Petite balade, petite pause... [PV Halloween]

Apophis s'était octroyé le droit à la sérénité et au repos, prenant quelques minutes sur son temps de pause du déjeuner pour venir se promener un petit peu dans l'enceinte du château. Il faisait froid malgré l'immense astre solaire qui réchauffait les arbres et arbustes parsemés d'éclats de neige, bientôt dégoulinant de pluie.

Pour la peine, l'Auror avait joué la carte de la prudence et s'était convenablement couvert. Il était frileux et attrapait facilement des maladies, et ce depuis sa plus tendre enfance. Nul élève de Poudlard à l'époque où il était encore élève ne l'avait vu sortir sans son écharpe et un lourd manteau de coton ainsi qu'une chapka d'astrakan couvrant ses oreilles décidemment trop fragiles...

Et aujourd'hui, à l'aube de ses trente ans, Apophis n'avait pas changé ses augustes habitudes. Un long manteau de coton noir enveloppait son immense carcasse, tandis qu'un chapeau de feutre gris foncé assorti au complet qu'il portait coiffait sa tête blonde. Des gants de cuir épousaient avec délicatesse les contours de ses lourdes mains, se moulant dans chaque phalange, creux, dos et même lignes de main. Une écharpe blanc cassé à l'image de celles des aviateursscindait son cou et retombait négligemment sur ses larges épaules, battant contre elle à chacun de ses mouvements.

La journée était idéale. Il avait bien fait de quitter Aurora un instant -il crut d'ailleurs que cela l'avait soulagée- pour s'offrir cette petite promenade revigorante. L'air frais entrait dans ses narines pour en ressortirent, gonflant ses poumons de plaisir.

Ceux qui le virent sortir de l'enceinte du château le regardèrent l'espace d'un instant pour ensuite se demander ce qu'il allait bien y faire. Apophis se dirigeait, et sans trop le savoir d'ailleurs, droit vers le Saule Cogneur.

Ce n'est qu'une fois qu'il y fut arrivé qu'il se rendit vraiment compte de ce qu'il avait fait. Etourdi par la beauté de cette nature endormie sous l'hiver, son esprit vagabondant de pensées en pensées -je m'installe où cette fois-ci pour le prochain cours d'Aurora ? Qu'est-ce qu'ils vont mettre au menu aujourd'hui ?...- il n'avait tout simplement pas remarqué où il mettait les pieds.

Tendant alors un bref regard bleuté à l'arbre majestueux dont les branchages s'agitaient sous le poids de la neige, l'Auror blond fit quelques pas dans sa direction -en veillant, bien sûr, à garder une distance raisonnable.

L'arbre secouait lourdement ses grandes branches terminées de poings, faisant s'envoler les moineaux mécontents qui y étaient perchés. Toute la candeur de l'enfance retrouvée en cette simple image... Un sourire se peignit sur le visage d'Apophis. Mais, aussi creux que l'arbre qui se tenait devant lui, il ne ressentit guère plus que cela...

Retombant donc dans sa morosité coutumière, il fourra les mains dans ses poches puis fit quelques pas encore. Il détestait constater que plus jamais il ne s'émerveillerait de toutes ces beautés et qu'aucun souvenir heureux ne viendrait à les supplanter. Ce sentiment le frustrait et le rendait plus abattu encore, comme s'il ne parvenait pas à aller au bout de ses impressions. Elles se terminaient bien souvent comme un grand océan de vide et le rêve lui glissait entre les doigts qu'il tendait pourtant bien haut pour pouvoir le rattraper. Mais, à quoi bon ?

Le jeune homme prit une petite pause et s'arrêta un instant, s'adossant à un mur voisin. Ses pensées s'envolant, son esprit passa à autre chose et il crut alors bon de sortir une cigarette. Son péché mignon ! Purement moldu mais qui lui procurait un bien fou... De plus, il n'avait pas fumé depuis ce matin 8 heures dès qu'il était arrivé à Poudlard, il était vraiment temps, non ?

Cette Aurora alors ! "On ne fume pas dans l'enceinte de l'école !" lui avait-elle dit en le voyant gravir les marches menant aux grandes doubles portes. Elle s'était postée là, les bras croisés, le regard courroucé comme le professeur qu'elle avait été jadis. Soufflant une dernière bouffée de fumée, il s'était donc empressé d'écraser sa cigarette sous son talon et avait ensuite levé ses yeux d'anges vers elle.

"Et quoi ? J'aurai une heure de colle à astiquer de l'argenterie ?". Puis il avait ricané, monstrueux et moqueur, dégoulinant d'arrogance, passant devant elle en lui donnant un léger coup d'épaule au passage, comme si elle gênait son chemin.

Gosse insupportable dans le corps d'un adulte...
Elle ne le tenait plus et il le savait. Il jouissait d'un droit qui le faisait maître de lui et de ce qu'il faisait. C'était un "grand" maintenant ! Adulte responsable et mature !

Il en abusait, oui, et ce au plus haut point afin de l'exaspérer, de lui montrer que, lui aussi, jouait dans la même cour que la sienne et, qu'à cela, il était très fort ! Il souhaitait qu'elle voie que le petit garçon qu'elle avait connu était devenu un homme et pas n'importe lequel ! que le louveteau était devenu loup et que, lui, il chassait ! Oui, il chassait ! Et il se repaissait de la moindre victoire acquise -aussi lâche et dégoûtante soit-elle !

Sykes laissa courir un petit sourire sur son visage crayeux tandis qu'il observait d'un oeil presque attendrit la petite cigarette qui se consummait entre ses doigts. Il tira à nouveau dessus et expira la fumée dans un mouvement long et déglutissant de gorge, appréciant sa saveur par petite bouffée...

Son regard se posa alors à nouveau sur le Saule Cogneur qui tentait toujours de se libérer de la compagnie non désirée des oiseaux et du poids gênant de la neige sur ses ramures. Il s'agitait en vain, ces imbéciles reviendraient toujours et la glace, plus tenace encore, ne cesserait de tomber, figeant, paralysant le moindre de ses mouvements, de ses efforts...
L'Auror eut un petit gloussement amusé qui grossit ses joues épaisses en un sourire d'enfant. Il hocha la tête atterré et fasciné, ses yeux brillant d'un étonnement proche de l'hilarité...

L'auror pensait peut-être tranquille, adossé contre ce mur, en fumant cette cigarette, mais une personne qui était assise pas loin de lui, le fixé comme un lynx prêt à sauter sur sa proie, elle ne se faisait pas d'idée, il avait du sentir son regard persan, un bon auror était capable de beaucoup de choses.

Mais avant que l'auror amorça un mouvement, la voix douce, mais si héritant de la vérité se fit entendre.

« Il me semblait que le professeur Aurora vous avez dit ce matin que fumer était interdit dans l'enceinte du collège ? »demanda t'elle en fixant l'auror

Une jeune élève s'avança en face de lui, elle avait des cheveux long tressé à certain endroit, de couleur de blé, une coiffure façon hippy assez rare ici à poudelard, elle avait un regard franc et mature pour son si jeune âge, elle devait mesurer vers les 1m55, d'une corpulence fine, elle avait une démarche élégante, mais son comportement assez froide et son regard qui détaillait l'homme en face d'elle était typique d'une élève de serpentard, son uniforme était caché de sous un manteau vert émeraude, une écharpe de couleur noir avec le symbole d'une orchidée était gravée sur le premier pan de l'écharpe. Elle s'approcha de l'auror et sans dire un mot lui enleva la cigarette de la main pour l'apporter à sa bouche, mais elle stoppa son élan à quelques centimètres de sa bouche et avec un petit sourire posa son regard malicieux sur l'adulte.

« Vous pensiez tout même pas que j'allais mettre ce papier remplit d'herbe entre mes lèvres »dit elle en jetant la cigarette par terre et en l'écrasant avec une joie non dissimulé.

Elle devait lever son visage d'ange sur l'adulte, pour lui parler et le regarder, il était grand, assez carré et surtout sinistre et il sentait l'auro à plein nez.

uis elle s'appuya sur le mur à côté de lui, elle regarda le saule cogneur et pendant un moment de silence, mais sa voix mélodieuse se refit entendre.

« C'est un magnifique arbre, un des plus beau dans le parc « dit elle en fixant le saule.

Vous demandez qui était cette élève qui avait sans crainte écraser la cigarette de cet aurore qui faisait parler de lui, dans ton le château ? Une seule personne avait une audace de la sorte à serpentard et un visage d'ange, une seule personne, Halloween Strue.

Même ces propres camarade fuyaient cet homme, personne n'aimaient le croiser dans un couloir désert, plein d'histoires plus farfelu les une que les autres circulait sur lui et aucun élèves de ce château sauf Aelita Stones l'avait approché. La vérité même si elle était difficile à dire pour les serpentards, étaient qu'ils avaient peur de lui.

Normal pour eux, le trois quarts était des enfants de mangemort, donc parler à un auror était fortement déconseiller, Halloween s'enffichait que c'était un auror.

« Je peux savoir qu'est-ce que font des aurors à poudelard ? »lâche t'elle en tournant sa tête et en la levant pour planter son regard dans celui de l'auror.
Son regard était pénétrant, elle n'allait pas lâcher l'affaire de la sorte ?!?!

Apophis ne répondit à aucune des questions ni des remarques que lui fit la petite fille. Ce n'est que lorsqu'elle tendit sa cigarette à ses lèvres charnues qu'il réhaussa un sourcil non sans dissimuler un amusement certain. Elle vitn ensutie à s'adossser au mur, juste à côté de lui puis marqua un point final à son curieux silence, relevant ses yeux insolents vers les siens :

«Je peux savoir qu'est-ce que font des aurors à poudelard ?»

Et là l'Auror ne put s'empêcher d'éclater de rire ; un rire sauvage, mauvais, à glacer le sang tant il était sinistre, retroussant ses dents et le faisant paraître plus terrible encore.
Vraiment, cette petite ne manquait pas d'audace !
Ce fut à son tour de parler, ne serait-ce que par courtoisie, mais aussi pour s'empêcher de l'applaudir et de saluer son arrogance d'enfant de 12 ans. Les mains jointes, se penchant légèrement vers elle sur un visage hilare, il lui déclara :

"Ooohh petite... même si vous étiez la Reine d'Angleterre en personne je n'aurais pas le droit de vous le dire... Que croyez-vous ? Que je vais me confier à la première venue ?".

Puis il se redressa tout en hochant la tête sur un léger sourire. Il n'arrivait pas à y croire... tandis que les élèves l'évitaient soigneusement dans les couloirs cette petite, elle, allait droit au devant de lui, commençait à lui parler et à le questionner. Pire que cela, et il ne s'en souvint qu'en la contemplant de la tête au pied, elle avait pris sa cigarette et l'avait délibérément jetée à terre se rappelant des paroles qu'Aurora avait eu à son égard.

Ce n'est qu'en détaillant un peu plus l'uniforme que portait l'enfant sous son manteau qu'Apophis comprit quelle mouche l'avait piquée. Cette blondinette sans cervelle ni remords venait de la maison Serpentard et, là-bas, l'on n'avait pas peur de dire clairement aux gens ce que l'on pensait d'eux -en usant d'habiles stratagèmes pour toujours dire sans rien n'y laisser paraître, bien entendu.

De plus, la plupart de ses élèves étaient voués à être Mangemort et ne devaient pas véritablement apprécier la présence d'un Auror dans l'enceinte de l'école. Si cela lui serait arrivé à son époque, il aurait été le premier à venir trouver ce Mage Blanc de malheur pour lui cracher à la figure. Enfin soit, passons...

Tendant un dernier regard à la demoiselle enorgueillie par sa victoire, il se redressa un peu plus sur son séant, fourrant les mains dans les poches de son pantalon gris.

"Je ne puis que saluer votre justesse et votre courage, Mademoiselle ! Venir parler à un inconnu surtout pour lui faire des reproches tient de l'effronterie la plus habile qui soit !".

Il la salua d'un léger signe de tête et d'un sourire poli, juste avant de continuer, les yeux pétillant de malice :

"Remarquez, cela ne m'étonne guère. J'ai vu sous votre manteau le blason du serpent frappé sur votre uniforme. Serpentard, n'est-ce pas ? Auguste maison dans laquelle seuls les plus méritants sont autorisés à entrer... Ce privilège n'est décemment pas accordé à tout le monde et il faut en avoir l'étoffe et le mériter !".

Il lui tendit un sourire de requin puis plaqua sa large main aux doigts écartés contre le mur -sa longue carcasse se penchant sur elle comme un ours sur Boucle-d'Or.

"Que croyez-vous ? Qu'il suffit d'avoir un joli port de tête pour savoir honorer la couronne ? Qu'une seule arme vous permettra de prouver votre valeur ? Dieu que vous êtes loin du compte...".

Il eut un petit gloussement, qu'il s'empressa de taire.

"Ecoutez bien ces mots, ils sortent de votre bouche et je les espère exacts : "Il me semblait que le professeur Aurora vous avez dit que fumer était interdit dans l'enceinte du collège ?".

Vous voyez ce mur ? fit-il en passant sa main rugueuse sur les pierres anciennes, il délimite très précisément l'enceinte du château, à savoir, l'intérieur de votre collège.
Par déduction, où pouvons-nous nous trouver, hm ?
Vous l'aurez deviné, à l'extérieur des murs de votre école !".

Nouveau sourire carnassier, mais l'Auror ne la laissa pas souffler ni même dire quoique ce soit.

"Avant de vous avancer en propos vaseux et en considérations bancales, mademoiselle, avisez-vous que les arguments que vous présentez sont quelques peu tangibles, autrement c'est la chute !
Et, pour une Serpentarde, c'est navrant...".

Il ricana à nouveau, il ne put s'en empêcher ! Se fut plus fort que lui ! Mais il continua cependant. La leçon de choses n'était pas terminée...

"A quoi bon être audacieux si, derrière, nous n'avons rien pour assurer nos arrières ? Gardez cela en mémoire, jeune fille : les Serpentards n'ont pas la puissance du lion, mais bien l'intelligence et la perfidie de l'animal qu'ils représentent. Il faut se servir de ces deux armes puissantes, autrement nous ne sommes rien que du vent !

Votre petit numéro était... touchant ! Touchant car naïf ! Il relevait de ce que peut faire un Bouffondor... C'est bien ainsi que vous les appelez ? Les Bouffondors ? Rien n'est plus exacte que cette comparaison, ils font rires. Soit...

La carrure que vous avez ne vous permet pas de jouer d'insolence comme vous venez de le faire... j'ai su vous dammer le pion sans aucun problème ni aucune retenue... Une élève de votre rang devrait se montrer plus habile, plus subtile et ne pas jouer sa vie sur des paroles aussi vaines que stériles puisqu'elles sont sans fondements !

Je suis à l'extérieur de l'école (il se désigna d'une main sur le torse) donc j'ai le droit de fumer ! Après tout, c'est conforme à la règle établie par le professeur Sinistra, n'est-ce pas ?

Personne ne peut rien me dire ! Et quand bien même l'on viendrait me trouver, j'ai toujours plus d'un tour dans mon sac pour me tirer d'affaire ! Les serpents font cela lorsqu'ils sont attaquer, n'est-ce pas ? Ils jouent de malice !".

Il leva les mains aussi blanches qu'un criminel baignant dans le sang puis continua sur un ton imitant la surprise :

""Hein ? Comment ? Moi ? Mais l'on m'avait dit "à l'extérieur" ! Hors, j'y suis à l'extérieur de Poudlard ! J'ai passé les murs qui l'entouraient, ai traversé le parc et me voila ici ! Où souhaitez-vous que j'aille pour que cela soit suffisamment loin ? A Pré-au-Lard ?"".

"Oui, ricana-t-il, je peux toujours jouer les parfaits imbéciles, ce n'est pas exclu ! J'aurais d'ailleurs pu le faire mais vous n'êtes qu'une enfant et... -il haussa les épaules sur un air magnanime- je m'en voudrais d'abuser de votre touchante innocence de petite fille !

Je vous ai traitée de "petite fille" ? Pardonnez-moi ! Je sais qu'à votre âge l'on a toujorus une haute estime de soi ! Que voulez-vous ? Lorsque l'on voit une élève agir de la sorte c'est une chose que l'on ne peut s'empêcher de penser !".

Puis il finit par se radosser à son mur, fixant toujours l'enfant. De son côté, le Saule Cogneur continuait toujours de s'agiter et la neige avait recommencé à tomber. Maintenant, ce n'était plus les oiseaux qui l'importunait mais bel et bien la glace. L'arbre frappa violemment les airs des ses ramures cinglantes. L'Auror leva un bref regard vers lui mais ne dit rien, préférant en revenir à Halloween.

"J'ai une grande estime pour votre maison, mademoiselle... ? -il laissa la phrase en suspend, cherchant à ce qu'elle lui donne son nom- Ainsi, vous voir vous fourvoyer auprès de moi m'aura mis la puce à l'oreille et je me suis dis qu'il était grand temps que vous prouviez à quelle maison vous apparteniez vraiment !

Tâchez donc de garder cela dans votre petite tête de linotte : un Serpentard doit toujours être certain de ce qu'il avance afin de ne pas risquer d'être évincer une fois de trop. Etre pris à son propre piège et la chose la pire qui soit, souvenez-vous-en ! Ne jamais risquer sa vie ou sa place, c'est important pour ce que vous représentez. Vous jouez sur le fil du rasoir et l'on attend, de ce fait, beaucoup plus de vous que les autres élèves des autres maisons.

De plus, sachez aussi une chose..."

Il fouilla dans la poche arrière de son manteau, frôlant un paquet de carton tout frippé par l'usure et tout écrasé qu'il produisit soudain devant ses yeux. Un long sourire angélique vint se peindre sur son visage... qui devint monstrueusement juvénile.

"... il n'est rien de plus exaspérant que de voir tous ses beaux efforts réduits à néant !".

Il tourna le paquet afin qu'elle le vit mieux, se penchant un peu plus vers elle pour qu'elle observa le paquet de cigarettes qu'il tenait entre ses doigts.

"J'en ai plein d'autres des comme ça !" Claironna-t-il comme un enfant.

Halloween savait très bien, mieux qui conque ici à poudelard que les hommes d'âge mur était des personnes dangereux et bizarre. Mais là l'aurore était en plus d'être bizarre et dangereux lui faisait hyper peur. Son attitude était à faire fuir toutes les petites filles de poudelard et même les femmes d'âge mûre, peut être quelques une aimaient ce genre d'homme. Elle ne chercha pas plus loin.

Mais elle ne bougea pas et le laissa parler, comme une fille bien éduqué, mais si elle mourait d'envie de lui couper la parole à certaine de ses phrases, sauf quand elle se descida vraiment à lui couper la parole, qu'il lui fit comprendre, que serpentard était faible et qu'il devait toujours avoir un tour supplémentaire dans ses poches, Halloween savait très bien cela et qu'elle avait fait une erreur... pas besoin de la rabaisser ainsi. Elle comprit assez rapidement que l'aurore était un ancien serpentard et qu'il voulait savoir aussi son nom, mais elle lui fit comme si elle ne comprenait pas pourquoi il traînait une de ses phrases, non mais, on donne pas son nom à n'importe qui. Puis d'un coup il se comportait comme un enfant de son âge en lui mettant devant son petit nez, le paquet de cigarette.
Elle leva un sourcil et le regardait en mettant ses mains dans les poches de son manteau.

*il joue à quoi là ?!?!*

« Oui c'est vrai monsieur sky, quand étant un ancien serpentard, voir une de son ancienne maison réagir de la sorte, doit vous friser les cheveux... mais vous m'avez pas dit qu'il fallait jouer des fois à l'imbécile monsieur sky »dit elle en faisant un immense sourire

Elle était peut-être une gamine à ces yeux, mais la gamine l'avait cette fois ci moucher en beauté. Elle jouait couramment à la pauvre fille qui disait n'importe quoi, c'était un jeu fort amusant surtout quand on voyait les personnes en face s'énerver et perdre le contrôle d'eux sauf que là elle devait montrer sa vraie personnalité pour une fois, ce jeu ne marchait pas en face d'un adulte, donc la vrai Halloween devait ce montrer.

« C'est étonnant qu'un serpentard de renom comme vous et fini comme auror ?!?! dire que vos camarades ont été tous promis à une carrière brillante comme mangemort »dit elle en regardant devant elle.

Salué si vous plait, la vrai Halloween, elle est apparue enfin. Peut être alléêtre étonné de voir quel genre de personnalité la vraie Halloween à.

Elle ferma les yeux et prit une bonne bouffée d'air. Comme expliquer à l'adulte qui se trouvait à côté d'elle que son rêve le plus cher et de faire aurore aussi, mais qu'elle ne pourrait jamais le réaliser en étant d'une famille bourgeoise, elle avait un autre avenir déjà tout tracer.Puis elle réalisa qu'il devait connaître son père. Parce qu'il n'avait pas l'air plus vieux que son paternel, peut être il était aussi père qui sait. Mais elle ne fit pas allusion à ces deux choses purement inutile.

« mais je me demande une chose, monsieur sky ... pourquoi avoir lâcher des détraqueurs sur vous et pourquoi vous êtes toujours vivant ? est-ce que le demon vous habite pour que vous soyez toujours vivant ? »demanda t'elle en tirant une de ses mains d'une poche, elle tenait entre ses doigts fin,une carte de tarots.

Elle aimait jouer à ce jeu, tirer une carte et peut être ce que la carte disait, ce ne réaliserai pas tout a fait, mais un peu quand même.

Elle avait une fois laisser tomber la carte de la mort.. ça signifiait un danger, le seul danger qu'il avait eu, était une explosion.

Elle tira la carte et la retourna pour voir la qu'elle avait été pécher. C'est yeux ça grandir et ses petites pommettes veina rouge écrevisse. C'était la carte du soleil, elle signifiait le sentiment, le plus détester chez les serpentards l'amour.

Elle dit à voix basse :

« Le Soleil, l'abondance, l'amour, la richesse, la beauté.

C'est la meilleure carte du jeu avec le Monde. Réussite, abondance et force. Carte de l'amour par excellence. Renommée et pouvoir réaliser, elle peut tomber parfois dans l'excès : orgueil et aveuglement. Elle symbolise aussi tout simplement la vérité. « dit elle pour elle-même.

*Pourquoi une carte de la sorte ?!?! *

DONE 720 mots

Halloween vit le visage de l'homme se décomposer à chacun de ses mots, ce qui lui proquerait une joie immence, mais la joie ne resta pas longtemps, son jeu de tarot l'avait trahi ou bien il essayait de lui faie comprendre quelque chose, en tout cas elle manquait encore d'expérience dans le tirage des cartes et dans le sens qu'elle voulait dire, ce qu'elle ne comprenait pas encore, ce que la carte qu'elle tirait pouvait lui dire sans vraiment lui montrer quelque chose d'autre, il fallait seulement lire entre les lignes, ce que Halloween n'arrivait pas à faire. En tout cas elle ne put réfléchir longtemps, l'aurore profita de sa faiblesse et lui agrippa le poignet avec une force incroyable, elle ne peut cacher à l'aurore une grimace de douleur.. mais quand celui la lui arracha le jeu de ses mains, elle le froudoya. Comme osait il lui confisquer son jeu et maintenant il lui faisait du chantage, Halloween se demandait bien pourquoi il voulait savoir comme elle avait su cela de lui, Halloween se voyait mal lui relever qu'elle avait rêvé de cela une nuit, il y a de cela une année.

Mais il commençait sérieusement à lui faire peur, il allait lui tirer les cartes après, mais est ce qu'il savait que les cartes avaient un seul maître ? à son avis non et il en apprendrait rien des cartes en tout cas, mais elle aurait bien voulut détaler comme un lapin par la même occasion, mais il la posa sur le côté et après il l'emprisonna contre lui, elle se sentit prise au piège, quand elle sentit les mains puissantes de l'homme sur ses frêles épaules, elle se figea, elle regardait le saule cogneur devenir de plus en plus fou. Comme si l'arbre avait senti l'énervement des deux personnes, il exprimait leur colère sous leur yeux.

Mais quelque chose ce passa à ce moment même, elle sentit que l'aurore était venu étrange.. elle ne pouvait le regarder en étant de dos contre lui. Mais quand elle sentit l'aurore la serre contre lui, elle déglutit et se mit à paniquer elle essaya de se libérer.

Mais elle ne pouvait pas, donc ce qu'elle fit, elle posa sa petite tête bonde sur le torse de l'adulte.
« monsieur sykes, vous allez bien » demanda t'elle légèrement inquiète

elle lui releva son grand secret. Il pesait aussi trop lourd.

« C'est bête, mais je fais des fois des rêves étranges et la ce que je vous ai dit je l'ai rêvé bêtement, tout bêtement »dit elle en poussant un soupir »Je vous ai vu, aller askanban prétestant que vous devez interroger des prisonniers, puis vous avez hairez dans la prison jusqu'à ils vous sentent et viennent vers vous, vous les avez attrapré, puis vous avez trouvé une cellule, vous avez fermé la porte et vous avez lâché ces choses sur vous, c'était horrible tout à fait horrible, j'ai jamais eu ausi froid de ma vie »dit elle en tremblant, elle continua »ils vous ont vidé de votre âme, vous devriez être mort, mais non vous êtes là vivant, mais vous ne ressentez plus aucun sentiment, vous faites semblant « dit elle en fermant les yeux.

DONE 535

"Monsieur sykes, vous allez bien ?", lui demanda-t-elle d'une petite voix, question à laquelle l'anxieux Monsieur Sykes ne parvenait pas à répondre.

L'enfant ne prit pas le temps de se poser d'autres questions et s'engagea dans un long monologue, reflet de ses angoisses, de ses tourments, d'une chose trop dure à dire et pourtant tellement difficile à contenir. Peut-être espérait-elle trouver chez lui oreille à qui parler.

"C'est bête, mais je fais des fois des rêves étranges et la ce que je vous ai dit je l'ai rêvé bêtement, tout bêtement », lui confia-t-elle, »Je vous ai vu, aller askanban prétestant que vous devez interroger des prisonniers, puis vous avez hairez dans la prison jusqu'à ils vous sentent et viennent vers vous, vous les avez attrapré, puis vous avez trouvé une cellule, vous avez fermé la porte et vous avez lâché ces choses sur vous, c'était horrible tout à fait horrible, j'ai jamais eu ausi froid de ma vie », dit-elle d'une voix froide comme si elle ressentait à l'instant ce qu'il avait vécu neuf ans plus tôt, »ils vous ont vidé de votre âme, vous devriez être mort, mais non vous êtes là vivant, mais vous ne ressentez plus aucun sentiment, vous faites semblant".

Vous "faites semblant" ses deux mots simples mais diablement singuliers dansèrent dans son esprit quelques instants durant, moments pendant lesquels les yeux de l'Auror restaient rivés sur le Saule Cogneur. Son coeur rata un battement et il rapprocha l'enfant contre lui. Son souffle se fit court...

"Ne bouge surtout pas, fillette, dit-il d'une voix étonnamment glaciale et calme, ne bouge pas ! Il va se calmer si nous ne faisons rien !".

L'arbre s'agitait, tanguait sur lui-même, repoussant tout ce qui se trouvait sur son passage de ses gros poings de bois, écrasant la terre sous ses coups, poussant ses énormes branches en arrière, en avant, droit vers le ciel. Les lianes parcourues de feuilles claquaient dans l'air comme autant de fouets à chacun de ses mouvements vigoureux. A un moment, le sol vibra même sous leur pied.
Apophis se cala contre le mur, ses mains toujorus puissamment accrochées à Halloween. Il ne voulait pas qu'elle tombe sous ce sol grondant, elle paraissait si chétive. Seule elle ne pourrait jamais tenir debout plus d'une seconde, tandis qu'avec son appui elle avait des chances de ne pas dégringoler le long du talut.

Les lianes se ramenèrent en une seule et même longue corde qui cingla l'air et vint atterrir à quelques mètres d'eux, pointée dans leur direction. Sykes retint son souffle et chercha à faire davantage corps avec le mur -s'il avait pu s'y fondre, il l'aurait fait. Mais le mur restait de pierre et lui était de chair. Aucune chance.
Les lianes rassemblées s'élevèrent à nouveau vers le ciel et frappèrent la terre avec une incroyable vélocité, strillant l'air dans un claquement assourdissant. Peu à peu, elles essayaient de grignoter la distance qui les séparait des deux sorciers.

Sykes repoussa légèrement l'enfant de côté et vint à se camper devant elle afin qu'elle puisse bénéficier de l'appui du mur ainsi que de sa protection. Lui faisant ainsi office de bouclier, elle ne risquait pas d'être blessée durant l'attaque de cet arbre fou furieux. Seul lui risquait de l'être mais quelle importance ? Cette élève était sous sa responsabilité et il était de son devoir de la protéger puisque c'était son travail...
Les lianes repartirent à l'attaque, gagnant du terrain d emanière préoccupante. Apophis déglutit, un long filet d'eau froid parcourut sa nuque et il étendit les bras -maîgre protection pour Halloween Strue.

Il fallait une issue ! Une issue ! Des yeux il la cherchait, il furetait, parcourait l'ensemble de la muraille du château pour voir s'ils ne pouvaient pas prendre prise dessus, glissait un bref regard vers sa droite ou sa gauche pour...
A cet instant-là, les lianes battirent l'air et l'une d'entre elles vint fouetter le visage d'Apophis. Il poussa un cri de douleur, plaquant ses mains contre son visage tandis que toute sa masse tombait en avant, roulant peu à peu vers les lianes qui demeuraient là, étendue à quelques centimètres de lui.

Elles glissèrent sur le sol et s'éloignèrent si bien que son corps ne put les toucher lorsqu'il arriva en bas du talut. L'arbre se remit en position, étendant ses dizaines de branches noueuses, prêt à nouveau à frapper.
Au sol, étourdi et le visage en sang, l'Auror blond tâchait de se remettre de ce coup fulgurant en redressant sa pauvre carcasse endolorie et courbattue. Lorsqu'il fut sur les genoux, il secoua la tête, faisant tous ses efforts afin de rester conscient. Du sang lui dégoulinait le long de la joue où il avait été frappé et sa vision se troublait bien qu'il battit plusieurs fois des paupières.

Par réflexe, il chercha dans le fond de la poche de son manteau et carressa des doigts un objet qui lui donna du courage. Extirpant alors sa baguette sur un geste vif, il ne remarqua pas que les lianes venaient de passer au-dessus de lui, s'élançant droit vers Halloween.
L'attaque fut si fulgurante qu'il n'eut même pas le temps de la voir. D'un geste, les lianes s'emparèrent d'elle par les pieds et la firent tomber, la traînant derrière elles avec une force et une détermination incroyable. C'est à ce moment-là qu'il comprit qu'il se tramait quelque chose...

Serrant les dents jusqu'à se les faire péter, l'Auror tâcha de se remettre sur ses deux jambes, baguette tendue sur les lianes qui tiraient la jeune fille. L'oeil gauche irrémédiablement fermé, ses membres tremblant de l'effort qu'ils devaient fournir, il se concentra au maximum afin de viser juste...
Sa voix tonna un "flambios" désespéré et un souffle d'air balaya ses cheveux ainsi que son visage, laissant le sort s'échapper de sa baguette.
Des flammes rougeoyantes en jaillirent et se dirigèrent droit vers les lianes, prêtes à les frapper... Le feu prit aux lianes qui séparaient la jeune sorcière de l'arbre et il commença à lécher leur résistance, attaquant peu à peu les cordages dans un crépitement et une odeur abominable. L'espace d'un instant, il leur sembla même que l'arbre "criait"...

Les parties restantes se détâchèrent bien vite et se réfugièrent auprès de l'arbre qui, déjà, balançait ses gros bras dans une cadence angoissante et frénétique, prêt à cogner à nouveau. La douleur se lisait dans cette gestuelle paniquée.
Apophis fit quelques pas branlant de plus afin de rejoindre Strue mais ses genoux le trahirent et il tomba à pas venter, le souffle coupé, l'esprit étourdi.
Il eut à peine le temps de relever la tête pour voir qu'une branche aussi grosse et puissante que le bras d'un titan s'battait à présent sur eux...

Elle avait fini de lui expliquer, comment elle avait découvert son secret, que l'arbre était venu de plus en plus fou.

"Ne bouge surtout pas, fillette, dit-il d'une voix étonnamment glaciale et calme, ne bouge pas ! Il va se calmer si nous ne faisons rien !".Il avait eu raison de lui ordonner cela, en raison que Halloween se préparait à déguerpir comme un lièvre de garenne à l'abri de ce végétal fou. Ce qui était fort dangereux, heureusement que l'aurore était là. Elle l'obéit, mais pensait fortement que l'arbre n'allait pas se calmer aussi facilement. Elle présentait qu'il allait venir de plus en plus incontrôlable.

Son doute se réalisa devant elle, que l'arbre était venu de plus en plus agité, le sol se mit même à vibrer sous leur pieds, Halloween avait un peu de peigne à rester debout avec toutes ses vibrations, elle remerciait l'aurore de la tenir ainsi sinon elle aurait probablement tombé et aurait glissé en bat du talus et là c'était saint -mangouste assurée ou voir le cimetière. Elle pensait qu'ils étaient hors de danger là ou ils étaient, mais sa pensée s'envola rapidement quand elle vit que les lianes se mettaient ensemble pour une faire une seule et dangereuse liane, elle s'écrasa de toutes ses forces à quelques mètres d'eux, ce qui provoqua un sursaut de la part d'Halloween, elle voyait bien que l'aurore cherchait une sortie de secours, mais qu'il était aussi coincé qu'elle. D'un coup elle vit que les lianes essayaient de parcourir les quelques mètres qui les séparaient.

Halloween agrandit les yeux sous la stupeur, elles allèrent réussirent, les lianes allaient probablement refrapper et là c'était fini pour elle et pour l'aurore, elle se sentit prisse de panique, mais l'aurore décida de faire bouclier avec son corps et mit Halloween derrière elle. Elle était inquiète, très inquiète, elle voyait que l'aurore cherchait toujours une sortie et ne faisait pas assez attention aux lianes, Halloween qui regardait les lianes vit une arrivée avec rapidité vers eux, elle n'eut pas le temps de dire à monsieur sykes de faire attention, la liane qu'elle venait de le frapper au visage avec une de ses forces. Elle vit la tête de l'aurore, se tourner à gauche puis le pauvre s'effondrer par l'avant, Elle le vit tomber et rouler en bas du talus, donc elle n'avait plus de protection. Elle se colla contre le mur

« Monsieur sykes relevez vous ?!?! « cria t'elle en le voyant qu'il était trop proche de l'arbre »monsieur sykes vous êtes trop prête d l'arbr...aaaaahhhhhhhhhhhhh »ce mit à hurler à Halloween tellement soucieuse de l'homme, elle avait baissé sa garde et les lianes l'avait fait tomber et l'entrain vers l'arbre avec une détermination. Elle fut légèrement sonnée au début, mais quand elle comprit le danger, elle se mi débattre comme une folle, elle essayait en chemin à s'agripper aux pierres, aux racines, mais c'était à peine perdu, les lianes la tiraient et elle faisait que se blesser aux doigts.


Elle regarda l'aurore qui était dans un état, elle le vit faire un dernier effort pour la libérer des lianes, ce qui marcha parfaitement, les lianes se détachèrent de ses chevilles et retourna vers leur protecteur le saule cogneur, mais elle était peut-être libérer de l'emprise des lianes, mais ils n'étaient pas encore sauvés.

Elle était entrain de se masser les chevilles en raison que les lianes lui avait fait mal, elle avait probablement des marques, mais elle ne pouvait pas le contrôler maintenant, il avait trop de danger, quand elle remarqua un mouvement à sa droite, elle vit l'aurore se lever et s'approcher d'elle, elle ne vit pas le danger courir vers eux, elle vit que l'aurore tomba à plat ventre sonné, puis elle le vit lever la tête et Halloween plia les sourcils et suivit son regard, elle retena un cris de terreur, une grosse branche s'abattait sur eux.
Elle lui fallut pas longtemps pour réfléchir et elle glissa sa main gauche dans sa poche du manteau pour sortir sa baguette, la branche n'était plus à quelque mètre deux, elle devait se dépêcher de lancer le sort et lança le sort sur l'aurore.

« Expulsion »dit elle en visant l'aurore, il vit un petit bon.

*mais tu vas décoller ?!?! oui *

Tout ce qui venait de se passer plus l'immense danger qui s'écrasait sur eux la fit sortir de ses gons, elle refit le sort et là l'aurore se retrouva bien éloigner de l'arbre , disons plus éloigner de ses branches folles, ce qu'elle pensait, mais elle se trompait fortement.

Halloween fit une ombre sous elle eut juste le temps de rouler sur elle-même, pour échapper à la branche qui s'écrassait et laissa un petit crater, elle se mit à crier sur l'aurore.
« Monsieur syks je fais quoi maintenant »dit elle en se relevant et en s'époustant le manteau en raison qu'il avait de la terre, mais elle était fortement occupe à faire le ménage sur son manteau qu'elle vit tardivement une branche arriver droit sur elle ne peut amorcer une exequive et la shoota de toutes ses forces, elle atterrisse quelques mètres plus loin. Elle était fortement étourdie et son ventre lui faisait hyper mal, quand elle se réveilla, elle a eu juste le temps de se mettre à genoux qu'elle se mit à vomir du sang, elle voyait tout trouble et la douleur du ventre augmentait de plus en plus. Mais l'aurore était de nouveau en danger une branche allait atterrie sur lui, elle vit la

première chose qui lui passa en tête pour sauver l'homme.

Elle se mit debout et en criant et en bougeant les bras.
« Eh !!, eh ici !! vient ici !!! attaque toi à quelqu'un qui tient encore debout »dit elle en bougeant les bras, mais le seul faite de faire cela la fit lui décrocher une grimace et elle du se pencher en avant raison qu'elle avait le souffle couper, elle tenait son ventre même.

*ça fait mal, mais ne pleure pas, pas maintenant après *

L'arbre se retourna façon de parler et se mit à attaque la pauvre Halloween, au bout de deux attaques elle était brune de terre, essoufflée et elle ne voyait de moins en moins aussi . Ah bout de force, elle ne peut éviter une liane et elle la ramasse en pleine figure, ce qui la fit juter violemment et sa tête se cogna contre une pierre, ce qui la termina, un filet de sang se mit à couler sur la pierre.

Une branche partirent pour écraser Halloween, est-ce que l'aurore pourra intervenir avant la fin d'Halloween.

(hj: c'est pire qu'un roman d'aventure notre poste lol)

DONE 1.079 sans la citation

Le visage souillé de sang et de terre, un mal de tête frappant son crâne comme un marteau piqueur, l’Auror tâcha de se remettre sur ses jambes vacillantes qui parvenaient à peine à le porter. C’était un peu comme si elles n’avaient été faites que de coton. Tremblant et courbatu, les mâchoires crispées sur un visage tendu, il se saisit à nouveau de sa baguette, serrant cette dernière jusqu’à ce que ces jointures en deviennent blanches.

Sans trop savoir quoi faire, il suivait la scène avec désemparement, hébété, comme ne sachant quand ni même comment agir pour ne pas blesser la fillette. Car l’arbre ne lui laissait aucune alternative quand à son champ de vision : c’est à peine s’il pouvait se cadrer correctement pour obtenir un angle de tir approprié. Apophis tâcha donc de s’approcher et vit qu’elle levait les bras, battait des mains tout en criant pour attirer l’attention de l’arbre. Il aurait voulu crier pour l’en empêcher mais ces mots sans force se moururent dans sa gorge Il ne fut alors que le témoin d’un horrible spectacle…

Sans ménagement et avec une violence inouïe, le Saule Cogneur projeta la Serpentarde de touts côtés, lui laissant à peine une seconde de répit pour qu’elle puisse se relever. Lorsqu’elle était sur ses deux jambes ce n’était que pour la faire basculer à nouveau et cette dernière tentative fut la bonne : l’enfant fut propulsée sur plusieurs mètres, roulant sur elle-même comme une vulgaire poupée de chiffon, poussant des cri décharné. Elle ne dut son salut qu’à une grosse pierre qu’elle heurta de plein fouet et qui stoppa net sa course folle.

Eberlué, saisit aux entrailles, Apophis était étourdi de violence, prêt à vomir ses tripes à la première occasion venu tant il avait été secoué. C’était un peu comme s’il s’était retrouvé à la place de la jeune sorcière… Peut-être aurait-il mieux valu qu’il en soit ainsi.

L’Auror déglutit, le souffle court et se jeta en avant afin de la rejoindre. Mais il fut brusquement arrêté par une branche qui, consciencieusement, venait de lui bloquer le passage afin de laisser la place à une autre d’achever le travail. Il poussa un rugissement désespéré, tandis que le Saule armait lentement ce qui serait un coup fatal.

« NOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNN !!!!!! ».

D’un coup bref de baguette, Sykes envoya voler la branche qui lui faisait barrage et s’élança avec vélocité vers la jeune fille étendue. Il n’avait pas tôt fait cela que, déjà, des lianes mues par une férocité véloce se jetaient à sa rencontre, prêtes à l’empoigner.
Mais sa rage et sa détermination furent plus solides que leur abnégation…

Une dernière poussée sur ses jambes et il parvint enfin jusqu’à Halloween, s’écrasant à plat ventre tout contre elle. La branche n’était plus qu’à quelques centimètres d’eux et son lourd poing noueux filait à une vitesse vertigineuse, prêt à s’écraser sur leurs têtes. L’Auror serra les mâchoires, tendit sa baguette et hurla :

« VAPOR VARIABILIS !! ».

Il ne fallut pas une seconde avant qu’une brillante et éblouissante lumière ne jaillisse de l’instrument et ne s’étale sur la zone où se situait l’Auror et la jeune fille. Cette vapeur, semblable à un nuage de fumée, forma un large écran nacré et imparable que même la branche de l’arbre ne semblait atteindre.

Lorsque que les lianes se rendirent compte de cela, elles furent plus intelligentes et tentèrent de contourner ladite protection. Mais elles sufrent tout autant dépourvues que leur camarade car repoussées avec une force et une vitesse phénoménale.

Le brouillard formé par le sort se dissipa et laissa place à deux silhouettes dont la première, massive et charpentée, portait l’autre dans ses bras. La branche les considéra un instant comme si l’arbre eut été doté d’un œil et qu’il fut donc capable de les voir tous les deux… mais la puissance magique que dégageait l’aura d’Apophis eut tôt fait de lui faire réviser ses positions, choisissant de contre-attaquer d’une autre façon…
Les brumes commencèrent à se dissiper autour de ses chevilles, lui laissant le champ libre pour riposter.

C’est alors qu’une étrange brise fit son apparition, soulevant bientôt les feuilles alentours et à les faisant virevolter de plus en plus rapidement, couchant l’herbe sous sa force invisible, battant les flancs d’une masse fantomatique faite de nimbes laiteuses. Ces brises qui, peu à peu, se faisaient plus violentes paraissaient façonner la forme d’un homme : ses jambes, son manteau, son buste, ses bras et bientôt son visage et ses cheveux que l’on devinait à peine sous cette brumisante fumée qui composait ses traits.

Apophis était fait de nuages, de vapeur, de brumes. Il était aussi léger et consistant que l’air qui le formait et il flottait à présent à quelques centimètres du sol, porté par ces bourrasques qui ne semblaient réagir qu’à sa propre volonté. Elles tournoyaient autour de lui dans une danse infernale un peu comme une tornade et protégeait la jeune sorcière et son protecteur de toute autre attaque.

Détenant toujours Halloween dans ses bras, sa tête pendant en arrière et les yeux clos dans son inconscience, Apophis crut bon de s’élever de quelques mètres dans les airs, flottant et échappant bientôt aux branches qui le fixaient –oui, comme des yeux !- sans savoir trop quoi faire… Les bras solides qui renfermaient l’enfant faisaient comme une couche de nuage laiteux et doux donnant à la petite Strue des allures d’ange tombé du ciel –et quel ange !-.

Le sourire canaille d’Apophis se traça sur les volutes de fumée qui composaient sa bouche. L’arbre tentait de lancer ses lianes à leur encontre mais rien n’y fit : ils étaient trop hauts dans le ciel maintenant.
L’Auror était prêt à contre-attaquer au cas où la ténacité du Saule Cogneur se serait faite plus insistante, mais il n’eut pas à le faire.

L’arbre pouvait essayer toutes les tentatives qu’il désirait, la protection qu’il avait établie était trop puissante pour que sa force brute et dévastatrice puisse en venir à bout. Autant s’amuser à attraper un courant d’air… Seule une attaque magique pourrait faire redescendre Sykes et rompre le charme qui opérait sur eux et le pauvre saule n’en disposait pas…

Serrant toujours la fillette contre lui, l’Auror chercha à voir si elle se portait bien. Manifestement, elle supportait et survivait mais ne semblait pas pour autant au meilleur de sa forme. De plus, elle avait perdu connaissance et son « sommeil », du fait de sa douleur, était pour le moins agité…

Il jugea qu’il était bon de l’emmener à l’infirmerie de manière à ce qu’elle puisse être soignée rapidement. Oscillant entre Sainte Mangouste et cette dernière, son choix se rapporta bien vite sur celle-ci. Apophis, bien qu’ayant sauvé cette enfant, n’avait aucun droit sur elle et n’en était nullement responsable. C’était à l’école qu’il incombait de se charger de son élève. Il n’avait été là qu’au bon endroit et au bon moment…

Se soulevant alors un peu plus dans les airs, il fila rapidement vers le château, survolant les ramparts pour bientôt atterrir dans la cour.
Les pieds de l’Auror touchèrent terre et, à ce même moment, son corps reprit une apparence normale –les volutes de fumée disparaissant au simple contact du sol.

Mais, comme si sa course ne s’était pas achevée, il se précipita d’un pas décidé vers l’infirmerie. La cadence de son allure était tellement peu effrénée que ses bottes claquaient ferme contre le parvis de marbre de l’entrée principale, la jeune Serpentarde ballottée dans ses bras…

[HJ : tu peux réagir sans aucun problème à ce message si tu le souhaites. Je me permettrai de commencer un autre rp à l’infirmerie si le cœur t’en dit. Si tu veux commencer ce même topic tout de suite, envoie-moi un mp et je le ferai !].