Erre, seule, dans les rues de Londres.

Elle ouvrit les yeux lentement, fixant le dessu de son grand lit baldaquin. A peine eut-elle le temps de s'assoire sur son matelas qu'un Carc! retentit dans sa chambre. Elle tourna les yeux vers le petit elfe de maison qui venait d'apparaitre. Plusieurs personnes aurait fait le sauts ou peut-être même hurler, mais depuis sa naissance, chaque matin, un petit elfe venait au pied de son lit, attendant les nouvelles directives. Mary le regarda de haut en bas avec une moue de dédain. Elle n'aimait pas les elfes de maisons, ils étaient tous si affreux! Elle bailla et s'étira les bras lentement. Puis, machinalement, elle passa une mains dans ses cheveux bouclés. Ils étaient encore tous emmeler. Bon, la veille elfe s'en occupera plus tard. Puis, elle tourna la tête vers l'elfe

Mary-Lee: "Comme chaque matin!" coupa-t-elle avant que L'elfe ait pu placer un mot

Il aquiesa puis disparut dans un autre Crac! sonore. Elle se leva et se dirigea vers sa fenêtre. On pouvait voir une bonne parti de Londre de sa chambre. Elle eu un petit sourire satisfait. Elle aimait bien sa vie, ou elle vivait, comment elle vivait. Que rever de mieux qu'être fille sang-pur -du moins, c'est ce qu'elle croyait- vivant dans le luxe. Puis, elle se retourna, tournant dos a la ville, lorsqu'elle entendit Martis, l'elfe de maison arriver, un plateau charger de fruit, de porridge, d'oeuf et de jus de citrouille. Elle prit le plateau et chassa l'elfe d'un geste de la mains. Elle alla s'assoire sur son lit et mangea le tout. Puis, elle alla s'habiller et donna une coup de peigne dans ses cheveux rebelles. Elle sorti de sa chambre et devalla les marches pour aller voir son père

Mary-Lee: "Papa, je veux aller marcher ce matin!"
Coen: "Je suis occuper... Vas-y tout seule, d'accord?"
Mary-Lee: "OK!"

Contente de pouvoir être seule, elle mit ses sandales et une petite veste blanche qui s'agençait bien avec sa robe bleu nuit. Elle ouvrit la porte et mit un pied a l'exterieur, suivit de l'autre. Elle laissa le soleil lui caresser le visage avant d'entreprendre sa marche. Il faisait chaud pour un matin de juin. Elle retira sa veste qu'elle attacha autour de sa tête. Elle se promenait lentement, jeta des regards dédaigneux a certain passant et fuyait quelque peu les chien tenu en laisse. Ce qu'elle pouvait detester les chien! Elle soupira. Elle avait hate a son entré a Poudlard. Elle était sur qu'elle allait revêtir les couleur verte des serpentard, il n'avait aucun doute la-dessus, voyant son ascendance et son caractère. Puis, elle tourna sur un coin de rue et percuta quelqu'un. Elle perdit l'équilibre et tomba a la renverse. Elle se releva rapidement, détestant ce retrouver au sol. Elle regarda la jeune fille devant elle, qui ne devait pas être bien plus jeune qu'elle et lui jeta un regard noir

Mary-Lee: "Tu n'aurais pas pu faire plus attention?!"

Vu la façon don elle la regardait, Mary-Lee comprit qu'elle l'avait... Comment dire... Peut-être interloquer en parlant de cette façon. Mais que voulez-vous, qu'elle soit douce, aimable et gentille... Vous revez en couleur, je vous le dit. Elle regarda la brunette, une moue de dédain sur le visage. Pas très fameuse celle-la. Un peu trop ordinaire, si vous voulez son avis. Des cheveux brun, certe bouclé, mais un peu trop emmeler a son gout. Elle préferait ses longues boucle couleur blé qui descendait jusqu'au bas de son dos. Puis, elle regarda ses vêtements. Normal, ordinaire, comme tout son être. Elle n'aimait pas trop être ordinaire, elle. Elle préférait être spécial, autant physiquement que pour son caractère. Mais bon, pour elle, tout les moldus étaient banals, fallaient pas chercher plus loin. Elle ignorait par contre que la jeune brunette devant elle allait aussi a poudlard. Elle allait surement être surprise de la trouver a Poudlard. Puis, elle regarda les yeux noisettes de la jeune fille lorsqu'elle prit la parole

Eryne: "Excuse moi, j'était plongé dans mes pensées. Sa va ? Rien de cassé ?"

Rien de cassé? Non mais! Son orgueuil en avait prit un coup! Ce retrouver fesse au sol, c'est dégradant, innaceptable pour une fille comme elle. Elle jeta un regard noir a la brunette. Bon, arretont de l'appeller brunette... Mais pour cela, il faudrait d'abord savoir son nom, chose que Mary-Lee ne fait jamais. Donc, elle restera brunette, pour l'instant du moins. Elle évalua la question. Oui, elle allait bien, physiquement, mais elle détestait au plus haut point ce retrouver a la hauteur des chevilles des autres, car généralement, c'était les autres qui lui arrivait a la cheville, et encore la, ils pouvaient être encore plus bas. Puis, elle finit par répondre, car malgré ses habitudes un peu sauvage, elle était une jeune demoiselle bien élever et polie

Mary-Lee: "Tout va très bien" fit-elle, sarcastique "Je me suis retrouver au sol a cause d'une demoiselle qui était plongé dans ses pensé"

Bon, réponse sec, courte et direct. Il ne fallait pas trop esperer lorsque Mary ce mettait en rogne. Quoique... Elle était plus polie qu'a son habitude. Généralement, elle aurait bombarder la brunette d'insultes mais aujourd'hui, elle ce sentait de bonhumeur. Du moins, jusqu'a maintenant. Elle regarda autour d'elle, aucun chien en vu. Puis, elle remarqua quelque passant, tous banals. Elle eu un soupir désolé pour tous ces moldus sans vie... Du moins, sans vie palpitante

Rha... Cette fille la l'énervait déja. Bon, si elle aurait été en face d'une sorcière, peut-être aurait-elle était plus indulgente. Mais quand même, une moldue! Qui ne s'excusait même pas ne plus! Non, elle ne le prenait pas. Elle se releva pour être a la même hauteur que son interlocutrice. Bon, Mary la dépassait peut-être d'un ou deux centimètre, mais on allait pas faire un drame pour sa tout le même? Elle la fixait de ses yeux bleu glacer. Comme dit plus haut, si elle était sorcière, peut-être serait-elle plus sympathique, mais ce n'était pas le cas. Elle détestait tout les moldus! Assez simple a comprendre, vu son histoire. Sa mère avait menti a son père pour rester avec lui. Pour elle, tout les moldus était des menteur et des manipulateurs. Des êtres indignes de confiances

Eryne: "Si tu souhaite que je m'excuse je ne le ferait pas. Puisque selon moi, on est autant en fautes l'une que l'autre. Bref si tu va bien ! Je peut te laisser la !"

Holala... Pas bonne idée petite brunette, ho non. Ne jamais mettre la faute sur le dos de Mary-Lee, jamais. Sinon, gare a toit. Mais bon, l'acte est déja fait et l'erreure passer. Sa va chauffer. Mary-Lee réfléchissait a ce qu'elle allait fait tandis que la brunette lui tournait dos. Si elle croyait qu'elle serait sauve en partant, non. Au contraire. Mary-Lee la rattrapa en quelque enjambé et la fit pivoter. Elle poita sa baquette en sol sous le menton de la jeune fille. Qu'elle soit moldue ou non, elle s'en fichait un peu désormais. Personne ne l'accuse, personne au grand jamais. Elle loui jeta un regard noir, menaçant toujours la brunette de sa baguette. Plusieurs moldu passait par la et les regardaient étrangement. Puis, ils continuaient leur chemins, pensant peut-être que c'était qu'un simple jeu d'enfant

Mary-Lee: "Pour qui tu te prends pour me parler de la sorte!? Jamais je ne laisserait une moldue me parler de la sorte!"

Son regard était noir, son ton, glaciale. Elle avait l'air menaçante -et peut-être aussi un peu démente- avec ses boucle doré hérisser sur sa tête pâle.