Un mois plus tardWolfgang était encore au parc assis sur le banc entrain de fumer un bon cigare, quand deux bras l’enlacèrent tendrement et qu’une tête vint se poser dans son cou. Il caressa le bras de sa petite fille doucement tendrement, puis il regarda ce qu’elle avait déposé à côté de lui, il y avait une veste en cuir et un casque de moto.- Tu es venue avec l’engin de Jéremya ? Je pensais qu’il te détestait et que c’était réciproque,
dit-il en fronçant les sourcils.*
Lorelai était arrivée effectivement à Londres avec la moto de Jéremya, elle voulait voir son grand père juste avant de faire des emplettes avec Lily-Rose la futur femme de September Quint. Elle ne savait plus exactement qui il était, elle était sur de connaître ce nom. Quand elle arriva à Sainte-Mangouste, elle apprit que son grand-père était dans le parc entrain de prendre l’air. Elle sortit alors dans le petit parc de l’hôpital et vit son grand-père assis sur un banc entrain de fumer un Avane. Lorelai sourit elle déposa alors s’en bruit sa veste et son casque sur le banc et enlaça son grand-père. Elle le sentit alors lui caresser doucement ses bras et elle sourit de cette affection qu’il lui montrait, lui qui était d’ordinaire si froid. Il lui demanda si elle était venue avec l’engin de Jéremya et qu’il pensait toujours qu’ils se détestaient mutuellement.- C’est toujours le cas,
dit-elle en relâchent son étreinte pour aller prendre place près de lui.*
Wolfgang était heureux qu’elle soit là près de lui mais, pendant un long moment ils restèrent tout deux silencieux à contempler le petit étang. Le grand-père n’y tenant plus se retourna vers sa petite fille et lui dit :- Ton petit ami est venu me voir il y a un mois, un garçon charmant mais, très étrange… Il m’a fait penser à moi quand j’avais son âge et que j’ai eu ta tante,
lui dit-il en se retournant pour voir l’étang.*
Lorelai était restée silencieuse pour ne pas déranger son grand père quand il lui dit qu’il avait vu son petit ami. La jeune femme faillit s’étrangler avec sa propre salive se demandant depuis combien de temps elle avait quelqu’un dans sa vie sans s’en rendre compte. Son grand-père lui expliqua alors que cet individu était un garçon charmant mais très étrange et qu’il lui avait fait penser a lui quand il avait son âge.- Et qui est cet homme ? Si toute fois tu sais son nom,
dit-elle en se retournant vers lui.Son grand-père reprit en disant qu’il lui faisait penser à lui quand il avait eu sa première fille en regardant de nouveau l’étang.*
Wolfgang se retourna une fois de plus vers sa petite fille qui lui demandait qu’elle était cet homme et si toute fois, il savait son nom.*Comme si j’avais pu l’oublier*,
se dit-il en réfléchissant un instant.- Apophis Sykes,
lui dit-il sur de lui.*
Quand son grand-père eut dit le nom d’Apophis, Lorelai cru que son cœur avait cessé de battre, elle le regarda incrédule.*Apophis mon petit ami, non mais ça va pas la tête, jamais de la vie ! Et puis quoi encore ?*,
pensa-t-elle en regardant toujours droit devant elle.- Et qu’est-ce qui ta fait penser à ça grand-père ?
lui demanda-t-elle en le regardant à son tour.*
Wolfgang entendit que ça petite fille était quelque peut en colère et il se demanda pourquoi elle lui demanda pourquoi il pensait que l’homme qu’il avait vu était son petit ami.
- Et bien, il m’a dit que vous vous étiez embrassé et qu’il était près à le refaire encore et encore, je suppose qu’il a trouvé tes lèvres à son goût,
dit-il avec un petit sourire en coin.*
Lorelai n’en revenait pas de la phrase que venait de dire son grand père…*C’est qu’il a trouvé mes lèvres à son goût, je vais lui en faire passer l’envie moi !*,
pensa-t-elle avant de s’exclamer :- Grand-père !
*
Wolfgang n’avait jamais vu sa petite fille dans une telle rage sauf une fois et ce n’était pas son meilleur souvenir c’est quand il lui avait prit de lire son journal intime.- Ne te fâche pas… Mais, ce jeune homme ressemble étrangement à celui dont tu parlais dans ta jeunesse,
lui dit-il avec un regard bien veillant.*
Lorelai se mit à réfléchir à quel jeune homme son grand-père faisait allusion, puis il lui revint en mémoire le jour où elle n’avait pas prit soin de cacher son journal intime.- Tu parles du Serpentard n’est-ce pas ? Mais j’avais seize ans et les hormones nous joue des tours à cet âge, je n’ai même jamais su comment il s’appelait,
lui dit-elle en détournant le regard. *
Wolfgang regardait toujours sa petite fille avec un regard bien veillant et il l’a prit dans ses bras.- Les hommes sont attirés par toi car, tu es une jeune femme exceptionnelle regarde tout ce que tu as déjà accomplit dans ta vie… Ma chérie, il serait tant que tu te maries…, et pourquoi pas avec ce…, enfin avec la personne de ton choix.
*
Lorelai sourit à son grand-père et se laissa submerger par tant de douceur dont il faisait preuve, c’était la première fois qu’il la prenait dans ses bras. Il lui dit alors, que les hommes étaient attirés par elle et que c’était normal vu qu’elle était une jeune femme exceptionnelle, elle leva alors les yeux au ciel ne croyant pas trop ce qu’il disait. Puis, il ajouta qu’il serait tant qu’elle songe au mariage et pourquoi pas avec mais, il s’arrêta juste attend. C’est alors, qu’une pensée lui traversa l’esprit.- Mais bien sûr, grand père as-tu parlé à Apophis de l’héritage ?
*
- Non je n’ai rien dit mais, il semblait être au courant,
lui dit-il avec soudain un air intrigué, tu penses qu’il a essayé de bien se faire voir vis-à-vis de moi ?
*
- Si, c’est le cas il a perdu son temps grand-père,
lui dit-elle en le regardant, jamais je ne voudrais d’un homme comme lui…, c’est comme…, c’est comme si j’épousais Jeremya Stones !
*
Wolfgang regarda sa petite fille droit dans les yeux puis il lui sourit et finit par éclater de rire en imaginant le couple que cela ferait.
- Oui, j’imagine bien cette brute de Stones avec toi, tiens !
lui dit-il en lui souriant.*
- Il me prend déjà pour un homme en tant normal, donc à moins qu’il vire de cutis je n’aurais aucune chance avec lui…,
dit-elle en se retenant de rire. Et puis, on se dispute sans arrêt, non l’homme qu’il me faut n’est vraiment pas Jeremya !
*
- Non, ce qu’il te faut c’est un homme droit, courageux, téméraire…, dis-moi que dirais-tu de Bill Weasley c’est un garçon solide et qui a la tête sur les épaules,
lui dit-il en lui souriant.*
- Serais-tu sérieux ? As-tu déjà eut l’occasion de discuter avec Bill ?
lui demanda-t-elle incrédule. Il est ennuyeux comme les pierres, il ressemble aux gobelins qui le dirigent, il ne parle que de chiffres du matin au soir. Bill est un amour c’est vrai, il rendrait n’importe quel service à ses frères mais, il est ennuyeux et quand il me parle il regarde plus souvent ses chaussures que ma tête, c’est exaspèrent ! Non, si il me fallait épouser un des Weasley, je choisirais Charlie sans la moindre hésitation,
lui dit-elle avec un léger sourire.