C'est ici que ça se passe.

Alister vit sa cavalière entrer dans la Grande Salle après un court instant d’attente, elle avait une robe bleue marine qui lui allait à ravir, elle avait fait un chignon dans ses cheveux. Il l’a vit s’avancer entre les différentes personnes présentes et il n’en revenait pas qu’elle soit si jolie, bien sûr Susan n’était pas moche. Mais, elle n’était plus dans l’uniforme de l’école et sa robe était bien plus belle que son uniforme.

- Tu…, tu…, bonsoir , lui dit-il alors que son cœur commençait doucement à s’emballer, tu es ravissante,lui dit-il avec un léger sourire.

La jeune fille le salua à son tour et lui demanda si elle n’était pas en retard, le jeune homme lui fit un sourire pour la rassurer.

- Non et puis l’attente en valait la peine, lui dit-il en allant prendre deux verres de jus de citrouilles et lui en offrit un.

Le jeune homme ne savait pas très bien quoi faire, il n’avait quasiment jamais été en présence de jeune fille lors d’une soirée. Sauf, à la soirée de fin d’année où il avait discuté et dansé un peu avec une jeune Serdaigle nommée Roze Maiden. Ca avait été très agréable mais, il avait peur de décevoir Susan, donc il restait là planté comme un piqué à ne savoir quoi dire.

[HJ: ton petit post pourri en passant Wayne, vient de faire gagner 5 points à Poufsouffle donc haut les coeurs!]

Elizabeth demanda à son cavalier s'il connaissait la cavalière de Viktor Krum. Il lui répondit qu'il n'en avait pas la moindre idée car il n'était pas particulièrement fan du bulgare de Beauxbatons, et pas non plus franchement trop adepte des potins. Elizabeth laissa donc tomber l'espoir de savoir qui se trouvait cette charmante jeune fille et se résigna à immiter Wayne. Elle piquet un autre roulés et évita soigneusement les plats d'origines exotiques. Elle penssait bien entendu au plat français et bulgare qui n'avait pas fait un tabac à Poudlard. C'était le moins que l'on puisse dire. Pendant qu'elle buvait un verre de jus d'orange, et qu'elle allait proposer à Wayne de boire quelques choses, elle apperçu le couple de la soirée. Enfin de la soirée. Elle voulait bien entendu parler du couple le plus représentatif de Poufsouffle à savoir le couple préféré de la maison Poufsouffle. Super explication je sais. Il s'agissait en fait de la prefete préférée des Poufsouffles, accessoirement batteuse dans l'équipe de Quidditch et aussi amie de notre chère petit Eli. Elle était particulèrement en beauté ce soir là mais il fallait aussi dire que Susan était aussi très belle en temps normal. Elle était habillée d'une magnifique robe bleu marine, parsemmée de minuscules étoiles argentées. Elle était vraiment somptueuse avec sa robe qui lui tombait au dessus du genoux, tel les uniformes habituels. Mais le principal changement était que Susan avait coiffé ses cheveux roux en chignon et ça la changeait considérablement. Elle était vraiment de toute beauté et on avait presque du mal à la reconnaitre. Son cavalier devait vraiment être très content et il était en plus avec elle. Il s'agissait d'Allister. Allister Summerby était en 5 ème année et il était lui aussi extremement beau. Ils formaient désormais un couple vraiment très beau et Eli ne regrettait presque plus à présent qu'il n'y soit pas allé avec Hannah. La première année ne savait pas pourquoi mais elle imaginait très bien Hannah et Allister ensemble pour le bal. Malheusement, cela ne s'était pas fait. Eli avait du sortir ça d'un rêve, encore une fois...

Donc Elizabeth, dès qu'elle vit Allister et Susan, était en train de se servir un verre. Elle voulut donc proposer à Wayne s'il en voulait et juste après elle sallua Susan qui venait justement de tourner la tête de loin.

- Wayne, qu'es-ce que tu veus boire? Tient tu as vu, il y a Susan et Allister. Salut! Alors, Bonne soirée?

Eli n'était pas franchement connue pour sa discrétion. Mais heureusement pour ce soir là, il y avait extremement beaucoup de bruit et en plus Susan n'était pas à coté. Elle espérait que son amie l'ai entendu et que sa réponse serait positive. Elle écouta ensuite Wayne qui avant de lui répondre, paraissait réfléchir à la question que Elizabeth croyait clause par ce qu'il avait répondu par la négative. Il réfléchis un moment pour trouver qui était cette jeune fille qui accompagnait Viktor Krum au bal. Après quelques minutes d'hésitations, il lui dit enfin de qui il s'agissait. Il lui avoua que c'était une fille de son année qui se trouvait à Gryffondor. Elle s'apellait Hermione Granger et était l'amie de Harry Potter...

Elizabeth conaissait cette fille de part ce que lui en avait dit ses amies de quatrième année. Elle était réputée pour tout savoir et elle était surtout une amie du célèbre Harry Potter. Eli n'avait jamais entendu qu'elle était réputée pour sa beauté. Dans tout les cas là, la robe ainsi que sa propriétaire était magnifique. Elle était en soie rose et vraiment très joliement dessinée. Hermione donc, y était particulièrement belle dedans et elle attirait pour sur tout les regards. Selon Wayne, elle n'était pas vraiment belle au naturel mais elle avait eu l'air de se rattraper ce soir en tout cas. Mais il y avait une chose que Elizabeth ne comprenait pas. La jeune fille était l'amie de Harry Potter, alors pourquoi elle avait acceptée de danser au bal avec un de ses concurents. A peine eut elle penssait ça, que Elizabeth entendit la voie du professeur Binns dans sa tête. Et deux secondes après, trois mots lui vinrent en tête. “Coopération Magique Internationale”. Elle se rapella que ce tournois était là pour rapprocher les différents écoles de magie et pour cela c'était respecté. Plus ou moins respecté mais bon. On pouvait voir, sur les 8 cavaliers du tournois, une élève de Beauxbatons, un élève de Durmstrang et enfin 6 élèves de Poudlard. On ne pouvait pas dire que l'équité soit de mise surtout que parmis ses 6 élèves de Poudlard, on en distinguait un de Poufsouffle, le meilleur (^^), deux de Serdaigles et enfin 3 de Gryffondor. Bien entendu, aucun Serpentard. Ce n'était pas vraiment ce qu'on pouvait appeller de l'équilibre mais tout les danseurs et danseuses du bal de Noël était beau. Qu'ils soient champion ou pas. Susan et Allister en offrait le meilleur exemple...

Elizabeth ne savait pas si Wayne conaissait bien Susan et Allister et lui demanda après l'avoir remercié de lui avoir donné ce précieus renseignement...

- Hermione Granger tu dis. Merci bien... Je ne sais pas comment elle était avant mais en tout cas elle est vraiment d'une beauté parfaite ce soir. Presque autant que Susan. D'ailleurs tu connais Susan, elle est dans ta classe. Elle est avec Allister Summerby de cinquième année, lui aussi est très gentil. Tu les conaiss bien tout les deux?

Eli espérait que Wayne lui parla un peu plus de ses amis et tout ce qu'il aimait mais le jeune semblait raconter les détails sur sa vie au compte goute et il fallait encore pour cela, lui poser des questions moultes et répétées. Elle allait finir par le gonfler avec ses questions à la fin. Peut être bien qu'en en ayant marre, il l'invite à aller danser mais pour l'instant il n'en fit rien. Eli se contenta de regarder son compagnon et d'attendre qu'il lui réponde. Elle bu une gorgée de jus d'orange, oui car le jus de citrouille commençait à lui monter à la tête à la fin. De plus elle adorait le jus d'orange... Elle repiqua un dernier roulé dans le plat car il n'en restait qu'un, et cette réussite lui vallait le regard noir d'une Serpentard un peu enrobée. Elizabeth penssa que ça lui ferai du bien mais elle se rendit compte que c'était très méchant et se décida de lui donner; Hellas il était déjà dans sa bouche...



Check 1079

Bon, visiblement, ce n’était pas une blague, Alister ne lui riait pas au nez et il avait même plutôt l’air – s’aperçut Susan avec un sentiment indicible sentiment d’horreur – bien embêté. Peut-être regrettait-il de l’avoir invitée ? En toute bonne foi, Susan ne pouvait pas concevoir qu’Alister se sente gêné à cause-t-elle de manière positive (qu’il soit mal à l’aise parce qu’il n’avait pas envie qu’on les voit ensemble en public, ça, elle le comprenait, même si, bien entendu, c’était très idiot de l’avoir invitée dans ce cas là, parce que bon, au bal de Noël, il y a forcément du monde… Ou alors c’était un pari que lui avaient lancé ses amis ?). Elle n’était qu’une petite Poufsouffle bien menue, pas un dragon sanguinaire du genre Magyar à Pointes (et même à crocs !).

Ils devaient avoir l’air d’une belle paire de manche à balais, tous les deux, à s’échanger des politesses d’un air gêné. Susan s’était promis de ne pas trop rougir avant de venir. Tout en sachant pertinemment que c’était un pari perdu d’avance. Ses traîtresses de joues commencèrent à rosirent, lentement mais sûrement tandis que ses pieds ne semblaient rien désirer de plus que de pouvoir se lancer dans une séance de sautillements intempestifs.

- Non. Non, certainement pas, siffla avec autorité la rouquine entre ses dents tout en se redressant d’un air volontaire, avant de réaliser qu’elle venait de parler tout haut.

Horrifiée, elle porta vivement sa main droite à sa bouche, les yeux écarquillés d’une surprise terrifiée. Alister allait probablement prendre cet ordre peu sympathique pour lui. C’était ce qui paraissait le plus logique : comment pouvait-il seulement se douter qu’elle s’adressait à ses pieds ? Et surtout, comment lui expliquer que cette phrase ne lui était pas destinée sans passer pour une demeurée ?
Désormais totalement paniquée, Susan s’empourpra violemment tout en s’embrouillant dans des explications pas franchement convaincantes :

- Enfin, je veux dire… Ce n’était pas pour toi, hein ! J’ai pensé tout haut… Je parlais à… Euh…

«Ah mes pieds ?». Un aveu qui, tout honnête fusse-t-il, n’avait rien de très probant ni même de très glamour. Mais entre deux maux, mieux valait-il choisir le moindre, aussi poursuivit-elle, d’une voix mortifiée quasiment inaudible :

- A mes pieds…

Pieds en direction desquels elle piquait justement du nez après avoir adressé à Alister un regard déconfit. Le pauvre garçon allait regretter de ne pas avoir invité quelqu’au d’autre au bal, à ce rythme là ! En cinq minutes, elle avait enchaîné les bourdes les plus ridicules, et ce devant une flopée de témoins, en plus ! Dire qu’elle avait sincèrement crû Hannah quand cette dernière lui avait affirmé que le bal de Noël était toujours très amusant. Pour le moment, Susan avait plutôt le sentiment de passer un examen de potions, face à un Rogue qui venait de se crêper le chignon (ou plutôt, les cheveux gras) avec son serpentard favori.

Et malheureusement pour elle, alors que l’intervention à distance d’Elizabeth aurait pu lui fournir une excellente diversion, sa confusion du moment additionnée au brouhaha ambiant ne lui permis pas de saisir le salut de la petite Poufsouffle. Ni l’entrée remarquable et remarquée d’Hermione Granger. Ni la sortie furieuse de Lavande. Susan venait de zapper trois bons moments du bal. Enfin, plutôt deux bons moments et un mauvais, car il était évident que le départ précipité de Lavande ne l’aurait pas réjouie si elle l’avait suivi des yeux.

Toutefois, elle ne pouvait pas passer toute la soirée à contempler ses pieds (les félons !). D’ailleurs, peut-être qu’Alister avait fait demi-tour pour inviter une fille sans cavalier à passer la soirée avec lui en la plantant là. Elle ne pouvait pas lui en tenir rigueur, si tel était le cas. Et même, elle pourrait se glisser subrepticement jusqu’aux dortoirs pour mettre un terme à cette déplaisante mascarade. Elle n’était pas une princesse de la cours de sa gracieuse majesté, elle ! Comment pouvait-elle se sentir à l’aise dans un bal ? C’était une aberration, rien de plus. Pour commencer, elle n’aurait jamais dû venir !

Susan leva donc un œil prudent, pour constater avec désarroi qu’Alister était toujours en place. Peut-être se sentait-il obligé de passer la soirée avec elle par loyauté envers la parole donnée au moment où elle avait accepté de lui servir de cavalière ? Il était, dans ce cas là, tout simplement trop galant et trop Poufsouffle. Deux qualités qui pouvaient se révéler de véritables défauts, dans certaines situations.

La jeune fille était bien trop gentille pour supporter l’idée qu’Alister gâche sa soirée avec elle. Aussi s’empressa-t-elle de lui certifier avec un pauvre sourire contrit :

- Hum, tu sais, si tu as envie de passer la soirée avec quelqu’un d’autre, je ne t’en voudrais pas…

Voilà, comme ça, maintenant, il était libre de faire ce qu’il voulait.

(809 mots)

Check

Elle jouait de la guitare? La seule fois ou Peter avait tenté le coup, c'était sur l'instrument du fils d'un ami de son père, une sublime guitare rouge et noire qui avait coûté une fortune.
Après avoir écouté une impressionnante démonstration, il avait supplié le garçon de lui laisser essayer, grave erreur, trente secondes plus tard, la guitare s'était retrouvée avec une corde en moins.

La voix d’alison le ramena sur terre:
- Pour ce qui est de trouver une occupation, on n’a pas tellement le choix : soit on va danser, soit on va promener dans le parc… Justement, je ne me suis jamais promenée dehors la nuit ici ! Alors, qu’est-ce que tu préfères ?

Peter réfléchit brièvement, elle voulait vraiment danser avec lui? Ou avait-elle simplement proposer ça pour ne pas le vexer? Non apparemment elle contemplait la piste avec envie, elle voulait réellement danser avec lui! Peter se souvint alors qu'il s'agissait d'un bal et que, ayant accepté d'être sa cavalière, il était plus ou moins normale qu'elle s'attende à ce qu'il l'invite…

D’un autre coté, la seule fois ou Peter était sortit se promener la nuit, c'était il y a environ un quart d'heure, lorsqu'il s'était effondré dans la neige pour tenter de calmer les effets non désirable du fameux dragée surprise. Il levait les yeux au faux plafond, la nuit était belle…

Il afficha un large sourire et lança à Alison:

-Pourquoi choisir? Voila ce que je te propose, on commence en dansant, et lorsque j'ai mon premier point de coté ou que je t'aurais trop écraser les pieds pour qu'on continue , on part se balader un peu dans le parc, et... on revient juste à temps pour le concert des bizzard sister's!
Il marqua une pause et proposa son bras à sa jeune cavalière:
-Alors? Qu’est-ce que tu en dis?

La soirée du Bal de Noël avait commencé depuis peu. Raphaël était encore dans ses dortoirs. Il ne restait plus personne. Il n'avait pas voulu y aller au départ, préférant la solitude à toute cette foule et ce brouhaha. Il aimait les moments profondes solitudes où il pouvait s'entendre penser sans qu'on ne vienne l'interrompre pour de banales conversations sans intérêt. Il s'était donc préparé à passer sa soirée dans son dortoir, au calme, à contempler les esquisses que sa mère lui avait envoyer. Elle portait un intérêt déconcertant à ce que sont fils soit particulièrement instruit dans le domaine des arts. Il n'en voyait pas l'objectif final, mais puisque c'était sa mère qui lui ordonnait, il n'avait pas à remettre sa parole en doute. On ne discutait pas un ordre donné par un membre Gibson.

Cependant, il avait appris récemment une nouvelle qui l'avait détourné de ses projets. Une nouvelle qui l'avait surpris aux premiers abords et qui l'avait ensuite laissé perplexe. Il avait entendu dire que celle qu'il convoitait allait au Bal avec un certain Ernie McMillan...un Poufsouffle! Raphaël était resté indifférent par la suite et n'avait pas du tout apprécié ce choix! Pourquoi avait-elle donc accepté?
Raphaël en avait voulu à Daphnée d'avoir accepté son invitation et ne lui avait presque pas parlé par la suite. Il l'avait évité, faisant mine d'un emploi chargé pour ne pas avoir à lui parler.
Il s'était rendu compte que son comportement n'était en aucun cas digne de lui et d'un Gibson. Il s'était aussitôt repris et avait repris une vie tout à fait normal, reparlant à Daphnée par la même occasion mais en ne faisant aucune allusion à son invitation et au Poufsouffle qui l'avait invité.

Ce soir, sans prévenir personne, il avait décidé de se rendre à ce fameux Bal de Noël et de ravir au nez à la barbe de cet abruti de Poufsouffle, la jolie Daphnée. Une aussi jolie fille, de sang pur et d'un rang social n'avait rien à faire avec ce sorcier de bas-étage. Il avait commandé une robe de soirée noire d'une texture de la plus haute qualité qu'il puisse exister. Elle lui descendait jusqu'aux dessous chevilles. Sa robe, dans la lumière avait des reflets verts-argentés comme il avait demandé. Elle était somptueuse.

Après avoir jeté un regard rapide à sa tenue, il descendit dans la salle commune. Il y avait des élèves de 1ère et 2ème années qui traînaient, visiblement frustrés de ne pouvoir s'y rendre. Il n'adressa aucun regard, trop occupé à penser à bien d'autres choses.
Il sortit de la salle commune, traversa les cachots et remonta jusque dans le hall d'entrée de Poudlard. A mesure qu'il avançait, on pouvait entendre la musique des Bizarr's Sisters raisonner unh peu partout alentour.

Les Portes de la Salle de Balles étaient grandes ouvertes et plusieurs élèves entraient et sortaient au fur et à mesure de la soirée. Il entra sans prêter attention aux autres. Son objectif était de trouver Daphnée et d'en faire sa cavalière quoi que dirait cet avorton de Poufsouffle. Daphnée n'avait rien à faire avec lui. Il arriva sur le pas de la porte et la tête haute se mit à observer les alentours. Une multitude de couples dansaient sur la piste de danse. Pour le moment, il ne voyait personne qui se rapprochait de près ou de loin à Daphnée.

Daphnée une beauté particulière. Grande, une silhouette souple et élancée, des cheveux d'un noir de jais et des yeux verts-noisettes, Daphnée était vraiment une très belle jeune fille. Il n'allait sûrement pas la laisser se déshonnorer avec ce McMillan. Il ne le permettrait pas. Et puis, il doit bien avouer que l'imaginer danser avec quelqu'un d'autre que lui ne lui plaisait pas. Ils avaient déjà danser ensemble et il était hors de question que quelqu'un d'autre l'invite à danser. Il espérait arriver à temps. Il ne savait comment il réagirait s'il l'a voyait dans les bras de quelqu'un d'autre. En fait, ce n'était pas de la jalousie, c'était autre chose...quelques chose qu'il n'arrivait pas à définir d'ailleurs.

Il s'avança dans la foule, se dirigeant vers le buffet, espérant ainsi avoir une meilleure vue sur la piste et la salle. Il se prit un verre de jus de citrouille plus pour ne pas paraître délaissé que par soif. Il bu une gorgée distraitement et parcouru du regard la salle. Elle ne semblait pas être sur la piste apparement. Elle n'était peut-être pas encore arrivée. Il tourna la tête vers l'entrée, espérant peut-être la voir entrée dans une magnifique robe de soirée...mais rien après 5 bonnes minutes à surveiller l'entrée. Toujours aussi calme, il se retourna de l'autre côté du buffet et là, son regard fut attiré par une silhouette qu'il connaissait parfaitement. Il s'arrêta net et fixa la personne. Celle-ci regardait dans sa direction, mais il ne pouvait définir si elle l'avait vu ou pas. Raphaël vit alors le Poufsouffle pas très loin d'elle. Il eut un petit sourire narquois au coin des lèvres qui disparut aussi vite qu'il était apparu. Il coutourna le buffet et se dirigea d'un pas calme mais assuré vers Daphnée.

Il ne la quittait pas des yeux. Il passait devant d'autres élèves sans les voir. Son objectif était devant ses yeux, pas question de le perdre de vu...avec le monde qu'il y avait. Raphaël avait toujours eu la faculté d'occulter ce qui l'entourait quand cela l'arrangeait. Ce soir, c'était le cas.
Il ne lui restait que 2 petits mètres. Un Gryffondor au même moment le bouscula en passant juste devant lui. Ce dernier se retourna pour voir qui il avait percuté mais ne s'excusa même pas. Le sang de Raphaël ne fit qu'un tour. En moins de temps qu'il lui fallut, il lui avait lançé un sort qui lui fit apparaître d'horribles furoncles sur le visage et avait rangé sa baguette. Le Gryffondor poussa un petit cri effrayé et plaqua ses mains sur son visage avant de courir comme un fou à l'infirmerie.

Satisfait, Raphaël reporta son attention sur celle qu'il venait chercher. Il ne pu s'empêcher de sourire quand il la vit. En y repensant, vu qu'il ne comptait pas y aller, il n'avait même pas envisager la possibilité que Daphné puisse y aller avec quelqu'un d'autre. cela avait était stupide de sa part, mais surtout un simple oubli. Le fait est qu'il n'y avait même pensé. Il comptait se rattraper ce soir même.

Arrivé à sa hauteur, il émit un léger "hum hum" très distingué. Il ne savait pas si elle l'avait vu venir, mais préféré faire comme si c'était le contraire. Elle le regardait, visiblement surprise. Il y a de quoi! Il lui avait répéter plusieurs fois qu'il ne viendrait pas...comme quoi il n'y a que les idiots qui ne changent pas d'avis...

"Daphnée?"

Il s'inclina vers elle avant de lui prendre délicatement la main et d'y déposer d'un simple éffleurement un baise-main digne d'un Gibson. Mais avant qu'elle est pu retirer sa main, ce dernier la retourna doucement et y déposa cette fois un vrai baiser. Ce geste qu'il avait envers elle montrait à quelle point il l'appréciait et à quelle point elle comptait à ses yeux. Ce baiser dans le creux de la main était un signe entre eux. Plusieurs fois il lui avait montré son affection par ce simple geste. Il espérait qu'elle comprendrait.

Il relâcha doucement sa main et se redressa.

"M'accorderiez-vous cette danse?" demanda-t-il en la regardant droit dans les yeux, ses yeux à lui avaient une lueur particulièrement intense et il ne la lâchait pas du regard.

Une musique plus douce fit place alors, et plusieurs couples se formèrent sur la piste.

Pendant ce temps, il ignorait superbemment le Poufsouffle. A quoi bond lui accorder un regard ou de l'intérêt? Cela lui serait accorder trop d'importance...et il ne l'était pas, important!

Check 1305

Alison attendit la réponse de Peter vaguement inquiète : en effet si aucune des alternatives proposées ne lui plaisait, il pouvait tout aussi bien déclarer qu'il avait été ravi de l'avoir ce soir comme cavalière, et patati et patata mais qu'il était temps pour lui de retourner à la salle commune des Gryffondor. La soirée n'était cependant pas suffisamment avancée pour que Peter ne fuie déjà le Bal de Noël, et Alison fut ravie (en témoigne son grand sourire et ses yeux qui pétillèrent entre ses mèches blondes) d'entendre la réponse de son ami :

- Pourquoi choisir? Voila ce que je te propose, on commence en dansant, et lorsque j'ai mon premier point de coté ou que je t'aurais trop écraser les pieds pour qu'on continue , on part se balader un peu dans le parc, et... on revient juste à temps pour le concert des bizzard sister's! Alors? Qu’est-ce que tu en dis?

Posant sa main sur le bras de Peter, dont le geste lui parut fort élégant, Alison fit malicieusement un clin d'oeil en répondant :

- Très bonne idée, mon cavalier ! Commençons par une petite danse alors !

Et, sur ce, elle entraîna Peter vers la piste de danse, se faufilant parmi les élèves qui discutaient bruyamment.
Lorsqu'ils y parvinrent, Alison fut assez soulagée de constater que la musique jouée n'était pas trop rapide : elle ne savait danser ni la valse ni le rock'n'roll; mais le slow, il n'y avait rien de compliqué là-dedans ! Du moins, pensa-t-elle, en apparence. Après tout, c'était la première fois qu'elle dansait. Et de surcroît avec un garçon ! D'habitude, un tel évènement lui aurait glacé les tripes et, après avoir pris la teinte d'un homard fraîchement pêché, elle aurait agi en piquet sautillant et bégayant.
Mais là, c'était différent.
C'était différent, car c'était Peter.
Peter était maladroit, Peter était rigolo, et, surtout, Alison n'avait jamais entendu Peter ni se moquer, ni critiquer qui que ce soit.
Il était comme ça, n'avait pas l'air de s'en rendre compte.
Il était comme ça, et Alison avait confiance.

C'est donc avec un sourire naturel sur le visage qu'Alison commença à danser avec Peter.
Elle aurait aimé lui dire combien elle passait une bonne soirée, mais, n'osant pas, elle se contenta d'engager la conversation plus banalement :

- Alors, tes pieds, ça va ? Toujours pas de casse ? Fit-elle en observant avec curiosité le balancement d'une des mèches sombres de Peter sur son front. Et les cadeaux de demain, tu as trouvé ce que tu allais offrir ?

Autour d'eux, les couples de danse virevoltaient indépendamment, comme si chacun d'entre eux s'était forgé un petit monde à part, un monde éphémère.

« Angélina tu es … Parfaitement sublime ! »

Angélina le dévisagea quelques instants avant de rougir face à se compliment. Non pas qu’elle ne s’attendait pas à en recevoir de sa part mais surtout qu’elle ne s’attendait pas à ce que son cœur réagisse ainsi. La jeune fille se contenta de le remercier du regard et ainsi même regarde son doux visage. Elle lui sourit gentiment très peut enclin à ce genre d’événement elle ne savait pas vraiment comment réagir.

La jeune fille lissa sa robe un peu nerveusement. Elle ne savait plus comment se tenir face à lui d’habitude elle était plus détendu. En fait ce qu’elle préférait avant tout faire du quidditch avec lui. Elle l’aurait bien branché sur une de ses nouvelles invention mais comme elle le connaissait, il lui en parlerait pendant des heures et elle n’était pas la pour ca. Elle voulait profiter de se moment qu’elle avait pour une fois seule avec lui sans son frère, sans farce enfin pour le moment.

Elle se servit un verre de jus de citrouille et lui sourit, le regard doux et charmeur. Ce soir elle voulait danser jusqu'à ce que ses jambes ne la porte plus et rien qu’avec Fred. Cela faisait bizarre de ne pas le voir avec son jumeau. Angelina se demanda d’ailleurs ou celui-ci était passé et surtout avec qui il était venu. Ne se rappelant pas qu’il est invité quelqu’un, elle se dit qu’il était peut être venu seul et qu’il préparait surement un mauvais coup. La plus part de leur blague était d’une ingéniosité inégaler mais cette faisait mal aussi. Fred savait qu’Angelina ne l’encourageait pas, mais elle riait bien volontiers à celle si. Ne trouvant pas son frère elle se retourna ver Fred et lui demanda doucement.

« Dis moi au mon sublime cavalier tu n’as rien prévu d’autre que de me faire danser ce soir ? »

Elle rit un peu sous entendant par la, est ce qu’ils avaient préparé une blague collective. Elle espérait tout de même qu’ils n’oseraient pas ce soir.