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 Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)

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Susan Montgomery-Bones
Susan Montgomery-Bones
Directeur Poufsouffle

Parchemins : 1823
Âge : 35 printemps (21 juin 1980)
Actuellement : Professeur de sortilèges
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Ξ Sujet: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptyVen 28 Sep - 15:48

Le mois de février touchait à sa fin et, comme de juste dans cette partie nordique du Royaume-Uni, il pleuvait. Et pas qu’un peu. Les gouttes s’abattaient sans discontinuer sur les vitres du château depuis la nuit dernière, rendait difficile toute tentative de sortie. Les dernières plaques de neige avaient fondues, vaincues par l’attaque ruisselante et la pelouse du parc, spongieuse à souhait, dérapait sous les pieds des élèves quand ils se trouvaient dans l’obligation de la traverser.

Voulant sans doute éviter les fractures et les rhumes tenaces, l’administration avait jugé sage d’annuler les cours de Soins aux Créatures Magiques («Ben ouais, il pleut… Non ! C’est pas grand chose ! Juste un peu d’eau !» aurait pu dire Hagrid si l’article incendiaire de Rita Skeeter, parut quelque semaines auparavant, ne l’avait pas considérablement refroidi. Susan ne portait pas particulièrement la journaliste dans son cœur – ne serait-ce que parce qu’elle avait fait une très mauvaise publicité au service ministériel dans lequel travaillait son père – mais pour une fois, elle devait bien reconnaître qu’elle était enchantée des conséquences de l’article. Si un Serpentard interrogé n’était pas allé raconter que les cours étaient dangereux, ils auraient certainement dû tous affronter les éléments pour emmener des bestioles velus et dentues faire une promenade de santé. Pour elles, bien entendu. Parce que les élèves, eux, ne pouvaient pas qualifier une telle promenade de revigorante. Mais ceci est un autre problème). Mais pas de panique, les heures perdues seraient rattrapées ultérieurement (ç’aurait été dommage !).

Susan avait donc deux heures à perdre, en ce milieu d’après-midi, et, en bonne Poufsouffle qu’elle était, avait décidé de mettre cette période à profit pour peaufiner son devoir de métamorphose, matière qui était devenue une de ses favorites depuis que MacGonagall l’avait citée en exemple devant toute la classe. Comme quoi, l’amour pour un cours tient beaucoup à l’orgueil. Ce qui n’est pas très flatteur et surtout, est un peu étonnant pour un Blaireau.
Ses livres, parchemins, plumes et encres multicolores étaient à présent soigneusement étalés devant elle tandis que la rouquine, les mains plaquées sur les oreilles pour mieux se concentrer au milieu du bourdonnement des voix et du plic-ploc de la pluie, les sourcils froncés avec sévérité et les lèvres pincées, lisait un gros ouvrage poussiéreux sur la métamorphose des éléments.

De temps à autre, elle griffonnait une note sur un bout de parchemin qui lui servait de brouillon avant de se mordiller la lèvre inférieure pensivement. De toute évidence, la jeune fille était en pleine réflexion et il en aurait fallu beaucoup pour l’en tirer. Une intervention de Peeves et de ses boulettes d’encre, par exemple aurait certainement été suffisante. Ou une étagère s’effondrant quelques rangées plus loin, écrasant les élèves qui auraient eu le malheur de se trouver dessus. Mais bien évidemment, rien de tout cela ne pouvait advenir dans une bibliothèque, surtout quand ladite bibliothèque se trouvait sous le contrôle de l’irascible Madame Pince, dragon presque aussi terrible que Rusard. Ce qui attirait probablement l’attirance - incompréhensible autrement – du concierge pour celle-ci.

(508 mots)

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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptyVen 28 Sep - 19:35

Que de devoirs, que de temps libre! C'était l'occasion révée de mettre le temps que la jeune à profis pour avancer un peu plus dans la montagne de devoirs qu'elle avait à faire. Plus elle escaladait, plus des choses se rajoutait à cette montagne, qui d'en bas, paraissait insurmontable. Mais Elizabeth avait de gros bras, et escalader ne lui faisait pas peur, même quand il s'agissait de devoirs de potions et de métamorphose. La persévérance finissait toujours par payer, et ça, Elizabeth le savait, pour en avoir fait de nombreuse fois les frais. Les matchs de Quidditch étaient un bon exemple, car malgré tout les événements extérieurs qui semblaient s'acharner sur elle, Eli avait réussi à marquer des buts, qui s'étaient révélés au final, assez salutaires. Wendy avait été hélas, touchée par un cognard et n'avait pas pu être aussi active qu'au début du match, où elle avait été fabuleuse, quand à Suki, elle débutait dans le sport, et n'avait pas pu être d'un grand secours à l'équipe. Heureusement pour tout le monde, Susan avait su compenser ce manque temporaire, en étant extraordinaire durant le match qui les avaient opposés à Serdaigle. Dieu savait qu'elle méritait sa place dans l'équipe et Elizabeth ne voulait la voir partir pour rien au monde. S'il fallait, elle vendrait Alexander si Susan devait partir.
Mais heureusement pour les Poufsouffles, Susan ne menaçait pas de quitter l'équipe de Quidditch...

Vu la montagne de devoirs qu'avait Eli, il n'y avait qu'un seul endroit où elle pourrait travailler tranquillement tout en ayant les informations qu'elle voulait à proximité. C'était bien entendu la bibliothèque. La bibliothèque était en quelques sortes la quatrième maison d'Elizabeth. La première étant celle où vivait habituellement Elizabeth, avec ses frères et soeurs, ses parents, et tout les inconvénients qu'il y avait avec. La seconde était bien entendu Poudlard dans sa globalité, avec tout ce que ça comprennait et enfin le troisième foyer de la jeune Poufsouffle, était justement, la salle commune des Poufsouffle. Car comme tout le monde le savait, la grande famille Poufsouffle était, et bien... une grande famille... La quatrième maison d'Elizabeth était donc la bibliothèque. Endroit fabuleux, où se melait, livres, silence, travail, tout ça assaisonné d'une délicate odeur de vieux. C'était un endroit vraiment unique en son genre et Elizabeth adorait y passer du temps pour être tranquille. Ce jour là, ça tombait plutôt bien, car elle avait une montagne de choses à faire, surtout en métamorphoses. Métamorphoses... Ah Métamorphoses! Qu'elle matière passionante et quelle professeur charmante! Oui, Elizabeth n'était certes pas très objective en disant cela, car elle avait été félicitée par le professeur McGonagall lors du cours précédent, mais ça lui avait tellement fait plaisir, que depuis, elle considérait la métamorphose comme une de ses matières préférées. Pas la préférée certes, mais elle occupait néanmoins une grande place dans son coeur, et surtout dans sa tête. C'était en plus de ça, une matière très intéressante, certes difficile, mais où on était content quand on parvenait à comprendre. Elizabeth sortit donc de la salle commune où elle venait de passer un peu de temps à parler, et se dirigeat, sac à dos sur l'épaule, vers la bibliothèque.

Après avoir croisé un Rusard particulièrement énervé après Peeves, encore une fois, Eli arriva plusieurs minutes après, à l'endroit désiré. Elle entra et comme à son habitude, elle chercha une table libre. C'est en cherchant, qu'elle trouva une chose tout à extraordinaire et qui lui fit échapper un grand sourire. Enfin quand elle disait extraordinaire, ça ne l'était pas vraiment en soie, mais c'était une chose qui faisait vraiment plaisir à Elizabeth. Eli venait de voir la plus belle vision du monde, une vision qu'elle ne se lassait jamais de voir et dont elle ne se lasserai jamais. C'était la vision d'une des créatures les plus gentilles qui existait sur terre, la plus tolérante et sympathique que le monde ai connu, sans exagérer bien sur! Il s'agissait de la personne la plus accomplie qu'elle connaissait, à savoir Susan Bones, parfaite préfète, batteuse aux milles reverts gagnants et amie accomplie auprès de la première année. La jeune quatrième année était assise à une table à laquelle la jeune Harris se précipita d'aller immédiatement. Elle adressa un grand sourire à son amie, qu'elle espérait meilleure amie, mais ça seule sa préfete pouvait en décider. Dans tout les cas, Susan était la meilleure amie que Elizabeth ait jamais eu...


- Salut Susan! Tu vas bien? Je peus m'asseoir avec toi?

(745 Mots)


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Susan Montgomery-Bones
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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptySam 29 Sep - 14:24

Alors que Susan était en train de se battre cérébralement (ce qui est un joli néologisme, merci de l’accueillir dans la grande famille des adverbes inexistants) avec une notion particulièrement ardue, une voix désormais bien connu vint la tirer de son affrontement mental (qu’elle n’était pas certaine de gagner, d’ailleurs. La métamorphose est toujours la plus forte !).
La rouquine – les cheveux ébouriffés d’avoir été trop malmenés durant le combat contre les éléments métamorphosables – redressa la tête et cligna des yeux plusieurs fois de suite, à la manière d’une chouette tirée de son sommeil de manière atrocement brutale. Ce qui n’était portant pas vraiment le cas puisque l’entrée en scène d’Elizabeth ne pouvait pas précisément être qualifiée d’agressive. Il en fallait cependant peu pour surprendre la très sensible Susan.

Le temps que ses esprits retrouvent une position un peu plus normale (ce qui signifiait, notamment, apte à la communication avec autrui), gymnastique pas nécessairement aussi aisée qu’on pourrait le croire, et elle fut en mesure d’adresser un sourire candide à la fillette. Quelques secondes plus tard, la fonction «langage» de son encéphale se décoinçait à son tour. Une bonne chose étant donné qu’elle lui permit de répondre correctement, sans s’embrouiller dans des explications tordues ou des phrases alambiquées :

- Bien entendu, je t’en prie, de toute façon, il n’y a pas tellement de place ailleurs… Attends, je pousse mes affaires.

Ni une, ni deux, ni trois, la petite Poufsouffle entreprit de regrouper son bazar organisé pour laisser un bout de table à Elizabeth. Le Poufsouffle est, par nature, partageur, se serrer sur un minuscule morceau de pupitre ne le dérange pas s’il peut ainsi faire le bonheur d’un ami (ceci étant, il ne se poussera pas pour un Serpentard, sauf menaces de mort explicites à son encontre de la part dudit Serpentard).
Son petit ménage achevé (le tout sans renverser une seule fiole d’encre ou écraser sa plume, un petit miracle), Susan invita à nouveau Elizabeth à s’installer en lui faisant un petit signe très aristocrate – et un peu ridicule – de la main. Quelque chose comme : «Chère Baronne de Passmoilesel Du Fondujardyn, accepteriez vous une tasse de thé ?». Le tout sans la tasse de thé et, bien entendu, sans le nom à rallonge. A moins, évidemment, qu’Elizabeth ne soit à Poudlard sous une fausse identité, ce qui était également possible. Ceci étant, le pourcentage de chance pour qu’elle se nomme en réalité De Passmoilesel Du Fondujardyn était, sinon nul, du moins infinitésimal. Passons.

Susan lança un coup d’œil en douce aux livres que portait Elizabeth mais, à moins de loucher – ce qui était hors de question, elle ne brûlait pas d’envie de passer pour une demeurée, a fortiori auprès d’une des rares personnes à ne pas la prendre déjà pour une dingue, justement – elle fut incapable d’en lire les titres aussi se résigna-t-elle à rester dans l’ignorance la plus totale sur le sujet… Du moins pour le moment ! Car dès qu’Elizabeth se serait installée, les yeux de Susan reviendraient se couler (suivis de toute sa personne, bien entendu, Susan n’a pas des yeux capable de projection ex-orbitale), presque malgré elle, sur les mystérieux ouvrages. La curiosité est un vilain défaut.

(534 mots)

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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptySam 29 Sep - 17:56

C'est en toute logique et sans aucune surprise que Susan accepta que Elizabeth s'asseye à coté d'elle. Qui à présent, doutait de la gentillesse et de la profonde sympathie dont faisait preuve Susan Bones? Personne sans aucun doute. Tout le monde la conaissait et la savait gentille même, sans exagérer bien entendu, les élèves de la maison Serpentard. Bon certes, eux n'aimaient aucun élève des autres maisons, ou presque, mais si les Serpentards avait la moindre parcelle de coeur, ils seraient sans aucun doute amoureux, tous autant qu'ils sont, de la préfète préférée des Poufsouffles. Elle poussa ses affaires pour faire de la place à la jeune première année, et Eli s'en voulait à présent de venir l'embeter alors qu'elle était en train de travailler. En même temps, elle ne comptait pas lui parler réellement, sauf si bien sûr la situation s'y prétait. Non pas qu'elle ne désirait pas parler à son amie, bien au contraire, mais parce qu'elle avait plus peur de la déranger qu'autre chose. Si sa préfète, et accessoirement meilleure amie, du moins dans le sens élève – préfète, avait une envie insaciable de parler avec quelqu'un, Elizabeth était la personne idéale dans le sens où elle ne pouvait pas réver mieux que de parler avec son amie. Il était vrai que chaque discution avec Susan se terminait difficilement bien car Eli n'avait pas envie de la quitter et elle éprouvait donc un profond sentiment de nostalgie. Comme vous l'aurez compris, Elizabeth était la supportrice N°1 de Susan Bones et ce n'était pas prêt de changer.

Elizabeth Harris, s'assit donc à coté de son amie et sortit ses affaires. Elle comptait commencer par la métamorphose, matière qu'elle adorait soudainement depuis le compliment de Minerva McGonagall, et avait hate de faire ce qu'elle avait à faire. C'est à dire, beaucoup de choses. “Merci c'est gentil! Qu'est-ce que tu es en train de faire?”. La question était en théorie indiscrète mais Elizabeth avait pris ses précautions en vérifiant que son amie faisait bien des devoirs. Donc pour le coup elle n'était pas indiscrète voir impolie, mais dans ce cas, elle était curieuse. Une vilaine manie qu'elle essayait de corriger mais hélas, en vain. Ce n'était pas faute d'essayer, mais elle avait constamment envie de savoir ce que les gens faisait pour n'importe qu'elle raison que ce soit. Elle pouvait aussi bien le demander pour éventuellement proposer son aide, une autre fois pour qu'on l'aide à elle, mais le plus souvent c'était simplement pour savoir. Simplement savoir ce que les gens faisait. Ce n'était pas très glorieux mais Elizabeth n'y pouvait rien, c'était plus fort qu'elle. Enfin dans ce cas là, elle espérait que Susan ne lui en voulait pas de s'incruster ainsi dans son travail personnel, où quelque que ce soit d'autres, et Eli espérait surtout qu'elles allaient pouvoir enchainer pour entamer une discution, sans que l'horrible Mme Pince, ne vienne les enguilander. Enfin horrible, était un grand mot... elle était simplement très protectrice envers ses locaux, son ambiance et tout ses livres, et tenait plus que tout à préserver ses trois, quoi qu'il arrive. Souvent au frais de pauvres élèves innocents qui ne demandaient qu'à travailler, ou à parler tranquillement. Mais Elizabeth comprenait un peu Mme Pince, car elle aussi aimer travailler dans le calme et parfois la bibliothèque ne l'était pas du tout. Pour ce jour là, elle se décida à parler tout doucement, se rapellant la fois où Hannah et elle s'étaient faites expulsées à cause de soit disant bavardages...

Elizabeth sortit donc ses devoirs de métamorphoses , et décida de se lancer dans la tache, très ardue en plus, tout en parlant avec Susan. C'est en relisant ses notes sur le précédent devoir qu'elle se souvint de ce que lui avait dit le professeur McGonagall. L'espèce de félicitation (qui en était une en fait) qui lui avait vallu d'avoir la pêche pendant une journée toute entière. Elle ressentit l'emotion qu'elle avait ressentie ce jour là, et ne pu s'empecher d'afficher un grand sourire. Elle devait avoir l'air ridicule de sourire ainsi seule et se décida à dire à Susan le pourquoi du comment de son sourire solitaire.
“Tu dois me prendre pour une folle de sourire ainsi seule, mais c'est qu'en fait, je me rapelle d'un truc qui m'est arrivée en cours de métamorphoses. Le professeur McGonagall a commencé le dernier cours en me félicitant personnellement pour la qualité de mon travail et pour mon assiduité en cours. Elle a ensuite tenue à féliciter en particulier une maison et devine laquelle c'était! Poufsouffle! On était vraiment tous super content et moi en particulier... Ca fait vraiment bizzare de se faire complimenter par le professeur McGonagall et crois moi que ça ma rendue très heureuse! “ Comment se sentir seule? Malgré Susan, Eli avait eu la légère tendance et croire que ce qu'elle disait n'intéressait pas du tout Susan, et qu'elle était partie dans un délire, ou du moins dans une explication, dont sa préfete n'avait surement rien à faire. Pourquoi avait elle repenssé à ça et en avait parlé ainsi? “Je suis désolée, tu dois t'en ficher complètement en fait. Désolée de t'avoir dérangée”. Défaut N°2 d'Elizabeth Harris, après la curiosité: la peur de déranger autrui. Parfois c'était une qualité car elle n'importunait pas les gens inutilement au moins, mais quelques fois, avec son caractère assez timide, elle parlait et s'en voulait attrocement par la suite. C'était exactement le cas maintenant...

(906 Mots)


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Susan Montgomery-Bones
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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptySam 29 Sep - 19:24

Bingo ! La gymnastique visuelle de Susan avait fini par payer. Certes, ses yeux la picotaient un peu, à présent, mais au moins, elle avait découvert ce que la fillette travaillait. Et quelle matière ! Susan avait contenu de justesse un petit piaillement de joie en lisant (difficilement tout de même, à l’envers et en louchant, ce n’était pas très pratique) «métamorphose» sur l’un des livres d’Elizabeth. Tout d’un coup, elle avait eu très envie de bavasser un peu avec la blondinette du bonheur des cours de métamorphose. Susan oubliait toujours un peu vite à quel point chaque cours pratique était une torture pour elle, enfant timide et sensible, persuadée de sa nullité. Peut-être était-ce mieux ainsi, au fond. Si la douleur de la torture mentale qu’elle s’infligeait à chaque début de travaux pratiques restait profondément gravé dans son esprit, elle aurait cessé de fréquenter les salles de classe depuis belle lurette. Ce qui lui aurait probablement valu quelques problèmes avec ses parents et de nombreux rendez-vous avec un psychomage. Rendez-vous qui, soit dit en passant, n’auraient pas été du luxe, même à l’heure actuelle, pour décoincer un peu la toute jeune fille. Mais tant que l’école n’imposerait pas un bilan psychologique total à ses élèves (et Merlin seul savait à quel point certains en avaient besoin. Les Serpentard, pour ne citer qu’eux. Avec Drago Malefoy en tête de file, cet horrible fils à papa détraqué et souffrant visiblement d’un complexe d’Œdipe mal décomplexé, justement), la petite Susan demeurerait avec ses craintes fantasmagoriques et sa timidités maladives. Ce qui signifiait qu’elle était – pauvre poussin – condamnée à vivre avec jusqu’à ce que mort s’ensuive. Ad Vitam Eternam, comme dirait l’autre (ad suivi d’accusatif, vers, en direction de).

Rose de plaisir, Susan pencha la tête en direction de son propre travail, non sans avoir, au préalable, éprouvé un élan de sympathie plus vif que de coutume pour la petite Elizabeth.
La tête un peu ailleurs, elle nota deux ou trois mots sur son parchemin brouillon avant de tourner négligemment une page de son propre livre, laissant échapper un peu de poussière des pages jaunies par le temps. La bibliothèque de Poudlard était un trésor d’éditions originales en tout genre. Un vrai bonheur pour les amateurs de littérature. A condition, bien entendu, d’aimer ma lecture théorique sorcière et non la littérature romanesque moldue. Le problème étant que l’une est nettement plus prenante que l’autre. Du moins, quand on est normalement constitué. Même les Sangs Purs les plus puritains avaient du mal à attaquer la littérature moldue. Dickens ! Ô cher, cher Dickens ! Susan en était tout particulièrement folle. Elle s’endormait rarement sans un ouvrage de Charles sous son oreille. Charles, Roald, Charlotte et Lewis, ses quatre grands amours.

Elle fut tirée de sa rêverie par Elizabeth. Pour la seconde fois en moins de dix minutes, la Poufsouffle cligna maladroitement des yeux avant de darder deux prunelles luisantes de perplexité sur son amie, signe évident qu’elle n’était pas encore totalement redescendue sur terre. Mais tout avion fini par atterrir, tout esprit finit pas être rattrapé par la réalité.
Dans un ultime clignement d’yeux, la petite Susan eut un sourire plein de douceur pour Elizabeth et répondit d’une voix flûtée :

- Félicitations, je suis vraiment contente pour toi ! D’autant plus que MacGonagall n’est pas réputée pour avoir le compliment facile ! Tu dois vraiment être excellente en métamorphose, alors ! C’est bon pour Poufsouffle, ça ! rajouta-t-elle, les yeux pétillants de malice.

Dans sa pudeur, Susan ne jugea pas utile de préciser qu’elle avait elle-même reçu les félicitations de son professeur en début de cours. Elizabeth allait certainement croire qu’elle voulait lui voler la vedette en se mettant en avant et la prendre pour une orgueilleuse de la pire espèce.
Elle se contenta donc de sourire d’un air angélique en penchant légérement la tête sur le côté, à la manière d’un petit oiseau.

(651 mots)

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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptySam 29 Sep - 23:29

Ouf! Susan n'avait pas dit à Elizabeth qu'elle se fichait de ses paroles comme de ses dernières chaussettes. C'était tout simplement peut être parce qu'elle ne se rapellait plus de ses dernières chaussettes qu'elle avait porté. Bref passons. Susan la félicita bien au contraire, lui disant que Minerva McGonagall n'avait jamais été réputée pour avoir le compliment facile, c'était plutôt même le contraire, on pouvait dire qu'elle était avare en compliment, et ça, Elizabeth l'avait remarqué depuis le premier jour de cours. Elle lui ajouta qu'elle devait alors être excellente en métamorphoses, mais quand Susan lui dit cette phrase, quelque peu erronée, Eli haussa les sourcils d'un air qui voulait dire *tu ne me connais pas temps que ça en cours ma Susy!*. Et c'était vrai. Elizabeth n'était pas si douée que ça en métamorphoses, elle écoutait, était attentive et essayait de répondre aux questions que le professeur posait, et surtout celle auquelle elle savait répondre. Pour ce qui avait été du Tp, la chance avait eu un grand rôle dans sa note et ça, elle ne le négligeait pas. Elle était de nature fort chanceuse, bien heureusement et la plupart de ses notes étaient en grande partir dues à la chance. L'autre partie était bien entendu le travail acharné qu'elle menait tout les soirs. Après mure réflexion de la part de la jeune fille, Elizabeth se dit qu'elle avait travaillé dur pour avoir de bons résultats et que le facteur chance avait certes sa place, le professeur McGonagall en était la preuve vivante, mais que le facteur travail avait quand même était considérable.

Elizabeth voulut remercier son amie et aussi lui dire qu'elle n'était pas si bonne qu'elle paraissait le prétendre.
”Merci c'est gentil! Mais je ne suis pas excellente en métamorphoses, c'est juste que j'ai eu de la chance bien placée. Tu sais de la chance ajoutée à un peu de persévérance, de travail et un peu de courage, donne souvent de très bon résultat! Mais à ce que j'ai entendu dire, c'ets toi l'élève modèle! Il ya peu de matière où tu n'es pas bonne et selon moi, il doit y en avoir aucun, mais ce n'est qu'une supposition car je ne te connais pas en cours... Sinon toi aussi tu aimes bien la métamorphose? Et qu'est-ce que tu pense du professeur McGonagall? Moi personnellement, depuis le jour où elle m'a félicité publiquement, elle est largement remontée dans mon échelle de professeur préférée. Elle est désormais 3 ème!” Et oui, à 11 ans on n'a pas ce que les grands apellent la maturité. Cette notion qui fait que l'on réfléchis plus en profondeur aux choses et qui nous fait dire que telle ou telle chose est gamine ou inutile. Si Elizabeth était grande, elle pourrait dire que noter ses professeurs sur une échelle de sympathie, de gentillesse et de qualité de cours, était un peu puéril. Mais comme elle n'était qu'en 1ère année, tout ça lui paraissait follement amusant et elle ne s'en laissait en réalité pas. Surtout quand les places ne cessaient d'évoluer constamment, et que c'était elle le seul juge. Le classement changeait très souvent et le fait de pouvoir tout contrôler plaisait beaucoup à Elizabeth, surtout quand elle pouvait placer Rogue tout en bas de l'échelle. C'était d'ailleurs le seul moment où elle pouvait être plus grande hiérarchiquement que son professeur de potions.

Quand Elizabeth eu terminé de dire ça à son amie, elle trempa la pointe de sa plume dans son encre, et commença à écrire le titre de son devoir sur un parchemin vierge. “Devoir de Métamorphoses”. Elle posa ensuite la plume et regarda Susan pour jeter ensuite un coup d'oeil à Mme Pince. Quand Elizabeth avait précedemment parler, elle avait négligé un facteur important à la bibliothèque. Un facteur qui se révélait même très important car il pouvait entrainer à la sortie directe de la bibliothèque sans passer par la case banque et sans toucher le moindre gallion. Mme Pince, de son vrai nom Irma, alias le cerbère du 4ème étage avait une tête de vautour, les joues creuses et un nez affreusement busqué. Comble de l'orreur, elle était maigre et surtout très très irritable. Ne pas la déranger en période de rangement de bibliothèque sous peine de mourir dans d'attroces souffrances. Et bien fort heureusement pour notre Poufsouffle adorée, la bibliothècaire était occupée à enguirlander des garçons de 3ème années qui faisaient encore plus de chahut que Susan et Eli. Si on pouvait dire que Susan et Eli faisait du chahut, il ne fallait pas non plus éxagérer. La vieille femme mit immédiatement dehors les deux garçons, des élèves de Gryffondor en plus, et passa près de la table des deux jeunes filles. Eli fit un signe du doigt à Susan pour ne pas qu'elle parle car Mme Pince arrivait de par derrière elle et Susan ne pouvait donc pas la voir. Eli fit mine de continuer à écrire, du moins jusqu'à ce que la bibliothècaire soie partie assez loin pour que elle et Susan puissent continuer à papoter
... “Je crois qu'elle est partie. On peut continuer.” Et c'était heureusement pour elles, le cas. Elizabeth continua de parler, car elle ne voulait pas laisser Susan sur cette histoire de note et de classement de professeur, bien que Eli trouve ça très amusant. “Sinon Susan, est-ce que tu sais s'il est possible de s'occuper d'une plante en botanique? Du moins en dehors des cours. J'ai entendu le professeur Chourave en parler et j'ai cru comprendre qu'il fallait se mettre à plusieurs pour pouvoir s'en occuper. Enfin je n'en suis pas sûre... Si c'est le cas, ça te dirai de t'occuper d'une plante avec moi?”. Eliza adopta un petit air qui se voulait suppliant en espérant de tout coeur que sa camarade accepterait. Elizabeth adorait les plantes et depuis qu'elle conaissait le cours du professeur Chourave, elle ne penssait plus qu'à ça. La botanique était vraiment une matière fabuleuse et le professeur Chourave, accessoirement directrice des Poufsouffles, rendait le cours encore plus passionant. Ce professeur était d'ailleurs le N°1 sur la liste de notre chère première année...

(1018 Mots)


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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptyDim 30 Sep - 17:07

Un peu de courage, de persévérance, de travail et… Et de quoi encore ? Ah oui ! De chance ! Sachant qu’un peu plus un peu fait beaucoup, ce n’était pas très étonnant que la plupart des élèves soient seulement acceptables en métamorphose (d’autant plus que Crabbe et Goyle font salement baisser la moyenne générale avec leur Trolls réguliers). D’ailleurs, l’élément le plus difficile à rassembler dans cette équation pour le moins anti-conventionnelle était probablement la chance probablement parce qu’il s’agissait du seul sur lequel il était impossible d’avoir prise. Tout dépendait du bon vouloir de MacGonagall et, bien entendu, de la bonne étoile. Ou de la Fée Bleue, tout dépend des versions. Sans oublier la Fée des Lilas, Violettes, Pimprenelles et tout le reste. Enfin, de toute façon, quand on voit le résultat dans certains cas, on est en droit de se dire que la bonne fée n’est pas nécessairement un don du ciel. Entre Aurore qui s’empale sur son rouet en bonne greluche qu’elle est, Pinocchio qui se retrouve affublé d’un nez extensible, Peau d’Âne condamnée à nettoyer l’auge aux cochons, Cendrillon qui va au bal dans une citrouille (avec une permission de minuit seulement, en plus ! Quelle ringarde, cette marraine !), sans oublier Fiona, qui sen retrouve à danser avec un Charmant pas si Charmant que cela, les Bonnes Fées ont nécessairement sauté une étape dans leur apprentissage (ou alors elles en ont eu assez de passer pour les bonnes poires potelées de service et sont toutes allées faire un stage chez Carabosse).

Susan, pour sa part, ne croyait pas beaucoup en la chance, et surtout pas en la sienne ! En bonne Poufsouffle pas conditionnée pour deux sous, elle estimait que seule la pugnacité sans trêve ouvrait la porte de la réussite. Ou quelque chose dans ce goût là. Pour le moment, à quatorze ans et des citrouilles, Susan n’était encore qu’une toute jeune fille qui avait tendance à croire dure comme fer en tout ce que pouvaient bien dire ses parents. Un peu comme quand, petits, on rentre de l’école, persuadé de rapporter la parole divine à la maison, parole divine qui commence toujours par : «La maîtresse a dit que…».

Mais toute jeunette soit-elle, Susan avait tout de même dépassé ce stade depuis quelques années aussi savait-elle depuis un petit moment. Elle s’apprêtait à répondre quelque chose quand Madame Pince surgit, tel le faucon à l’affût de sa proie, de derrière une étagère. Elle était passée maître dans l’art des rondes furtives. Encore un des enseignements de Rusard, sans doute. Le jour où elle se planquerait derrière un figuier desséché pour espionner les élèves, tout le monde saurait que leur relation n’est pas qu’un simple flirt du troisième âge.

Sachant pour l’avoir vu que la bibliothécaire n’était pas exactement du genre à passer outre sur quelques chuchotement, tout inaudible qu’ils fussent, Susan se ravisa et resta muette, baissant les yeux sur son livre qu’elle fit mine de lire, sourcils froncés et mine concentrée.
Mais à peine Irma se fut-elle éloignée que la rouquine releva le nez, les yeux pétillants, et lança un coup d’œil vif à sa voisine de table avant de se pencher en avant pour murmurer :

- Elève modèle ? Pff ! N’importe quoi. Je crois qu’Alexander est bien plus modèle que moi ! C’est lui, le Poufsouffle le plus Poufsouffle de nous tous, je crois ! Tu vois, je suis plutôt moyenne en potion, et puis je déteste la divination ! rajouta-t-elle avec une grimace éloquente.

Certes, être moyen en potion avec Rogue équivalait à un niveau plus que correct avec un professeur un peu moins partial, mais il n’en restait pas moins que pour le moment, sur le bulletin de note, c’était bien un petit «acceptable» qui se promenait, accompagné d’un commentaire plutôt acide du maître en la matière (quelque chose comme : «Elève aussi insipide que la couleur de sa potion de Babel, laquelle est censée être bleu vif et non pastel»). Ses parents, qui avaient tous les deux eu un professeur ventripotent du nom de Slug… Quelque chose (Slugborn ? Slughron ? Slugdorn, peut-être ?), très indulgent, avaient un peu de mal à s’adapter au système Rogue. D’autant plus qu’ils avaient été tous les deux bons en potions.

Mais la pensée du professeur Rogue était bien trop déprimante pour que Susan s’y attarde, aussi s’empressa-t-elle de poursuivre d’un air extatique :

- MacGonagall ? Oh oui ! Je l’aime énormément ! Moins que Chourave ou Flitwick, évidemment, mais elle est quand même très bien ! C’est qui, toi tes deux premiers ? interrogea-t-elle en scrutant la figure d’Elizabeth d’un air curieux.

Gare à elle si Chourave n’arrivait pas en pole position ! Mais il y avait peu de chance, tous les Poufsouffle adoraient Chourave. Sauf Yuri, une fille de troisième année qui, soupçonnait Susan, avait une passion incompréhensible pour Rogue. En tout cas, elle se mettait toujours à bouder quand la salle commune des Jaune le critiquait de concert. Ce qui n’était pas rare.

La proposition d’Elizabeth chassa cependant Yuri et sa folie du noir de son esprit. La petite rouquine rosit de plaisir et écarquilla les yeux d’un air effaré. Comment ? Elizabeth désirait-elle sincèrement prendre une plante avec elle ou bien n’était-ce qu’une blague ? L’année passée, elle s’était occupée d’un Voltifors avec Neville Londubat, qui était vraiment très forte en botanique, mais ce n’était pas très amusant : Neville prenait les choses bien trop à cœur ! Et puis surtout, Susan le connaissait, somme toute assez mal, ce qui, timide comme elle était, n’incitait pas à la conversation.
Elle bredouilla, tandis que ses joues prenaient une teinte pivoine des plus admirables :

- Oh euh… Ben je veux bien… Enfin, si toi tu veux… Euh… Voilà… Euh… Je ne voudrais pas m’imposer…

Dans un borborygme final, Susan piqua du nez en direction de son parchemin, les joues brûlantes.

(985 mots)

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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptyDim 30 Sep - 17:56

Susan ne parut pas du tout d'accord avec la réflexion sur l'élève modèle et elle rétorqua très rapidemement que l'élève modèle c'était Alexander et pas elle. Elle lui ajouta qu'elle était moyenne en potions et elle déteste la divination. Décidemment les deux Poufsouffles avaient encore plus de points commun qu'elles n'y paraissaient. Elizabeth jugea bon de ne pas enchainer sur le sujet des matières qui fachent et préféra revenir sur son petit classement qui lui avait peut être fait péter la honte. Susan rassura sa camarade en lui disant que les professeur Chourave et Flitwick étaient juste devant le professeur McGonagall et c'est à ce moment là que Eli se demanda si elle n'avait pas une autre soeur à Poufsouffle et savoir si ce n'était pas Susan. Elle aurait aimé mes ses 6 autres soeurs n'auraient surement pas trop appréciée cette suggestion. Pour l'heure, Eli répondit Susy (oh la rime!) “ Mon professeur préférée est bien entendu le professeur Chourave, comment ne pourrait je pas l'adorer? Elle est si gentille. Vraiment je suis dière d'être à Poufsouffle rien que parce qu'elle en est la directrice. Sinon mon second est notre professeur de Sortilèges à savoir le professeur Flitwick, un autre professeur super génial. Plus sympathique que lui je crois que ça n'existe pas. A part Chourave bien sur. Et en troisième position comme je l'ai dit, il y le professeur McGonagall. On a vraiment les même goûts toute les deux je suis super contente!”

Elizabeth proposa ensuite à son amie Susan de partager l'élevage entre parenthèse d'une des plantes des serres de Poudlard. Eli avait peur qu'elle refuse car elle ne voulait pas en plus avoir une première année qui la collait constamment en plus en dehors des cours, mais c'était bien entendu très mal connaitre Susan. Celle ci lui dit qu'elle voulait bien mais qu'elle ne voulait pas s'imposer et si Elizabeth voulait bien. Ah la la cette Susan! Quel numéro! A l'écouter on aurait dit que Eli était une riche femme d'affaire qui lui faisait la demande d'être une de ses amies. Susan était comme toujours beaucoup trop modeste et c'était encore un point en son honneur. Selon Eli, Helga Poufsouffle avait eu une dessendante, qui s'appellait aujourd'hui Susan Bones mais qui n'était pas encore au courant. Juste, loyale, humble, modeste et un tantinet timide (un tantinet bien sur!), ça correspondait parfaitement au profil de la parfaite élève de Poufsouffle. Et en plus elle était préféte! Mais elle n'était pas humaine! Bien sur que non elle était sorcière!
“T'imposer? Mais c'est une blague? Tu veus dire que tu acceptes?! Mais c'est vraiment génial, je suis super contente! Merci beaucoup Susan, c'est vraiment un honneur de partager une plante avec toi. Enfin dit comme ça, ça fait un peu bizzare... Partager une plante... On dirait qu'on va la couper en deux et en faire je ne sais quoi. Enfin bref. Merci beaucoup à toi, ça me fait super plaisir!!” Et c'était vrai! Elizabeth était la plus ravie des élèves de première années en ce moment et nul ne pouvait l'égaler surtout au niveau de joie dans lequel elle était. Mais pour l'heure, festoignons! Si le moine gras était là, Elizabeth aurait volonier fait une petite faite mais Mme Pince lui aurait surement arraché les cheveus avec ses mains. Choses affreuses en soit, fait par Mme Pince, ça paraissait bien pire... Elizabeth se contenta d'afficher un grand sourire pendant que Susan rougissait sur son cahier. Dès que Mme Pince revint dans leur direction en entendant les exclamations d'Elizabeth, cette dernière replongea son regard sur son parchemin et continua à écrire, mine de rien. Ben quoi, qu'est-ce que j'ai fait?
(609 Mots)


[Hj: Désolé pour ce mini post pourri mais je part à 18h donc vraiment pas le temps... Cartonnez bien jusqu'à ce soir! Bonne chance!]

DONE


Dernière édition par le Sam 27 Oct - 22:18, édité 1 fois
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Susan Montgomery-Bones
Susan Montgomery-Bones
Directeur Poufsouffle

Parchemins : 1823
Âge : 35 printemps (21 juin 1980)
Actuellement : Professeur de sortilèges
Points : 0


Informations supplémentaires
SIGNE PARTICULIER:
RELATIONS:
SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: 2
FACECLAIM:


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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptySam 27 Oct - 21:15

La petite Susan semblait avoir déserté ses gros livres et sa plume. Si ses doigts, tachés d’encre noire par endroit, prouvaient qu’elle avait bel et bien travaillé, il n’en semblait plus vraiment question à présent. Consciente du ridicule de sa position, elle s’empressa de reposer sa plume, qu’elle tenait jusqu’alors en l’air, à mi-chemin entre son parchemin et l’encrier, à la manière d’une malheureuse stupefixée. Elle sourit, confuse, à Elizabeth et s’empourpra légèrement (ce qui, pour Susan, était vraiment très bien, étant donné sa capacité à virer du blanc le plus anglais qui soit au rouge écrevisse en moins de temps qu’il n’en faut pour dire «betterave»).

Pour cacher sa gêne, Susan fit mine de vouloir réajuster la boucle de son soulier gauche. Ce qui manquait cruellement de crédibilité étant donné que, comme le prouvait l’aspect particulièrement brillant de ses chaussures, la paire qu’elle portait était toute neuve et lui avait été envoyée par sa mère l’avant-veille. Car oui, Susan avait grandi (un peu) depuis le début de l’année et était même très fière de claironner à qui voulait l’entendre que dernièrement, un élève l’avait confondue avec une cinquième année. Certes, l’élève en question était affreusement bigleux et le couloir très mal éclairé, mais tout de même, quelle promotion subite par rapport au grade de seconde année dont on l’affublait l’an passé !

Bref, Susan, puisqu’il faut tout dire, remonta sa jambe sur la chaise (en prenant garde à ce que sa jupe reste bien en place, sans quoi c’est franchement indécent. Merci Merlin, elle connaissait la pudeur et même, dans son cas, la pudibonderie) et piqua du nez en direction de la chaussure dont elle commença à tripoter maladroitement la boucle, faisait crisser le cuir encore dur en un son assez dissonant. Pour la première fois de sa vie, elle regrettait de ne pas avoir de lunettes. C’était vraiment l’objet idéal pour dissimuler ses rougeurs. A peine sentait-on le framboise vous monter aux joues qu’il vous suffisait de les ôter pour faire mine de les astiquer avec le bas de votre pull. Opération qui nécessitait, bien entendu, que l’on regarde ce que l’on fait.

Mais bien entendu, la boucle faussement défaite fut vite remise et Susan ne pouvait pas demeurer plus longtemps dans cette position (fort inconfortable au demeurant) sans prendre le risque de blesser Elizabeth qui, peut-être, allait penser que la petite Poufosuffle se moquait d’elle ou s’ennuyait. Ce que Susan voulait à tout prix éviter. D’une part parce que c’était faux, d’autre part parce qu’elle tenait sincèrement à l’amitié d’Elizabeth. Aussi reprit-elle une position plus orthodoxe – sa jambe gauche était un peu engourdie à présent, Susan s’efforça cependant de lutter contre les fourmis qui s’échinaient à lui escalader le mollet – et sourit à nouveau à Elizabeth, les joues encore un peu roses. Bon, la technique de la boucle n’était pas si mauvaise que cela, après tout. Il était malheureux qu’elle ne puisse la tester en cours de potion sans se faire vertement tancer.

- De toute façon, reprit-elle doucement, je crois que ce sont les professeurs que tout le monde préfère. Chourave et Flitwick, en tout cas, sont unanimement reconnus. Bon, peut-être pas officiellement par les Serpentard, mais je suis certaine qu’au fond d’eux, ils savent bien que ce sont d’excellents profs. Si tu veux mon avis, un bon prof, ce n’est pas seulement quelqu’un qui domine parfaitement son sujet ! Il faut tout de même qu’il soit un minimum humain et pédagogue. Dumbledore devait être un prof exceptionnel, en son temps ! conclut-elle, soudain extatique.

Une définition du professeur parfait qui visait directement le professeur Rogue, bien entendu. Ce génie des potions incapable du moindre sentiment positif à l’égard de ses semblables. Même les Serpentard, au fond, il les méprisait.
Elle s’apprêtait à poursuivre sur le sujet des plantes, au mépris de toutes les conventions de la bibliothèques et des règles de la transition, quand Madame Pince vint à nouveau rôder du côté de leur table en leur lançant des regards d’aigle qui aurait repéré une tortue déguisée en écureuil et qui se doute de quelque chose. Susan la gratifia d’un sourire angélique. Encore un peu et une auréole allait apparaître dans un «ploc» mignonnet au-dessus de ses cheveux en bataille. Après tout, un préfet ne bavassait jamais, n’est ce pas ?

En tout cas, pas devant les membres du personnel. Mais à peine Madame Pince se fut-elle éloignée que Susan se pencha à nouveau vers Elisabeth en chuchotant :

- Je suis super contente que tu me le proposes, l’honneur est pour moi ! L’an dernier, j’étais avec Londubat. Il est très fort mais un peu ennuyeux, je n’ai pas beaucoup rigolé !

Sur cette déclaration, peu charitable pour le pauvre Neville, Susan sourit largement et cligna malicieusement de l’œil gauche (elle n’y arrivait pas du droit, ce qui était atrocement comique), visiblement enchantée.

(809 mots)

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Ξ Sujet: Re: Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris)   Plac-plic-ploc (PV Elizabeth Harris) EmptyDim 28 Oct - 11:02

Susan dit à Elizabeth que le professeur Chourave ainsi que le professeur Flitwick était les deux meilleurs professeurs de Poudlard et que tout le monde les aimaient. Même les Serpentards devaient aimer les deux professeur car eux, contrairement à un certain professeur Rogue, ne passaient pas leur temps à dévaloriser les élèves des autres maisons. Les professeur de Botanique et de Sortilèges étaient vraiment des professeurs géniaux que ce soit avec un Poufsouffle, un Serdaigle ou même un Gryffondor ou un Serpentard. C'était ce qu'on apellait aujourd'hui de bons professeurs. En plus de ça, ils enseignaient leur matière avec une intelligence hors du commun et en plus de ça, ils savaient expliquer quand un élève était en difficultés. Comme le disait Susan, il fallait qu'un professeur soit un minimum humain et pédagogue... Mais bizaremment, Mme Pince ne semblait pas de cet avis car elle lançait un regard noir aux deux jeunes Poufsouffle qui n'avait pour seule préoccupation bien sur, de travailler dans le plus grand silence. Susy rajouta à Eli que le professeur Dumbledore devait faire un excellent professeur de son temps... Elizabeth, alias l'inculte, ne savait pas que le professeur Dumbledore était professeur à Poudlard avant d'être directeur. Mais il fallait dire qu'en réfléchissant un minimum Elizabeth aurait déduit que le titre de “Professeur” Dumbledore n'était pas là pour décorer. La jeune fille avait du mal à imaginer Albus Dumbledore sous les ordres d'un ordre directeur et c'est pour ça qu'elle préférait s'imaginer que le vieil homme était directeur de Poudlard depuis toujours. Oui depuis toujours: ne jamais contrarier l'esprit d'une petite fille de 11 ans, par crainte de la blesser indéfiniment...

Eli regarda donc son amie, car oui, Susan était son amie, et pas une simple copine qu'on trouve dans les classes. Eli avait deux amies, Susan et Wendy, qui étaient sans nul doute les deux meilleures amies qu'elle n'ait jamais eu. Elle avait aussi d'autres amies, mais ses deux là figuraient comme les meilleures tant Elizabeth était proche d'elles. Si un jour, une des deux decidait de partir ou du moins de couper les ponts avec Elizabeth, la jeune Poufsouffle le vivrait très mal, ça c'était sur... Donc Elizabeth Harris regarda son amie Susan et lui dit ce qu'elle pensait et ce qu'elle savait, accessoirement aussi, ce qu'elle ne savait pas...
“Tu as tout à fait raison, Flitwick et Chourave sont les deux meilleures professeurs de Poudlard et même les Serpentards les aiment tellement ils sont gentils... Ca c'est sûr! Il est tellement gentil aujourd'ui qu'avant ce devait être pareil! Mais il enseignait qu'elle matière à l'époque? “ Elizabeth avait, pour ainsi dire, dû croiser le directeur de Poudlard pas plus de 7 fois dans l'année. Au traditionnel repas cérémonieux il était bien sur là mais durant les repas on ne pouvait pas dire que Elizabeth était atttentive au paroles de son directeur, étant donné qu'il parlait avec les professeurs. Elle l'avait croisé une fois dans les couloirs du chateau, quand elle avait laissé échappé une chocogrenouille particulièrement coriace. Celui ci lui avait ramassé en souriant et en lui disant qu'il était friand de ses gateries. C'est donc tout naturellement que Elizabeth lui avait donné une de ses chocogrenouille, pas celle qui était tombée par terre, mais bel et bien une neuve. Le directeur était tombé sur la carte 72 représentant Helga Poufsouffle. Etrange hasard avait il dit, venant de la jeune fille et comme Elizabeth semblait émerveiller de voir enfin sa directrice suprème, le professeur Dumbledore, n'avait pu refuser de lui donner la carte, ce qui avait comblé de bonheur la jeune Poufsouffle. C'était une des rares fois où la jeune poursuiveuse avait eu l'honneur de parler en personne à Albus Dumbledore et à présent tout le monde était au courant que Eli avait parlé à Dumbledore et qu'elle avait la carte de Helga Poufsouffle, la pauvre Susan devait avoir eu les oreilles comme des choux fleurs ce jour là tellement Eli l'avait gonflé avec ça. Pour résume, on peut dire que Eli a vu très rarement son directeur et il est donc tout à fait logique, en particulier pour une première année, qu'elle ne sache pas qu'elle matière le professeur Dumbledore enseignait jadis.

Les deux parlèrent ensuite de l'atelier de botanique pour s'occuper d'une plante. Susan avait l'air aussi ravie que Eli et la jeune Poufsouffle était plus heureuse que jamais. Susan lui dit que l'an dernier elle était avec un certain Neville, que Elizabeth ne conaissait pas, et malgré sa forte capacité en botanique, il se révellait assez ennuyeux.Eli sourit à sa remarque en se disant que les jeunes filles de Poufsouffles ne s'ennuraient surement pas car Wendy était aussi de la partie et Eli sentait que les trois amies allaient vraiment s'amuser.
“Je sens que ça va vraiment être génial, en plus Wendy sera surement avec nous. On choisira notre plante plus tard, je crois qu'on a botanique demain, on pourra en parler au professeur Chourave.” Eli ne savait en revanche pas quand Susan avait cours avec la directrice des Poufsouffle mais Eli pourrait toujours lui en parler, même si la parole d'une quatrième année préfète avait toujours plus de poids. Maintenant que les deux sujets de discution étaient épuisés, Elizabeth pensa bien sur au seul sujet qui la hantait quasi constament, à savoir le dernier match de Quidditch des Poufsouffles. Le dernier match de l'année et c'était là que Eli réalisait qu'ils n'avaient donné que 2 matchs. Trois matchs était un nombre incroyablement réduit mais c'était le jeu, et Elizabeth espérait quand même que son équipe gagne la coupe, pour ça, elle ne se désespérait pas. Elle regarda son amie Susan, toujours soucieuse de ne pas avoir une équipe complète. “Dis Susan, tu penses qu'on aura une équipe complète pour le match contre Gryffondor? Je l'espère vraiment car c'est le match qui va tout déclencher pour la coupe de Quidditch. Poufsouffle la mérite vraiment cette coupe...” Et pour la mériter, Poufsouffle la méritait amplement. Tout les efforts de Alex, Wendy, Susan et aussi Jesse et Allison n'avaient pas été vaints et Elizabeth comptait bien donner son maximum pour faire gagner son équipe...

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