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 Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !

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Ξ Sujet: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyMer 15 Juil - 15:20

« Il se voyait sur un grand étalon fougueux, les ganaches proéminentes, sa tignasse blanche de nain agitée par des vents houleux, son front orné d’une fine tiare recouverte d’au moins huit épaisseurs de diamants, il voyait les oriflammes claquantes dominer la pléthore de gens qui se pressait en contrebas pour anéantir l’envahisseur vert, il voyait les étendards pourpres de sa noble lignée…

« Non, non, non, non, bleus les étendards, bleus et bronzes», chuchota une voix flûtée.

Donc, il voyait les étendards bleus et bronzes de sa noble lignée, frappés des emblèmes héraldiques de la grande maison Flitwick, un aigle immense à mine austère, s’avancer parmi les combattants qui mugissaient de tous côtés des « Pour Filius le Magnifique », alors que lui-même, du haut de sa colline, râlait comme à son habitude. Il chassa d’un geste nonchalant de la main une foule de galeux et de mendiant qui avaient la fâcheuse habitude de traîner à sa longue cape pourpre en lui baisant maladroitement ses minuscules pieds…

« Mais, vous êtes dur de la feuille ou quoi, s’insurgea la même voix aigüe, j’ai dit bleu et bronze la cape, bleu et bronze, ce n’est quand même pas compliqué ? Et puis changez moi ces détails affreux là, remplacez cette horrible « tignasse blanche de nain » par « chevelure d’un blond sombre, digne de la crinière d’un lion majestueux, d’un grand et robuste homme du genre héros mythologique », ordonna-t-il à grand renfort de gesticulations. Et puis les « minuscules pieds », là, non mais vous savez plus quoi inventer, changez moi ça en «puissantes chaussures, telles les profondes racines qui le lient à la grandeur et à la beauté ». Non mais tout se perd je vous dis, tout se perd !

Soit, il chassa donc d’un geste infiniment distingué une foule d’admirateurs en délire devant sa somptueuse cape bleue et bronze, dégageant ses précieuses chausses, telles les profondes racines de sa toute puissance, et s’avança d’un pas souple et léger de ses longues jambes musclées, s’approchant des larges créneaux de sa somptueuse tour d’or et d’argent…

« Oui, bon, c’est déjà un peu mieux, mais faut quand même que ça reste crédible, on est un Filius ou on ne l’est pas, enlevez moi l’argent, commanda une voix impérieuse et assez manifestement pédante ».

Soit, il s’avança donc d’un pas conquérant vers le créneau le plus proche de sa plus haute tour d’or, passant devant sa chevelure blonde et fougueuse une main où des veines saillantes et d’un bleu désolant apportaient un peu de vie aux antiques membres du petit être à crinière blonde. Plissant avec une mimique assez niaise et disgracieuse ses yeux de gobelins, il scruta l’horizon qui s’étendait au dessous de son magnifique château, les sols jonchés des cadavres des combattants, les cieux assombris par…

« Non, mais c’est une blague, hein, demanda ironiquement une petite voix sucrée. On est à Ma vie de sorcier farceur et il y a une baguette cachée quelque part, c’est ça ? Bon alors, continua le nain sur un ton qui se voulait le plus posé possible, mais qui laissait néanmoins transparaître une humeur du genre « toi, je te scalpe à la prochaine erreur », on va fixer des règles toutes simples. Quand vous voulez parler d’une couleur, ce sera « bleu et bronze », et lorsque vous penserez à quelque chose du genre « gobelin, vieux, sombre, faible, petit, moche, sot » et tout le tralala, vous remplacerez aussitôt par « magnifique souverain, jeune pur-sang fougueux, vigoureux combattant, grand gars typé scandinave, superbe musculature et intelligence avancée », vu ? Bon, on reprend alors. »

Alors, je disais donc que le magnifique souverain s’avançait d’un pas impérial vers le créneau le plus proche de sa plus haute tour de bleu et de bronze, passant devant sa chevelure bleue et bronze une main puissante et musclée, à l’image de son corps de jeune pur-sang fougueux, et le grand homme typé scandinave scruta l’horizon parsemé de magnifiques arbres bleus et bronzes à la recherche d’un dernier ennemi vert ? Bleu et bronze ? Non mais là, ça ne marche pas, professeur, des tours bleues et bronzes, OK, on pourrait en trouver, ne parlons pas des arbres bleus et bronzes, j’en ai d’ailleurs chez moi, mais là, je suis bien forcé de marquer vert, pour la cohérence, non ? Bon, allez, je mets vert.

Donc, le glorieux duc-archevêque-maître du monde-roi eut un petit air satisfait très classe, pinçant légèrement ses lèvres pulpeuses, car en contrebas, deux grands benêts transperçaient les couleurs argent et émeraude de l’oriflamme de l’armée Serpentard à grands coups de bâtons surmontés d’un aigle austère et farouche, ainsi que d’un délicat linge bleu et bronze juste au dessus des lettres FFF, Filius Flitwick Forever, dans le genre SPQR, mais en plus classe. A la suite de cette brève bataille remportée haut la main par la noble et grandiose maison Flitwick, le grand gars typé scandinave fit venir autour de lui les plus éminents historiens du royaume Flitwick, et donc du monde, afin que soit gravée dans le marbre cette définitive et magistrale bataille à tout jamais ! Passant judicieusement sous silence le demi million de soldat jonchant le sol, la destruction totale semée par ces campagnes à répétition contre le dernier clan résistant encore et toujours à l’envahisseur, on fit également venir les peintres officiaux, qui, dans un élan d’inspiration, représentèrent notre jeune pur-sang fougueux massacrant une cinquantaine de Serpentard en un coup de baguette, sur un cheval cabré et furieux, les nasaux dilatés. Après ces courtes procédures éreintantes, le maître du monde songea qu’un bain dans son lac personnel de pièces d’or ne serait pas de trop, c’est ainsi qu’après avoir enfilé vite fait bien fait un maillot de bain couvert de gemmes plus grosses que sa propre main musclée et puissante, il plongea tel un athlète dans… »

« Nom de…, déjà l’heure ? », ronchonna une petite voix ensevelie sous les édredons et autres couvertures, occupée préalablement à mimer une sorte de brasse un peu bancale et à caresser ses beaux cheveux supposément blond sombre. Dur retour à la réalité après ce rêve particulièrement… savoureux et exotique, pensa le petit professeur, enfilant délicatement son élégante robe de chambre en velours gris et ses patins d’un bleu tranchant. Debout devant le vaste miroir de son armoire aux pieds branlants, vu le poids des siècles de poussière et des livres entreposés ici et là, à tout hasard, il se passa une main dans sa tignasse blanche, où quelques faiblesses commençaient à apparaître, révélant un crâne qui débutait à se couvrir de taches de vieillesse. Après avoir poussé un profond soupir de dépit, il pérégrina au travers de son bureau, traînant lourdement ses pantoufles compensées spéciales « Hiver rude et ère glaciaire », posant son regard sur les petites tables surchargées, résistant difficilement à l’appel des gros fauteuils rembourrés et moelleux à souhait, débarrassant son bureau de quelques parchemins laissés en plan la veille. Mais bon, ça ne pouvait pas être pire que l’année dernière, se consola-t-il intérieurement. L’affreux régime tyrannique des Carrows était aboli, Rogue évincé, et un air nouveau de tolérance, de liberté et de partage soufflait joyeusement sur un Poudlard encore en ruines par endroit. « J’aurais au moins droit de faire apparaître un coussin bien confortable », murmura Flitwick, qui avait gardé un très mauvais souvenir du chiffon-ersatz qui lui avait servi de rembourrage l’année passée, technique de pression psychologique des Carrows à coup sûr. Après avoir trifouillé pendant un temps considérable dans son armoire, à grand renfort de « Mais où diable les ai-je mis ? », le maître des sorts finit par dégotter une ravissante robe bleue ciel parsemée d’étoiles et de lunes, assortie avec un petit chapeau de sorcier pastel.

Fardé comme sa nouvelle fonction de directeur-adjoint l’exigeait -encore du travail en plus, ouais !- il dévala une volée de marches et s’installa quelques minutes plus tard dans la Grande-Salle, passablement éreinté, abordant un teint très divertissant, sorte de croisement entre la pivoine et le coquelicot, posant pesamment son royal postérieur sur une petite montagne de coussins duveteux, chassant avec un petit sifflement l’air qui gonflait ses bajoues flasques, et il lorgna avec intérêt le porridge de Chourave. Tentant discrètement un sortilège d’attraction, qui échoua lamentablement lorsqu’une main potelée aux ongles crasseux cloua son bol au sol, s’étonnant de le voir glisser discrètement, Filius essaya la locomotion, faisant pousser de petites pattes au bol de Chourave qui trottinèrent doucement mais sûrement vers lui, alors que Chourave tournait la tête pour chuchoter à Macgonagall « Vous êtes sûre que les élèves n’ont pas accès aux cuisines ? ». Triomphant triomphalement de sa fourberie, il attaqua illico presto son porridge, manquant de s’étouffer lorsque Chourave planta sa fourchette en or massif dans un innocent toast volant que Filius venait de piquer à Macgonagall en le faisant léviter, directrice qui répondait à sa collègue un bas et déconcerté « Je croyais pourtant avoir beurré une tartine… », Cherchant des yeux le toast fugitif. Prétextant une soudaine envie de harengs fumés à sept heures et demie du matin, le semi-gobelin eut un soudain intérêt pour le plat posé à l’autre bout de la table, que Hagrid lui tendit maladroitement, manquant d’ensevelir Macgonagall sous une marée de harengs salés, une technique de diversion pendant laquelle il poussait à petits coups de coudes réguliers le bol de porridge volé à Chourave, qui manqua de choir bruyamment sur le lambris. Il s’insurgea ensuite avec ses deux collègues du service de maison qui commençait à laisser désirer, assurant qu’il découvrirait la cause de ces mystérieuses disparitions, alors que le professeur Vector lui demanda d’un ton assez explicitement mauvais « Ne serait-ce pas mon thé que vous avez entre les mains ? », sur lequel Filius enchaîna un « Mais comme le temps passe vite, c’est incroyable, on m’attend déjà, bon, heu, bonne journée mesdames ».

Il eut un vague remord en chemin, non pas, lecteur non attentif, à propos de son trafic de denrées alimentaires de premier choix, mais en songeant à la pauvre Bones, cette brave gamine, que Slughorn avait tenté d’enrôler pour éviscérer des crapaud cornus, et qui devait se faire un sang d’encre devant la salle de classe, car Flitwick était réellement à la bourre la plus totale. Accélérant la cadence, activant ses petites jambes digne d’un scarabée, il arriva enfin devant sa salle de cours, mais pas de traces de Susan. Etrange. Il rompit le silence parfait du troisième étage, tournant la clé de la salle à grands renforts de cliquetis, poussant le large panneau de bois pour pénétrer en ce haut sanctuaire de la magie. En rentrant dans la salle, il eut un grand sourire : enfin, tout revenait à la normale, tout était comme avant. Flitwick posa son cartable sur son bureau étrangement bien rangé, agita négligemment la baguette pour allumer les 3 cheminées qui embaumèrent l’air de douces senteurs d’essence de bois, et fit apparaître quelques coussins rembourrés tout en ouvrant les lourds rideaux de velours pourpres. Les vastes gradins qui s’appuyaient contre les murs semblèrent s’illuminer, les inscriptions anciennes gravées profondément dans les murs se mirent à luire, révélant de vieilles maximes et autres phrases sibyllines, cachées par endroit soit par les injures du temps, soit par de hautes armoires en bois massif, un peu branlantes sous le poids des siècles de notes, de parchemins et d’anthologie des sortilèges qui s’appuyaient sur elles. D’un geste de la main, il fit pivoter les deux grands tableaux noirs sur roulettes, afin que chacun puisse voir en temps utile les inscriptions intelligentes et autres théories complexes qui ne tarderaient pas à s’y inscrire. Il entreprit d’escalader son vaste promontoire, posé au milieu de la salle et constitué d’un amas de livre et de parchemins, telle une pyramide un peu incongrue, où était perché un porte-notes en forme d’aigle, où il déposa des parchemins couverts de schémas et autres théorèmes étranges. Passant parmi les gradins, il effleura de sa main aux veines sinueuses et proéminentes les tables en bois massif, déposant sur des tables basses disséminées un peu partout des parchemins d’instructions très complexes, redressa des piles de livres en équilibre précaire, attendant avec impatience l’arrivée des élèves, et de son assistante, avec laquelle il allait partager le cours pour la première fois !
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyMer 15 Juil - 17:03

Sophie se promenait dans le parc en se demandant pourquoi les cours lui semblaient tellement réduits cette année. Ce matin là, elle n'avait eu aucun cours et c'était donc pour cela qu'elle se trouvait dans le parc à ne rien faire. Elle était seulement pensive et elle réfléchissait. Elle regarda soudain l'heure et constata qu'il était plus que temps qu'elle aille déjeuner si elle ne voulait pas se mettre en retard pour son cours de l'après-midi. Elle se rendit donc dans la Grande Salle où il lui fut servi un plat de jambon avec des pommes de terre frites. Elle le dégusta en pesant à son cours de l'après-midi qui était un cours de Sortilèges. Quand elle eut fini de déjeuner, elle se rendit dans sa salle de cours où le professeur Flitwick attendait ses élèves. On prétendait aussi qu'une ancienne élève serait également sa partenaire désormais dans ce cours.

"Bonjour, professeur Flitwick. J'espère que vos vacances ont été agréables et qu'elles vous ont permis de vous reposer. Je suis impatiente de commencer."

Sophie se trouva une place et sortit son matériel.
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Haven Clarks
Haven Clarks
Directeur Gryffondor

Parchemins : 546
Âge : 14.02.84 ;; 33 ans
Actuellement : Professeur de Vol sur Balais
Points : 0


Informations supplémentaires
SIGNE PARTICULIER:
RELATIONS:
SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: 24
FACECLAIM: Matt Bomer


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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyVen 17 Juil - 17:57

Le petit déjeuner était l’un des repas qu’Haven appréciait le plus. Après le réveil, les sens encore embrumés par une longue nuit morose, il appréciait se délecter d’œufs brouillés, de bacon ou encore de pain grillé. Le petit déjeuner le mettait toujours de bonne humeur. Il n’y avait rien de plus désagréable que de sauter ce repas. Ce matin là, Haven ne fit pas exception à la règle : avec une détermination sans précédents, il but d’une traite son jus de citrouille matinal, avant de s’attaquer aux œufs qu’il avait mis dans son assiette. Il chercha du regard Cherise, tout en sachant pertinemment qu’un faux geste, un mouvement trop peu discret pouvait s’avérer dangereux. Sa présence lui manquait. Tôt ou tard, il devrait franchir l’interdit, il en était conscient. Quoiqu’il advienne. Mrs Rowle n’avait nullement le droit d’empêcher tout cela. Quand il eut dégusté son petit déjeuner, il sortit de la grande salle tranquillement, pour retourner chercher ses affaires dans la salle commune. L’un des grands privilèges de se lever tôt, c’était bien d’avoir le temps… de prendre son temps. Une journée chargée de cours s’annonçait. Son insigne de préfet brillant sur sa poitrine, il marchait sans aucune prétention. Quand bien même cette nomination l’avait honoré, il n’en avait manifesté aucun profit. Il ne voulait nullement que les autres le perçoivent comme quelqu’un de supérieur. Il était préfet, certes mais il gardait les pieds sur terre ; et si jamais il lui arrivait de réprimander certains de ses camarades, c’était plus sur un ton jovial et qui se veut fraternel plutôt que déterminé et péremptoire. La vie d’Haven semblait bien différente des années précédentes. Il éprouvait la même souffrance de ne pouvoir être avec Cherise qu’en fin d’année précédente, lorsqu’elle avait été enlevée et torturée. Ca n’était pas le même bourreau, cette fois. Il rentra dans sa salle commune, après avoir fait un vague sourire au portrait qui gardait l’entrée, et se dirigea vers les dortoirs. Son emploi du temps de la journée était chargé, et il se sentait déjà stressé. Il avait eu vent de cette nouvelle école, Taliesin, qui commençait déjà à faire ses preuves, et qui menaçait dangereusement Poudlard. Cette école ne l’attirait pas le moins du monde. Il se sentait chez lui, à Poudlard. Gryffondor avait été pour lui un foyer, et il ne voyait vraiment pas ce côté-là présent à Taliesin. Cette école lui semblait morose et froide, sur l’échiquier géant des académies internationales de magie. Il était bien à Poudlard, bien dans sa peau. Il attrapa son sac, et sortit de son dortoir, puis, de sa salle commune. Une longue matinée s’annonçait…

Haven marchait discrètement dans le couloir qui menait à la salle du cours de sorts. Sa baguette dans sa poche arrière, il tenait fermement son sac, et regardait en l’air. Il se sentait déjà fatigué. Son esprit s’était assoupi dans les méandres de son inconscient. Il essayait vainement d’oublier ses soucis du moment, mais, en vain. Il était plus décidé que jamais. Ce soir, il monterait un plan pour s’entretenir avec Cherise. Secrètement, et personne, mis à part elle et lui, n’en saurait quoi que ce soit. Mrs Rowle n’avait pas le droit d’empêcher leur relation d’exister. Il ne connaissait pas ses intentions, ni la raison pour laquelle elle avait pris une telle décision, et, de toute manière, il s’en fichait. Mais il se promit d’essayer dès ce soir là de retrouver celle pour qui il avait tant de sentiments.

« Bonjour monsieur ! »

Il entra dans la salle de classe, et s’installa tranquillement. Un cours de plus… Mais quel cours ! Il aimait bien le professeur Flitwick, quand bien même c’était le directeur de la redoutée maison des Serdaigle, les sages et érudits. C’était le moment où jamais de faire ses preuves, et de faire fonctionner ses neurones… et sa baguette !
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptySam 18 Juil - 0:55

L’année scolaire reprenait bel et bien. Le voyage dans le Poudlard Express l’avait fait pressentir, mais seuls les cours permettaient de faire sentir aux élèves que les vacances étaient réellement terminées et qu’ils repartaient pour dix mois de travail studieux et difficile. Moins difficile que les années précédentes, certes, mais il était toujours important de bien commencer l’année et de ne pas se laisser noyer par la quantité de travail imposée. Laura, qui revenait au collège écossais pour la troisième fois l’avait apprit et s’était préparée. Elle voulait désormais se dépasser pour prouver qu’elle aussi pouvait être une bonne sorcière. Le prouver à qui ? Ce n’est pas la question. A elle-même, aux professeurs, à ses parents moldus. Peut être même au monde.

Laura était toujours d’humeur maussade, alors qu’elle se dirigeait, seule et à pas lents, vers la salle du cours de sortilèges, dirigé par le professeur Flitwick. Elle avait besoin de parler à quelqu’un, mais n’avait plus vraiment d’amis à Poudlard. L’année précédente, la peur d’être découverte comme née-moldue l’avait rendue distante, et mis à part Rory et Colin, elle n’avait pas parlé avec beaucoup d’autres élèves. La jeune lionne n’avait pas encore revu la Serdaigle. Quant au petit Gryffondor, elle préférait ne pas y penser, même si son visage s’imposait souvent à elle. En définitif, il suffit de dire que la Troisième année se sentait extrêmement seule en ce début septembre, alors qu’elle cherchait encore des repères.

Enfin, les pieds de Laura la menèrent jusqu’à la porte du professeur Flitwick, ou plutôt de sa salle de cours. La Gryffondor n’avait jamais été très douée pour lancer des sortilèges. Elle était plutôt forte en potions ou botanique. Pourtant, elle appréciait le petit professeur, qui n’avait jamais montré un signe de préférence envers l’une ou l’autre des maisons, et ce bien qu’il soit directeur de Serdaigle. C’était lui aussi qui avait fournit l’année précédente des faux-papiers à Laura, ce qui lui avait permis de passer l’année à Poudlard, bien qu’elle l’eut vécue dans la peur d’être découverte. Au fond, la jeune sorcière devait beaucoup au petit sorcier, et ne l’oublierait pas. Même s’il avait eu à un moment des gestes plutôt effrayants à son égard.


- Bonjour Professeur Flitwick.

Comme toujours lorsqu’elle entrait dans une salle de cours, Laura regarda partout afin de chercher une connaissance. Comme d’habitude, il n’y avait personne. Surtout que là, il n’y avait encore que deux élèves présents. Une Poufsouffle inconnue, et un garçon de sa maison, plus âgé qu’elle. Quelque chose attira cependant l’attention de la petite lionne sur la poitrine de son camarade : l’insigne de préfet. Ainsi, c’était lui qui avait remplacé Edward Montgomery. Laura se souvenait très bien de ce dernier : il l’avait accueillie à son arrivée, avec d’autres premières années afin de leur faire visiter le château. Cette visite avait d’ailleurs été très bénéfique, même si la rouge et or avait eu besoin de temps pour vraiment appréhender la difficile organisation du collège.

L’insigne de Préfet d’Haven Clarks avait donc donné une idée à Laura, qui s’approcha de la table où le jeune homme était assis. Elle se planta face à lui, et dit rapidement, en le regardant dans les yeux :


- J’pourrais te parler après le cours ?

Si quelqu’un pouvait l’aider à y voir un peu plus clair, c’était bien le préfet de Gryffondor. Elle ne le connaissait pas, mais le Professeur McGonagall n’aurait jamais choisit un incompétent pour préfet de la maison dont elle était directrice. Bien que la professeure de Métamorphose avait toujours été très stricte, elle enseignait très bien et Laura lui faisait confiance. De toute manière, elle devait faire confiance à ses professeurs.
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyDim 19 Juil - 11:11

"Mais aie!"

Vociféra la jeune fille alors qu'un groupe de premières années la doublait en courant comme des dingues. Elle entendit un lointain "désolé, en retard en cours" provenant du fond du couloir où les jeunes gens disparaissaient alors qu'elle même ramassait les feuilles qui lui avaient échappées: les notes des précédents cours de sortilège. Contrairement à celles du cours de potion ou bien encore de botanique -et je ne vous parle pas du cours de soin aux créatures magiques de l'année dernière, elle avait été jusqu'à les relier- on ne pouvait pas dire que la prise de notes était soignée. Un gribouillis par ci, un mot par là... une formule, quelque chose entre parenthèse. Des ratures, beaucoup de rature et surtout des inscriptions étranges dans la marge comme "Le mouvement doit être effectué en 3sc. La boucle est large, la retombé rapide." ou bien "se prononce avec un O fort et un a faible". Ces précieuses indications lui permettaient de lancer un sort correctement au moins... pfou... une fois sur 50 000 et c'était toujours mieux qu'au début où le taux de réussite avoisinait le néant total.

Ethele ne comprenait pas exactement d'où provenait le problème. Elle effectuait correctement les gestes... d'ailleurs durant l'été l'ami chef d'orchestre de ses parents -Par merlin, ses parents ont donc un ami pour chaque métier de cette foutue planète?!- lui avait fait travailler son jeu de poignet et d'épaule comme elle lui avait demandé... sous prétexte qu'elle voulait comprendre les mouvements complexes de l'homme puisqu'elle maitrisait de mieux en mieux son violon. Elle arrivait donc avec une souplesse du poignet nouvelle et une maîtrise de ses mouvements à toute épreuve. Et malgré cela elle n'arrivait toujours pas à faire marcher le foutu bout de bois. Il en allait de même avec les formules. Depuis qu'elle savait parler elle suivait des cours de diction -une femme doit savoir se faire comprendre ma fille!- alors prononcer correctement un mot quand on était capable de lancer "je veux et j'exige d'exquises excuses" sans riper sur le moindre mot et le tout à la vitesse de 70 syllabes à la seconde ce n'était pas la mer à boire.

Bon au fond la réponse était assez évidente: Ethele manquait cruellement de concentration. Hors tout le monde le sait, si on ne se concentre pas, on fait des conneries. Et ceux dans n'importe quel domaine et encore plus lorsque l'on a une connerie de bout de bois bon à rien et complètement inutile baguette magique entre les mains. Elle qu'elle devait penser aux effets de son sort, à ce qui allait se passer mais son esprit déviait -on ne sait trop comment- sur la tarte à la pomme qu'elle avait mangé ce midi. Puis il passait ensuite au pommier du grand jardin du manoir qui avait peut-être fleuri, Paul en ramassera peut-être tien... je devrais demander à Mère de m'en envoyer. Ou bien plutôt des bonbons. Ho à la sortit dans ce village de sorcier là pâte-au-lait je pourrais en acheter peut-être. Enfin est-ce que j'y vais cette année? D'ailleurs il serait temps que...


"Miss Val vous faites bruler les sourcils de votre camarade!"

Voilà à peu prêt la phrase qu'Ethele avait tendance à entendre quand elle voulait lancer un sort de lévitation car de toute manière elle même s'était envolée à mille lieux du cours. C'était assez honteux de s'humilier devant ses camarades mais en plus il fallait que le professeur soit son directeur de maison. Il devait la trouver bien stupide et nulle pour une Serdaigle le petit homme. Et avec ça cette année on rajoutait aux spectateurs une demoiselle qui se faisait appeler "assistante du professeur". Susan Bones.... Ethele n'avait pas vraiment de sympathie pour la jeune fille, sans la connaître pourtant. Mais elle l'avait déjà croisé -en outre durant le cours d'étude des runes- et le sentiment qui en était ressorti n'avait rien d'élogieux... pour l'ex-poufsouffle bien sur. Une fille mal polie, dissipée, le genre qui devait se moquer de ceux qui comme elle n'avaient pas la chance d'être des stars.

Pfa. Tu auras de quoi faire avec moi Bones.

Ethele poussa donc la porte du cours de sortilège déjà persuadée qu'elle n'arriverait à rien. "Mais non, si tu pars comme ça c'est sur que tu ne vas pas y arriver". Ho il vaut mieux ce dire que l'on va échouer et réussir que l'inverse non?. Elle se tourna vers le petit homme déjà à son bureau, lui accorda un sourire et continua son chemin vers une table du fond, proche du mur. Si elle s'installait à côté d'une fenêtre sa concentration s'envolait encore plus vite en fumée. Elle lui souhaita tout de même le bonjour d'une petite voix à peine audible avant de s'engouffrer entre les rangs.

Avec joie et bonne humeur.
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Emma Carter
Emma Carter
Ste Mangouste

Parchemins : 1871
Âge : 30 ans {02/05/1987}
Actuellement : Médicomage
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SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: 9
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyDim 19 Juil - 12:21

Emma s'était levée de bonne humeur en cette matinée de septembre, impatiente à l'idée de se rendre à son premier cours de sortilèges. Ses camarades de dortoir étant endormie elle prit son temps, n'ayant pas à sprinter pour arriver à la salle de bain en première afin de prendre sa douche. Enfin, prête à aller prendre son petit déjeuner, elle vérifia une nouvelle fois qu'il ne lui manquait rien et s'aperçut qu'elle avait laissé sa baguette sur sa table de chevet. ça commence bien.
Maudissant sa propre stupidité, elle se précipita vers la table pour prendre sa baguette et glissa sur un pan de sa couverture qui traînait par terre. La jeune fille sentit ses pieds décoller du sol et atterrit douloureusement et bruyamment sur le sol de pierre. Les larmes aux yeux, elle se releva et attrapa enfin sa baguette. Le vacarme qu'avait causé sa chute avait eu pour effet de réveiller ses camarades et elle entendit des "Keskisspasse" prononcés d'une voix pâteuse. Des têtes émergèrent des lits, l'air passablement énervées. Filons !
La Serdaigle quitta son dortoir à toute vitesse tandis que des missiles divers et variés étaient jetés en sa direction.

Légèrement essouflée, elle déboula dans sa salle commune sous les regards interrogateurs de ses camarades. Tout est dans la discrétion.
Gênée par tous ces regards posés sur elle, elle quitta la pièce à grands pas, regardant droit devant elle.
Il était encore assez tôt et il y avait peu de monde dans les couloirs. Sept étages à descendre, tout ça parce qu'il avait fallu que sa salle commune se trouve tout en haut d'une tour. Ok, la vue était sympa. Mais pour y arriver, il fallait limite grimper l'Everest, en se faisant bousculer de toutes parts, ou attaquer par Peeves, l'esprit frappeur qui prenait un malin plaisir à s'en prendre aux première années. Fort heureusement, Emma ne fit pas de mauvaises rencontres et arriva saine et sauve à la Grande Salle.

La jeune Serdaigle prit un petit déjeuner très léger, elle n'avait jamais vraiment faim le matin. Pendant ce temps la salle avait commencé à se remplir et elle voyait aux autres tables des élèves affamés s'empiffrant de toasts, de pancakes, de gelées et autres mets. Comment pouvait-on manger autant aussi tôt ?
Elle ne savait absolument pas où pouvait se trouver sa salle de sortilèges et attendit donc de voir partir d'autres élèves de son année afin de pouvoir les suivre discrètement.
Mais elle ne reconnaissait personne et commença légèrement à angoisser. Si personne ne se rendait en cours de sortilèges, comment allait-elle trouver sa salle ? On se calme.
Elle se tourna timidement vers son voisin de table et l'interrogea sur la localisation de la salle de sortilèges. "Troisième étage, au bout du couloir des Sortilèges, tu ne peux pas la rater"
Elle était bien avancée ! Et le couloir des Sortilèges, il était où ? Hein ?

Emma se leva de table en remerciant malgré tout le Serdaigle qui l'avait renseigné.
Arrivée au troisième étage, elle commença à avancer dans le couloir qui s'offrait à elle, jetant un oeil à chaque salle devant laquelle elle passait, mais la plupart étaient fermées.
Elle arriva au bout du couloir, il ne restait plus qu'une salle. On croise les doigts. Elle jeta un coup d'oeil discret à l'intérieur de la salle et fut extrêmement soulagée en apercevant enfin le professeur Flitwick.
Petit, avec des traits semblables à ceux des gobelins, on ne pouvait pas s'y tromper, c'était bien son directeur de maison.
La jeune fille entra dans la pièce, et se mit en quête d'une tête connue. Malheureusement, elle ne connaissait personne, à part une élève de sa maison qu'elle pensait avoir déjà aperçue.
Elle adressa un "Bonjour professeur" d'un ton poli et alla s'asseoir vers le milieu de la salle, peu désireuse de se trouver juste devant le professeur si elle se trouvait être incapable de faire quoi que ce soit avec sa baguette.
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyLun 20 Juil - 16:23

Se réveiller, voilà le verbe le plus mal fait de la planète. Pourquoi fallait-il avoir inventé un verbe aussi ennuyant. Mais c’est vrai il y en a de bien plus utile comme respirer, marcher, ou manger! Manger… Oui manger c’est ça Mark se souvint pourquoi il devait se réveiller. Ce matin, son premier cour de sort. Il devrait se dépêcher pour ne pas arriver en retard dès le premier cour de sa vie. Il s’habilla donc en quatrième vitesse et ne fit pas son lit, salua un ou deux camarades de dortoir et sortit en trombe. Mark rencontra quelques jolies filles sur sa route vers la grande salle et se fut une épreuve ardue de ne pas commencer à jouer avec elles comme il sait si bien le faire. Il arriva en trombe dans la grande salle et couru à la table des serpentards, sa nouvelle famille, ceux avec qui il restera toute l’année. Mark avala un jus de citrouille et deux brioches puis il prit ses livres et se dirigea vers la classe du cour de sort. Il ouvrit la porte et fut comme attiré par quelque chose ou plutôt quelqu’un, jamais il n’avait vu plus belle fille au paravent.

Il en fut tellement hypnotisé qu’il ne salua pas son professeur mais lui marcha plutôt sur le pied. La fille était tellement belle et pure. Comme il les aimait. Ses yeux verts brillant et ses cheveux bruns lui tombait sur les épaules. Elle semblait si fragile et délicate. Mark ne connaissait pas son nom mais elle était assise vers le milieu de la salle et semblait ne pas connaître beaucoup de gens dans la classe.

*Ressaisit-toi pauvre malade* Se dit-il. Depuis quand le grand Mark Benz briseur de cœur et dragueur en série pouvait-il rester pâmé devant une si minuscule créature. Jamais il n’avait jamais été comme ça et ne le deviendrait certainement pas maintenant. Malheureusement, juste après avoir dit ça il était de nouveau dans les vapes, cette fille lui faisait vraiment quelque chose, comme plein de papillons qui veulent sortir de son corps et l’impression que tout ira bien, qu’il n’y a aucun problème. Mark se perd dans ses yeux.

*Je vais lui parlé, j’en suis capable* Pensa-t-il. Il s’approcha de la fille, comme à son habitude, d’un air assuré et détendu. Mais lorsqu’il voulu lui servir son baratin habituel rien ne sortit excepté ceci :

"Beau t..toi…cheveux…bou..che...Hum...Hum...Oui hein?". Comment avait-il pu dire ça? Il attendit pour voir ce que la fille aurait compris de son message. Qu’allait-elle pensé de lui maintenant?

Méfaits accomplis Wink Merci pour tout !


Dernière édition par Mark Benz le Mar 21 Juil - 16:12, édité 2 fois
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyMar 21 Juil - 15:49

Aller ! Le cours du professeur Flitwick ! Le cours de sortilège était toujours à la fois reposant et distrayant. Ici, aucun risque d’explosion ou d’effets secondaires néfastes. Mais si on y prenait bien garde, on pouvait toujours assister à un sortilège mal lancé, ou à une formule mal prononcé, et ces deux évènements pouvaient être à l’origine de situations… Intéressantes…
Le professeur en lui-même avait quelque chose de drôle, et Siegfried en discutait justement avec un de ses camarades.


-Il est petit quand même le professeur Flitwick. Quand on pense que c’est le directeur adjoint… Cette école part vraiment en poussière...
-Tu sais, c’est un Gobelin. Les gobelins ne sont jamais vraiment grands. Ils sont très moches en revanche, y a vraiment des races qui n’ont pas de chance. Commenta Siegfried
-Moi j’ai toujours pensé qu’en fait il marchait sur les genoux.
-Pardon ?
-Oui, je pensais qu’ils étaient tous adeptes d’une religion qui leur imposait de marcher sur les genoux, de tirer une grimace à faire fuir un détraqueur, et d’être radin comme un… comme un… Comme un gobelin…
-… Oui… Enfin, n’oublie pas qu’il est aussi directeur de la maison Serdaigle… Enfin, moi, ce n’est pas ca qui me réjouit le plus. Il parait que cette année, il y a un bonus dans la classe de Filius…
-C’est un jeu de mot ?
-euh… Non ! A quoi tu pensais comme jeu de mot ?
-Ton bonus, c’est Susan c’est ca ? Susan Bones ! Et l’association de « Bones » et de « Filius » Ca fait « Bonus » non ?
-… Tu réfléchis trop, c’est pas bon pour ton cerveau… Tu vas finir comme un serdaigle si tu continues… Enfin, oui, tu as en partie raison, je parlais de Susan. Je suis curieux de voir comment elle va s’en tirer dans sa mission d’assistante.
-Siegfried…
-Quoi ?
-Siegfried, ne fais rien de compromettant pour notre maison ! C’est tentant de se moquer du professeur Flitwick et de Susan Bones, mais on ne peut pas se permettre de perdre des points à cause de ton impertinence.
-Oh aller, je suis juste entrain de penser que… Nous avons peut être moyen de nous amuser un peu en agaçant cette poufsoufle blanche comme les dents brossées au dentifrice Colgate blancheur.
-Ex poufsoufle, ne l’oublie pas Siegfried


Siegfried s’installa donc à l’un des rangs du milieu, prêt à getter l’occasion de mener à vie au professeur Flitwick en général, mais à Susan Bones en particulier.
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyMer 22 Juil - 17:31

Professeur Flitwick, ouhouuuuuh! Mike était très enthousiaste, le premier cours de Sortilège et Enchantements allait avoir lieu aujourd'hui. C'était un des cours préférée du jeune homme, et il ne voulait pas en raté ne serrais-ce qu'une miette. Le petit Poursuiveur adorait le professeur Flitwick, qui était l'un de ces professeur préféré. Lorsqu'on le voyait, on pensait plutôt à se moqué de lui, à cause de sa taille. Mais il ne faut pas se fier au apparence n'est-ce pas? Quelque chose que ne respecte pas toujours Mike... En tous cas, il s'était levée de très bonne humeur se matin, et contrairement au autres jours avait prit du plaisir à se levée, s'habiller et faire son lit. Oui, car d'habitude, Mike préférait se levée lorsqu'il en avait envie, et détestait se faire réveiller par quelqu'un d'autre. Il abordait un grand sourire lorsqu'il descendit dans la Grande Salle. Il était tellement content qu'il salua non seulement les Gryffondor, mais aussi les élèves d'autres maison et leva même une main vers la table des Serpentard, avant de se souvenir qu'ils étaient les ennemis des Lions. Que lui arrivait-il dont aujourd'hui, le simple bonheur de revoir un professeur le rendait si heureux? Ce n'était pas du tout un comportement habituel de Mike. Il rebaissa la main et parcourra la longue salle pour trouvé une place libre. Celle-ci trouvée, il se laissa tombé tel une plume sur le banc et tenta d'attraper le pichet de jus de citrouille. Il tenta, et non attrapa, car un élève fut plus rapide que lui et le saisit.

Le petit Mike regarda l'élève se servir, mais quel limace ! lenteur. Il ne pouvait pas faire plus vite? Il y avait des gens pressé ici, non mais. « Tu peux pas faire plus vite. »dit le jeune Mike qui commençait à perdre sa très bonne humeur. Mais l'élève ne lui répondit pas. Il cherchait quoi lui? La baston, un duel? En tous cas, Mike n'était pas du genre à se laissé faire. Un sourire malicieux se dessina soudainement sur ces lèvres. Avait-il un plan? Bien sur, toujours...
Il sortit sa baguette de sa poche, très lentement et la placa de façon que seul lui pouvait la voir. Puis, il pointa son bout de bois magique sur le pichet, et fit un geste brusque. Et hop, le contenu du pichet se renversa sur l'élève. Tiens, on fait pipi dans sa culotte à son âge? Les élèves de Gryffondor et de la table voisine explosèrent de rire, et le visage du Gryffondor mouillé vira au rouge. Même Mike rigolait, et avec joie. Mais... maintenant que le pichet était vide, comment allait-il boire? Qu'est-ce que c'était simple ! Il leva la main et attrapa le verre de son condisciple, qu'il vida d'un trait. Et comme c'était un garçon poli, il dit «Merci, c'est délicieux !». Quel foutage de gueule, devait pensé l'élève ridiculisé. Et en plus, Mike en rajouta une couche en lui faisant un clin d'œil.

Miam les toast, les pancakes. Le jeune Poursuiveur des Rouges et Or en avala quelques un, sous le regard noir que lui jetait le Gryff' assis près de lui. Au moins il avait appris une bonne leçon. On-ne-devait-jamais-cherché-Mike. Qui le cherche, le trouvera, tous simplement. Cet évènement lui avait un peu fait perdre son temps. Mais il n'était toujours pas en retard, lorsqu'il arriva devant la salle du professeur Flitwick.
Un grand sourire se dessina sur son visage, lorsqu'il cria «MONSIEUR ! PROFESSEUR ! Comment allez vous?».Tous les regards se tournèrent vers lui. Qu'est-ce qu'il pouvait être cancre parfois, le petit Mike. Celui-ci évita le regard de ces camarades, et s'avança dans la salle de classe afin de trouvé une place. Tiens, il y avait une place libre là ! Place libre, pas table libre. En effet, sur l'autre chaise était assis Emma Carter, la toute nouvelle ami du jeune homme. Mike posa son sac sur sa table et se tourna vers Emma pour bavardé un peu avec elle. «Salut, prêt pour ton premier cours de Sortilège et Enchantement?» . Quel frimeur se Mike, seulement sa seconde année et il se comportait comme un grand...
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Ξ Sujet: Re: Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie !   Cours de Sortilèges n°1 : Les Limites de la Magie ! EmptyJeu 23 Juil - 22:54

La petite Gryffondor arriva pile à l'heure pour le cours du vieux Flitwick…Un miracle ou peut sans fallait après la mésaventure qui lui été arrivée dans matinée…Alors qu'elle déjeunait tranquillement,sortant peu à peu du brouillard matinale dans lequel elle était plongée…Avalant son toast beurré quotidien,une dispute entre son voisin de table et un autre Gryffondor avait éclatée…April avait détourné flegmatiquement la tete, suivant avant une paresse inhabituelle la querelle des deux garçons…Du jus de citrouille…Minable comme motif…Décidément y avait qu'la bouffe qui les intéressait ceux là…et tout d'un coup le contenu de la carafe s'était étalé sur l'uniforme de son voisin maladroit…Mais là n'était pas son problème…Des goûtes de jus avaient giclés et étaient venu parsemés de tache orange l'uniforme de la jeune fille…

Pas qu'elle tienne tant que ça à son uniforme mais assez pour la mettre de mauvaise humeur de bon matin…dans un grognement de troll furieux elle avait jeté un regard assassins aux deux gryffondor,l'un trop préoccuper par sa cuisante humiliation,le second en train de le narguer avec des commentaires débiles ,et avait filé dans son dortoir pour se changer et était arrivé pile à l'heure à son cours… et c'est là,après cette petite anecdote que l'on revient au debut (April et l'art de tourner en rond)

Bon bref,autant dire que notre blondinette n'était pas d'excellente humeur quand elle débarqua dans la salle de cours d'enchantement…A peine si elle adressa un"bonjour" au vieux Flitwick, qui n'avait pourtant rien fait pour mériter la mauvaise humeur d'April. Elle adressa un signe de tete à son assistante…C'était une ex-Poussouffle ,elle allait pas lui dire bonjour quand même…A tout les coups elle allait influencer le vieux nain à l'avantage de sa maison…

Elle alla s'asseoir à coté d'une Serdaigle de son age (ethele) qui hocha la tete quand elle lui demanda si elle pouvait se mettre là (ça tu me dit si ça te va)…La jeune fille sortit ses affaires et arma sa plume quand un détail la fit s'immobiliser…elle venait de reconnaître le Gryffondor,en train de bavarder avec une autre Serdaigle, celui qui s'était disputer pour une carafe de Jus de Citrouille…Et qu'elle suspecter d'avoir utiliser la magie pour parvenir à se fins…En plus sa tete lui disait vraiment quelque chose….Ah oui,c'est vrai ,c'était un des poursuiveurs de l'équipe,plus précisément celui qui avait aidé à son épreuve de sélection…Bon dans ce cas,inutile de se brouiller avec lui trop vite
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