#Premier cours - Tous les niveaux // Les C.#

Jessika Fenty vit une jeune fille de sixième année passer, après elle. D'après les couleurs de son uniforme, l'élève de première année constata qu'elle allait à la même Maison qu'elle. Elle avait entendu parler de cette brunette. On disait qu'elle était brillante, très brillante! La jeune Fenty essaya de se rappeler de son nom. Après plusieurs secondes de reflexion, elle trouva le nom de la Sorcière. Elle s'appelait Hermione Granger. Jessika aimait beaucoup ce prénom.

Quelques instants plus tard, ce fut le tour d'un Serdaigle de passer. Puis, ce fut le tour de sa soeur jumelle. La Sorcière savait que Krystina allait réussir. Elle n'en doutait pas une seule seconde. Si elle avait réussi, Krystina réussirait aussi! Après Krystina, une élève de première année qu'elle avait vu au dortoir combattut le Carnasseur. Puis, Drago Malefoy s'avança. Jessika l'avait vut plus tôt à la table des Serpentards. Sa soeur lui avait même dit qu'il paraîssait bien maléfique. Jessika était d'accord avec elle.

Après être passé, l'élève de Serpentard vint les rejoindre. Puis, elle entendit Krystina féliciter Kyara et, ensuite, elle demanda à tous les élèves du groupe comment ils étaient parvenus à combattre l'Épouvantard. Jessika s'approcha de sa soeur qui lui ressemblait comme si elle était son reflet dans le miroir. Son oeil présentement bleu-vert et son oeil présentement vert se mirent à pétiller de fierté. Elle était très contente d'avoir réussi à combattre le Carnasseur. Après tout, il y avait des élèves de sixème dans la salle. Rogue avait précisé que c'était de "votre niveau". Donc, c'était sûrement du niveau des sixième s'il voulait leur apprendre quelque chose d'important. La jeune Gryffondor répondit, tout simplement, à sa soeur:

"Ses yeux, Kryss! Ils faisaient tellement pitié!"

Puis, elle la regarda attentivement dans les yeux, comme si elle attendait une réponse de sa part. En fait, elle attendait une réponse de sa part.

Jessika s'approcha de sa soeur. Krystina remarqua que ses yeux étaient plutôt tintés de bleu et de vert présentement. Elle se tourna vers la file et vit d'autres personnes "tuer" le Carnasseur. Certains le faisaient avec grande facilité. D'autres le faisaient avec très peu de facilité. La Gryffondor répondit à sa question:

"Ses yeux, Kryss! Ils faisaient tellement pitié!"

Mais la Serdaigle songea plutôt:

*Non...ses yeux ne faisaient pas du tout pitié! Pas du tout...*

Mais bon. Cela avait permis à sa soeur jumelle de vaincre le Carnasseur. Alors tous les moyens étaient permis. Et de toutes façons, Krystina, elle, aurait probablement trouvé que les yeux de cette chose faisaient pitié si elle avait eu plus de facilité à éprouver de l'amour pour cette bête atroce.

Comme elle vit que sa soeur voulait une réponse, elle lui avoua:

" Moi, je ne suis jamais arrivée à ressentir de l'amour pour ce ... machin. Enfin... pas directement. "

Sa soeur ne semblait pas étonnée. Krystina "aimait" toutes ces bêtes de la même façon. Mais on ne pouvait appeler ça de l'amour. Ce n'était aucunement le genre d'amour que Krystina ressentait envers ses parents, sa soeur, ses amis... Comme elle vit que sa soeur voulait en savoir un peu plus elle lui demanda:

" Tu veux réellement savoir? "

Elle vit le regard de sa soeur. Elle "voulait réellement savoir". Elle continua donc:

" J'ai imaginé le Carnasseur avec ton visage. Je me suis concentrée sur ton visage et, peut-être que ça va t'étonner, je n'ai pu m'empêcher de ressentir de l'amour envers toi. Donc...ça a enflammé le Carnasseur. "

Elle lui offrit un large sourire dans le sens de :" Tu voulais vraiment savoir. Bah, maintenant, tu sais." Elle s'empêcha de rire pour ne pas attirer les regards de Rogue et fit un clin d'oeil à sa soeur.

--------------Note express du professeur---------------------

Le mot "spécialisé", que vous auriez dû rechercher dans la page pour trouver le mot précédent, a disparu. Soit c'est une mise à jour de la page subite, soit c'est une erreur de ma part. Dans tous les cas, ignorez ce mot, il ne sera pas compté. Pour ceux qui ont déjà intégré le mot qui précédait, laissez tel quel, ça n'est pas grave! Faites comme s'il n'était pas là, il y a donc six et pas sept mots à placer (sans compter le mot de confirmation.)

Merci à vous, et surtout à Drago de me l'avoir fait remarquer!

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Megara était maintenant en 7ième année. La dernière année qu’elle passait à Poudlard avant de rentrer dans le vrai monde des adultes. C’était aussi l’année des ASPICs, examens de fin d’années qui la stressait déjà énormément. Elle avait toujours été très soucieuse du travail qu’elle fournissait et cette année elle comptait bien donner son maximum puisque c’était sa dernière année à Poudlard et qu’elle devait obtenir les meilleures notes possibles. La Montgomery-White avait besoin, minimum, d’avoir un « E » en potion, en botanique, en sortilèges, en métamorphose et en défense contre les forces du mal pour pouvoir avoir une chance de percer dans le métier qu’elle souhaite faire plus tard ; médicomage. Avouez que Médicomage Montgomery-White, ça sonne drôlement bien ! Bref, elle devait se défoncer et c’était exactement cette ambition qu’elle avait !

Elle était présentement assise dans le deuxième rang, suçotant une plume à saveur de macarons aux chocolats qu’elle s’était acheté il y a quelques jours dans le PoudlardExpress. Devant elle se trouvait Rogue, qui fessait son habituel discours de 20 minutes. Mais, aujourd’hui, il était différent des 6 autres qu’elle avait pu entendre. Car Rogue avait été promu au poste qu’il attendait quelques années, pour ne pas dire plusieurs, il était professeur de DFCM. Mais, aussi étrange que cela peut le paraître, Meg’ en était très heureuse. Lui, il avait dans le feu de l’action. Lui, il connaissait le sujet. Lui, il savait quoi leur enseigner pour qu’il puisse se défendre. Avec les temps qui couraient, il en avait tous grandement besoin. Et, même avec son caractère de cochon, Megara était ravis de voir sa tignasse graisseuse à l’avant de la classe.

Après son interminable blabla, il leur présenta enfin le sujet du cours ; le carnasseur. Super ! Même si c’était un cours en commun, elle n’avait jamais encore parlé de cette bête ! Elle allait pouvoir apprendre un nouveau truc et non faire une révision des années antérieures. Megara arrêta de sucer sa plume, maintenant beaucoup plus attentive. Elle ouvrit son volume à la page 49 comme le demanda l’ancien maître des potions et, sans lever la tête vers Rogue, elle note divers information qu’elle trouvait pertinente dans la marge de sur le papier de son bouquin. Oui, vous allez me dire que ça ne fait pas super propre mais, Megara préférait de beaucoup cette façon. Et depuis maintenant 6 ans, elle avait très bien fonctionné don, abstenez-vous de passer des commentaires. Tandis que sa plume dansait sur les pages de son livre, Rogue avançait dans ses explications. Pas le temps d’évaluer la température dehors, il déballa information après information. Il lui fit également transcrire un petit mémo du minimum de ce qu’il devait savoir. Meg’ le nota également dans son livre ainsi que le moyen de battra la créature. Une manière assez … originale.

Puis, le tour de pratique arriva. Plusieurs élèves passèrent devant elle. Elle préférait de loin observer comment s’y prenait les autres avant d’elle-même se lancer dans la gueule du loup. Trois gryffondor passèrent en premier, - on voit que c’est les rouges qui ont la qualité du courage, haha =) – et Meg’ alla se faufiler en arrière de … Malfoy. Qu’il passe en vitesse pour qu’elle puisse se débarrasser du blondinet arrogant qui lui obstruait la vue ! Megara ne détestait pas à mourir, elle n’avait jamais vraiment eu de conversation avec lui. Mais, elle avait entendue parler de lui, et Dieu sait comment Meg’ attend parler de tout le monde et aime parler de tout le monde, et il n’avait pas une des réputations les plus propres de Poudlard. Même au contraire, il pouvait compter dans le Top5 des plus « en vogue » dans le domaine du blablatage entre filles ! Il passa enfin son tour et ce fût à Megara de s’exécuter.

Elle s’avança prudemment devant les barreaux, serrant sa baguette entre ses doigts. Manucurée, ça va de soit. Le professeur Rogue laissa de nouveau entrer un merle dans la salle de classe et lorsque celui-ci passa devant les barreaux pour sortir par la fenêtre ouverte, un énorme chien noir aux crocs plus que bien affilé la fixait derrière les barreaux en grognant férocement. N’ayant jamais vraiment beaucoup aimée les chiens, Meg’ resta figée une fraction de seconde. Rogue avait raison, même à travers les barreaux, le carnasseur était très imposant. Elle s’approcha doucement du molosse et, d’un mouvement de baguette adroit, elle prononça à haute voix la formule.

« Petrificus Totalus ! »

Instantanément, la carnasseur cessa de grondé. Megara regarda la bête complètement figée, ébahis d’avoir réussis à avoir figée une bête aussi horrifiante. Qu’est-ce qu’elle devait faire ensuite ? Ah oui, éprouvez de l’amour pour lui. Huum … plus facile à dire qu’à faire ! Megara se pencha, les mains sur les cuisses et observa de plus près la créature. Si on lui ajoutait une jolie teinture rose avec un petit costume de ballerine et qu’on lui enlevait ses énormes dents, ses grandes griffes et ses yeux jaunes éclatant, il pourrait être très joli, le petit toutou ! Et sur cette pensée, il commença à brûler. Megara sursauta violement et recula de plusieurs pas. La bête continua de brûler pour finalement disparaître complètement. Ouah, ça n’avait pas été aussi difficile que ça, après tout …

La Gryffondor retourna s’asseoir à sa place, contente d’avoir finalement réussis l’épreuve de la journée. Oui oui, c’était le seul de la journée puisque cette après-midi, Miss Montgomery-White avait un beau et grand « Congé » d’inscrit sur son horaire. Un léger sourire aux lèvres, elle recommença à sucer sa plume, regardant tour à tour les élèves qui n’avait pas encore eu le loisir de passer.

[ 949 mots ]

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Ok

Rogue en potion ou Rogue en DCFM, ça revenait au même pour le plus jeunes des Wilson ; Rogue reste le pire professeur de Poudlard. Dans le fin fond d’un cachot ou dans une classe ordinaire avec des fenêtres, il restait sur le même piédestal dans l’estime du Serdaigle, ce qui veut dire ; 6 pied en-dessous d’la moyenne ! Rogue n’avait jamais aimer Olwen ( pas surprenant ) et vice-versa. Mais, Wil’ n’avait jamais cherché les problèmes dans son cours, se contentant de faire ce qu’il devait et rendre ses devoirs dans les temps, et ne s’était jamais vraiment attiré de problème avec l’ancien maître de potion. M’enfin, des reproches sur ce qu’il rendait mais, si on commençait à prendre personnel les détestables remarques personnel, ça ferait longtemps qu’Olwen serait cacher dans le fond de son garde-robe à pleurer ! Enfin. Pour sa toute première journée de cours, Olwen assistait à son premier cours de défense contre les forces du mal avec Rogue. Il s’était assis avec son partenaire de DCFM de toujours, Kevin Marllet ( j’ai tous les droits vu que c’est un perso inventé et que mon cerveau accepte d’me le prêter #SBAAF# ), un Serpentard de son année sympa avec qui il passait tous ses cours de DCFM depuis sa première année. Dès le premier cours, Olwen était allé s’asseoir avec lui et ils ont lié des liens d’amitiés. Enfin, amitiés. On pourrait plutôt dire que c’était un copain de classe et non un copain avec qui il traînerait dans les corridors. Et puis, même si Kevin était super gentil avec lui, Olwen le trouvait assez « sec » avec les autres. Mais bon, ce que son ami fessait avec les autres ne le regardait aucunement et ça l’arrangeait plutôt bien de l’avoir de son côté !

Rogue commença le cours avec son habituel discours. Si Olwen devrait choisir 1 seul et unique mot pour le décrire, il hésiterait probablement entre long, ennuyeux, emmerdant et inutile. Si vous connaissez un mot qui veut dire ces 4 mots réunis, rendez vous dans le parc à la fin des cours ! #SBAAF# Si Olwen aurait été dans un cours, il n’aurait pas hésité à ouvrir son encrier et gribouiller en vitesse quelques dessins sur un morceau de papier qui traîne dans son sac. Mais, vu que c’était Rogue et qu’il risquait beaucoup plus, quoique qu’avec McGo il risquait beaucoup quand même, il se contenta de fixer un point derrière le professeur, la tête dans la main. Au bout de 5 minutes, qui en avait paru cinquantaine pour le Serdaigle, rogue leur annonça finalement ce qu’il allait faire aujourd’hui. Un carnasseur. Cool, il n’avait jamais entendu parler de ces bê-bêtes auparavant ! Un léger sourire aux lèvres, il se redressa sur sa chaise et ouvrit son livre à la bonne page. Déjà, l’image que le livre fournissait de la bête ne donnait pas envie de faire mumuse avec elle, Olwen avait hâte d’en avoir un devant lui. Même s’il pouvait compter 14 bougies sur son gâteau ( au chocolats, c’est les meilleurs ! #SBAAF# ), le jeune homme n’avait toujours conscience du danger …

Rogue leur exposa ce qu’ils devaient savoir, pour un prochain examen-surprise probablement, et leur fit signe de le suivre jusque dans le fond de la classe, à l’endroit de l’armoire entourer de barreaux. Ça, Olwen l’avait remarqué depuis qu’il était entré et il était content que se soit pour son cours et non pour celui des plus vieux. Et puis, ça promettait d’être rudement plus attrayant que les cours de l’année dernière, avec professeur rose-bonbon. Décrochant un sourire à Kevin, il suivit Rogue jusque devant les barreaux. Avide de voir la créature de plus près, il se plaça dans les premiers rangs. D’un coup de baguette, Rogue laissa entrer le merle et le carnasseur sortit de l’armoire en jappant et grognant. L’assemblé eut un mouvement de recul, Olwen et Kevin inclus. Le carnasseur avait la même apparence que l’image dans leur lire ; un gros chien noir menaçant aux yeux jaunes et aux crocs affûté. Lorsqu’il essaya de passer à travers les barreaux, un champ de protection le fit retomber sur ses pattes arrière, ce qui l’enragea encore plus. Whôôôôôô ! Tranquille le toutou, tranquille ! Vous imaginer vous, vous promener durant une belle journée d’été ou la température est clémente, les oiseaux gazouillent et PAF ! Un gros toutou noir comme Olwen avait devant lui en ce moment vous saute dessus ! Aïeuh, et c’est l’cas d’le dire !

Les élèves se placèrent en ligne et Olwen suivit la cadence en allant se poster derrière quelques élèves. Il aurait volontiers passé en premier mais c’était à Rowen que l’honneur revenait. Un léger sourire sur les lèvres, il regarda la Gryffondor s’exécuter et, sans surprise, réussir à faire brûler. Quand elle retourna s’installer à sa place, il lui fit un clin d’œil rempli de félicitation. ( oui, Olwen sait fait des clin d’œil de félicitation, c’est chouette ein ? ) Il rapporta son attention sur les autres personnes qui passèrent également puis, arriva son tour lorsqu’une Gryffondor plus âgée que lui en ait terminé avec le molosse. Il s’approcha des barreaux d’un pas confiant. Le merle passa une énième fois devant l’armoire et la carnasseur fit à nouveau son apparition. C’était peut-être qu’une impression mais plus le carnasseur était vaincus, plus il revenait agressif la fois d’après. Passons. Sans perdre une seule seconde, il leva sa baguette.

« Petrificus Totalus. »

Le carnasseur figea sur place sans demander son reste. Une première partie de terminé. Il devait maintenant … éprouvé de l’amour pour le cabot. Ouuuuh, plus facile à dire qu’à faire ! Il jeta un coup d’œil à Rogue d’un air incertain. Si Rowen avait réussis à l’faire, il était capable lui aussi ! Pas parce que Rowen est inférieur, c’est pas sa du tout ein ! C’est juste que, l’orgueil masculin, ça permets pas qu’une fille réussisse mieux que vous ! Sinon, la honte total, Olwen s’expédie au Pérou dans les minutes qui suivent ! Il ferma les yeux quelques secondes, pensant que le méchant chien-chien enragé devant lui pourrait devenir un gentil petit caniche tout frisée si on lui donnait des macarons fourrés aux framboises ( ceux d’ma grand-mère, c’est les meilleurs ! #SBAAF# ). Puis, tout d’un coup sans crier gare, la bête s’enflamma pour s’évaporer dans les dernières flammes qui eu aussi disparurent aussi soudainement qu’elle sont pointer l’bout du nez ! Héhééé, Olwen avait assurer, encore une fois et comme toujours ! ( oui, pas de panique, ses chevilles vont passer dans le cadre de la porte quand il va vouloir quitter le cours ! )

« Oh yeaaah mec, t’es trop une machine ! »

Olwen acquiessa d’un haussement de sourcil et tapa dans la main de son ami avant d’aller s’installer à sa place. Et oui, Olwen c’est le meilleur. Enfin, il avait peut-être pas tant de mérite que ça, toutes les personnes qui étaient passés avant lui avait également réussis sans trop de problème. Mais bon, comme le dirais si bien Thérèsenotre Olwen nationnal ; faut prendre les compliments pendant qu’ça passe ! Et là, il venait d’en passer un donc hop ! Olwen le prenait avec le sourire aux lèvres et sans répliquer. C’est ça, la vie, quand on est aussi beau qu’Olwen ! #SBAAF# ( ooooh, une chance que j’reçois pas en real les giffles que j’mets dans mon post pac’que j’aurais payer grave ! xD )



=====
OK

Comme d’ordinaire, Hainoa Stewart ne s’embarrassait pas de son emploi du temps. Elle n’avait qu’à, dès le début de l’année, repérer les quelques têtes qui étaient dans la même classe qu’elle, et les suivre à la file comme un canard. Après tout, il ne servait à rien de faire des efforts pour : tirer de sa poche un vieux morceau de parchemin illisible ( ou pire, le tirer de son sac ! ), le porter à ses yeux pour le lire, emmagasiner les informations et faire le tri. Franchement ! Il y avait des choses bien plus utiles à faire, que de perdre son temps à une activité qui ne lui servirait à rien. Il y avait bien des gens pour le faire à sa place ! – et là, on remarque à quel point Hainoa est une égoïste-. Bref. Lisant comme à son habitude l’un de ses livre stupide emprunté à la bibliothèque ( au grand damn de Madame Pince ), intitulé « Macarons au chocolat du père Ducrasse », qui traitait, comme vous vous en doutez, de ces adorables gâteaux en forme de boules rabougries disponible dans LE magasin de pâtisserie le plus côté d’Angleterre. Hainoa y était déjà passée, avec son père. Une chaleur à vous faire sortir de la boutique en nage, et le pâtissier qui pétrissait la patte avec dextérité. Ah franchement ! Les macarons ! Tout un art… M’enfin. Regardant devant elle pour d’un, ne pas perdre de vue ses camarades qui se rendaient elle-ne-savait-plus-où, et de deux, éviter de se rentrer dans l’armure de Godric le Sirupeux, la demoiselle suivit une poignée de Serdaigles qui parlaient de Rogue et sur l’horreur que leur inspirait ce premier cours avec lui, puis entra dans la salle où plusieurs personnes étaient déjà installées…

Elle referma son livre d’un coup sec, le passa sous le bras, et se dirigea vers l’une des tables les plus éloignées de Rogue-le-malodorant. Lui jetant cependant un coup d’œil curieux, accompagné d’un petit sourire candide, Hainoa stagna quelques instants devant le bureau de l’enseignant pour lui dire bonjour. Cependant, la mine de tueur psychopathe du maître des potions la rebuta, et elle s’empressa de rejoindre le pupitre près du mur, par chance, inoccupé. Puis elle posa son sac sur la chaise à côté d’elle ( inutile de vous assoir là si vous ne répondez pas à ces noms là : Orla Quirke, Anabelle Montgomery, Cherise Rowle, Juliet Knightley- aussi dite Patchy-, Keira Williams, Barny Harper – si, si ! -, Klaralye Jenz – ou « celle qui a indiqué à Hainoa où étaient les vaches de Poudlard » -, Nicolas Caremis, et quelques autre émissaires ayant la « science infuse » ). Bref, pour marquer son territoire ( « Gerbille, sors de ce corps ! » ), la petite blonde avait lancé un regard noir à quiconque s’approchait, et avait laissé son sac là, histoire de bien faire comprendre à tout le monde que « non, ici t’as pas l’droit de t’assoir ! ». Enfin un peu de tranquillité ! Et puis, par chance, un type excessivement grand s’était installé devant elle, imité par trois de ses compères qui devaient avoir la même carrure qu’un joueur de rugby moldu au sommet de la gloire ( « Haka ! » #SBAF# ). Ainsi, elle était cachée aux yeux de tous – et donc, de celui du prof – et pourrait continuer sa fascinante lecture en paix – de toute manière, il faisait tellement noir que Rogue n’y verrait rien -.

Souriant doucement à la pensée de pouvoir faire quelque chose ( d’enfin ), amusant pendant le cours de Rogue, Hainoa sortit ses affaires ( pour tromper l’ennemi ), mettant ses cahiers en pile pour ne pas être vue ( on s’construit une forteresse, Hainie ? ), et posant son livre sur ses genoux. Là, même Maugrey n’aurait même pas pu capter ce qu’elle était en train de faire. Un véritable génie, cette Hainie !
Le cours commença ensuite, en même temps que le chapitre 3 de son livre, qui expliquait comment faire chauffer les gâteaux ( à haute température, s’il vous plaît ! ). N’écoutant que d’une oreille distraite Rogue, gardant la tête basse pour faire oublier sa présence – de toute manière, impossible de la voir, derrière le quatuor de joueurs de rugby installés devant elle -, la gamine continuait sa lecture en se léchant les babines devant les illustrations qui montraient le macaron à différent stade de confection. Elle ne fit même pas attention au speech de Rogue, qui en profita pour réprimander deux, trois élèves ( histoire de perpétuer la tradition, tiens ! ), puis tourna sans un bruit la page de son livre pour pouvoir lire la suivante.

A peine le paragraphe achevé, Rogue expliqua comment se débarrasser d’une créature nommée « Carnasseur », qui se trouvait apparemment au fond de la salle. Se tournant vers l’armoire qui s’était mise à trembler, Hainoa avança légèrement sa chaise, histoire de mettre le plus de distance entre la « chose » et ses fesses. Ben quoi ! Elle n’avait pas envie de finir uni-fesse, non plus >_<’ !
Appuyant sur la tête de Gerbille, qui s’était doucement coulé en dehors du sac en entendant un peu de bruit ( « tiens, ça a l’air dangereux dehors, allons voir ! » ), la petite Gryffondor fronça les sourcils pour lui faire comprendre qu’il fallait se tenir tranquille pendant un cours de Rogue ! Certes, il pourrait sortir pour bavarder ( enfin « bavarder » est un bien grand mot ) avec Spag’ pendant le cours de Sortilèges et Enchantements ( Hainoa avait décidé de toujours l’amener avec elle, maintenant, vu qu’Orla en faisait de même avec son crapaud ), vu que le Professeur Flitwick était assez souple ( en plus d’être petit, mouhahahah #SBAF# Okay, c’était pas drôle u_u ). Bon, quoi qu’il en soit, elle tenta vainement de faire rentrer Gerbille dans son sac, mais abandonna bien rapidement lorsque Rogue haussa légèrement le ton ( plusieurs élèves sursautèrent, dont une qui se débarrassa immédiatement de son hoquet qu’elle essayait de refouler depuis le début du cours ). Se disant donc qu’il était temps de suivre ( « squiizz ? » demanda Gerbille ), la petite rouge et or posa ses coudes sur le bureau, et ouvrit bien grand ses oreilles. Pour neutraliser un carnasseur, il fallait faire ci et ça. Okay ! Ca roule ma poule ! J’peux retourner à ma lecture now ? Vrai ? Oooh, t’es adorable !

Puis, sans attendre que Rogue ne se remette à parler, la fillette continua de lire. Pour ne pas être dérangée, elle avait calé sa Gerbille entre son manuel d’Histoire de la Magie, et une pile de toast enveloppé dans du chiffon du petit déjeuner – pour les entre cours, au cas où elle aurait un petit creux ! -, même si elle doutait que ce bricolage tiendrait longtemps ( les petites pattes de Gerbille battaient frénétiquement dans le vide ).
Regrettant de ne pas avoir apprit le sortilège de mutisme, la Gryffondor dut faire passer quelques petits cris de sa Gerbille pour une mauvaise toux lorsque les Serpentards assis devant elle se retournèrent pour voir qui était l’imbécile qui faisait ces petits bruits ridicules lors du cours de leurs professeur.
Puis, tentant de bâillonner le rongeur avec du papier collant sorcier, la gamine dut ranger en vitesse express son livre lorsque Rogue se leva de son bureau et s’approcha silencieusement du fond de la classe.

Par chance, cheveux-gras ne semblait pas voir plus loin qu’au bout de son nez ( ce qui n’était pas peu dire ), et ne capta même pas qu’Hainoa venait de se rassoir illico presto, maladroitement et en souriant de façon tellement niaise qu’on ne pouvait l’associer qu’à un méfait ( pour le coup, même Rusard aurait pu déceler la ruse ! ). M’enfin. La gamine attendit que ses camarades se lèvent pour tenter l’épreuve pratique ( après tout, pourquoi se presser, alors qu’on pouvait profiter encore longtemps du siège ? Et puis avec un peu de chance, si elle retardait suffisamment l’heure du passage, la cloche sonnerait et elle pourrait sortir sans être passée ! Maline la petite *-* ). Les Gryffondors furent les plus courageux, et une bonne demi-douzaine d’entre eux passèrent en premier. Avec un sourire amusé, Hainoa remarqua que quelques Serdaigles, beaucoup de Poufsouffles et énormément de Serpentards n’avaient pas commencé à faire la queue. Les trouillards ! ( évidemment, elle, elle n’était pas encore debout… mais passons ! ).
Puis les minutes passèrent. Plusieurs élèves parvinrent à carboniser la créature, mais beaucoup d’entre eux ne purent obtenir de résultat bien glorieux. Hermione Granger passa en quatrième vitesse, et fit exploser le Carnasseur en moins de temps qu’il n’en fallait pour dire « ouf ! ». Puis vint le tour de l’une des jumelles sur qui Hainoa et Anabelle avaient lancé des boulettes de papier, en cours de Sortilèges et Enchantement. Celle-ci, qui était à Gryffondor ( sa cravate le prouvait ), réussit l’épreuve, et retourna s’assoir, fière d’elle. Teuh ! Si des premières années y arrivaient les doigts dans la truffe, Hainie ne pouvait échouer Gné gné gné !

La deuxième jumelle passa juste après Drago Malefoy, un Serpentard vicieux qui lançaient des quolibets aux élèves de Gryffondor ( même si ce n’était pas efficace, vu que tous ceux là avaient réussit ! ), et manqua d’exploser de rire lorsqu’il attendit, bête comme une chaussette, devant la créature sans parvenir à éprouver de l’amour. Cependant, au plus grand malheur d’Hainie, celle-ci finit par prendre feu, et Drago retourna à sa place. Peuh ! Elle aurait bien voulut voir une serpillère se prendre une cuite de la part de Rogue, tiens. Ca aurait été marrant, hé hé…
Souriant aux anges, tandis que la file diminuait, la petite blonde finit par se lever lorsqu’elle remarqua qu’il ne restait plus beaucoup de monde à passer, et que la fin de l’heure ne venait pas. Grr ! Il avait ensorcelé l’horloge, celui là, ou quoi ? Viiitee ! Que ça finisse-euuuh ! Elle avait une flemme, mais mortel, de passer à l’épreuve pratique. Bah… Elle dut bien s’y résigner, et se leva…

Manquant au passage de piquer une crise cardiaque lorsque la tête de Gerbille dépassa du sac, Hainoa ferma celui-ci en tournant le dos à Rogue, puis rejoignit la file des élèves, déjà bien diminuée. Au passage, elle se choppa quelques répliques cinglantes de la part de serpentards de seconde années qu’elle ne connaissait que de vue ( peuh ! ), et leur adressa un sourire radieux, avant de s’avancer d’un pas supplémentaire vers la créature… il ne lui restait que peu de temps avant que son tour ne vienne… Deux élèves… Un élève… Tadam ! Et même pas sauvée la le gong ! quelle honte.
Bref, la demoiselle sortit sa baguette de sa poche ( non, non, je l’avais pas oubliée ! ), puis s’approcha du Carnasseur-Epouvantard qui venait de se reconstituer. En s’armant de beaucoup de courage, elle leva sa baguette, et prononça l’incantation à voix basse :

« Petrificus Totalus. »

Immédiatement, le chien se solidifia, et cessa de sauter comme un dément sur les barreaux qui le retenait prisonnier. Penchant la tête de côté pour tenter d’éprouver de l’amour pour le carnasseur, la fillette réfléchit. Tiens. Et si cette créature là était en fait un « chien de Madagascar », réputé pour ses danses Hawaïenne qu’il effectuait sur ses deux pattes ? Aussitôt, la demoiselle ne pu s’empêcher d’éprouver une passion sans bornes ( *-* ) pour l’animal. Celle-ci prit ensuite feu, dans un terrible hurlement, et explosa en un million de morceaux.
Hainoa recula, laissant place à un autre élève, et le chien se recomposa aussitôt. Elle regagna donc sa place, en jetant à Rogue un sourire goguenard. Puis, prenant quelques notes sur son morceau de parchemin, la fillette se mit à décrire avec précision comment le chien s’était enflammé. Dessinant aussi juste à côté une machine à café Senseo ( comment ça, rien à voir ? ), Hainoa se mit à tracer au stylo quelques macarons. Ah ! Elle devrait devenir illustratrice, plus tard, tiens…

Attendant donc en silence la fin du cours, tandis que ses autres camarades qui étaient déjà passés piaillaient de leurs exploits ( et à quoi ça servait, dans un cour de Rogue ? pfff. Ils auraient au moins pu attendre la fin ! ), la gamine bailla ouvertement en regardant sur sa droite, les tableaux morbides affichés au mur. Bah. Et dire qu’elle était déjà fatiguée, alors que la journée n’était même pas finie. Pfff. Un combo Binns + Rogue avait le don d’enlever la patate, avant même minuit. Humpf.



====
OK

Katchoo avait ouvert son livre comme tous les autres élèves et restait les yeux écarquillés sur la sommaire description de l’animal. Le professeur Rogue avait beau avoir réclamé leur attention, elle ne détachait pas ses yeux des quelques lignes qu’elle relisait en boucle.

Un énorme monstre au poil pelé et à la gueule acérée prenait forme dans sa tête blonde. Elle jeta un regard furtif sur l’armoire encerclée et frissonna… à croire que la température avait chuté de dix degrés…
La voix âpre de l’enseignant la tira de ses pensées. Elle écouta chacune de ses instructions, faisant nerveusement jouer sa baguette entre ses doigts, jetant des regards de plus en plus épouvantés vers le coin de la salle.

L’énorme armoire semblait la narguer avec ses battants patinés et les épais barreaux de fer qui l’encadraient.
Elle s’efforça de se concentrer sur la silhouette sombre de son professeur.
Le discours lugubre continuait, distillant à chaque respiration, un peu plus de peur dans ses veines.

« Le Carnasseur est un gros chien », tenta-t-elle de se raisonner.
« Tous les chiens aiment la viande… difficile de faire la différence entre un gigot et une cuisse quand on a faim… »

Elle frotta sa cuisse de la paume de sa main par réflexe, devinant plus qu’elle ne la sentait, la cicatrice bien nette des quenottes de son frère dessinée au beau milieu de sa chair et se rappela de la fois si amusante où ils avaient joué au « Chien enragé qui a faim et à l’agneau malchanceux à trois pattes»…
Lui en voulait elle encore d’avoir manqué de peu de lui arracher un bout de viande?
…
« Oui, terriblement » dut elle s’avouer, parce qu’elle l’avait vraiment cru quand il lui avait assuré que quelque soit les soins qu’on lui prodiguerait, sa salive ultra corrosive viendrait quand même à bout de sa cuisse.
Elle avait passé la semaine entière à attendre que sa jambe ne tombe du jour au lendemain avant que son père ne force à avouer à son frère que, malgré son haleine, sa salive n’était pas capable d’un tel tour de force.

Un regain d’énergie vint lui réchauffer les joues.

- "Tu me le paieras un jour, gadjo", grommela-t-elle en voyant le visage boutonneux de son frère danser devant ses yeux.

Sa voisine de classe, une Serpentard coiffée de gros macarons tressés, fit semblant de ne pas l’entendre, le regard rivé sur le meuble.
Elle jeta un coup d’œil au professeur Rogue et remarqua un sourire remonter imperceptiblement les commissures de ses lèvres exsangues lorsqu’il les invita à se placer devant l’armoire.
Elle fut (ô combien niaisement !) réconfortée, mais ses jambes lui semblèrent tout de même faites de papier mâché quand elle dut remonter l’allée avec les autres.

Elle n’eut même pas le temps de s’attarder sur le merle que les battants de l’armoire s’ouvraient pour la première fois avec fracas.
A vrai dire, les minutes qui passèrent ne s’imprimèrent pas dans son cerveau.
Ce fut la bouche ouverte, et les yeux encore noyés dans la vision d’horreur qui avait surgi devant elle, qu’elle se retrouva en tête de file.
Elle tourna une tête ahurie vers son professeur pour y chercher un peu de réconfort.

- Et bien, fit Rogue d’un ton qui ne tolérait aucune répartie, étonnez moi Melle Choovansky.

Alors, ce qu’elle considéra longtemps comme la journée la plus longue de sa vie, bascula. Et tandis que cette créature d’enfer renaissait sous ses yeux, elle n’entendait plus rien d’autre que la musique de la Twilight Zone tester l’acoustique de son cerveau.

Elle tendit sa baguette, tremblante, et tenta la seule chose qui lui venait à l’esprit :

- « Peti… Pecri… », bafouilla-t-elle.
« Poukram ! », jura-t-elle en voyant le Carnasseur se ruer sur les barreaux de sa cage qui lui semblait maintenant si frêle.
« Petrificus totalus ! » acheva-t-elle enfin en criant, désignant l’animal avec toute la conviction qu’elle put.

Immédiatement, le Carnasseur se rigidifia pour finalement se figer, son regard interloqué de ce mauvais coup, planté dans ses yeux clairs.
Katchoo regretta aussitôt son geste. Maintenant qu’il était immobilisé, elle arrivait encore à concevoir que ce n’était qu’un bête Epouvantard… et puis c’est vrai qu’il ressemblait à un gros chien au fond, sous cette forme…
Et tandis que la jeune fille s’attendrissait sur ce qu’elle appelait maintenant la boule de poil hirsute, le Carnasseur prit brutalement feu.

- « Oh mon Dieu » !, hurla Katchoo, « il brûle Monsieur » !!!


Eberluée, elle regarda la créature disparaître et se reformer lentement

- « Hé, machine, dépêche toi », grommela un élève derrière elle.

Elle sortit du rang, toute interloquée. Passant devant Rogue, elle allait lui dire quelque chose mais le regard de glace qu’il lui adressa la prit de vitesse
Katchoo rejoignit silencieusement ses camarades en se demandant si une montagne de chocolat arriverait à lui remonter le moral…

Cho entra et alla s'assoir loin derrière contrairement à son habitude car le professeur Rogue lui fesait un peu peur avec son regard noir qui semble toujours te fixer. Elle ne l'amait pas du tout. Ce matin elle avait mangé des macarons aux chocolats. Ils étaient délicieux! Mais peut-être un peu trop car elle en avait maintenant mal au coeur. Elle sentait la température monté à toute vitesse dans son estomac remplis à rabord de macarons. Cette journée commençait mal.

Cho sortit ses choses; un crayon, ses manuels, du papier et une gomme à effacer. Elle allait bientôt devoir affronter le détraqueur. Ce carnasseur était vraiment laid. Elle préfèrait de loin les chiens. Même les plus féroces.

Cho, S'est à toi dit une toute petite voix derrière elle.

Elle ne se retourna pas eet alla face au carnasseur. Elle avait un peu pur mais elle savait à peu près quoi faire. Elle commença par ressentir un amour fort pour cette jolie bête mignonne et attachante. Puis elle se lança.

Petrificus Totalus! s'écria-t-elle.

La bête sauvage senti l'amour que la septième année lui lançait puis il brûla et disparu pour réapparaitre quelques secondes plus tard. Elle avit réussit. Elle partit rejoindre les autres dans le coin de la classe. Quelqu'un lui dit:

T'es une machine! Tu l'as eu du premier coup.

Et bien merci! répondit-elle. Mais tu sais je ne suis pas la seule.

Finalement sa journée n'était pas si mal.