La passion des plantes...

Neville se promenant de la parc, en ce beau jour de Septembre, fut encore troublé par la présence du grand arbre. Bien que ce fut sa quatrième année au château, il ne s'était jamais vraiment approché de près. Il décida donc de prendre cette initiative. Motivé par cette idée il marcha en direction de l'arbre à grands pas. Une fois arrivé devant, il l'observa avec grand intérré. Ses longues branches, avec au bout un grosse masse en bois. Mais l'arbre semblait immobile. Il décida donc de s'en approcher. L'arbre ne bougé toujours pas. Et c'est quand il fut tout près que l'arbre lui donna un coup et que Néville décola en arrière. N'osant plus s'en approcher, il ne fut pas tout à fait satisfait de sa découverte. Regardant l'arbre puis son bras en sang il remarqua sous l'arbre, sa baguette ! La baguette de son père. Dans le piteux états où il était, il ne put que crier à l'aide, en attendant qu'on lui répondit. Il ésépara de tout son coeur que ce ne fut pas un Serpentard qui arriva, mais un de ses camarades de Griffondor. Il se retourna et vit un personne arrivait.

Neville ne fut pas très content de voir une autre personne arriver. Non pas que la companie de cette charmante fille génait, mais il remarqua qu'elle portait l'insigne des Serdaigles.
* Encore une maison qui va savoir que je suis un... maladroit !"
Quand il entendit la jeune fille parler il lui répondit vivement :

"J'ai toujours trouvé la meilleure façon d'attirer le monde ! Bonjour comment t'appelles tu ? "
Ils continuèrent de marcher jusqu'au château ou l'infirmière serait peut-être là. Neville attendait la réponse de la petite fille qui marchait à présent à côté d'eux. Il regarda le ciel et remarqua que de vilains nuages noirs couvraient le soleil. Il reçu une goutte, puis deux, puis l'averse.

"Oh non ! S'écria t-il !"

pS: Je pars en vacances ! Salut !

Neville pesait son poids, pas à dire. Ron commençait à le remorquer lorsqu’une voix résonna dans leur dos :

-Salut, t'as fais une sacrée chute, je venais te donner un coup de main quand toi tu es venu l'aider. Ca va aller ?

Très surpris par cette intervention, Ron s’était retourné et était tombé nez à nez avec une toute jeune fille portant l’insigne de Serdaigle. Elle ne désirait qu’apporter son aide et, dans le fond, c’était bienvenu.

Neville, très pâle, devait souffrir mais trouva la force de demander son nom à la fillette. Ce n’était pourtant pas le moment de faire la conversation : le temps se gâtait dangereusement et la pluie s’annonçait.

Aide-moi, veux-tu ? dit-il à la gamine. On ne sera pas trop de deux pour courir avec ce qu’il va tomber.Effectivement, des gouttes de plus en plus serrées se déversèrent. Cahin-caha, le trio improvisé se mit à galoper vers le château. Après plusieurs dérappages, ils parvinrent au hall d'entrée en étant trempés de la tête aux pieds

Pourvu que Rusard ne nous voie pas, grommela Ron. Pour moins que ça on a déjà eu une retenue!

Il fallait à présent gagner l'infirmerie ce qui n'était pas... gagné d'avance.

Le pauvre Neville semblait vraiment souffrir. Il faut dire que l'arbre ne l'avait pas épargné, heureusement qu'il était dans une école de sorcier, il pourrait donc s'en sortir sans dommage. Mais si cela avait été un moldus, Alyss aurait imaginé le drame. Mais remarque, chez les moldus, il n'y a pas d'arbre féroce et animé. Donc ce dernier n'entrenerait pas la mort d'un moldus. La victime était toute pâle et semblait tenir debout avec grand peine, il haletait lorsqu'il demanda à Alyss son nom. Néanmoins il ne semblait pas vraiment apprécié la jeune fille, il lui avait répondu sur un ton vif, presque sec. Mais pourtant, Miss Flegde ne voulait que l'aider. Ce n'était pas la peine de la traiter ainsi. Ron Weasley lui demander de l'aider, la jeune fille s'approcha et glissa un des bras de M. Londubat sur son épaule pour le soutenir. Il faut dire que c'était assez difficile de le soulever car il faisait deux -trois fois son poids.

-Je m'apelle Alyss Fledge, la jeune étudiante montra son insigne sur son uniforme et le mit en avant puis poursuivit, et je suis de Serdaigle.

Soudain, la première année sentit le ciel s'assombrir assez rapidement, et une goutte l'atteint sur so nbras. Elle leva le nez au ciel par réflexe et vit qu'une averse s'abattait sur eux, disons qu'elle le sentit surtout. Les deux étudiants se hatèrent de rejoindre le château, mais devait y aller en douceur pour éviter trop de souffrance au pauvre Londubat. Soudain il y a eu une falque d'eau, Miss Fledge se sentit un peu déséquilibré, mais remonta rapidement. Ils n'étaient plus qu'à quelques pas du hall, lorsqu'un vent violent les fouetta en pleine face et ils furent trempés de la tête au pied. Rhaa !! Alyss aurait pu s'en tirer sans tro pde dommag,e mais nan, il a fallu que pile au moment où elle allait se promener dans le parc, il y est de la pluie, pourtant quand elle était arrivé il faisait plutôt beau. C'était très bizzare... bon remarque, ils étaient dans le monde des sorciers, mais tout de même. On aurait dit que quelqu'un avait avalé le soleil, car il faisait extrémement sombre. L'élève de première année manqua de se ramasser par terre en glissaant avec ses chaussures trempés sur le parquet impeccable.
Ron ne semblait pas vouloir aborder le sujet d'Hermione, car, bien que la Serdaigle s'excusa d'avoir entendu le sujet de leur conversation, il n'en parla pas et préfère être muet à ce sujet.
Tout le monde se dirigeait à présent vers l'infirmerie, Alyss n'avait aucune idée de là où elle était... Elle suivait très docilement le petit groupe, toujours un peu en retrait, ce qui devait être assez gênant pour Neville.

-Je suis désolé pour ta baguette magique, c'est pas de chance ! Moi aussi je suis assez maladroite, c'est humain ...

Alyss voulait lui remonter le moral en lui racontant une de ses gaffe,s mais elle avait un peu l'impression de rapeller son terrible défaut à Neville, mais ce n'était pas parti d'une mauvaise intention, enfin bon elle n'avait rien à perdre.

-Un jour j'ai voulu voler sur un balais, j'ai enfourché celui de ma soeur et je me suis concentrée pour décoller. Je ne savais pas encore qu'il fallait taper du pied alors j'ai pris de l'élan et un brin du balais s'est acroché à une branche d'un arbre, et je me suis écrasée telle une crêpe contre le cerisier du jardin. Je m'en souviens encore, ça fait très mal . Surtout ce jour-là mon père ramassait les feuilles mortes et en me relevant je me suis pris un rateau.... au sens propre bien sûr.

L'élève émit un petit rire, mais se sentait un peu nais dans cette ambiance ...

Ils étaient arrivés au château. Trempés, dégoulinants, ils laissaient d’affreuses traces boueuses dans leur sillage. Sûr que si Rusard arrivait, ils se feraient écharper. La petite Serdaigle était vraiment vaillante. Elle avait supporté Neville autant que lui-même et Ron en éprouvait une profonde reconnaissance. Elle semblait absolument ignorer où était l’infirmerie ainsi que la sanction qui les attendait au tournant en cas de rencontre avec le concierge. Devait-il l’en informer ?

** Inutile de rajouter des angoisses supplémentaires, songea-t-il rapidement. Il faut encore monter cet escalier, je n’ai pas envie qu’elle détalle en lui flanquant la frousse**

Ron était tracassé d’entraîner malgré elle cette fillette vers une punition quasi assurée. Néanmoins, il avait besoin d’elle. Aussi se montra-t-il le plus charmant possible vu la situation.
-Un jour j'ai voulu voler sur un balais, j'ai enfourché celui de ma soeur et je me suis concentrée pour décoller. Je ne savais pas encore qu'il fallait taper du pied alors j'ai pris de l'élan et un brin du balais s'est acroché à une branche d'un arbre, et je me suis écrasée telle une crêpe contre le cerisier du jardin. Je m'en souviens encore, ça fait très mal . Surtout ce jour-là mon père ramassait les feuilles mortes et en me relevant je me suis pris un rateau.... au sens propre bien sûr.

Alyss Fledge venait de raconter ses mésaventures de vol et, franchement, d’imaginer qu’elle s’était pris un râteau en pleine poire était assez désopilant. Elle riait, Neville aussi, alors Ron fit de même en évitant la moquerie puisque, pour une première année, c’était assez naturel de ne pas savoir bien manier un balai de course.

Tu verras, dit-il amicalement, ici tu apprendras à voler correctement. Moi, j’avais de l’entraînement avant d’arriver mais je me suis aussi ramassé quelques pelles – au figuré - avant de parvenir au niveau de mes frères.

L’ascension débuta, longue et pénible. Ils suèrent sur ces marches interminables menant au local tenu par Mrs Pomfresh. Par chance – ou malheur ? – ils ne croisèrent pas âme qui vive. Pourtant, un coup de main supplémentaire aurait été le bienvenu.
Il était assez difficile d’entretenir la conversation tout en grimpant vers le troisième étage.
Je me demanderai toujours pourquoi ils ont flanqué l’infirmerie si haut dans le château. Ils auraient mieux fait de l’installer au rez-de-chaussée, grinça-t-il en hissant Neville marche après marche.
Le pauvre devait souffrir affreusement, il devenait très pâle et Ron s’alarma :

Eh, vieux ! Tu ne vas pas tomber dans les pommes, non ?
Hélas, son ami s’amollissait dangereusement dans les bras de ses deux sauveurs.
On s’arrête, déclara fermement Ron.
Ils venaient d’aboutir au palier du second étage. En tirant avec l’aide d’Alyss, Ron parvint à remorquer Londubat jusqu’à un angle où, avec douceur, ils le déposèrent. Lentement, le corps du grand graçon s’affaissa.
**Il tourne de l’œil mieux qu’avec les pastilles inventées par Fred et Greorge !** s’effara le jeune Weasley.
Vu la tête d’Alyss, la fillette s’inquiétait également.
Il Fallait qu’il fasse quelque chose. Ron gratta un instant sa tignasse flamboyante à la recherche d’une idée qu’il souhaitait géniale. Un sort de réanimation ? Il n’en connaissait pas. À défaut, il se pencha sur Neville dont il frappa les joues de plusieurs petites claques sèches. Si du rose teinta les pommettes du garçon, celui-ci demeura dans les vapes. Soudain, lumineuse, la solution éblouit le rouquin :
Nom d’un gnome, je suis un idiot ! se gourmanda-t-il avec éclat.
Il se releva, brandit sa baguette qu’il pointa sur Neville :
« Wingardium Leviosa » jeta-t-il au corps inerte qui, avec lenteur, s’éleva du dallage.
Voilà, sourit Ron ! Il suffit de le faire flotter ainsi jusqu’à l’étage suivant. Je peux me débrouiller seul, à présent mais, si tu veux nous accompagner, tu devras courir un peu.
D’un regard condescendent, il couva la fillette qui lui parut un peu hésitante.

[ mots: 575 ]
55O mots, désoler, on ne compte pas les citations

Alyss semblait avoir réussir à détendre un peu l’atmosphère. Malheureusement elle ne pouvait pas faire passer la douleur du pauvre Neville. Ce dernier avait quand même était profondément entaillé, mais jusqu’à présent il semblait tenir le coup ; il grimaçait un peu lorsqu’ils montaient les escaliers et lâcha de temps à autre un petit couinement. Ron écoutait tranquillement la petite raconter sa mésaventure. Il rigola en même temps que les deux autres et lui assura qu’elle allait rapidement progresser, à vrai dire elle n’en doutait pas. Pour tout dire, elle savait déjà très bien voler. Ce que de ne semblait pas vraiment comprendre les deux camarades étaient que la petite histoire d’Alyss était arrivée il y a déjà trois ou quatre an de cela. Elle se souvenait quand sa grande sœur lui avait crié dessus plus énervée que jamais. Jamais elle n’oublierait ce moment, elle avait pleuré et avait couru se réfugier dans les bras de sa mère. Ce fut au tour de Ron de raconter quelque chose. Il semblait plutôt bien se débrouiller sur un balais. En tout cas ses deux frères jumeaux étaient d’excellents batteurs. Nul ne saurait les égaler dans l’équipe de Gryffondor. Néanmoins au dernier match, Serdaigle avait remporté la victoire. Ce qui l’avait ainsi placée provisoirement premier à la coupe des Quatre Maisons, mais ce n’était malheureusement pas définitif. Poufsouffe les suivit de très près et il semblait évident qu’il rattraperai leur retard s’il gagnait le match de Quidditch.
Soudain alors que le trio rigolait tranquillement, Alyss sentit Londubat s’affaisser sur son épaule, elle le regarda et ne put s’empêcher de dire avec un voix inquiète :

« Oh, bon sang ! Tu es tout pâle, allez faut que tu tiennes le coup. »

Weasley eut la même réaction affolée que sa voisine, il donna ainsi l’ordre à tout le monde de s’arrêter. Ils traînèrent tant bien que mal leur fardeau contre le mur et y adossèrent Neville dont l’apparence fantomatique était vraiment effrayante. Il ne devait vraiment pas se sentir bien. Les trois élèves étaient tous plus sales les uns que les autres, tous trempés de la tête aux pieds, leur chaussure et leur bas de pantalon tous couverts de boue ! Ils avaient sali entièrement le couloir. Si quelqu’un s’était aventuré à leur suite, ils se seraient retrouvés rapidement les quatre fers en l’air. C’est comme ça qu’avait failli se retrouver Alyss quand ils étaient entrés dans un couloir propres avec des souliers tout humides.

« Ca va aller Neville ? Allez… réveille-toi ! Sois courageux ! »

Son ami de Gryffondor essaya de lui faire reprendre connaissance et lui donna quelques légères tapes sur les joues, cela semblait d’ailleurs bien loin d’être suffisant. Le pauvre était courbaturé par la souffrance et la douleur. Avec le revers de sa manche, elle essuya son front humide et ses joues recouvertes de transpiration, puis elle adressa un regard interrogateur sur la solution à adopter au plus grand. Que fallait-il faire ? C’est alors que le quatrième année se frappa le front de la main comme s’il voulait dire ‘comment n’y ai-je pas pensé plus tôt’ l’expression qu’on pouvait lire sur son visage fit sourire Alyss. Il s’avança près du grand maladroit et prononça un sortilège de gravité et fit léviter son camarade. Il proposa donc de poursuivre sans la petite enfant si elle avait d’autres occupations plus importantes. Mis Fledge décida quand même de suivre Ron mais du trottiner légèrement pour compenser les grandes foulées du quatrième année. Mais elle n’avait pas à se plaindre, il ‘avait prévenu. Finalement elle lâcha un peu à court d’air, car légèrement essoufflée :

« Je te suis, je suis.. ; juste … derrière. C’est encore … loin… l’infirmerie ? ? «

Cela faisait maintenant bien un quart d’heure qu’il courrait dans les couloirs, mais il y avait une pointe de confort en plus. Neville n’était plus supporté par ses épaules épaules. Son corps un peu somnolant flottait tout doucement au-dessus de Ron. Alyss se massa doucement les omoplates avec une légère grimace de douleur. Pourquoi l’infirmerie n’était-elle pas près de l’entrée ? Ou au moins au milieu du château, ce serait mille fois plus pratique pour les souffrants et les malades. Ou peut-être qu’elle était si éloignée pour le repos des patients… Mais Alyss continuait à dire que l’emplacement n’était pas très judicieux.

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