1er cours (pour les 1ères années)

Parvati écoutait le professeur.... Apparament, celui là n'était pas un des professeur avec qui on aurait plaisir travaillé mais plutôt...De l'ennuie.

Elle commençait donc à écrire sur sa feuille:

Citation :

Etudes des moldus.

Articles 1.
Etant donné le manque de temps => Aucune réfle spécifique.
Article 2.
Le réglement de l'école s'appliquera dans cette classe.

Parvati était plutôt contente de se réglement ! Pourquoi ? Pas d'effort, et rien à retenir ! Puis espérant de la pratique elle écouta le professeur.... Une arme dévastatrice ? Le language ! Mais quesqu'il racontait là ?! Il parlais déjà beaucoup trop, et surtout que sa n'avais pas de raport avec le cours.... Parvati décida donc de lever la main et pris la parole aussitôt

- Monsieur, on n'es pas censé étudier les moldus ?! Alors, pourquoi nous poser des questions comme ça ?!
Dit-elle après avoir posé sa main.... Elle regarda le professeur avec attention, quand Parvati était entré dans la classe, elle pensait voir un professeur plus jeune, et plus explicite sur la matière qu'ils allaient faire, et surtout pas dériveur de sujet...

Alexander trouva ce début de cours amusant, bien sûr il n'était pas tout à fait necessaire pour lui d'assister à ce genre de cours puisqu'il était à moitié moldu par son père, mais tout de même, c'était amusant. Comme la prise de note ne l'interessait que vaguement il leva la main se demandant si il serait interrogé...

Ceci dit il n'était pas certain d'avoir la bonne réponse, lui même n'employant pas un langage aussi bassement vulgaire.

Son regard traina du côté de Malefoy, à cause de qui il avait le bras en écharpe... mais il reporta très vite son attention sur le professeur, attendant de voir si il serait interrogé ou non.

*J'espère que oui, surtout si on me donne quelques points pour Poufsouffle... *

Alexander trouva la jeune fille très impolie, elle avait parlé sans permission... mais il ne dit rien de plus, il garda la main levée. Il n'était "que" préfet mais il n'aimait pas vraiment être oublié sous pretexte qu'il était un peu amorphe à cause de sa blessure.

Il considérait qu'il avait bien assez de soucis comme ça... son regard alla vers Aelita qui était non loin et bien qu'il ne laissait rien paraître son coeur lui se serrait profondément.

Il se demandait si il méritait une telle punition en plus du reste... mais on ne forçait pas les gens à supporter votre compagnie.

Serrant les dents car son bras lui faisait mal, Mme Pomfresh trouvait ça inquietant, il garda l'autre bras levé même si le temps lui semblait long...

Susan n'était pas en retard. Non. Elle jouait tout simplement à son jeu favori à savoir : "je suis une souris naine d'Amazonie, nul ne me voit, que c'est drôle et pratique !".
Pratique, sans nul doute. En tout cas assez pour ne pas être trop embêtée par les questions tordus de professeurs sadiques ou les remarques blessantes d'élèves parfois tout aussi sadique. La paranoïa avait frappé dur chez la jeune Bones qui avait, par conséquent, tendance à considérer que tout individu lui adressant la parole n'avait qu'une seule et unique intention, se moquer d'elle, pauvre greluche de onze ans, faible et pitoyable, incapable de se défendre, j'en passe et pas des meilleures.

Donc, Susan, installée seule à une table suivait d'une oreille distraite ce début de cours. En réalité, l'étude des moldus ne la passionnait pas plus que cela. D'abord parce qu'ayant des parents persuadés de l'intérêt du monde moldu elle avait, pour ainsi dire, grandit aux milieux des moldus jusqu'à son entrée officielle dans le monde sorcier, ensuite parce qu'elle ne voyait pas en quoi quelques petites heures de cours durant sept années de labeur scolaire pouvaient lui permettre d'apprendre ne serait-ce que le minimum de ce qu'il y avait à savoir d'une culture en perpétuel changement et qui avait déjà des siècles d'existence derrière elle.

Si la Poufsouffle avait été un tantinet plus téméraire, nul doute qu'elle aurait depuis belle lurette prit son livre d'Histoire de la Magie ou un bon D. Du Maurier. Malheureusement pour elle, elle avait été disciplinée dès son plus jeune âge et, si l'éducation pouvait se révéler utile, elle était, en cette heure, plutôt contraignante.
D'autant plus qu'elle ne considérait pas particulièrement l'apprentissage de la grossièreté était fondamental. D'abord parce que les sorciers étaient aussi capables d'utiliser la parole tandis que les moldus pouvaient, en contrepartie, mettre en place des techniques de torture n'ayant rien à envier au Doloris, ensuite parce que, si une cour de récréation peut se révéler significative de la vie moldue, alors elle était prête à jurer sur ce qu'elle avait de plus cher qu'un moldu était très doué en ce qui concernait l'affrontement physique, pas besoin de baguette pour ça !

Interloquée, donc, par les propos de son professeur - Platon devait se retourner douloureusement dans sa tombe - , Susan leva une main timide, bien décidée à défendre chèrement son opinion.

- Monsieur, commença-t-elle d'une voix fluette, excusez-moi mais les sorciers peuvent parfaitement user de la rhétorique pour embobiner les esprits. Après tout, Grindewald était aussi doué qu'Hitler lorsqu'il s'agissait d'amener à lui les foules par le seul pouvoir de la parole. D'autre part, lorsqu'il s'agit d'imposer son pouvoir, les moldus disposent d'autres armes que la parole, non ? Je veux dire, dans les grandes dictatures moldues, les dirigeants avaient mis en place toute une série de moyen de tortures qui n'ont rien à envier au sortilèges impardonnables, sans parler des tortures mises en place par l'Eglise au Moyen-Age...

Tiens, elle était peut-être un peu Hors-Sujet, là, non ?

Neville comatait dans son coin, sans ennuyer personne et sans que personne ne l'ennuie. Il était, depuis le début de l'heure, parti rejoindre son Pays Imaginaire à lui et, si physiquement il était bien présent en cours, spirituellement - et quoique le mot soit un tantinet pompeux, il faut bien employer quelque chose - il était à des années lumières de là. Et tout ça sans soucoupe volante, comme quoi, la technologie extraterreste, si tant est qu'elle existe, n'est pas encore totalement au point.

Non pas que l'étude des moldus ne fusse pas assez intéressante pour lui. Bien au contraire, Neville était le type même de l'élève conciliant, prêt à faire tout ce qu'on attendait de lui du moment qu'on ne venait pas trop l'embêter et qu'il n'avait pas à prendre publiquement la parole.
Rien de ce que pouvait baragouiner le si sage professeur ne pouvait atteindre le jeune garçon... Sauf, bien entendu, si ledit professeur se mettait à la secouer comme un prunier avant de lui lancer un seau d'eau froide à la figure mais les professeurs n'étaient pas si cruels... N'est ce pas ?

Alexander eu un léger sourire, voilà un professeur bien étrange...

- Monsieur, je ne suis pas d'accord avec ma camarade, selon moi ce serait la seconde proposition qui serait utilisé la plus instinctivement, la seconde est plus exact grammaticalement mais c'est justement ce qui fait qu'elle est moins spontannée et très certainement moins utilisé. Une insulte est quelque chose qui fuse... la seconde proposition serait à mon avis utilisé plus par exaspération que par insulte... Mais ce n'est que mon avis.

Ajouta-t-il d'un ton légerement las. La fatigue se faisait sentir dans tout ses membres et il se demandait si il arriverait à faire sa ronde... sans doute pas... mais il lui faudrait essayer.

*Courage... courage...*

Il sentait sa gourmette lui chauffer le poignet... mais c'était lui qui souffrait.

(hj, je fais comme si je connais vos prénoms, j'en ai marre des jeune homme, miss ...)

Le professeur Dukas écouta ses deux élèves, l'un avait tenté d'apporter une réponse à la question. Quand à la seconde qui avait parlé en premier ( ) avait émis des hypothèses fortes intéressantes sur la rhétorique dans le monde sorcier et moldu.

"Bien, deux élèves m'ont donné leur avis, qui sont dfférents. Moi, je choisirais comme Alexander la seconde phrase mais pour diverses raisons. Alexander pense que qu'elle est plus prompte à montrer une exaspération. En ce point, je ne suis pas d'accord. Pour moi, il ne fautn surtout pas montrer qu'on est las mais bien indifférant à l'autre personne. Et c'est en ce sens que je choisis la seconde option. Dans la première, où suis-je?? Eh bien, je suis le "m apostrophe" coincé au milieu de la phrase. De plus, je suis complément d'objet direct, c'est à dire que je subis l'action. Dans la seconde, je suis sujet et l'autre personne est réduite à un pauvre "t apostrophe" et se retrouve C.O.D. J'ai volontairement pris ces deux phrases vulgaires pour vous démontrer l'importance du langage dans la vie. Par exemple, Parvati n'a pas voulu citer l'insulte mais a opté pour une périphrase. La phrase portait certaines marques de degout. Ce qui est très compréhensible. Alexander lui non plus n'a pas directement cité la phrase qui était au tableau. Mais j'ai plus senti ceci comme une marque de pudeur plutôt que de dégout enfin, je peux me tromper... Maintenant, passons à la remarque de Susan. Elle a entièrement raison. La parole n'est pas seulement utilisée chez les moldus mais aussi chez les sorciers. D'ailleurs, nous en sommes tous ici, donc apprendre à la maîtriser peux aussi vous être utile. C'est bien comme ça vous faites d'une pierre deux coups en venant à ce cours. Oui, je sais, je parle trop et je fais de la publicité... Bref, pour revenir à Hitler. Il est vrai que les moldus ont des instruments de torture mais ils n'auraiet pas pu mettre toute cette horreur en place s'il n'était pas au pouvoir et s'il n'avait pas été élu"

Le professeur Dukas alla ensuite vers le fond de la salle de cours et sortit d'une vieille armoire une dixaine d'énormes bouquins qu'il distribuait au fur et à mesure à tout le monde. Il reprit sa place initiale, c'est à dire au tableau et reprit une nouvelle fois la parole.

"Ceci est un dictionnaire. C'est un ouvreage de références qui renferme quelques uns des nombreux savoirs des moldus. On y trouve tous les définitions de tous les mots pouvant exister. Ils sont classés par ordre alphabétique. Alors d'après mot, quel mot trouve t-on en premier dans ce dictionnaire; "Etude" ou "Moldu" ? Je rapelle qu'oil n'est pas nécéssaire de lever la main pour répondre"