[PV] Avec Aelita

Alexander arriva le premier et visualisa la même salle où il avait dansé et discuté avec Clara, avec la même cheminée et les mêmes fauteuils. Mais le buffet était un peu plus garni et l'oeuf magique n'était pas là. mexander étaut vétu de son costume mais sa chemise blanche était légerement entrouverte lui donnant un petit air décontracté.

*Ceci devrait être bien*

Pensa-t-il en versant du jus de fruit dans deux coupes puis en prenant du bout des doigts un grain de raisin qu'il glissa entre ses lèvres avant de regarder machinalement le décor.

Il se mit à siffloter un petit air de musique classique, s'approchant de la cheminée pour regarder l'âtre.

J’arriva devant la salle sur demande il était 18 heures, il s’en était passé des choses pendant la journée, mais je voulais penser à autre chose et de voir Alexander, me ferait s’en nul doute penser à autre chose.

Je vis que la porte de la salle était entre ouverte, la pièce était vraiment très joliment décorée. Je regardais alors à l’intérieur de la pièce et vit qu’Alexander était en costume. Je rosis car je n’avais pas eu le temps d’aller me changer et que je portais donc encore l’uniforme.

Bonsoir, Alexander je suis désolée, pour le retard, lui dis-je en arrivant prés de lui, je retira alors ma cape qui était en fait la sienne.

Je l’avais gardée pendant toute la journée sur moi, ne voulant pas la quitter, tellement elle me tenait chaud. Je retirai ensuite ma robe qui cachait mon uniforme.

Je suis désolée, je n’ai pas eu le temps de me changer, lui dis-je en devenant rouge pivoine.

Je rougis légèrement quand je sentit le regard d’Alexander se poser sur moi, je n’avais que l’uniforme de l’école, alors que lui était d’une élégance folle.

Vous…, vous êtes très beau aussi, lui dis-je en le regardant à peine, vous…, vous me trouvez belle c’est vrai ?, lui demandais-je en rosissant d’avantage.

Il me baisa ensuite la main, puis me fit la révérence que je lui rendis par courtoisie.

Je vous crois, lui dis-je en souriant timidement.

Puis, il me conduisit vers le buffet, en enserrant à peine mes doigts dans les siens, mais ça me fit quand même frissonner, je n’avais pas connu se genre de contact avec d’autre garçon que Drago. Il me laissa m’approcher du buffet, me recommanda de boire du jus ce que je fis en prenant un verre. Puis, il me parla d’un fruit que je ne connaissais pas.

Qu’est-ce qu’un onigiri ? lui demandais-je par curiosité.

Je regarda Alexander pendant que je goûtais à l’une des spécialité de son pays, je lui souris timidement, en espèrent que mes lèvres restent closes pendant que je mangeais. Je fini d’avaler quand il me demanda si j’avais peur de lui.

Non, vous ne me faites point peur, lui dis-je en le regardant, seulement vous êtes si gentil avec moi, lui dis-je en rougissant.

Depuis, que j’avais rencontré Alexander il avait été très cordial avec moi, ce qui me faisait penser à Michael. Il était diffèrent l’un de l’autre, mais il essayait chacun de leur côté de me faire retrouver le sourire, ce qui n’était pas évident.

Non, c’est très bon, lui dis-je en lui souriant, je dirais même que je trouve ç…, mais j’arriva au goût salé et je fit la grimace en essayant d’avaler.

J’avais les larmes aux yeux, je ne mangé jamais aussi salé et ça me déplaisait un peu.

Par contre, je me passerais du cœur de ce mets, lui dis-je en lui souriant légèrement, puis il me demanda si je voulais danser.

Avec joie, lui dis-je en lui faisant une mini révérence.

Je regardais Alexander, quand soudain il me prit la main avec une délicatesse infinie, il me guide au milieu de la pièce, je lui souris toujours timidement. Il me fit une révérence digne d’un sang pure, à cette instant Alexander disparu et je me souviens soudainement de mes parents c’était comme un flash. Je les voyais danser pour la première fois ensemble, ils avaient fait une réception, bien sûr j’étais trop jeune pour pouvoir y assister, mon plus jeune frère devait me surveiller pour ne pas que je descende. J’avais 3 ans à l’époque, quant il dû s’absenter, croyant que j’étais endormie il ne se posa pas de question. Je descendis alors le long du grand escaliers de marbre, puis je m’installais sur une des marches pour pouvoir regarder ce qu’il se passait dans le salon et là je vis mes parents ainsi que d’autre invité danser. C’était la première fois que je voyais ça et j’étais ravie du spectacle qu’ils m’offraient sans s’en apercevoir. C’est alors qu’au bas des marches je vis quelqu’un remuer, il s’agissait d’un petit garçon, qui devait avoir le même âge que moi. Je voulu remonter, pour me cacher et ne pas qu’il prévienne mes parents, mais c’est à ce moment là, qu’il décida de se lever pour me rejoindre.

Qu’est-ce que tu fais là ?, me demanda-t-il en me jetant un regard froid, tu ne devrais pas être dans ta chambre ?

Je ne savais pas quoi lui répondre, il avait l’air si froid, il ne ressemblait pas à un enfant de mon âge, il semblait être plus vieux. Je ne dis mot et remonta dans ma chambre, je me retourna vers lui et vis ses cheveux blonds platine redescendre les escaliers.

Je venais de rencontrer, Drago Malefoy, j’avais complètement oublié se souvenir, je me souviens d’avoir regardé encore une fois dans la salle avant de partir me coucher et j’avais vu un homme avec la même couleur de cheveux tournoyer avec une dame très belle.

Oui, cela me satisfait, dis-je en revenant de ma rêverie.

Il me fit tournoyer et me souris quand je reviens vers lui, je lui rendis la politesse, mais mon sourire n’était toujours pas franc.

Non, j’aime celle-ci, mais je connais toutes les danses de salon, convention oblige, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.

Il me pencha en arrière comme Jeremya me faisait souvent quand nous dansions ensemble, puis il me ramena vers lui d’un geste vif, sans faire attention, ma main se plaqua sur son torse et je rougis avant de la retirer rapidement.

Je suis désolée, lui dis-je en n’osant plus le regarder, j’aime le tango, mais bien souvent je le danse avec l’un de mes frères…, comme on est souvent en guerre lui et moi, c’est mieux pour le tango, lui dis-je en lui souriant un peu plus franchement, mais ce n’était pas encore ça.