Nerveuse 1o1! xD [Libre pour tous les Serdy'=D]

Kaysha était assise tranquillement un livre sur les Sombrals. Confortablement installées dans d’énormes coussins bleue et argent, Klaralye sentait le feu lui réchauffer doucement les orteils. Elle trouvait réconfortant de sentir le feu près d’elle. Si quelque chose venait la menacer, elle n’avait qu’à le lancer dans la cheminé. Kaysha rigola légèrement à cette pensée. Elle regardait attentivement les images de ces créatures si mystérieuses. Mais, si il fallait vivre un traumatisme pour les voir, Kaysha préférait se contenter des images. En plus, elles étaient vraiment très belle.

Kaysha termina la dernière page de son livre et le déposa sur sa table de nuit. Elle prit un petit papier qui colle et écrivit de sa plus belle écriture ; Terminer. De cette manière, elle se souvenait toujours qu’elle livre elle devait aller porter et ainsi de suite. Elle se rassit dans ses coussins et entoura ses jambes avec ses bras. C’était un trucs que les dames de l’Orphelinat lui avait donner quant elle se sentait insécure. Non qu’elle se sentait insécure à Poudlard, mais elle se sentait encore plus en sécurité dans cette position. Elle déposa sa tête sur ses genoux et ferma les yeux.

Elle essayait chaque soir avant de se coucher de se souvenir de la moindre petite chose qui pourrait lui rappeler le visage de ses parents. Elle ignorait complètement tous sur eux, ayant été abandonné dans un berceau devant la porte d’une église. Mais, étrangement, Kaysha ne s’ennuyait pas de ses parents. C’était comme si elle n’avait pas besoin d’avoir d’amour de la part d’un parent. Elle n’avait jamais oser en faire part a quelqu’un mais, elle le pensait vraiment. Peut-être était-ce pour sa que Kaysha se sentait si différente des autres? Mais enfin, elle adorait sa vie et ne l’échangerait contre rien au monde.

Elle releva la tête et décida de descendre dans sa salle commune. Elle n’avait pas envie de gâcher sa soirée à essayer de se rappeler de quelque chose qui ne pourrait que la rendre triste. Elle s’étira et s’extirpa de son lit. Elle descendit les marches et fit manqua faire un face-à-face avec une jeune fille qu’elle ne connaissait pas.

- Dzl, j’aurais du regarder ou j’allais.
- Non, y’a aucun problème, mais, je peux pas rester a me fondre en excuse, Bonne soirée!

Kaysha n’eut pas le temps de répondre qu’elle avait déjà disparu de son champ de vision. Kaysha haussa les épaules d’impuissance et continua de descendre jusqu’à sa salle commune. Elle s’arrêta dans les marches pour observer tout le petit monde qu’il y avait. 3 jeunes filles parlaient discrètement près de la fenêtre, 2 garçons jouaient aux échecs, version sorciers bien entendu, et 1 jeune fille lisait tranquillement sur le divan. Kaysha alla s’asseoir dans la fauteuil le plus près du feu quant elle entendit un énorme bruit d’explosion.

Elle se redressa et les 2 garçons éclatèrent de rire. Et bien oui, c’était une des pièces qui venait de se faire détruire violement par une autre. Kaysha soupira bruyamment et se laissa tombé dans le fauteuil. On pouvait dire qu’elle avait les nerfs a vif aujourd’hui! Elle regarda le feu quant quelqu’un lui adressa la parole. Kaysha sentit se sang se figer tellement elle était surprise et releva son regard pour apercevoir …

>>> 545mots

Kaysha fixait tranquillement les flammes. Elle avait l’impression qu’il pouvait sortir de la cheminer à tout moment. Elles dansaient tranquillement dans l’âtre de la cheminer, projetant une lumière orangé sur le visage de la jeune bleue et argent. Elle sentait également la chaleur lui envahir tout le corps, ce qui lui fit le plus grand bien.

Puis, elle attendit quelqu’un lui adresser la parole. Elle releva la tête et aperçut une petite fille blonde aux grands yeux bleus qui se tenait la, attendant que Kaysha lui répondre gentiment. Un grand sourire éclaira la visage de celle-ci. Elle se redressa un peu pour ne pas paraître trop molle et répondit ;

- Enchanté Orla, moi c’est Kaysha, Kaysha Sawyer!

Kaysha avait perçu le bégaiement dans sa voix et s’était jurée de la rendre plus à l’aise. Kaysha n’allait tout de même pas la manger! Elle lui fit un grand sourire et l’invita à s’asseoir près d’elle. Puis, on attendit le même bruit d’explosion de tout à l’heure. Kaysha sursaute mais comprit en une fraction de seconde que c’était encore les 2 garçons qui jouait aux échecs version sorcier qui venait de se faire détruire une de leur pièce.

Kaysha avait toujours eu envie de jouer au échec version sorcier, mais, elle n’en avait jamais eu l’occasion. Il fallait dire que c’était quand même tout récent sa découverte du monde magique. Elle nota dans un coin de son cerveau qu’un jour elle devrait essayer et rapporte son attention sur Orla.

Puis, Kaysha porta attention à l’énorme livre qu’elle avait déposé sur ses genoux. Elle s’étira le cou pour essayer de voir le titre mais, à cause de la lumière du feu, elle n’était pas capable de différencier l’écriture des dessins. Très curieuse, elle demanda a Orla ;

- Il est sur quoi ton livre, je pense l’avoir déjà quelque part, je me trompe?

Puis, elle se souvient de la jeune fille. Bien sur, c’était une de ses compagnes de chambre, comment avait-elle pu l’oublier. Elle nota dans un coin de son cerveau de se gifler après que Orla serait partit et fit un grand sourire a celle-ci. Elle était plus rassuré et savait qu’elle était en première année. Et bien, c’était déjà un point en commun. Mais, Kaysha se souvenait aussi l’avoir vu manger, à mainte reprise, du chocolat. Pourtant, la jeune fille était toujours aussi mince et toujours aussi en forme.

En parlant de forme, Kaysha pensa au prochain match de Quidditch. Elle sentit son coeur s’emballer. Elle avait tellement hâte de sentir le vent contre son visage et sentir ses cheveux virevolter dans n’importe qu’elle sens derrière sa tête. Elle était très contente d’avoir été prise comme poursuiveuse dans l’équipe officiel de Serdaigle. C’était tout de même grand honneur de représenter la meilleure maison du monde, c’est-à-dire les Serdaigle.

Mais, enfin, passons. Ce n’est pas vraiment le sujet du moment. Et puis, pourquoi ne pas simplement l’abordez? Peut-être que Orla adorait le Quidditch et que Kaysha venait de trouver quelqu’un avec qui elle pourrait en discuter? Elle passa une main dans ses cheveux et demanda à la blondinette ;

- Alors Orla, es-ce que tu joue au Quidditch. Tu sais, il nous manqua quelque joueur et, si tu pratique le sport, je suis certaine que tu pourrais les remplacer haut la main!

Elle lui fit un grand sourire. Ce serait vraiment génial, comme sa, elle aurait plus d’occasion pour la rencontrer et peut-être s’en faire une excellente amie. Mais enfin, Kaysha ne prit pas le temps d’y penser plus longtemps car Orla lui répondait déjà.

<<< 595 mots.

« Tu marches au hasard, sans itinéraire. Mais tu as toujours une carte avec toi et tes pas sont surs. Tu ne sais pas où tu vas, mais tu sais où tu es. Maintenant, tu vas te réveiller. Clap ! »

Réveil. Oh, Wendy ne se souvenait même plus de ces paroles, dites pourtant il n'y avait que quelques minutes. Intelligente, mais n'ayant pas une grande mémoire malheuresement. Bon. Avec un mal de crâne conséquant, et une douleur à la jambe droite qui n'arrêtait pas de la fatiguer depuis déja plusieurs jours, Wendy, de mauvaise humeur bien evidemment, se leva d'une bonne heure de sieste, prête pour un nouveau départ.

Elle n'avait pas cours aujourd'hui, ayant obtenu le droit de se reposer par l'infirmière du collège. Ah, joie. La jeune fillette enfila son gros pull bleu foncé, même s'il faisait chaud, et sa cape, puis descendit dans la salle commune, entendant des bruits provenant d'en bas. Trop curieuse, cette petite.

Les marches étaient très dures. Après un long parcours qui en vérité ne prenait pas dix secondes, Wendy se retrouvait dans cette salle, toujours aussi jolimment décorée. Mais miss Darway ne prêtait même pas attention à cette décoration. Le plus important pour elle était de trouver un endroit près de la cheminée, tranquille , et sans être dérangée. Deux filles parlaient devant cette cheminée.

Hum, une d'entre elles, elle l'avait déja remarqué durant la Cérémonie [ Je parle d'Orla ]. Mais Wendy ne voulait discuter. Pourtant, Wendy savait parfaitement qu'elles allaient venir la voir, mais bon ¬¬". Laissons-les faire, on verra par la suite. De toute façon, apprchez et vous saurez bien que Wendy n'était pas d'humeur à vous parler.

Le tein pâle, la mine débridée, la jeune fillette Darway se dirigea pourtant vers la bibliothèque de la salle, et prit un livre sur les Plantes. Les Plantes, bizarre de la part de Wendy qui habituellement bafouait presque la lecture. Oui, elle était à Serdaigle, oui elle était intelligente mais tous les Aigles ne passaient pas leur temps dans des bibliothèques, voyons. Frahcnement, vous la voyez elle, Wendy, en train de lire ? ... Wendy ?! Nan, enfin en tout cas moi, je ne la vois pas du tout. C'est comme mélanger du Nutella [ Miam ] et ... de la bouillie : Mauvais alliage.

Son livre pris, Wendy Darway, première année à Serdaigle, s'asseya sur une chaise pas confortable du tout TT'. Elle bougeait de droite à gauche, cherchant à être bien à l'aise mais bon, c'était dur. Le sourire arriva enfin, et Wendy ouvrit son livre à la première page. « Les Plantes aquatiques Purée, quel sujet idiot et sans interêt. Avec nonchalance, Miss Darway tournait les pages du livre et revint à la page du Sommaire. Ah, interessant, page 25. « Les Plantes carnivores ». Enfin quelque chose de sympa, lui ressemblant.

Deuxième sourire. Elle commença à lire son livre mais se lassa rapidement. C'était pourquoi elle se releva, pour remettre en place le bouquin sur la bibliothèque. Wendy soupira. Non, tout mais pas ça. Rah, il fallait vraiment qu'elle s'ennuie beaucoup pour aller les voir ces deux-là. Mais quelque chose dans son esprit appellé Conscience lui ordonna de leur parler. Alors, essayant de sourire malgré la fatigue, elle s'avança presque en trottinant vers les deux élèves et leur demanda avec un ton calme mais quand même distant :

« Toi là , dit-elle en montrant du doigt Kaysha, tu joues au Quidditch ? »

Aelita entra dans la salle commune, elle était trempée jusqu’aux os, ses cheveux dégoulinant sur le beau tapis de la salle commune. Elle regarda les jeunes filles déjà présente mais ne fit aucun commentaire seul un grognement de rage sorti de sa bouche. La jeune fille se dirigea ensuite vers l’âtre de la cheminée, ne faisant toujours pas attention à qui se trouvait devant et posa les livres qu’elle avait emprunté à la bibliothèque sur le haut de la cheminée. La jeune bleu et bronze se retourna alors vers les jeunes filles et s’éclaircit la voix.

- Je ne veux aucun commentaire ! dit-t-elle en se dirigeant vers un coin de la salle pour aller chercher un verre.

Elle prit place ensuite près du feu dans un des divans, et commença à essorer ses cheveux en mettant l’eau récoltée dans le verre vide qu’elle venait de prendre. Elle prit un inspiration et soupira de rage, elle n’avait toujours pas décoloré de ce qu’il c’était passé un peu plutôt dans les couloirs.

*~Flash Back~*

Alors qu’Aelita sortait de la bibliothèque, la jeune Serdaigle prit conscience qu’au dehors une pluie battante faisait rage, le résultat de plusieurs jours de beaux temps en Angleterre. La jeune fille découvrit cela au détour d’un couloir, en regardant à travers une fenêtre, elle s’arrêta pour contempler le spectacle, mais bien mal lui en prit. Car Peeves passait par là avec des ballons remplis d’eau et s’amusé à arroser tous les premières années se trouvant sur son passage. Malheureusement la jeune bleu et bronze se retrouva prise entre une première année et Peeves et bien sûr c’est elle qui reçu les deux bombes d’eau destiné à la jeune fille. Le temps qu’elle se retourne pour dire ce qu’elle pensait à Peeves celui-ci avait bien entendu prit la fuite. La jeune fille était donc rentrée à sa salle commune la rage au ventre et ses livres trempés tout au temps qu’elle.

*~Fin du Flash Back~*

Alors que la jeune fille était toujours entrain de s’essorer les cheveux, la Dame Grise rentra en traversant un mur de la salle commune.

- Vous avez l’air en colère ma chère, dit-elle en regardant Aelita qui se renfrogna dans le divan, vous avez eu la pluie sur vous ?
- Nan ! dit-elle d’une voix maussade, j’ai eu Peeves !
- Oh, il est donc toujours entrain de jouer des farces aux jeunes personnes !
- Oui et cette fois, il m’a choisi pour cible !

La Dame Grise gloussa devant la tête que faisait la jeune Serdaigle, elle regarda ensuite les autres jeunes filles et leur fit un sourire.

- Vous pourriez me présenter peut-être ?
- Oh…, euh…, je vous présente la Dame Grise, fantôme de la maison de Serdaigle, elle est très gentille…, du moins d’habitude…, dit-elle sur un ton amère en regardant les jeunes filles.
- Vous me vexez ! dit-elle en regardant Aelita.
- Excusez moi Madame, mais je ne suis pas d’humeur si vous avez remarqué !
- Je vois que vous êtes trempée de la tête aux pieds et que donc Peeves n’a pas perdu la vue !
- Très drôle, vous êtes très spirituel pour un fantôme, dit-elle sur un ton sarcastique.
- N’est-ce pas ? ironisa la Dame Grise sans se laisser démonter, bien j’ai été ravie de faire votre connaissance, je vais retrouver Sir Nicolas, ne faites pas trop de bêtises !
- Un rendez vous galant ? demanda alors Aelita.

Mais la Dame Grise ne répondit pas préfèrent s’en aller, au travers d’un mur, Aelita retrouva alors son sourire, en imaginant les deux fantômes se faisant la cours.

[607 mots^^]

Sourire. La pluie. Une chose que Cassandra appréciait tout particulièrement. Sentir les petites gouttes ruisseler sur sa peau, comme des larmes décidées à aller mourir dans ses joues. La petite Serdaigle se trouvait dehors lorsqu’il avait commencé à pleuvoir. Elle était assise tout près du lac. Munie d’un crayon, d’une gomme, et de feuilles de papiers, Cassie s’était installée là avec une inspiration soudaine pour dessiner un paysage. C’était une chose assez rare, d’habitude, elle préférait largement dessiner des portraits. Son bloc de papier poser sur ses genoux en tailleur, la jeune fille faisait virevolter ses yeux. Lac, forêt interdite, feuille. Lac, forêt interdite, feuille. Le crayon guidait sa main, elle était perfectionniste, il fallait que chaque détail soit reproduit le plus fidèlement possible. Chaque feuille, chaque reflet. Elle était tellement absorbée dans son œuvre qu’elle n’avait même pas remarqué que le ciel virait au gris. Une tâche apparut sur son dessin. Puis une autre. Cassie leva les yeux, les nuages grondaient au dessus d’elle. La pluie s’intensifiait de secondes en secondes. La Première Année regarda son dessin parsemé de petites gouttes.

Cassie - * Il est fichu maintenant… * Songea t-elle en le déposant sur l’eau. * Un petit cadeau pour les sirènes. * Pensa t-elle intérieurement en souhaitant que son croquis leur parvienne, bien qu’elle en doutait fortement.

La jeune fille serait volontiers rester sous la pluie, mais celle-ci se faisait de plus en plus battante. Elle aimait l’eau, mais attraper une pneumonie, non merci. Quoi qu’elle ne doute en aucun cas que la brillante infirmière de Poudlard, Madame Pomfresh, saurait la guérir en un clin d’œil. Et puis, un petit séjour à l’infirmerie lui permettrait de manquer quelques cours… Dont le cours de métamorphose, le cours le plus abominable selon Cassie. Alors que notre petite artiste rentrait dans le château, elle sentit comme si une main lui entortillait l’estomac. Un creux, un véritable creux. Un petit tour aux cuisines s’imposait ! Elle descendit dans les cachots. Le repère des Serpentards. D’après les élèves plus âgés, c’étaient eux qui avaient gagné la coupe des quatre maisons l’année précédente. Cassie était cependant persuadée que cette année, cela serait différent. Certes les Serdaigles étaient à la traîne, mais ils étaient motivés, ils remonteraient dans le classement. La Première Année avait totalement confiance en les érudits de la noble maison de Rowena Serdaigle. Elle était perdue dans ses pensées lorsqu’elle croisa un Serpentard au regard assez… inquiétant. En passant, il prit grand soin de lui marcher sur le pied.

Cassie – « Alors, tu vois, vu que tu n’as pas l’air au courant, je vais t’expliquer… » Commença t-elle tandisque le Serpentard se retournait. « ça, c’est un pied, en général, les gens à qui on a enseigné un minimum de politesse, s’excuse quand il marche dessus… » Dit elle avec un sourire amusé.
Serpy – « Pour qui tu te prend gamine ?! » De toute évidence, il n’avait pas l’habitude qu’on lui tienne tête, il avait l’air à court d’argument… « Je… je m’excuse si je veux… Et puis… pfff j’ai pas envie de perdre mon temps avec toi » siffla t-il en tournant les tâlons.

La petite Priestly s’en retourna vers les cuisines, une lueur satisfaite brillant dans ses yeux noirs ébène. Lorsqu’elle pénétra dans la fournaise de Poudlard, des tas d’elfes de maisons s’agitaient de part et d’autre. Elle réussit à en intercepter un.

Cassie – « Hep ! Je pourrais avoir un jus de citrouille s’il te plait ? » Demanda t-elle de sa voix la plus polie. Déjà qu’ils étaient presque exploités, si en plus les élèves se mettaient à leur manquer de respect…
Elfe – « Jus de citrouille ! Doby vous apporter ça tout de suite. » S’empressa t-il de répondre tout en remplissant un verre à rabord.
Cassie – « Merci … euh, Doby ! » Se souvint-elle rapidement.

Après un bref signe de main pour dire au revoir à tous les petits cuisiniers de Poudlard, la jeune fille avala son jus de citrouille d’une traite, déposa son verre sur une table et sortit des cuisines. Elle se décida à monter dans sa salle commune. Elle n’allait pas passer sa soirée à errer dans les cachots tout de même. Elle grimpa les marches menant à la tour des Serdaigles. Et les ascenseurs à Poudlard ? Ce n’était pas possible ? Personne n’avait jamais eu l’idée de proposer par hasard ? Il faut vivre avec son temps ! Elle en toucherait peut être deux mots à Albus Dumbledore, l’illustre Directeur de Poudlard. Finalement non, elle passerait sans aucun doute pour une imbécile de première catégorie…

Elle prononça le mot de passe et fit un pas dans la salle commune. Cassie repéra facilement plusieurs jeunes filles de son année qui étaient en cours avec elle. Elle les rejoignit de son habituelle démarche assurée. Ce n’était pas une démarche arrogante, loin de là… Elle posa son sac sur le sol et s’installa sur un des fauteuils près de la cheminée. Ses yeux firent un petit tour d’horizon de la salle… Ah, il y en avait une qui s’était pris la pluie. Un léger silence s’était installé, silence que la jeune Serdaigle décida de briser comme vous pouvez vous en doutez.

Cassie – « Alors, les filles, qu’est ce que vous avez à me raconter ? »

[ Edit Penny : 885 mots]

La jeune fille entendit plus qu’elle ne vit la préfète rentrer dans la salle commune, elle lui fit machinalement une place. Quand celle-ci lui proposa de l’aider pour ses cheveux qu’elle pressait toujours pour en sortir l’eau.

- Se serait avec joie, lui dit-elle en lui souriant.

La jeune fille avait en effet retrouvé un peu de joie de vivre en imaginant un peu plutôt la Dame Grise et Sir Nicolas entrain de se faire la cours. La préfète lui avait également demandé si il pleuvait dehors, la jeune fille se retourna alors vers elle et constata qu’elle était encore bien chargée. Et qu’elle avait s’en doute encore passé pas mal d’heure à la bibliothèque, tout comme elle avant qu’elle ne rencontre Peeves.

- Il pleut averse…, mais je n’étais pas dehors, cette eau que j’ai sur moi, n’est pas celle de dehors, mais des ballons à eaux que Peeves s’amuse à lancer sur des premières années. Mais bien sûr avec la chance que j’ai, c’est derrière moi qu’une petite fille est venue se réfugiée et c’est comme ça que Peeves m’a arrosée ! dit-elle en faisant la moue. Franchement entre les Serpentard, Peeves et les Professeurs, je me demande qui je dois haïr le plus ! dit-elle avec une certaine rancœur. Si tout le monde était aussi charmant que nous le sommes ou comme le sont les Gryffondor et les Poufsouffle cela irait mieux non ? Bon d’accord, on finirait s’en doute par s’ennuyer mais bon…

La jeune fille sentit qu’elle c’était un peu enlisée dans un monologue et se sentait mal de parler ainsi, alors que ça n’intéressait s’en doute personne de l’écouter. Elle rougit alors et baissa les yeux fassent à Pénélope.

- Et toi, ta journée c’est elle bien passée ? demanda-t-elle en sentant son sang descendre petit à petit.

La jeune fille était contente de parler un peu avec la préfète de sa maison, Pénélope était quelqu’un de vraiment charmant avec qui il était agréable de parler. Elle savait aussi que la jeune fille avait un penchant pour un certain Poufsouffle, mais Aelita ne disait jamais rien à son propos. Si ce n’est que dés qu’elle était présente et qu’il venait dans leur direction, la jeune Serdaigle essayait toujours de s’éclipser pour qu’ils soient seuls. La jeune Serdaigle aimait faire se genre de chose pour ses amies, d’ailleurs elle l’avait fait pour Clara et Blaise, d’ailleurs elle se dit qu’il fallait peut-être retenter la chose après tout ils étaient assez bien assortit. Même si le prince de Serpentard n’avait pas aimé voir son meilleur ami avec une Serdaigle, cela faisait mauvais genre. Aelita leva les yeux au ciel à cette pensée, puis se mit à rire, en pensant qu’elle était, elle aussi avec un Serpentard et que certes il n’était pas facile à vivre, mais qu’il pouvait être charmant quant il le voulait bien. La jeune bleu et bronze regarda alors son amie avec un léger sourire et le regard perdu dans le vague ne l’écoutant que d’une oreille distraite.

[505 mots^^]

Que dire de cette journée à part qu'elle avait été une journée normale? Que les examens approchaient à grands pas? Mwé, on finissait par le savoir ça.. ne serait-ce qu'en voyant les élèves s'agiter dans tous les sens. Que Rogue était ignoble avec les gens qu'il n'aimait pas? Cela n'était pas un scoop non plus. Que le beau temps était au rendez-vous contrairement à celui de Belgique? Muarf, hors sujet. Bref, la journée de cours avait été normale. Aussi barbante que les autres pour toute personne normalement constituée, aussi géniala/fantastique/absorbante pour Rawane Harkin, seconde année à Serdaigle.

Seul le soleil semblait de cet avis également. Depuis un bout de temps il ne cessait de briller dans le ciel d'un bleu azur, l'air de dire "gna! Salut c'est mwa! Le printemps est lààà! Bientôt les grandes vacaaaances!" Wéé génial.. Mais qui dit grandes vacances dit examens.. Et la préfète de serdaigle n'arrêtait pas de se casser la tête sur les révisions encore plus que durant le reste de l'année ce qui n'est pas peu dire. Elle était déjà plongée dans ses bouquins et ses devoirs de septembre à mars mais en mai et juin, c'était une toute autre affaire. C'est à peine si elle avait une vie sociale -mwé bon, ok, j'exagère. Mais qui sait? Peut-être avait-elle le dont de bavarder avec ses livres si précieux à ses yeux. Il faut que j'arrête le chocolat moi, on nage en plein délire.

Bref, la serdaigle après cette journée normale avait parcourut le chemin qui la séparait de sa salle commune préférée -bon c'était la seule mais n'enlevons pas sa valeur au mot capich?- laquelle était juste tiède et la serdaigle prenait plaisir à se lover dans les canapés devant un feu de bois quand l'hiver était installé à Poudlard. Certes, l'hiver était loin d'être présent mais évoquer les bons souvenirs du passé n'est pas une mauvaise chose aux dernières nouvelles. Il faut dire que la mistinguette prenait aussi beaucoup de plaisir à s'asseoir sur une chaise, sortir tous ses livres et en faire des piles les plus hautes possibles tout en s'arrachant les yeux sur tel ou tel parchemin. Bien loin d'être maso, la préfète des Aigles adorait ça. La seule chose qui devait rappeler aux autres qu'elle était humaine et non pas une machine faite dans le but de battre le reccord du monde du plus grand travailleur, était sans doute son paquet de bonbons posé à côté d'elle et sa plume en sucre qu'elle gardait naïvement, pensant que pesonne n'avait découvert que cette plume avait pas mal "fondu" ces derniers temps.. Elle piochait dans ce paquet au rythme de ses pulsions.

Après un bon moment de travail, elle s'accorda une pose pour se raffraichir un rien l'esprit avant de passer à la suite de ses révisions sur les soins aux créatures magiques et la métamorphose. Elle se redressa sur sa chaise et se balança un peu dans le but de se distraire. Elle balaya la salle du regard. Elle n'était pas la seule à réviser mais c'était elle qui avait la pile de livres la plus haute, na.
Certains de se compatriotes ne s'étaient pas attablés pour les révisions et lisaient leur bouquin dans un fauteuil ou assis par terre le dos contre le mur. Seul un groupe de fille semblait ne pas être captivé par les révisions. Sans doute avaient elles finit leur quota du jour.. Rawane remarqua Aelita Stones une fille de l'année au dessus. Enfin, disons qu'elle la remarqua grâce à l'état de ses cheveux.. Ils étaient trempés alors que le soleil narguait les élèves.. Rawane se rapprocha du groupe non sans oublier d'emporter deux livres sous son bras et un paquet de bonbons dans sa poche.. comme si elle partait pour une certaine durée et qu'il lui fallait de quoi survivre.

-"Hmm bonjour" dit-elle en souriant "comment allez-vous? Ca va les révisions?" puis se tournant vers Aelita, elle prononça ces mots "Heuuu.. ça va.. bien.. aussi?"

Rawane ne voulait pas lui demander ce qui c'était passé mais elle espérait qu'elle lui parlerait un peu de la scène.. sans savoir qu'elle venait de l'exposer à l'autre préfète de serdaigle mais ça, elle ne pouvait pas être au courant..

[ 701 mots]

* Je vais tuer Peeves ! *

Juliette était hors d’elle. Elle revenait de la tour d’astronomie et devinez quoi ! Elle s’était fait lancer des boules d’eau froides par nul autre que cet imbécile d’esprit frappeur, alias Peeves. La bleue et bronze n’avait même pas eu le temps de lui hurlé dessus qu’il avait pris la suite. Sal lâche, c’était pas croyable. Juliette avait regardé ses vêtements, maintenant dégoulinants de partout. Elle avait retenu des jurons et avait commencer a marcher. Juliette avait marché, l’eau coulant de ses vêtements trempés comme une rivière sur son passage. Lorsqu’elle se trouva enfin devant le portrait de la dame grise, Juliette prononça le mot de passe et s’engouffra dans la salle, trempée de la tête aux pieds. Elle n’avait qu’une chose en tête, qui était d’assassiner Peeves. Elle regarda les gens de la salle commune : Beaucoup de personne. Elle s’avança. Elle avait quelque peu honte d’elle, mais croyez-moi, elle ne se laisserait pas humilier. Qu’une personne, qu’une seule, rie d’elle… Elle allait le lui payer cher, oh oui. La bleue et bronze entra, frustrée mais par-dessus tout épuisée, et s’approcha de la fenêtre.

Elle avait espéré qu’il fasse chaud pour que ses vêtements puissent sécher, mais non, il fallait que le vent soit froid ! Elle avait beau ouvrir la fenêtre, pas la moindre chaleur en sortait. Ah, décidemment, quelqu’un ou quelque chose en avait contre elle. Elle se résigna donc à monter et à se changer rapidement. Elle enfila son polo de l’école et des jeans et redescendit, cette fois présentable, une brosse à la main. Elle pris place sur le seul divan de libre et s’essora les cheveux. C’est alors qu’elle aperçu Aelita Stones, l’attrapeuse de Serdaigle. Juliette remarqua qu’elle avait les vêtements mouillés. Non ! Était-elle aussi victime d’une des mascarades de Peeves ? Juliette s’approcha d’elle, continuant de s’essorer les cheveux avec une serviette et sa brosse.

« Je vais TUER Peeves ! Ah, imbécile de fantôme… Je le hais ! Puis, elle se tourna vers Aelita. Alors, il t’a eu toi aussi ? Il n’est pas un peu dérangé ? » Demande Juliette dans un élan de colère.

Une fois ses cheveux ‘secs’, si ont pouvait qualifier cela de sec, elle passa rapidement un coup de brosse pour enlever les nœuds et pris place à côté de Pénélope et de l’attrapeuse des bleus et bronzes. Elle pris son élastique et commença à se faire une tresse. Ses cheveux étant épais, la tâche n’était pas facile, mais Juliette était habituée. Elle avait beaucoup de tact car c’était après tout, ses cheveux. La gamine commença par les séparer en trois et fit les parts égales. Elle les entrelaça ses mèches et commença son habituel train train. Lorsqu’elle eut fini et que sa tresse fut bien placée, Juliette sourit. Elle était à nouveau correcte ! Elle regarda miss Stones.

« Tu veux un coup de main peut-être ? Je peux aller te chercher des choses si tu en a besoin… »

---> 502 mots Chanceuse ! No?