Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous]

September était sur des charbons ardants. Comment ne pas l'être lorsque l'on sait que l'on va se marier, lier son existence à une autre pour le restant de ses jours, et ce à n'importe quel prix. Celui qu'il leur faisait payé était d'ailleurs assez coûteux, fleurant bon le danger et la souffrance, sans parler de cette horrible sensation dans sans cesse traqué...

En parlant de "traquer" voici que le loup débarque dans la bergerie. Apophis Sykes en personne, à son mariage et vêtu d'un costume sorcier aussi cher qu'il était pompeux, à l'image parfaite de son damné propriétaire. Le jeune écrivain esquissa une moue mauvaise et s'avança davantage vers Kitty et son compagnon, fermement décidé à lui ordonner de repartir. Mais la réponse à ses questions fusa d'elle-même et de la bouche de sa propre petite soeur.

"T'aurais dû me dire que tu avais un témoin, Sept' ! J'en ai cherché un pendant toute la moitié de la matinée et tu me caches que ce monsieur -elle présenta Sykes d'un signe de main- l'était déjà ?!".

Elle lui tendit un regard troublé et suspicieux comme si elle essayait de comprendre ce qui ne fonctionnait pas dans l'esprit de son agité de grand frère. Mais Kitty ne savait pas être méchante plus d'une seconde et l'incident fut rapidement dissipé par sa bonne humeur... ainsi que par l'arrivée du maître de cérémonie.

C'était un vieil homme à la peau parcheminée de ride et graveleuse. Des lunettes demi-lune tenaient sur un nez empâté par les ans, droit et sévère comme celui d'un professeur. Peu de cheveux recouvraient son crâne marqué de taches de vieillesse tandis qu'il s'était senti obligé de porter un petit couvre chef pointu, comme tout bon sorcier de son rang. Sa robe était noire, neutre et rappelait celle d'un prêtre -hormis le fait que la doublure était imprimée de velours de même couleur et décorée d'arabesques délicates.

Ses mains frêles et tremblantes tenaient avec ferveur et fierté un parchemin roulé et une plume blanche. September songea à ses parents et se tourna vers les rangées de sièges réservées aux invités. Ils ne semblaient pas encore être là mais il lui fallut seulement relever un peu plus la tête pour voir qu'ils cherchaient à s'asseoir parmi toute cette foule en effervescence. Sa jeune soeur avait suivi son regard et l'avait ainsi compris. Elle se dirigea à leur rencontre...
September croisa le regard d'Apophis qui n'avait, curieusement, pas bouché ni même soufflé un son. Il était aussi sage et immobile que les statues qui ornaient le jardin des Silverstones. A le voir, lui, dans sa robe outremer et le maître de cérémonie de sa digne robe de sorcier il ne put s'empêcher de sourire tout en jetant un bref regard complice à son épouse. Une secte, oui, c'était bien ce qu'ils étaient ! Enfin ne pas cuire Milton et Rosemary Quint seraient peut-être une grave erreur ?

Il se rengorgea, fit face au vieil homme, et se tint aussi droit et raide qu'un piquet. Il attendait une remarque acide de la part de l'autre blondinet mais elle ne vint pas. En parlant de "blondinet", la couleur des cheveux de Lily commençait à virer au roux carotte pas franchement rassurant... Qu'est-ce que c'était encore que cette nouveauté ?
L'homme déplia son parchemin et s'arma de sa plume, commençant à griffonner quelques lignes. Il releva la tête et, au même instant, une musique douce et raffinée, assez différente de celles utilisées chez les Moldus, s'éleva dans les airs, couvrant le bruit des paroles et moindres chuchotements. September se mordit l'intérieur de la joue et tendit un regard nerveux à sa fiancée. A présent le train était lancé, et ce à toute vapeur...

"Mesdames et Messieurs ! Lâcha finalement le vieux sorcier de sa voix rapeuse, nous sommes réunis ce jour pour célébrer l'union de deux êtres sorciers, Monsieur September Quint et Mademoiselle Lily-Roze Silverstone. Avant que le rituel ne commence je demanderai à celui ou celle qui ne souhaite pas voir ce mariage possible de bien se manifester, autrement qu'il garde les lèvres closes et ce pour l'éternité !".

*Papa, maman, taisez-vous s'il vous plait ! Papa, maman taisez-vous s'il vous plait ! Papa, maman, taisez-vous s'il vous plait ! Papa...*.

Il crut entendre un murmure s'élever à sa gauche et vit que, tout droit et tout digne que pouvait être Apophis, il ne pouvait s'empêcher de gesticuler, luttant apparemment contre un rire qui remontait sa gorge. Ses yeux d'enfant "tête-à-claque" brillaient en direction du maître de cérémonie, plein d'une attention fiévreuse. September n'eut que le temps de lui écraser le pied pour faire taire toute bêtise. S'ensuivit un "aïeuh" bref mais suffisamment suggestif pour que le vieux sorcier rehausse un sourcil. Grâce au Ciel -ou à Merlin, ça dépend- il n'y prit aucune garde et poursuivit :

"Bien. Je vais ainsi demander aux deux jeunes fiancés de se prononcer l'un après l'autre. Suivant quoi la remise des alliances scellera leur destin".

*Ouhh, même le Lord n'aurait pas mieux parlé en termes aussi peu sinistres...*.

"September Quint. Désirez-vous prendre pour épouse Mademoiselle Lily-Roze Silverstone ici présente et jurez-vous, de ce fait, de la protéger, de la chérir, de l'aimer, et ce jusqu'à la fin de votre vie ?".

Que devait-il dire au juste ? Ah oui !

Ohh la la, Seigneur...

"Oui, je le jure", et ses joues bien vite s'empourprèrent d'un rouge vif.

Le vieil homme griffonna brièvement son parchemin et se tourna tout entier vers Lily-Roze.

"Lily-Roze Silverstone. Désirez-vous prendre pour époux Monsieur September Quint ici présent et jurez-vous, de ce fait, de le protéger, de le chérir, de l'aimer, et ce jusqu'à la fin de votre vie ?".

La tension était à son comble et September n'osait se retourner vers ses parents pour voir leur réaction. Il n'osait pas non plus se tourner vers Sykes de peur que ce dernier ne lise dans ses yeux, durant ce lapse de temps particulièrement tendu, ce qu'il s'évertuait à leur cacher à tous. Le jeune homme fit instinctivement glisser son bras droit le long de son bassin comme pour ne pas qu'il soit vu...
Ses yeux étaient baissés et il attendait à présent la réponse de Lily comme un condamné attendrait le dernier coup de hâche. Marie Stuart avait dû ressentir la même chose sa dernière minute arrivée, finalement...

Lentement, vraiment très lentement elle avançait vers son futur mari. Essayant de faire abstraction de l’énergumène qui lui servait de témoin. Pourquoi était elle si contrarié allez vous me demander et bien rien de plus facile à répondre….le haine qu’elle porte à Apophis remonte à maintenant bien longtemps. Sa première année à Poudlard pour tout vous dire. Petite brimade d’enfant qui avait dégénérer et laisser un gout amer dans la bouche de la jeune fille. Si bien qu’après cette mésaventure…Lily-Roze avait prit un malin plaisir à tester ses potions et autre enchantement sur le jeune homme. A chaque manifestions de son talent elle avait pu sentir la joie de le ridiculisé et la fierté de réussir une nouvelle potion. En chemin elle se remémorait tout cela. Si bien que ca chevelure carotte avait finit par tourner au rouge vif.

Ce n’était pas faute d’essayer de se calmer…mais sa haine envers le babouin n’était pas la seule chose qui la mettait dans cet état. Son double avait décidé elle aussi d’ouvrir sa bouche. Comme se faisait il que deux personnalités partageaient le même corps c’est plus invivable surtout en cet instant. Plus elle regardait September, plus Roze lui manifestait le fait qu’elle n’était pas d’accord pour l’épouser. Visiblement son cœur a elle appartenait à quelqu’un d’autre…mais a quoi bon c’était elle la personne principale Roze n’était que le second plan. Dur à dire pourtant c’est ce qu’elle ressentait et a cet instant elle n’avait qu’une envie avec deux corps. Il était sadique d’épouser un homme que l’autre n’aimait pas mais en même temps Lily aimait plus que tout son mari et pour rien au monde ne voulait le laisser. Et puis c’était sa vie non….

*tu ne peux pas me faire ca….si, si je peux c’est ma vie….C’est aussi MA vie et mon corps quoique tu en dises….Peut être mais je l’aime et je le veux….Et moi alors ?....Quoi toi ?...Et bien moi aussi j’aime quelqu’un…Oh c’est nouveau ca ….non ca l’est pas mais j’osais pas te le dire….mouahahahaha la cruelle Roze qui n’osait pas, tu ne serais pas entrain de te moquer de moi ?...jamais et cesse de rire, il m’a fallu du temps pour le voir…..Ecoute Roze je suis désolée mais j’aime Sept et c’est lui que je veux…..oui mais…..je sais…..non tu ne sais rien….je te laisserais le voir, je veux dire le voir vraiment, je m’effacerais…..ca ne change rien je ne serais jamais à lui n’est ce pas ?.....Je-----suis désolée j’ai fait mon choix, Pardonne moi……sniff c’est pas comme ci je m’y étais pas préparer….Pardonne moi…..tu me laisseras hein ?....je viens de te le promettre….merci.*

D’un revers de la main elle essuya les larmes de Roze et redressa la tête, son sourire éblouie l’assembler. Elle allait vivre avec l’homme de sa vie. Dommage que l’home de la vie de Roze ne soit pas le même que le sien. Lily sourit a son homme et tourna lentement la tête vers Ap, puérilement elle lui tira la langue mais peu à peu ses cheveux reprenaient leur couleurs naturels. Juste au moment ou le bonhomme fripé prit la parole. La jeune femme ne l’écouta que d’une oreille bien trop occuper à calmer son cœur et surtout à observer ce qu’elle avait autour d’elle. Sa mère pleurait déjà alors qu’il ne s’était encore rien passer, son père égal à lui même lui adressa un regard tendre. Sa belle famille…une secte comment pouvait on croire à une secte c’était stupide….enfin c’est sa famille elle sourit à sa belle mère…Qui sembla l’ignorer mais reporta rapidement sur le petit homme on arrivait au moment le plus intéressant de la cérémonie. Le qui veut pas qu’ils se marient. La jeune femme redressa sa tête, d’un air particulièrement défiant que celui qui ose ouvrir la bouche soit pulvériser sur le champ….

Heureusement pour le bon déroulement de la cérémonie personne n’ouvrit la bouche, mais elle avait tout de même remarqué le coup porter par Sept elle se retenait à son tour de rire. De nouveau elle croisa son regard et lui sourit. L’homme de cérémonie venait de prononcer les mots et son cœur manqua un battement….Allait il oui ou non unir sa vie à la sienne ?
Oui….le soulagement laissa rapidement place à un radieux sourire. Il avait dit oui c’est tout ce qui comptait.

"Lily-Roze Silverstone. Désirez-vous prendre pour époux Monsieur September Quint ici présent et jurez-vous, de ce fait, de le protéger, de le chérir, de l'aimer, et ce jusqu'à la fin de votre vie ?".

Le souffle lui manqua, et son cœur s’arrêta un instant. Lentement ses mains tremblotantes s’emparèrent des siennes. Elle était moite signe de son stress et de son inquiétude. Croyait il réellement qu’elle allait lui dire non. Après tout ce qu’il lui avait dévoilé, Lily lui avait juré d’être auprès de lui. Bien sur la peur était la mais elle lui avait promis…peut être y perdrait elle plus qu’elle ne le croyait en faisait confiance à son homme mais elle l’avait choisit ou plutôt son cœur l’avait choisit c’était comme ca. Elle lui serra les mains et prit une grande respiration.

*Qu’est qui dit….le monsieur te demande si tu veux épouser Simplet ici présent ou plus exactement je te traduis littéralement : "Lily-Roze Silverstone. Désirez-vous prendre pour époux Monsieur September Quint ici présent et jurez vous de ce fait, de le chérir, de le protéger dans la joie comme dans la maladie, de l'honorer pour le meilleur mais surtout pour le pire, ainsi que d'accepter qu'il soit un Mangemort, jurez-vous de l'aimer plus que votre vie et de rester avec lui quoi qu'il en coûte jusqu'à ce que vous poussiez votre dernier soupir ? ….Pardon ?....T ‘es nul ou quoi….regarde ta copine de fait des signes, REAGIT bon sang.*

Elle redressa rapidement la tête, à quelque pas d’elle Lorelai lui faisait quelque signes l’insistant à faire qu’elle que chose mais elle n’arrivait pas à comprendre….quel était cet étrange langage dont son amie faisait démonstration. Le vieil homme toussota la ramenant sur terre. Elle fronça les sourcils c’était qui déjà ?.......Oh…Ah….Ca y est le mariage….elle croisa le regard de September. Il avait dit quelque chose le petit bonhomme non ?....elle n’eut pas à se poser la question bien longtemps qu’il réitéra sa question. Voulait-elle oui ou non se marier avec lui ?

« Ah…Euh oui….enfin je le jure. »

Elle ferma les yeux…cherchant au fond de son cœur si elle avait fait le bon choix. Cela ne lui prit pas longtemps son cœur explosait de joie et d’amour. Oui elle avait fait le bon choix même si a partir de maintenant cela serait surement pour le pire bien plus que pour le meilleur. Lily regarda son mari et lui sourit pour le rassurer, elle voyait déjà sur son visage l’inquiétude et la panique. Elle lui avait fait peur elle s’en doutait mais elle ne voulait pas qu’il croit une chose qui n’était pas vrai.

Silencieusement ses lèvres formèrent un je t’aime, au même moment ou le petit bonhomme ridé les déclarait officiellement mari et femme. Avec volupté elle s’approcha de lui et comme pour celer cet instant important elle l’embrassa. Pour le première fois elle sentit sa magie se mélanger à la sienne comme pour leur montrer qu’ils appartenaient l’un à l’autre. Ses lèvres l’électrisèrent et Roze se terra plus profond dans Lily avec le sentiment de vouloir s’effacer….

September crut que son coeur allait exploser... pas par ce baiser, non, cette sensation le ramenait quelques secondes en arrière, lorsque Lily peina à donner sa réponse.

Tout le poids de la claque qu'elle lui avait infligé quelques semaines plus tôt lui revint en pleine figure, image brillante d'un souvenir trop douloureux pour être décemment éteint. September cligna des paupières, fronça les sourcils sur une expression mêlant la crainte et l'incompréhension.

Finalement, la jeune femme donna sa réponse et, à présent, September Quint sentit qu'il ne serait plus jamais seul, que ce bref mais intense baiser qu'elle venait de lui offrir scellait à jamais leur union, les rendant plus forts, les rendant deux -gardant cette certitude en lui, celle qu'il pourrait toujours se reposer sur elle.

Dieu qu'il en avait besoin ! Dieu qu'il lui fallait son soutien ! Plus que tout autre chose, il le souhaitait, en avait impérieusement envie et pensait le mériter après toutes les épreuves traversées.

Mais il tairait ses souffrances aussi bien que ses crimes, il les tuerait dans l'oeuf. Jamais elle ne saurait et elle resterait ainsi aussi lumineuse et éclatante que le jour de leur mariage, sans aucune ombre au tableau !

Il serait seul à porter ce fardeau, l'ombre de ses remords penchée sur lui-même, un pied dans la tombe ou dans le lit de la Mort avec un Auror toujours sur ses talons et le Lord le tenant par la gorge. Corps torturé, mutilé par plaisir ou par nécessité, tiraillé de tous côtés par les différentes personnes présentes aussi physiquement que dans ses pensées...

Il redressa la tête, ses yeux mouillés de larmes fixant celle qui s'appelait à présent Madame Lily-Roze Quint. Ses deux mains frêles étaient posées sur ses épaules et une réflexion fuyante lui traversa l'esprit : comment pouvaient-elles être aussi douces, aussi galbées que celels d'une statue grecque ?

Il ne put plus attendre et, dans un élan désespéré, la serra vigoureusement dans ses bras. A quelques pas derrière eux il entendait déjà les acclamations et les hourras énergiques et joyeux, rumeurs d'une magnifique fête, la plus belle de toutes !

Même "l'autre" semblait battre des mains... oh, pas plus de deux secondes, certes mais il y avait mis du sien. Lorsque l'on connaissait un tant soit peu Apophis, il était temps de se demander si cette attentionn n'était tout simplement pas ironique...

Ses bras l'enlaçèrent plus fort encore et il posa son menton sur le coin de son cou, fermant les yeux de bonheur mais surtout pour s'empêcher de pleurer -ses traits étaient tirés d'émotion et son visage virait au rouge tomate.

Il crut bon qu'elle le sache. Il souhaitait qu'elle entende ce qu'il avait sur le coeur tandis que les minutes raccourcissaient, que la musique reprenait plus fanfaronante encore et que les invités regagnaient peu à peu leurs occupations... Il devait lui dire :

"Tu sais ce que je suis mais, plus encore, tu sais qui je suis vraiment...

N'oublie jamais cela, Lily ! Ne l'oublie pas ! Je suis toujours September Quint et je t'aime ! Je t'aime très fort !".

Ses bras la serrèrent une dernière fois comme pour un dernier adieu puis il se détâcha d'elle, lentement, savourant chaque seconde et tâchant de se remettre du coup du sort qu'il venait de revevoir. Il était marié et peinait à s'en rendre compte... avec du recul, peut-être ?

Il tourna ses yeux sur sa gauche et comprit que Sykes n'avait pas pu attendre une seconde de plus et qu'il était parti. Du regard il chercha sa famille et rencontra sa bondissante petite soeur qui se dirigeait vers l'autel en compagnie de leurs parents, un peu bousculée par la foule joyeuse et euphorique.

Le jeune homme lui adressa un frac et bleu sourire faisant scintiller ses yeux bleu lagon puis ses lèvres se plissèrent sous l'émotion de voir son père comme sa mère venir vers eux et sourire en direction de la mariée. Certes, cela ne devait pas être de gaieté de coeur, mais ils avaient fait cet effort... et il crut même que sa mère était émue à ce moment précis.

Il les salua, encore un peu perdu, et tomba dans les bras de son père tandis que Kitty présentait chaleureusement l'heureuse élue à sa mère. La digne femme eut un sourire poli et, bien que froide et un peu pincée, elle sut se montrer à la hauteur des attentes de son fils -aussi bien en courtoisie qu'en chaleur.

Ce dernier se tourna alors vers elle et joignit à quelques phrases reconnaissantes de leur venue une embrassade vive et franche -de celle d'un fils qui redécouvrirait ses parents après des années et des années de solitude.

Son coeur était léger et son regard embué de larmes se laissa vagabonder à travers les divers invités, cherchant du regard quelques connaissances qu'il salua d'un bref signe de main.

Son visage s'arrêta immédiatement à côté du plan d'eau, tout près des barques blanches et décorées richement pour l'occassion. Son sourire se déroba à ses traits et il resta stoïque un bref instant, ne faisant plus guère attention à ses parents, à sa soeur ni même à sa femme...

Un homme était là en robe de sorcier, un chapeau noir dont la pointe était fendue avec élégance légèrement coincé de côté sur son crâne. Il esquissa un sourire dans sa direction et leva son verre rempli d'un cocktail aux tons orangés.
Il inclina la tête pour le saluer, et ses yeux aussi clairs que l'océan scintillèrent sur un superbe sourire...

[Et voila je me permets donc de cloturer le topic ^^ !!]