Dans les couloirs du sous-sol [Fini]

Je sortis de la salle commune de Serpentard fou de rage, j’avais oublié de louer un livre capitale pour faire mon devoir de potion, tout ce que j’espérais c’est qu’on ne l’ai pas déjà emprunté.

*Bon sang, Blaise si ta tête n’était pas attachée à ton corps, je crois que tu la perdrais*, me dis-je en grommelant.

Ce livre était pour moi une importance capitale, sinon je pouvais dire adieux à avoir une belle note en Potions et à être fusillé du regard par tous les Serpentard déjà qu’ils ne me portaient plus dans leur cœur. Alors que j’allais tourner pour me rendre dans le Hall, je vis quelqu’un qui était accroupi semblant regarder le mûr face à lui, comme si il s’agissait d’un objet capital.

*Un livre de potions*, pensais-je bien malgré moi, mon devoir me travaillé vraiment de trop.

Je m’approcha lentement de la personne et j’eu un mouvement de recul en reconnaissant Clara, sa peau était plus blanche que de la craie. Elle avait les yeux grande ouvert et regardait dans le vide, on aurait dit qu’elle…, qu’elle avait vu un fantôme. Ce n’était pas ce qu’il manquait à Poudlard et la plus part étaient charmant, mis à part le Baron et Peeves bien sûr.

Cla…, Clara ?, demandais-je doucement en m’approchant un peu d’elle.

Clara c’était presque jetée dans mes bras, je caressa tendrement ses cheveux, je ne savais pas ce qu’il c’était passé mais on aurait dit qu’elle avait vu un détraqueur. Elle était très pâle et semblait désorientée, elle me répondu oui, mais sa voix était faible à peine audible.

Clara je suis là tout ira mieux maintenant, ne t’en fais pas je reste près de toi, lui dis-je en lui caressant toujours les cheveux.

*Adieux mon devoir de potions*, pensais-je en lui embrassant le cuir chevelu.

Après un moment de silence, je lui demanda :

Tu ne veux pas me dire qui ou quoi, t’as mise dans cet état ?, lui demandais-je.

Je la regarda avec étonnement, et me releva en la faisant se lever à son tour mais en la gardant toujours dans mes bras.

Tu ne me perdras jamais Clara, je te le promet, lui dis-je en lui souriant.

Puis, elle me rappela que j’avais du travail à effectuer et c’était vrai, avant je faisais tous mes devoirs à l’avance mais depuis un moment, j’avais bâclé beaucoup de choses.

Oui, c’est vrai j’ai dû travail, mais je dois me rendre à la bibliothèque, si tu veux je prends mon travail avec moi et nous pouvons aller ensemble à la bibliothèque, bien sûr tu me verrais faire mon devoirs de potions. Ce qui n’est pas très réjouissant, mais au moins nous pourrons passer du temps ensemble qu’en penses-tu ?, lui demandais-je en lui souriant.

Je regarda Clara et lui souris puis je lui donna un baiser sur son front ensuite, j’enleva sa main de la mienne.

Attends ici, j’en ai pour deux secondes montre en main, je récupère mes affaires dans la salle commune et je suis à toi, dis-je en la laissant seule dans le couloir.

Une minute après je reviens le sourire aux lèvres et je lui pris délicatement la main.

Voilà, je suis prêt, nous pouvons aller à la bibliothèque, lui dis-je en prenant sa main et en y déposant un baiser sur celle-ci, je t’adore ma Clara, tu es la plus incroyable des filles que j’ai pu rencontrer, lui dis-je en lui souriant. Finalement, j’ai eu de la chance de tomber sous le charme d’une Serdaigle, lui dis-je avec un petit sourire en coin, parce que même dans les études tu es toujours à mes côtés, lui dis-je en lui caressant le dos de sa main. Imagine, sinon j’aurais dû sortir avec Pansy, dis-je en faisant une grimace de dégoût.

J’étais heureux, heureux parce qu’elle riait, heureux parce qu’elle était là tout simplement. Quand elle était à mes côtés je ne pensais plus à rien ni à personne, je ne pensais qu’à nous et à ce que nous vivions. J’étais tellement amoureux d’elle, je tenais tellement à elle, mais la fin de l’année se faisait sentir et bientôt nous allions nous quitter. Ma mère avait s’en doute déjà trouvé un autre mari, un autre beau-père pour moi, même si elle m’avait promis d’être sage et surtout de ne plus voir Lucius Malefoy en dehors des réceptions qu’un ou l’autre organisait. Je ne voulais pas quitter Clara je voulais passer mes deux mois de vacances avec elle.

Oui, où alors arriveras-tu seulement à me déconcentrer d’avantage en tout cas je veux que tu sois prés de moi, dit-il en la prenant par la taille et s’en allant tout les deux vers la bibliothèque.

[Bibliothèque]