa tête, Darius haussa alors les épaules ce qui fit rire la jeune femme.

- Non... elle a raison !, reprit-il avec un petit sourire en coin, tu peux faire un très bon sujet !

L’Auror rétorqua alors qu’il n’était pas une toile de peinture, l’homme finit par se relever essuyant le sang qu’il avait à la commissure de ses lèvres et se réinstalla sur la chaise qu’il avait occupée avant.

- Alors, mec ? C'est pour aujourd'hui ou pour demain ?, lui demanda Darius.

Lorelai lui jeta un regard courroucé qui ne présagé rien de bon, quand on connaissait la jeune femme. L’Aurore leva le bras afin qu’on lui accorde un instant de répit.

- Ecoute, explique-lui mieux que moi !, dit le tatoueur, en regardant la jeune femme, je sais pas ce qu'il a ce mec, il veut pas !

Darius tourna un nouveau regard embarrassé vers le jeune homme puis alla poser ses instruments et préparer sa table de travail. Lorelai s’approcha alors d’Apophis et de son index, elle lui fit relever la tête, elle regarda sa lèvre tuméfiée, puis elle vit que le sang ne coulait pas de celle-ci mais de sa langue qu’il avait mordue en tombant.

- Du calme, lui dit-elle d’une voix douce tout à coup, elle prit sa baguette et vit le visage de l’Aurore changer, ce n’est pas ce que vous croyez, allez ouvré la bouche, je ne compte pas vous tuer ou vous lancer un sort pour que vous mouriez ! dit la jeune femme en le regardant droit dans les yeux.
- Non, ça elle en serait bien incapable, c’est pour ça qu’elle n’est pas devenue Auror !
- La ferme Darius ! Je ne t’ai rien demandé ! dit-elle en prenant appliquant la baguette contre la plaie, ça va être un peu douloureux, dit-elle en le regardant toujours droit dans les yeux. Vous sentirez d’abord un léger picotement puis une brûlure intense, détendez vous et normalement vous n’aurez pas trop mal, en tout cas les Dragons de se sont jamais pleins de mes soins, lui dit-elle en lui souriant doucement.

Une fois, cela finit, elle le regarda avec une infinie douceur dans les yeux alors que son visage exprimait tout autre chose.

- Bien, dit-elle sur un ton plus sec, je ne vous demande pas d’être marqué à vie, c’est un tatouage éphémère, il ne va durer que trois mois. D’abord vous allez perdre la couleur et puis les contours s’effaceront petit à petit !
- Oui, c’est tout à fait ça, cru bon de rajouter Darius, ce qui eut pour effet de provoquer la colère de Lorelai, qui lui jeta un regard menaçant, si ses yeux auraient pu jeter un Avada Kedavra elle l’aurait tué sur le champ.
- En ce qui concerne le motif vous pouvez le changer, mais j’ai pensé qu’un Dragon dans le dos vous irez bien, en Chine le Dragon représente la force et l’honneur. Il n’est pas rare de voir un homme avec un Dragon tatoué dans le dos, pour se prouver qu’ils sont invincibles, lui dit-elle en le prenant par l’épaule. Maintenant si vous ne voulez vraiment pas, vous n’avez qu’à me le dire et nous sortirons d’ici !

La jeune femme le regarda avec un petit sourire en coin, Darius vit alors que la jeune femme n’avait placé qu’un certain nombre de doigts sur l’épaule de l’homme. Il avait déjà la jeune femme exécuter cette prise qui consisté à plonger une personne dans un sommeil partiel, il sourit alors en attendant la réaction de l’Auror.
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptySam 23 Juin - 15:17

Il avait fait tout ce qu'elle désirait, avait ouvert la bouche de façon si stupide afin qu'elle le soigne, s'était calmer afin qu'elle lui explique ce qu'elle cherchait vraiment à faire.

Elle voulait tatouer sur son dos l'emblème d'un immense dragon qui, par la suite, ne serait "qu'éphémère" et disparaitrait au bout d'un moment... Seulement elle n'avait pas l'air d'avoir conscience des souffrances que cela allait engendrer ni même des difficultés alors imposées à son travail. Avec un dos en compote, à vif, comment allait-il parfaitement réaliser ses missions ?

Décidemment, cette petite écervelée se moquait bien de lui...

Ils se relevèrent donc tous les deux e til sentit qu'elle appliquait sa main contre son bras. Tournant son regard vers elle, il remarqua alors que ses doigts ainsi que sa main étaient disposés d'une façon toute particulière...
Il ne dit rien cependant, attendant la suite des opérations, que tout ceci s'enchaîne sans que personne n'aient aucun soupçon...


"En ce qui concerne le motif vous pouvez le changer, mais j’ai pensé qu’un Dragon dans le dos vous irez bien, en Chine le Dragon représente la force et l’honneur. Il n’est pas rare de voir un homme avec un Dragon tatoué dans le dos, pour se prouver qu’ils sont invincibles, lui dit-elle en le prenant par l’épaule. Maintenant si vous ne voulez vraiment pas, vous n’avez qu’à me le dire et nous sortirons d’ici !"

Apophis ne répondit pas, son visage était fermé, parfaitement hermétique à toute sensation. Il vit alors que Darius souriait, un regard posé sur son bras et la main de la jeune femme.

C'était ce qu'il attendait pour agir...

D'un geste rapide, il saisit Lorelai par la nuque, resserrant ses doigts dessus comme pour un étau, la faisant baisser graduellement de manière à ce qu'elle ne puisse plus bouger et qu'il ait ainsi tout contrôle sur elle.

Darius, le gros balourd, voulut s'approcher de lui d'un air menaçant mais, d'un autre geste, Apophis décrocha un assemblage d'outils stérilisés qui tombèrent par terre en un fracas assourdissant.

Brandissant alors ce qu'il avait entre les doigts, son poing se raidissant sous la colère, l'Auror le toisait de toute sa hauteur sur un regard meurtrier et brillant de rage.


"Avance seulement d'un pas et je te pends avec !", souffla-t-il d'une voix sombre et étrangement calme, le petit crochet de fer luisant dans sa grosse main.

Darius, renfrogné, baissa les bras. Il jeta un bref regard inquiet à la demoiselle dont le visage était à hanuteur de la hanche d'Apophis. Le tatoueur serra les dents et les poings.

"T'es un malade, toi ! Relâche-la !! On traite pas les femmes comme ça ! Relâche-la !".

"Ah bon ? Et pourquoi le ferais-je ? Continua-t-il sur une note glaciale et lugubre, pourquoi, dis-moi ? Pour quelle me fasse une prise qui m'immobilise ou me rende inconscient ? Pour qu'elle me fiche un p**ain de coup de pied dans les c*** qui me jettera à terre impuissant ?".

Il laissa naître un sourire sardonique sur ses lèvres puis embraya :

"Je ne sais pas ce que cette nana veut faire, toujours est-il que je ne la laisserai pas réaliser quoique ce soit ! Tu m'entends ? Quoique ce soit !".

Et d'un pas, il s'approcha de lui. L'homme recula d'instinct, de peur de prendre un mauvais coup. Son regard était toujours accroché au petit crochet d'acier.

"Ecoute, mec ! Barre-toi d'ici et ne nous fais rien ! Tire-toi, c'était une mauvaise idée de t'amener ici ! Une très mauvaise ! Tu veux qu'on te fasse rien, ok, c'est ton droit ! C'est entièrement ton droit, mec !".

Il lui montra la porte d'un geste nerveux, plein de sueur.

"La porte est là, tu peux partir ! Mais je t'en prie, laisse-nous tranquille, mec ! Laisse-nous en paix !!".

En paix ??! Les laisser en paix ?? Et la frousse qu'il avait eu de se croire tombé dans un guet-apens ! Ils en faisaient quoi les deux tourtereaux ?

Non ! Ils avaient cru pouvoir le tenir en leur pouvoir ! Ils allaient le payer ! Personne ne le traitait comme cela, personne !!

Le visage d'Apophis se fit soudain plus dur, plus glacial. Ses yeux en amande se plissèrent ne laissant plus que de petites fentes par lesquelles le saphir de ses pupilles brillait.

Ses doigts se ressèrent sur la nuque de Lorelai jusqu'à ce que ses ongles rentrent dans sa chair, ne se préoccupant même pas de savoir si elle avait mal ou pas.


"Je n'en resterai pas là, fit-il les épaules voûtées, à la manière d'une affreuse bête nocturne, je n'en resterai pas là ! M'entendez-vous bien ? Pas là !!".

Un étrange petit sourire se pendit à ses lèvres et Darius crut bien voir, l'espace d'un bref instant, l'expression de la folie briller dans les yeux de cet être possédé. Apophis, le visage tordu et machiavélique, était terrifiant, à faire frissonner...

"Je vais faire fermer ton établissement, reprit-il d'une voix lente, laconique, je vais le faire fermer et te foutre à la rue ! Tu n'en réchapperas pas, fais-moi confiance !".

"Vous n'arriverez jamais à quoique ce soit avec moi ! Beugla Darius, jamais ! Vous croyez que vous pourrez le faire fermer ?! Vous croyez vraiment ça ? Mais vos potes du ministère y vont aussi, croyez-moi ! Votre copine aussi puisqu'elle vous y a amené !!".

"LA F**ME !!! CE N'EST PAS MA COPINE !!!

Cette créature n'est rien d'autre qu'une épine à mon pied !".


Sa voix s'était fit froide et particulièrement tendue tandis qu'il maintenait la jeune femme toujours d'une poigne de fer...

"Je vais faire tout ce qui est en mon pouvoir.... Absolument tout !".

Et, d'un geste, il rejeta Lorelai par terre afin de se libérer entièrement. Il retira ensuite son manteau à la hâte et le projeta négligemment sur une chaise juste à côté.

Tendant un regard acide à Darius sur un indescriptible sourire, il replia les manches de sa chemise jusqu'à ses coudes avec vitesse et adresse, non sans cesser de le fixer.


"Qu''est-ce que tu f...", voulut prononcer le tatoueur, mais il n'eut pas le temps de continuer sa phrase. En effet, il avait déjà sa réponse... Il écarquilla les yeux de stupeur.

"Par Merlin...".

Le petit crochet d'acier parcourait lentement la peau du bras gauche d'Apophis Sykes, creusant derrière son passage un large sillon de sang, le liquide rouge s'écoulant de ses plaies.

"Je... je ruine ton magasin, fit l'autre sur un visage crispé de douleur et de concentration, je ruine ta réputation...".

D'un geste, il changea l'outil de main et continua sur son bras droit.

"En disant que... tu auras agressé un Auror...".

L'hémoglobine naissante s'écoula le long de son bras, retombant en de grosses gouttes sur le sol.
Apophis Sykes, quant à lui, ne cillait pas -bien trop aveuglé par son désir d'en finir !

Il voulait le détruire, le briser ! N'en faire que des ruines en lui permettant de ne plus exercer son métier ! C'est tout ce qu'il souhaitait et cela par-dessus tout ! Rien n'aurait pu lui faire plus plaisir !

Il fixa alors l'homme d'un regard brûlant sur des dents serrées par la souffrance.


"Si... si le ministère apprend que tu m'as touché, ils feront une descente ici et te le feront payer ! Crois-moi, j'ai des relations !".

Un sourire sordide naquit dans le coulissement de ses lèvres. Il porusuivit :

"Ca sera toi que l'on traîtera de sadique !".

Puis, lentement, il leva l'outil couvert de sang à hauteur de son visage. L'appliquant alors contre sa joue, il commença à y creuser de large labour, serrant les dents et les poings, ses ongles rentrant à présent dans sa propre chair.

"S... sois... m... maudit...".

Et il continua le long de son front, prenant tout son temps afin d'offrir à ses hôtes ce spectacle insoutenable...

"Et maintenant... faites seulement face à cela !".

Sur un dernier sourire, il rejeta le crochet au pied de Darius qui se recula immédiatement. Tout le visage d'Apophis Sykes ruisselait d'une pluie rouge, faisant ressortir ses yeux bleus de dément particulièrement poignant

Il tendit alors un dernier sourire démoniaque au tatoueur -ce dernier tordant ses grosses joues d'enfant, partant d'une oreille à l'autre. Il tremblait légèrement, étourdi sous la douleur ressentie...


"J... je me présenterai ainsi... Vous n'y pourrez plus rien, tous les deux...".

"Maintenant, fais-moi mon tatouage qu'on en finisse !".


Ses yeux brillèrent d'un éclat métallique tels des poignards puis il éclata de rire ; un rire bestial, gras et terrifiant, emplissant toute la salle, faisant trembler les murs de terreur.
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptySam 23 Juin - 16:59

Lorelai c’était montrer plus douce et plus aimable qu’elle n’aurait dû l’être envers un homme, cela faisait quatre ans qu’elle n’avait pas été aussi gentille et attentive. Elle vit l’expression de son visage changer à ce moment elle sut qu’il allait commettre une erreur et qu’elle en avait commise une. Lorelai se sentit partir vers l’avant le dos courbé remontant sa veste et son haut dévoilant ainsi le tribal qu’elle avait au bas du dos. La grande main d’Apophis la tenait fermement dans cette position, il baissait lentement la main pour qu’elle ne bouge plus du tout. Lorelai était souple mais tout de même, elle craignait que sa colonne vertébrale ne résiste pas à la pression. La jeune femme ne dit rien restant silencieuse devant la force de l’homme, jamais un homme ne l’avait fait souffrir physiquement, elle laissait ça seulement aux Dragons.

Darius voulu s’approcher pour lui porter secours, ses assistants avaient relevés la tête pour voir ce qu’il se passait mais aucun d’eux ne bougea. Mais l’Auror décrocha un assemblage d’outils stérilisés, Lorelai ne vit rien mais entendait les bruits et cela ne présageait rien de bon, elle fermait les yeux en espèrent que si il venait à la tuer, il le ferait vite et bien.

*Sache qu’un Serpentard sera toujours un Serpentard Lorelai et ce quoi que tu fasses, ils sont perfides et mauvais, c’est ainsi leur héritage coule dans leurs veines. N’oublies jamais ça ma petite fille, tu es ce que nous avons de plus cher au monde, nous ne voulons pas te perdre… Grand-père *pensa-t-elle en se souvenant de lui à Sainte Mangouste, c’est sa Grand-mère qu’il l’avait emmenée pour qu’elle puisse le voir. *Un homme est capable de changer son étoile si il le veut vraiment, mais penses-tu qu’il en soit digne ?*, lui avait alors demandé son grand-père.

Lorelai n’avait alors pas saisit ce que son grand père lui avait dit mais elle avait acquiescé, Lorelai vit le crochet ne pas passer loin de sa joue. Sa respiration s’accéléré, elle avait de plus en plus de mal à reprendre son souffle.

*C’est bizarre ce à quoi on pense à ses moments là*, se dit-elle en se souvenant des balades romantiques qu’elle avait fait avec Cyril le mari infidèle.

A son travail, elle regrettait presque de ne plus pouvoir se disputer continuellement avec Jeremya Stones, elle se dit aussi qu’elle ne pourrait jamais plus avoir une discussion sérieuse avec Charlie Weasley. L’Auror menaça alors Darius en lui disant que si il avançait, il le pendrait avec le crochet en argent qu’il tenait dans la main. Darius lui demanda de la relâcher qu’on ne traitait pas les femmes de cette manière, l’Auror lui dit alors à sa façon qu’il n’en était pas question car il ne savait pas qu’elle serait les réaction de la jeune femme qu’il détenait. Apophis enchaîna en disant qu’il ne la laisserait pas faire quoi que se soit et il se rapprocha de Darius entraînant Lorelai, le tatoueur recula alors d’un pas de peur de recevoir un mauvais coup.

- Ecoute, mec ! Barre-toi d'ici et ne nous fais rien ! Tire-toi, c'était une mauvaise idée de t'amener ici ! Une très mauvaise ! Tu veux qu'on te fasse rien, ok, c'est ton droit ! C'est entièrement ton droit, mec !, dit-il en lui montrant la porte d’un geste nerveux, il tremblait, jamais Lorelai ne l’avait vu dans un état pareil. La porte est là, tu peux partir ! Mais je t'en prie, laisse-nous tranquille, mec ! Laisse-nous en paix !!, dit-il paniqué de ce que l’homme pourrait faire.

Lorelai sentit la main d’Apophis resserrer son étreinte au tour de sa nuque et ses ongles transpercer sa peau si fragile, un fin filet de sang commençait à couler de son cou, mais elle ne dit rien ne cria même pas. Car elle savait que cette situation ne serait pas arrivée si elle ne c’était pas entêtée une fois de plus, la porte du magasin s’ouvrit alors, mais personne ne l’entendit tellement il était concentré sur ce qui allait arriver. Lorelai entendit le rideau qui séparé les deux salles bouger, elle essaya de bouger lentement la tête pour ne pas que l’Auror s’en aperçoive, elle vit alors Hirofumi Nanahara l’ancien propriétaire et le père adoptif de Darius passer la tête. La jeune femme savait qu’il ne ferait rien mais elle était heureuse de le voir là, Lorelai sortit de sa rêverie en entendant l’Auror dire qu’il n’en restera pas là, il était comme fou, ce qui inquiétez de plus en plus la jeune femme. Il poursuivit en disant qu’il allait faire fermer l’établissement et comme ça Darius serait à la rue, il lui dit qu’il n’en réchappera pas qu’il devait lui faire confiance pour ça.

- Vous n'arriverez jamais à quoique ce soit avec moi ! Beugla Darius, jamais ! Vous croyez que vous pourrez le faire fermer ?! Vous croyez vraiment ça ? Mais vos potes du ministère y vont aussi, croyez-moi ! Votre copine aussi puisqu'elle vous y a amené !!

Apophis hurla se qui fit trembler Lorelai, le vieux japonais fit un pas alors pour rentrer mais la jeune femme le supplia du regard de ne pas le faire. C’est alors qu’Apophis dit une chose qui fit baisser les yeux de la jeune femme, le vieux Hirofumi ne cessait de la regarder. Lorelai se retint de hurler quant il resserra une fois de plus sa main sur sa nuque enfonçant toujours plus profondément ses ongles. L’Auror dit qu’il fera tout ce qu’il est en son pouvoir, absolument tout, il était en colère et d’un geste il jeta la jeune femme qui s’étala de tout son long, aussi tôt le vieillard sortit de sa cachette et s’agenouilla près d’elle.

- Tu vas bien ?, lui demanda-t-il avec son accent qui faisait craquer la jeune femme qui lui fit un signe positif de la tête.

Le vieillard se mit alors à examiner son cou et vit les légères traces causées par les ongles, il la regarda droit dans les yeux en appliquant ses mains sur les plaies. Aussi tôt celles-ci se refermèrent d’elles-mêmes, le vieillard aida alors la jeune femme à se relever pour voir ce qu’il se passait. Ils n’avaient pas entendu toute la conversation, mais il avait vu le résulta, Apophis était entrain de se taillader les bras avec le crochet.


- Ils sont de mieux en mieux tes petits amis, tu as le don pour les choisir, murmura le vieil homme.
- Ce n’est…
- Ah ! On ne me la fait pas à moi et tu le sais…, je lis en toi comme dans un livre ouvert et je sais ce que tu ressens pour lui, mais il faudra du temps avant que tu te l’avoues à toi-même et que tu vives dans le présent, coupa-t-il sur le même ton.

L’Aurore dit alors qu’il ruinait son magasin, ainsi que ça réputation, il s’entailla son autre bras, et il continua en disant qu’il dirait que Darius à agressé un Auror. Et que si le ministère apprenait qu’il l’avait touché, ils feront une descente dans son établissement et le feront payer, car il avait des relations. Et que ce sera lui qui sera traité de sadique. Lorelai vit alors qu’il approchait le crochet de son visage, elle fit un pas pour l’en empêcher mais le vieil homme l’arrêta.


- Je lui effacerais cela, ne t’en fais pas, laisse le aller jusqu’au bout de sa démence.

La jeune femme regardait le spectacle que lui offrait l’Auror sans plus rien y comprendre, Hirofumi n’arrêtez pas de sourire, car il savait la jeune femme inquiète pour cet homme qu’elle connaissait pourtant à peine. Apophis dit alors qu’il devait lui faire le tatouage, Darius allait répondre quand son père se mit entre lui et l’homme.

- P…, que fais-tu ici ? demanda Darius soudainement paniqué.
- Je ne sais pas…, j’ai eu un mauvais pressentiment aujourd’hui alors je suis venu et je ne me suis pas trompé, dit-il en examinant l’homme de plus prés. Alors ? Tu vas encore le faire patienter combien de temps fils ? demanda Hirofumi sur un ton sévère. Venez monsieur, dit le vieillard en l’amenant jusque la table allongez vous et détendez-vous !

L’homme se mit alors à parler dans sa langue à son fils, lui demanda de ne pas employer l’huile spéciale pour endormir un peu la peau.

- Pourquoi ?
- Il aime souffrir, tu l’as bien vu, alors fait le souffrir, une fois que le tatouage sera fini, appelles-nous ! dit-il avant de jeter un coup d’œil sur le calque et en voyant le Dragon chinois dessiné. Votre bien aimée a d’excellents goûts, dommage que vous ne laissiez personne entrer dans cet endroit si réservé qu’est votre cœur, lui dit-il en entraînant Lorelai à sa suite.
- Mais je veux rester Hiro !
- Non, ce spectacle ne sera pas bon pour toi, laisse mon fils et ton ami, seul je suis sûr qu’il aimera, dit-il en souriant.

****

(*) Le tatoueur
(*) le père du tatoueur
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptyMar 26 Juin - 0:03

Apophis tendit un regard mi-sénile mi-ahuri à la personne qui venait de faire son apparition. Elle lui paraissait incroyablement chétive et aussi suffisemment vieille pour lui inspirer une certaine forme de respect.

L'homme aux traits asiatiques s'adressa ainsi à lui, lui promettant que son tatouage serait fait très bientôt et réalisé par son propre fils -l'homme qu'il avait menacé auparavant...

L'Auror tendit alors un regard incrédule en direction de l'homme, levant un sourire intrigué devant tant de tempérence, de sagesse et de patience. C'était bien la première fois qu'il voyait cela.

Il paraissait si humble et si sûr de lui dans ses gestes ainsi que ses paroles, cherchant à ne heurter personne. Il en était presque touchant...

Mais voila, l'Auror n'était pas là pour se laisser attendrir. D'ailleurs, cette simple sensation ne se produisit même pas en lui, le laissant particulièrement froid tandis qu'il tentait de reprendre son souffle.

Il vit à cet instant que le vieil homme s'approchait un peu plus de Lorelai, cherchant à la tirer à l'extérieur. Manifestement ils se connaissaient tous les deux puisque le vieil homme avisé tentait de la rassurer et de l'empêcher de rester parmi eux.

"Non, ce spectacle ne sera pas bon pour toi, lui dit-il alors, laisse mon fils et ton ami, seul je suis sûr qu’il aimera !".


Apophis jeta un dernier regard au vieillard puis se tourna alors vers on fils qui l'observait d'un oeil toujours méfiant.
D'un geste nonchalant, il retira sa chemise, révélant alors un torse costaud et légèrement musclé. Il la rejeta sur le sol et s'approcha de lui, ses yeux toujours plantés dans les siens.


"Faites-moi ça et vite... souffla-t-il de sa voix glaciale, je n'ai pas envie de perdre de temps...".

Darius acquiesça et déglutit avec peine lui présentant alors la table sur laquelle l'Auror devrait s'allonger munie de tous les instruments possibles.
S'exécutant gentiment et calmement, il vint à s'étendre sur cette dernière, restant sur le ventre tandis que l'autre préparait aiguilles et alcool, les différents outils virevoltant autour de lui.

Apophis, son menton calé dans ses bras repliés, jeta un bref regard au tatoueur. Ses yeux couleur glacier pétillaient d'une malice déroutante et toute particulière comme si un feu était en train de couver dans ses pupilles de crystal. Lentement, un sourire vint à naître sur son visage.


"Ne croyez pas vous en tirer avec vos ronds de jambes et toutes vos gentillesses, je ne marche pas dans cette combine !".

"Hiro est ainsi, répliqua Darius en y mettant un poing d'honneur, il n'est pas mauvais et cherche toujours à arranger les personnes et à leur être agréable...".

L'Auror eut un ricanement grinçant.

"Il ne sera peut-être pas aussi concilient quand j'en aurai fini avec sa boutique...".

A cet instant, le jeune homme sursauta. L'aiguille venait juste de transperçer sa peau, faisant frissonner son échine sous le contact du métal. Sykes ne bougea pas, serrant les dents face à la douleur que cela lui procurait. L'enjeu était plus important que sa propre souffrance ! Il continua d'une voix presque essoufflée par l'effort :

"Lorelai... vous... vous semblez la connaître...".

Darius passa un mouchoir sur le dos d'Apophis afin de pouvoir correctement voir l'avancée de son travail sous la peau meurtrie. Fronçant légèrement les sourcils il lui répondit d'une voix pensive et concentrée :

"Oui, je la connais... Je vous l'ai dit, elle passe souvent ici...".

L'Auror eut un petit sourire suffisant, renfonçant sa tête dans ses bras.

"Non, c'est plus que cela... Vous êtes amis sinon jamais elle ne vous aurait fait autant confiance... Il fallait que vous soyiez là pour me maîtriser au cas où je déciderais de me défendre... Il fallait que vous soyiez suffisamment complices pour la laisser faire une chose pareille et ce sans mon accord...

De plus, votre père l'a prise sous son aile protectrice et l'a emenée loin d'ici...

Pour moi elle est plus qu'une simple cliente !".


Il eut une grimace douloureuse. Ce bougre avait perçé la peau un peu plus profondément. Il sentit le contact doux et salvateur du mouchoir sur sa peau lisse et en fut soulagé, l'acceuillant avec plaisir.

"Alors, ma question est la suivante :

Quelles sont vos relations ?

Et, ensuite, qu'est-ce que cette folle à en tête ?".


A cette phrase, le tatoueur ne put s'empêcher d'éclater de rire, manquant lâcher ses intruments ainsiq ue sa concentration. L'autre lui répondit alors d'une voix lugubre et enraillée :

"Qu'est-ce qu'il y a de si drôle ?".

"Ohh rien, reprit l'homme en suffoquant, rien... rien du tout ! On voit bien que vous ne la connaissez pas !".

"Je ne veux pas la connaître...".

Il lui tendit un regard narquois qu'il ne put voir bien entendu.

"Vous avez tort, c'est une chouette fille. Elle peut se montrer adorable et parfaitement attentive aux autres quand elle le veut. C'est une personne très douce...".

Sykes sourit jusqu'aux oreilles, un rictus malsain et bizarre qui le faisait réjoui.

"Vous semblez l'avoir cotoyée de façon bien plus intime que vous ne le suggérez...".

"Moi ? Non, non, non, nous sommes juste amis ! Juste amis, voyons ! Simplement que.... eh bien je crois la connaître suffisamment pour pouvoir en parler de cette façon.".

"Je vois...".

"Non, je crois pas que vous voyiez ! Sauf votre respect, vous êtes même aveugle...".

Apophis leva légèrement sa tête en direction de l'homme se tenant derrière lui, gravant toujours son dos. Il lui offrit un regard interrogateur.

"Qu'est-ce qui fait que je suis aveugle ?".

Darius fit claquer sa langue sans quitter son travail du regard.

"Lorsque vous êtes tombé -projeté contre le sol, rectifia Apophis- oui bon, "projeté contre le sol" donc... Elle est venue vous aider, vous porter secours et vous a soigné !".

"Ne croyez pas que je veuille qu'elle fasse disparaître mes blessures ! Je me les suis faites moi-même et je compte les garder ! Elles seront le symbole de l'anéantissement de votre entreprise !".

"Je sais, reprit posément le tatoueur, je voulais simplement dire qu'elle a été là pour vous, pour vous aider ! Et ça ne peut vouloir dire qu'une chose !".

"Quoi ?".

"Vous lui plaisez. Je me demande bien comment d'ailleurs...".

Apophis leva les yeux au ciel, agacé par l'entêtement de cette gamine. Puis il se mit à sourire, pensant à des choses douces et particulièrement agréables...
L'amour d'une enfant, c'était une chose plus que touchante...


"Elle tiendrait à moi donc ?".

Darius haussa les épaules, passant à nouveau son mouchoir.

"En effet. Le tout est de savoir si c'est pareil pour vous !".

A cet instant, l'Auror éclata d'un rire puissant et vif. Il enchaîna :

"Non mais vous voulez rire ? Moi et cette minette ? Vous me prenez pour qui ? Un casanova ridicule ?

De plus, de quelle couleur est le ciel dans votre univers ?".


Il poussa alors un profond soupir sifflant, dépité par la naïveté et l'innocence de certaines personnes...

"Puis d'ailleurs, pour qui vous prenez-vous aussi ? Une agence matrimoniale ?".

Sur cette phrase, la porte s'ouvrit alors et une nouvelle silhouette apparut. Coupé dans son élan, sa concentration brisée, Darius releva rapidement la tête et aperçut son père. Ce dernier semblait assez alarmé, le regard brillant et le souffle court.

"Darius, souffla-t-il à voix basse, s'il te plait, il faut que tu viennes !".

"Qu'y a-t-il, père ?".

Le vieil homme hocha lentement et négativement la tête, tendant un bref regard vers l'Auror.

"Je ne peux pas le dire maintenant...".

Puis l'autre baissa la tête, ses sourcils se fronçant de perplexité. Lançant lui aussi un dernier regard à son client, il déposa les outils qu'il avait en main et ordonna aux autres de se ranger sur le plateau d'acier.
Retirant ses gants, il les jeta dans une poubelle juste à côté, jetant un "je reviens" bref et sec à Apophis juste avant de rejoindre son père...

L'Auror, quant à lui, enfonça davantage sa tête dans ses mains, expirant à grandes bouffées toute la souffrance qu'il ressentait alors. Il avait réussi, jusqu'à présent, à la canaliser mais maintenant n'en était plus capable. Elle se faisait bien trop intense, mordant la chair de son dos strillée par les aiguilles.
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptyMar 26 Juin - 15:05

Le vieillard avait l’air serein dans la salle d’à côté avec Lorelai, mais en faite il était entrain de bouillir intérieurement. Lorelai ni voyait rien, mais quant il sortit en trombe pour la laisser seule et rentrer de nouveau dans la pièce pour appeler son fils, elle savait que quelque chose n’allait pas.

- Darius, souffla-t-il à voix basse, s'il te plait, il faut que tu viennes !
- Qu'y a-t-il, père ?
- Je ne peux pas le dire maintenant...

Dés que le fils fut dans le bureau, il le suivit et lui mit une claque à l’arrière de la tête, en le regardant droit dans les yeux.

- Incapable, dit alors le vieil homme en regardant son fils, je t’ai dit de le faire souffrir mais pas que cela dure trois jours ! dit-il en sortant furieux de la pièce.

Lorelai alla donc vers le rideau de perle une fois que Hiro fut passé, elle vit un peu le corps de l’Auror qu’elle ne jugea pas si mal du tout. Elle rougit alors à cette pensée et reporta son regard vers le vieil homme qui observait le dos de l’homme avec une grande attention.

- Vous les sorciers européens vous utilisez des baguettes pour faire de la magie et nous tout repose dans nos mains, lui dit-il en levant doucement les mains et en faisant un geste pour que quatre stylés se mettent simultanément en route et fassent le travail à la place du vieil homme qui supervisé. Je pensais que mon fils allait le faire avec sa baguette mais au lieu de cela il a préféré le faire à la moldu allait savoir pourquoi, car la douleur est la même, dit-il en regardant les plaies de l’homme.

Le vieil homme regarda avec attention les bras de l’homme, il appliquât ses mains sur le premier bras et le sang fini par ne plus couler. Il se déplaça contournant les jambes de l’homme vers l’autre bras et fit cesser également les saignements.

- Si vous comptiez la culpabiliser n’ayez crainte c’est déjà fait ! dit-il en se penchant pour voir le visage, il glissa alors ses mains dans le cuire chevelu de l’homme et fit stopper l’hémorragie ainsi que les traces des entailles sur son visages. Pour les bras, je vous laisserais décider par vous-même en voyant le résultat du tatouage, dit l’homme alors que les aiguilles avaient presque finit leur travail.

L’homme vérifia le travail qu’elle avait accomplit et jugeant qu’il était bon les stoppa d’un geste de la main, aussi tôt elles arrêtèrent et se remirent en place. Hiro effleura le dos de l’Auror pour apaiser premièrement la peau puis pour la faire cicatriser, Lorelai vit alors le vieil homme se concentrer et jeter un sort sur le dos de l’Auror. Le Dragon alors tatoué disparu et réapparu presque aussi tôt, la jeune femme savait que ce n’était pas normal et ce n’était pas ce qui était prévu.

- Vous pouvez vous lever à présent, il y a un miroir au fond de la pièce assez grand pour que vous puissiez admirer votre dos en toute tranquillité, dit-il en désignant le fond de la pièce.

Pendant que l’Auror se dirigea dans le fond de la pièce, le vieil homme se dirigea vers sa protégée et écarta les pans du rideau de perles.


- Tu peux aller le voir si tu le souhaites, lui dit-il avant de partir vers le bureau de son fils.

La jeune femme se dirigea alors vers l’Auror et le regarda un instant avant de tourner les talons et de marcher vers la sortie.

- Au revoir, dit-elle avant de faire retentir les clochettes de la porte d’entrée.

La jeune femme se retrouva dans les rues de Pré-au-lar, à ce demander pourquoi elle avait entraîné cet homme chez le tatoueur. Pourquoi elle voulait tellement qu’il accepte de se faire se tatouage ? Elle voulait voir ce que ça donnait mais elle n’avait pas osé lui demander de peur de se prendre un coup. Après cinq minutes pensant que l’homme était parti, elle revient chez le tatoueur pour lui demander combien elle leur devait pour ce qu’il venait de faire.

****
(*) Le tatoueur
(*) Le père du tatoueur
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptyMer 27 Juin - 10:53

Apophis avait gardé le silence durant l'intervention du vieillard, ne souhaitant pas rajouter d'huile sur le feu ni même éveiller le moindre soupçon quant à ce qu'il souhatait faire.

Gentiment, docilement, il laissa l'asiatique soigner ses blessures tout en pensant qu'il ne lui faudrait pas longtemps avant de pouvoir refaire les mêmes... Il en rit intérieurement et manqua laisser échapper cette hilarité. Heureusement, il l'avait bloquée avec ses lèvres !

Lorsque l'homme lui demanda de se relever pour admirer le travail, l'Auror s'exécuta tel un véritable petit soldat -lui rappelant ses années en tant qu'apprenti Auror.

Il se regarda alors à travers le miroir, un sourire suffisant et satisfait tracé sur ses lèvres. Toujours était-il qu'il ne s'adressait pas au travail effectué par le tatoueur mais plutôt à ce qu'il s'apprêtait à faire...

Se contemplant un peu plus dans la glace -il avait grossi !-, se postant de profil et rentrant le ventre, il ne vit pas que la jeune femme qui l'accompagnait le rejoignait alors.

L'Auror Sykes lui tendit un dernier regard vide d'expression et de sentiment. Rien, pas même une ride au coin des yeux ou des lèvres ne venaient eprturber ce portrait stoïque qui ne cessait de la regarder. Pas un souffle ne filtrait d'entre ses lèvres fermées comme s'il n'avait été là qu'une statue.

C'était un effet qu'il appréciait malgré tout. Aucune personne normalement constituée, aucun humain digne de ce nom n'aurait pu être capable de rester de marbre face au regard perdu et désoeuvré que lui tendait cette ravissante jeune femme.

Puis, se fut à elle de partir. Peut-être ne supportait-elle pas cette pression ? Il la vit traverser la boutique et se diriger d'un pas faussement nonchalant vers la porte qu'elle ouvrit. Elle disparut de sa vue aussi subitement qu'elle lui était apparue, dans un bruissement comparable à celui d'une brise légère...

Apophis Sykes ne put s'empêcher de sourire. Comme il était fier de l'impression qu'elle avait eu en le regardant ! Lui, stoïque, aussi expressif qu'une statue de sel et elle si triste, si déçue ! Hahaha ! Non vraiment, il l'avait bien eu !

Elle devait être toute retournée à l'heure qu'il était, mais c epetit jeu de gosse lui avait bien plu. Rien que pour voir la mine déconfite qu'elle lui offrait c'était à se tordre de rire et à en redemander encore. Cela valait toutes les glaces chantilly du monde ! Tiens, en parlant de cela, il commençait à avoir une petite faim...

Traversant la pièce à son tour d'un pas rapide, il se saisit à la volée de sa chemise, de sa cravate et de son manteau. Boutonnant le tout, repassant devant le miroir pour voir si aucun faux plis n'étaient apparus, il se dirigea alors vers le bureau du tatoueur -fermement décidé à payer.

Y pénétrant il aperçut les deux hommes assis l'un en face de l'autre, plongés dans des papiers et des classeurs étalés sur la table. D'un pas lourd et pesant, l'armoire à glace qu'était Sykes s'approcha d'eux.

Le visage fermé, impénétrable, il leur demanda d'un ton laconique combien il leur devait. Le père se leva soudain et s'inclinant légèrement devant lui -comme le font les gens de son peuple- il rétorqua :


"Pour vous et votre amie, ça sera toujours gratuit".

Puis il se rassit non sans adresser un dernier regard à l'Auror. Celui-ci, ne pouvant s'mepêcher de relever ce détail, lui rétorqua alors d'une vois sèche :

"Dites, je sais ce que vous avez dit tout à l'heure...".

Le vieillard releva des yeux cachant un brin de malice. Il ajouta :

"Qu'est-ce que je vous ai dit ?".

"Ce truc-là... sur le fait que je voulais la faire culpabiliser...".

"Oui, en effet".

"Je m'en fiche, fit-il sur un léger sourire, comme un garnement fier de sa trouvaille, c'est pas ça que je cherche, pas du tout !".

"Alors que cherchez-vous, jeune homme ?".

Apophis parut réfléchir un instant, une moue soucieuse aux lèvres. Il rembraya :

"Autre chose de bien moins romantique ?".

L'homme baissa alors la tête la secouant d'un air dépité, sans un mot.

"J'espère que vous trouverez la voie qui vous conviendra...".

Puis il se dirigea vers lui le bras arqué afin de le raccompagner. Lorsque l'Auror fut sorti de la pièce, il arborait alors un petit sourire fier et satisfait, ses yeux balayant le carrelage de la salle.

Lorsqu'il releva les yeux pour s'assurer qu'il se dirigeait bien vers la sortie il aperçut alors cette jeune femme, plantée devant lui, le fixant à son tour. Elle était raide droite comme un "i" -ou un serpent prêt à mordre...- et n'osait plus bouger.
Apophis ne dit alors aucun mot et l'observa l'espace d'un instant, ses yeux bleus gris toujours aussi neutre et sans vie plongeant dans les siens...
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptyMer 27 Juin - 15:19

Lorelai rentrait de nouveau dans la boutique de tatouage, elle poussa la porte qui actionna la clochette et vit Apophis Sykes devant elle le regard qu’il lui jetait était exactement le même que celui qu’il avait eut juste avant qu’elle ne parte. Ils se fixèrent tout deux pendant un moment, puis elle détourna le regard aucune émotion, il n’y avait rien que le vide à présent dans son regard.

- Je suis venue payer Hiro ! lança-t-elle au vieil homme.
- Lorelai ? Que viens tu faire ici, tu sais bien que c’est gratuit avec tous les clients que tu fais venir ici. Au fait comment vont tes ailes ?
- Elles vont bien, elles… grandissent de jour en jour, lui dit-elle d’un air sérieux en lui faisant un clin d’œil (nda : elle plaisante, ses ailes ne poussent pas en vrai).

Puis la jeune femme revint à sa position initiale et sans un mot, elle sorti du magasin, elle ne savait pas si l’homme allait la suivre et franchement cela lui importait peu.


*Il joue avec moi, je le sens et je n’aime pas ça, surtout si le prix à payer est ma vie. Je la joue assez quand je à mon travail*, se dit-elle en se retournant pour voir où il était.

- Je pourrais savoir à quoi vous jouez ? Vous voulez me faire peur c’est ça que vous voulez ! Vous ne savez pas qui je suis, tout ce qui vous intéresse c’est de jouer, vous aimez ça, ça pimente votre vie. Je le sais car je joue aussi mais pas avec la vie des gens moi monsieur et je ne m’emporte pas sur un coup de sang ! dit-elle en haussant le ton se moquant des quelques passants qui se retournèrent vers eux.

La jeune femme prit alors conscience, elle se précipita alors devant lui prenant sa baguette en main et le regardant droit dans les yeux.


- Dire que je n’ai qu’un mot à dire pour que vous disparaissiez et pour que je devienne une meurtrière rien qu’un mot et pourtant…, lui dit-elle en le regardant droit dans les yeux. Je n’ai aucune mais alors aucune envie de vous les dire pourtant j’ai bien envie de vous faire mourir ou de vous faire vivre ce que j’ai vécu pendant que vous me teniez par la nuque !

Lorelai le regarda droit dans les yeux, il n’y avait absolument rien qui pouvait dire qu’elle était en colère contre lui, ni même déçue son regard était vide.

- Je voulais voir votre seuil de douleur vous me l’avez montré, pathétiquement mais vous me l’avez montré ! lui dit-elle en continuant de le regarder, elle s’approcha de lui se soulevant sur la pointe des pieds tellement l’homme était grand.

La jeune femme contourna alors l’homme qu’elle avait devant elle et une fois qu’elle fut juste à côté de lui elle rangea sa baguette et tout se passa alors en une fraction de seconde elle s’accroupit et balaya de ses jambes les chevilles de l’homme. Elle sourit en se relevant tout aussi vite et puis commença à marcher doucement.


- Au fait, je dois vous remercier, vous venez de me faire penser qu’une fois de plus je ne dois pas faire confiance en la gente masculine, lui dit-elle avant de tourner au coin d’une rue.

****

(*) Le tatoueur
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptyMer 27 Juin - 18:30

"Je pourrais savoir à quoi vous jouez ? Vous voulez me faire peur c’est ça que vous voulez ! Vous ne savez pas qui je suis, tout ce qui vous intéresse c’est de jouer, vous aimez ça, ça pimente votre vie. Je le sais car je joue aussi mais pas avec la vie des gens moi monsieur et je ne m’emporte pas sur un coup de sang !".

A ces mots, l'Auror se mit à éclater de rire ; un rire gras, perçant tonitruant. Il s'arrêta un instant afin d'insérer ces quelques mots dans la conversation :


"Vous devriez essayer, c'est tellement plus amusant !".

Ses yeux de déments s'élargirent lui donnant ainsi un air des plus affreux, un peu comme un monstre prêt à la dévorer.
La jeune demoiselle ne se laissa pas démonter pour autant et, sans prendre en compte le monde tout autour d'eux, elle se jeta sur lui.

Apophis voulut faire un pas de côté mais son réflexe n'avait pas été assea rapide. Peut-être avait-il été ralenti par son manque de vigilance envers cette jeune fille ? C'était fort possible !

Se saisissant de sa baguette, Lorelai la pointa sur lui d'un air menaçant. Apophis lui décocha alors un sourire goguenard et rieur. Elle rembraya d'une voix plus énergique et plus forte :


"Dire que je n’ai qu’un mot à dire pour que vous disparaissiez et pour que je devienne une meurtrière rien qu’un mot et pourtant…, lui dit-elle en le regardant droit dans les yeux.

Je n’ai aucune mais alors aucune envie de vous les dire pourtant j’ai bien envie de vous faire mourir ou de vous faire vivre ce que j’ai vécu pendant que vous me teniez par la nuque !".


L'Auror avança alors d'un pas bref et lourd, retrécissant la distance qui restait entre eux. Son regard bleu brilla d'un étrange éclat, son visage tordu sur un imperceptible sourire.

"Vous croyez quoi ? Ouvrez un peu les yeux, Lorelai et avouez le seulement à vous-même !

C'est parce que vous m'aimez que vous êtes incapable de faire la moindre chose contre moi ! Vous ne pourriez jamais toucher une personne qui compte pour vous, une personne qui vous plait ! Et, devinez quoi, je suis cette personne ?

Avouez que je vous fais de l'effet, mademoiselle Davalle ?".


Il remua les sourcils dans un mouvement significatif tandis que son horrible sourire de requin s'élargissait à la seconde. Il était amusé de découvrir cela et s'en servir comme d'une arme le rendait plus réjoui et satisfait encore.

Ohh Dieu comme il aimait prendre les gens à leurs propres pièges ! Comme il aimait se servir de leurs points faibles et les retourner habillement à son avantage ! Dieu que tout ceci était planant !

Mais que croyez-vous que la jeune fille fit ? Tout le contraire de ce qu'il attendait mais, en même temps, tout ce qu'il souhaitait entendre et voir...

Elle avait un regard neutre, vide de toute émotion bonne ou mauvaise -un peu comme si elle avait été étrangement partagée entre diverses sensations. Elle lui tournait le dos, se renfermait dans son mutisme et ne trahissait rien... mais tant de chose à la fois !


"Je voulais voir votre seuil de douleur -"C'était donc ça ?", trancha ironiquement Apophis- vous me l’avez montré, pathétiquement mais vous me l’avez montré !".

Puis, elle s'approcha de lui et se souleva pour être à hauteur de son visage, restant en suspend sur la pointe des pieds. Délicieuse position... Qu'attendait-elle ? Il ne s'en sentait que plus supérieur !

"Avouez-le seulement...", souffla-t-il, une légère haleine mentholée expirant de sa bouche.

Il n'eut même pas le temps de réagir que déjà elle lui rendait sa baguette, la remettant à sa place. Surpris, il y jeta un regard puis revint à elle, une mine sceptique peinte sur son visage de gamin insolent.

Puis, cela se passa très vite. Elle se pencha et balaya ses grandes jambes sans qu'il ne puisse s'en rendre compte. Retombant lourdmeent sur le dos il lâcha un petit hoquet de surprise.

L'Auror balaya un regard surpris tout autour de lui tandis que des passants intrigués s'arrêtaient pour regarder la scène. Ses yeux lançant des éclairs venimeux, il tenta de se relever, se posant ainsi sur ses coudes tout en fixant la demoiselle.

Pour l'effet de supériorité, il repasserait... A présent c'était elle qui avait le dessus et le toisait avec tant de mépris !


"Au fait, je dois vous remercier, vous venez de me faire penser qu’une fois de plus je ne dois pas faire confiance en la gente masculine".

Il n'eut pas le temps de lui dire "de rien". Pourtant, il aurait bien voulu... Ca l'aurait amusé, comme un gosse jetant des pétards dans les rues pour effrayer les passants. Etait-il donc si incorrigible ?

L'Auror se releva donc à la hâte, époussettant ses vêtements couverts de poussières et de sable au passage, tendant des sourires mauvais aux quelques personnes qui l'observaient encore...

Etrangement et, suite à cette chute, il commençait à avoir mal au dos. Il aurait voulu se contorssionner assez pour calmer cette douleur et encore taire cette affreuse démengeaisons qui lui montait en travers des omoplates mais il n'en eut pas le temps...

Son esprit lui fit comprendre qu'elle était partie et qu'il ne la reverrait sans doute pas de sitôt.
Il ne devait décemment pas perdre une occasion pareille... C'eut été trop bête !

Il tourna un regard vers l'endroit où elle s'était éclipsée et se jeta à son poursuite. Traversantr l'allée et arrivant à en embranchement, il coula un regard furtif à droite à gauche et finalement la remarqua.

Elle s'engageait dans une autre rue d'un pas précipité, cherchant certainement à mettre le plus de distance entre elle et lui.

Il s'élança à toute vitesses -ses pas de géants la rattrapant bien vite... Arrivant alors à sa hauteur, il la saisit violemment par le bras et la retourna contre lui.

Son visage à présent à quelques centimètres du sien, plongeant son regard de crystal dans ses yeux de biche, l'Auror esquissa alors un petit sourire en coin -se perdant dans le bleu lagon de ses prunelles...


"Que j'aime lorsque l'on me résiste...", lui souffla-t-il alors, et il se pencha davantage sur elle.

Ses yeux se fermèrent l'espace d'un instant, barrés par des remparts de cils blonds. Il approcha délicatement ses lèvres des siennes -fraîches, délicates, tellement femme !

Il les pressa ainsi violemment dans une ultime étreinte, se resserrant un peu plus contre elle, ses muscles se contractant tandis que ses mains robustes la retenait et l'attirait un peu plus vers lui.

Doucement, presque convulsément, il passa le bout de ses doigts le long de son visage, le caressant tandis qu'il en tremblait...

Les lèvres délicates comme les pétales d'une rose vinrent un peu plus s'écraser contre les siennes, véritables rouleau-compresseur brisant les barrières de l'innocence...
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptyMer 27 Juin - 20:30

Lorelai était bien décidée à quitter Pré-au-lard et à laisser l’Auror tout seul, elle marchait d’un pas vif tout en réfléchissant où elle pouvait transplaner sans grande difficulté. Alors plongée dans ses pensée elle n’entendit pas les pas précipité de l’Auror, ce n’est qu’en sentant quelqu’un la retourner violemment par le bras qu’elle comprit qu’elle avait été suivie. Sans se rendre vraiment compte que c’était Apophis, elle commença à se débattre mais l’homme était fort et la maintenait contre lui. Elle releva les yeux et croisa le regard bleu gris de l’homme qu’elle avait fait tomber un instant plus tôt dans la rue, elle n’avait pas peur de lui, tout ce qu’elle ressentait pour lui maintenant c’était de la haine. Lorelai haïssait cet homme et tous les autres, elle ne les supportait plus, elle voulait s’en aller au plus vite et ne plus jamais avoir à faire à lui. C’est alors que Sykes lui dit qu’il aimait qu’on lui résiste en se penchant d’avantage vers le visage de la jeune femme, elle le vit alors fermer les yeux.

*Mais qu’est-ce qu’il fait ?*, se demanda-t-elle en essayant tant bien que mal de se dégager mais c’était déjà trop tard les lèvres de l’homme se posèrent sur les siennes.

Lorelai écarquilla les yeux sous la stupéfaction, jamais elle n’aurait imaginé que cet homme allait l’embrasser, jamais elle n’aurait pensé que malgré la violence de se baisé, elle se laisserait emporter. Elle était prisonnière de ses bras puissant, ce n’était pas un baisé ordinaire, chacun d’eux voulant prouver à l’autre qu’il n’était pas prés à se laisser dominer par l’autre. Lorelai avait à présent les yeux fermés, elle sentit la main de l’homme quitter son corps pour aller rejoindre son visage et le caresser d’une façon tellement délicate, qu’elle n’aurait jamais pu le soupçonner.

*Qu’est ce qu’il m’arrive ? Qu’est-ce qu’il me prend ?*, se demanda-t-elle alors qu’elle dégageait l’autre bras pour entourer la nuque de l’homme qui ne cessait de l’embrasser.

Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas ressentit cela, mais la peur de tout perdre la fit revenir à la réalité, elle ouvrit les yeux et le repoussa violement alors qu’une seconde plutôt elle était entrain d’enrouler les mèches de l’homme entre ses doigts. La jeune femme le regarda droit dans les yeux, ouvrant la bouche pour dire quelque chose puis la refermant immédiatement.

- Pourquoi ?

Le mot avait franchi ses lèvres avant qu’elle ait pu faire ou dire quelque chose d’autre, de plus intelligent selon elle, elle avait envie de savoir en même temps mais pas si vite. Puis la colère la reprit aussi soudainement qu’elle l’avait quittée.

- Pourquoi vous avez fait ça !? Vous vous amusez de moi ? Vous voulez à votre tour connaître mes faiblesses, c’est ça que vous voulez ? lui demanda-t-elle en se rapprochant de lui et en dirigeant son index vers son torse. Dites moi ! Dites moi une fois pour toute ce que vous attendez de moi ! lui dit-elle en le regardant droit dans les yeux.
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Ξ Sujet: Re: Un moment de détente... hum [Pv Apophis]   Un moment de détente... hum [Pv Apophis] - Page 2 EmptyJeu 28 Juin - 22:38

Apophis savoura ce délicat baiser avec plaisir, ses lèvres s'écrasant un peu plus contre celles d ela jeune femme, goûtant le goût sucré qu'elles pouvaient avoir. Il se sentait aux anges, brûlant, incandescant, prêt à monter au septième ciel. Douce sensation ennivrante qui vous fait homme tout en vous faisant chien...

Brusquement, tandis qu'il se délectait de la chair de cette douce enfant, il fut projeté en arrière, manquant perdre l'équilibre pour finalement s'écraser contre le mur d'en face.

Surpris, intrigué, il arrondit de grans yeux vers elle attendant alors la réponse qui justifierait un tel comportement. De plus, qu'elle ne dise pas le contraire !! Cela lui avait bien plu !

"Pourquoi ?",souffla-t-elle puis elle reprit rapidement le dessus et rentra alors dans une colère noire.

"Pourquoi vous avez fait ça !? Vous vous amusez de moi ? Vous voulez à votre tour connaître mes faiblesses, c’est ça que vous voulez ? Dites moi ! Dites moi une fois pour toute ce que vous attendez de moi !".

La jeune femme le regardait à présent droit dans les yeux, pointant un index menaçant vers sa personne. Amusé de voir qu'elle ne se laissait pas faire ni même impressionner, l'Auror fit un pas dans sa direction, son ombre s'agrandissant sur la silhouette fine et longiligne de la jeune femme.
Il mordilla sa lèvre inférieure d'un air de chérubin insolent puis reprit sur un charmant sourire :


"Rien. J'en avais envie ! Et comme je suis homme à réaliser fantasmes et désirs...".

Ses lèvres se tirèrent davantage en un rictus étrange puis il l'observa de haut en bas, non sans s'attarder sur les formes généreuses de son corps.

"J'aurais cru que cela vous aurait fait plaisir..." -il rapprocha son visage du sien, frôlant doucement sa joue de son nez-.
Puis, dans un murmure :


"J'aurais cru répondre à vos attentes... Et ne dites pas que cela ne vous aura pas fait plaisir...".

Il renfonça son visage dans le cou de la jeune femme, se laissant ainsi abandonner à plus de tendresses et de gentillesses...

"Ou alors vous avez une curieuse manière de vous défendre. Ai-je rêvé ou vous avez frôlé mes cheveux ? (il se saisit doucement et délicatement d'une mèche de cheveux de Lorelai et commença à l'entortiller à travers ses doigts fins et longs) comme ça !".

Doucement, relâchant son étreinte, il se laissa peser sur le corps de cette jeune enfant, s'abandonnant à sa douceur, à son parfum, à tout ce qui faisait d'elle une femme... rien qu'une femme.

Apophis Sykes n'avait pas ressenti cela depuis des années mais il ne fut navré -et presque frustré- de ne percevoir plus que ce genre de sensations primaires, bestiales, à des lieux du bonheur et de l'amour qu'il éprouvait alors lorsqu'il n'était encore qu'un adolescent.

Mais c'était son poids, c'était sa croix, son fardeau. Il s'était donné à une toute autre maîtresse qu'elle, et qui se nommait "labeur". Il avait fait un choix et ne pouvait retourner en arrière. Il faudrait donc qu'il se contente de ses simples pulsions primitives...

Soupirant, il se laissa davantage pendre le long de la jeune demoiselle, apparaissant comme un poids lourd et mort sur ses épaules. Respirant légèrement le parfum fruité et corsé qu'elle dégageait, il la resserra alros tout contre lui.


"Vous êtes d'une beauté incomparable, Lorelai..." -et il manqua glousser tant cette phrase lui apparaissait comme absurde et surfaite- "vraiment...".

Il resserra son étreinte conscient qu'elle pourrait toujours se dégager, lui échapper. Ses câlins -qui se voulaient tendres et passionés- ne révélaient rien d'autre qu'un réel manque et qu'une envie de combler un vide certain. Symbôle d'un désir à assouvir, un peu comme lorsque l'on cherche à se rassasier après des jours passer dans un désert aride et sec...

Pour le commun des mortels, l'on aurait pu appeler cela "amour" ou "passion". Mais pour Apophis Sykes l'on appelait cela "faim". Ce qu'il ressentait alors n'était rien d'autre que le signe avant-coureur d'un appétit à satisfaire...

Il redressa la tête et fixa la jeune femme, les yeux injectés de sang, faisant ressortir la prunelle glaciale de ses yeux bleus. Etrangement, l'Auror ne trahissait aucune autre sorte d'émotion...

Il esquissa alors un léger sourire blasé -plus par ce qu'il ressentait que par les réactions qu'il lisait sur le visage de Lorelai- puis, d'un geste rapide, plaqua sa main épaisse contre le mur, lui bloquant ainsi tout passage.

Jamais elle ne devrait lui échapper, jamais... Elle ne devait pas partir, non... Elle était à lui, sa proie ! Il l'avait gagné, l'avait conquise ! Elle avait emporté quelque chose de lui bien trop précieux pour qu'elle puisse s'enfuir avec... c'était ainsi !
Lorelai était à lui à présent, coincée dans ses filets. Et il voulait plus, oui, plus...

Il lança un regard métallique à la jeune fille, brillant d'une étrange et inquiétante étincelle. Caressant des yeux ses lèvres rosées et pulpeuses il souffla alors dans un dernier filet de voix :


"Donne m'en plus... tu es un tel ravissement... Même le plus cruel des hommes tomberait à tes pieds...".

Il posa alors son front tout contre le sien, inspirant et expirant à grosses bouffées, tâchant de contrôler quelque chose qu'il ne pouvait pas -ni ne souhaitait pas comprendre-...

"S'il te plait... tu es tellement belle... ne pars pas, pitié... reste avec moi... avec moi...".

Une idée sordide lui traversa alors l'esprit tandis qu'il tentait de reprendre son souffle, la gorge sèche.
Si... s'il lui faisait du mal, s'il la frappait, s'il la mettait KO ?... A... Alors elle ne pourrait pas se relever ! Et, de ce fait, il l'emménerait chez lui et la baricaderait ! Ainsi elle ne pourrait jamais partir, jamais s'enfuir ! Elle serait à lui, sa proie, juste et rien qu'à lui... Pour lui tout seul...

N... non... enfin, ce genre de choses... Mais ? Etait-il donc plus animal qu'homme ? Par Merlin...

Il fallait la séquestrer ! Oui, la séquestrer ! Ainsi, elle ne partirait pas ! Ainsi elle serait sienne !!


*Seigneur Tout-Puissant...*

Non, il fallait la tuer ! Oui, la tuer ! Ainsi elle ne bougerait plus du tout et serait à sa merci, à sa disposition ! Elle ne pourrait plus jamais quitter sa maison, plus jamais...

Apophis Sykes déglutit alors avec peine, le goût de l'amertume de se savoir si fou emplissant sa bouche, le dégoûtant d'avoir seulement songé à cela...
Brute épaisse qu'il était ! Animal assoiffé de chair et de sang ! Il ne valait guère mieux qu'un loup-garou !


"S'il te plait, murmurait-il doucement tout en caressant une mèche de ses cheveux, s'il te plait... reste...".

"Je te le demande... comme un service !".

Et ses lèvres se tirèrent en un étrange sourire...
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