[Intrigue] Course poursuite !

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'Attrapeur' :
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Résultat : 60

Âge : 37 ans [17-07-1980]

Roze avait fait des merveilles avec son petit tour de passe-passe. Myrielle avait toujours pensé que c'était un don bien inutile que celui d'appeler à soi des animaux par le son de la voix. Visiblement, quand la petite blonde se mettait en colère, ça pouvait avoir des effets... surprenant... Mais pour ce qui était de Freja, Myrielle était toujours la seule à se battre réellement contre elle. Elle était forte et rapide, la jolie rousse assassine aussi, Myrielle avait toutefois un handicap par rapport à son adversaire : elle n'était pas protégée contre la magie par un bouclier indestructible. Freja la blessa, rien de bien méchant toutefois, Myrielle répliqua en envoyant un coup de poignard du bas vers le haut, s'il ne fut pas mortel, en revanche, pour une fois, il parvint à blesser la chef de Magicis Sacra. Myrielle vit avec satisfaction la colère briller dans les prunelles de la femme brune. Cette dernière jura dans une langue inconnue de Myrielle et sembla décider qu'elle en avait assez de ce combat. "Je vous laisse pour cette fois mademoiselle Symphonie, vous auront peut-être l'occasion de remettre ce petit combat une autre fois." Freja s'échappa d'un nouveau coup dans un saut, un peu de sang coulant sur sa belle robe violette. Puis, elle courut, prenant la fuite, et un mur de membres de son organisation empêcha Myrielle de la poursuivre. Une lueur de colère brilla dans ses yeux bleus, toutefois, elle n'insista pas et retourna plutôt près des autres combattants pour les aider. Il n'y en avait plus pour longtemps avant que tous les membres de MS ne soient partis.

Utilisation d'un GE.
Freja s'est enfuie, blessée.

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'Attrapeur' :
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Résultat : 65

Course Poursuite
Intrigue

Plus...Alors qu'il effectue une simple livraison chez Ollivanders, Owen fait partie des malchanceux coincés dans la boutique.

Evidemment, je m'étais retrouvé au sol. J'en venais presque à me demander pourquoi je m'étais même fatigué à tenter quelque chose. En survolant du regard les membres de la Menace qui nous encerclaient, j'avais le sentiment que nous n'avions jamais véritablement eu la moindre chance de faire quelque chose, d'infléchir le cours des événements ; comme s'il était écrit d'avance que nous n'arriverions pas à mettre hors-jeu autre chose que du menu fretin. Cela ne rendait mon échec que plus frustrant, car il revêtait ainsi un caractère inéluctable.
Ravalant mon insatisfaction, je roule péniblement sur le côté. J'ai définitivement passé l'âge pour ce genre d'acrobaties... Tout en me relevant, je récupère ma baguette, qui avait roulé un peu plus loin, et m'empresse de lancer un Protego Horribilis au dessus de nos têtes. Même la force de mon sortilège me semblait ridiculement faible comparée à d'habitude ; grommelant, je rase les murs, retournant voir l'état du blessé pour lequel j'avais donné l'une de mes précieuses fioles de dictame. J'espérais que cet acte, au moins, n'avais pas été vain.

La plupart des gens qui s'étaient retrouvés coincés avec moi chez Ollivanders avaient été attirés par cet accident, sans grande surprise d'ailleurs -le drame avait cette fâcheuse tendance à subjuguer les foules. Écartant sans ménagement une curieuse, je me penche sur le blessé, pour constater que l'essence a été convenablement utilisée.

Sans un mot, je m'applique à multiplier les sorts défensifs autour de notre petit groupe. Tant qu'à être inutile face à la Menace, je reste déterminé à faire au moins semblant de servir à quelque chose.

(c) Yvi

Etait-ce un effet de son imagination, ou leurs ennemis battaient-ils en retraite ? Anabelle avait le sentiment que leur nombre allait en s'amenuisant, et que, bientôt, sa baguette vengeresse n'aurait plus de cible à viser. Elle ralentit sa course et finit par s'arrêter au milieu de la rue. Les questions se bousculaient dans son esprit. Elles la hanteraient durant les semaines à venir, sans qu'elle parvienne à leur apporter une réponse satisfaisante. Que faisait la Menace sur le Chemin de Traverse, ce jour-là ? Que voulait-elle trouver ou, à défaut, prouver ? Pourquoi Freja s'était-elle retrouvée enfermée chez Ollivander ? Et pouquoi l'avoir aidée à en sortir ? Plus elle se repasserait le scenario de l'attaque et plus il lui semblerait confus. Mais après tout, peut-être était-ce le propre des attaques, que de n'avoir aucun sens. Ana laissa son bras retomber. Elle avait le sentiment d'avoir vieilli de dix ans. Le bruit des pas d'Adrien la tira soudain de l'étrange torpeur qui l'avait saisie (tout lui semblait si irréel !). Dans un sursaut d'adrénaline, la jeune femme se retourna, baguette de nouveau pointée en avant, prête à se défendre.
- Oh... Lâcha-t-elle, quand elle reconnut son mari ~~Dieu merci avant de le mutiler~~, comme si elle était surprise de le trouver là ~~sympa~~. Quentin ?
Elle avait posé la question dans un souffle, en évitant de croiser le regard d'Adrien : elle craignait trop d'y lire la réponse qu'elle redoutait.

Adrien avait poursuivi sa femme jusqu'à ce que celle-ci s'arrête d'elle-même face à la fuite de la plupart des membres de Magicis Sacra. Le fait était que ce qui avait été le lieu d'un champ de bataille paraissait de plus en plus calme, surtout depuis le départ de leur chef. Mais Adrien n'avait eu que le temps de jeter un coup d'oeil dans cette direction, tout préoccupé qu'il était par la rage vengeresse de son épouse. Celle-ci finit par se tourner vers lui, d'abord menaçante, puis par le reconnaître et prendre, évidemment, des nouvelles de son frère aîné. Adrien était heureux d'être resté assez longtemps près du blessé pour pouvoir la rassurer. "Il est encore inconscient mais il va bien, il est vivant." Ce qui était, en la circonstance, l'essentiel. Adrien ne s'y connaissant pas assez pour pouvoir dire qu'il aurait ou non des séquelles, mais il savait que cette question ne viendrait que dans un second temps. Il observa les visages décomposés autour d'eux et le mur magique qui bloquait le ministère qui s'effritait lentement. Ils allaient pouvoir venir très prochainement et tout serait enfin terminé... pour cette fois-ci en tout cas.

Le mur magique commence à s'effacer, les membres de Magicis Sacra sont presque tous partis, il n'en reste plus que quelques uns.

Âge : 14.02.84 ;; 32 ans

Heaven n’était pas du genre à se battre, pas au corps à corps en tout cas, ce n’était d’ailleurs pas pour rien qu’elle avait du arrêter le Quidditch lorsqu’elle était à Poudlard. Elle était plus axée sorcellerie, potions, les coups en douce… Elle était la reine de la supercherie, pas du crochet du droit. Sa fille serrée tout contre son corps, elle regardait ce qu’il se passait. Freja venait de filer abandonnant sans regret ses camarades et les autres, les sorts défensifs fusaient de tous les côtés et les membres de Magicis Sacra disparaissaient eux aussi au fur et à mesure. Heaven se pressa vers Lara, qui était partie au combat. « Lara, tout va bien ? » Même si elles étaient moins proches que la blonde ne pouvait l’être de son jumeau, Heaven l’appréciait et s’inquiétait pour elle. Elle préférait éviter d’aller du côté des Montgomery, Anabelle étant capable de faire tout et n’importe quoi suite au choc de l’attaque, à la fois de la boutique et de son frère. Elle avait assez à faire avec sa fille, en état de choc, et n’avait pas besoin qu’Anabelle lui explose au visage avec toutes ses insécurités.

Âge : 27 ans ( 02-01-1990 )

Malheureusement le sortilège que Nikolaï lança fut dévié par un autre assaillant, mais une armada d'animaux invoqués par le chant d'une des sorcières ayant été coincée dans la boutique de baguettes, permit de terrasser les deux assaillants et d'éviter à Nikolaï de se retrouver victime d'un sortilège. Le rouquin jeta un oeil du côté de la chef des mages noirs toujours aux prises avec la femme qui se battait rudement bien sans baguette et un autre homme. Sans savoir ce qu'il s'était ensuite passé, Nikolaï vit la dénommée Freja détaler à toute vitesse tandis que des bouclier humains venaient s'ériger entre la mage noire et ses assaillants. Puis petit à petit les membres de Magicis Sacra commencèrent à disparaitre les uns après les autres laissant les membres du groupe d'otages de la boutique d'Ollivander seuls dans les rues du Chemin de Traverse. Par chance quelques captures avaient été faites et personne n'étaient décédés, mais il y avait des blessés et Nikolaï ne savait toujours rien des autres boutiques, l'heure n'était pas encore au repos. En attendant d'avoir plus d'indices, à l'instar de ses coéquipiers, Nikolaï veilla à ériger quelques charmes du bouclier autours d'eux dans l'hypothèse d'une nouvelle attaque surprise.

Âge : 36 ans [14-02-1980]

Roze se sentait soulagée de voir les membres de Magicis Sacra s'enfuir, son fils l'attendait toujours dans une boutique, d'ailleurs, le sort qui bloquait les magasins se dissipa dès la dernière silhouette masquée disparue. Roze laissa son regard errer quelques instants dans leur direction avant de se tourner vers la porte derrière laquelle ses enfants étaient encore. Elle avait cessé de chanter, les oiseaux s'étaient donc dispersé. Elle ne s'occupa pas des gens du ministère qui arrivaient désormais, car le sortilège qui les empêchaient de passer était lui aussi levé. Ils tentèrent de l'arrêter mais elle les repoussa. "Je dois voir mes enfants !" Et son ton ne souffrait aucune réponse. Myrielle, qui l'avait rejointe, s'était placée à son côté de toute sa hauteur, menaçant du regard quiconque les contrarierait toutes les deux. La rousse aussi devait retrouver ses enfants, mais ils étaient bien plus loin dans la rue. Aussi les deux femmes se croisèrent-elles du regard avant de se séparer suite à un petit signe d'assentiment respectif : elles feraient un point en privé plus tard, sûrement en présence d'Alexander vu qu'il était au ministère. Et il fallait bien qu'il supporte leurs humeurs, c'était à ça qu'un ami servait.

"Lucas ! Psychée !" Appela-t-elle, ses deux adolescents sortant et se ruant dans ses bras. Roze voyait que leur regard allait en direction de leur oncle Quentin, blessé mais désormais pris en charge par d'autres médecins que Mademoiselle Heap. "Ne vous inquiétez pas, votre oncle est blessé, mais il ira vite mieux." Elle sera plus fort ses enfants contre elle, même si tous les deux étaient maintenant plus grands qu'elle. Elle les embrassa et aurait voulu continuer à les dorloter, mais elle devait aller témoigner. Des membres du Ministère l'attendaient. Ce cauchemar était presque fini...

Tous les sorts sont levés, les parents retrouvent leurs enfants, le temps de déposer auprès des membres du ministère est venu.

Âge : 13 ans (21/06/2002)

Nos ennemis prenaient la fuite, mais un dernier sorcier venait de m'envoyé un sort et je l'esquivais de justesse. Je me retrouvais avec une autre blessure au bras, car je l'étais déjà au niveau de la jambe. Je n'y prêtais pas attention, mais Heaven s'approchait de moi en compagnie de sa fille et elle s'inquiétait pour moi.

- Merci de t'inquiété pour moi, Heaven.

Je ne touchais pas à mes blessures et je posais doucement une main sur la tête de sa fille en ayant un petit sourire sur mon visage. J'avais mal au niveau de la jambe, l'entaille devait être profonde comparé à celle du bras et je ne m'en préoccupais pas pour le moment ou sinon la douleur ne ferait qu'empiré.

- Je vais bien, mes blessures ne sont rien comparé à certaines personnes du groupe qui se trouvait dans la même boutique que nous. J'irais voir un médecin moldu ou une médicomage lorsque nous serons rentré chacun chez soit.

Je retirais ma main qui se trouvait sur la tête de la petite fille et je regardais Heaven qui n'avait pas l'air d'être blesser. Je me sentais rassuré, au moins une de nous n'avait rien pour le coup.

- Vous n'avez pas l'air blessé, mais faites attention à vous deux.

Pendant que nous étions en train de discuté, je pouvais voir ma cousine qui s'approchait de nous et je la serrais dans mes bras. Elle avait prononcé cousine, ce qui pourrait surprendre Heaven qui n'était pas au courant de mon lien de parenté avec d'autres personnes comme beaucoup de monde de toute façon ou presque étant donné que son frère était au courant depuis un petit moment maintenant.

- Heaven, voici ma cousine Maribel et ton frère a découvert notre lien de parenté que depuis quelques temps alors, que celle-ci est à Poudlard depuis quelques années.

Je voyais les membres du Ministère de la magie, nous devions témoigné auprès de ces personnes concernant l'attaque et ce n'était pas pour me déplaire...

- Nous devrions témoigné auprès du Ministère...

Je m'éloignais pour me rendre vers ses personnes afin d'expliquer ce que nous avions vécu avec les autres, heureusement nous avions tous combattu et nous avions pu avoir quelques personnes même si ce n'était surement pas des hauts gradé... Mais juste des larbins.