C'est ici que ça se passe.

Alister fut surpris quand la jeune fille dit non, non certainement pas, elle semblait parler comme à quelqu’un d’autre d’ailleurs elle lui dit tout de suite que ce n’était pas pour lui, qu’elle avait pensé à haute voix. Le jeune homme allait lui demander à quoi elle pensait quand elle lui répondit presque tout de suite qu’elle pensait à ses pieds. Alister ne put s’empêcher d’éclater de rire, il ne savait pas que la jeune fille avait tant d’humour, il se reprit très vite en voyant le visage déconfit de la jeune fille, qui lui dit si il avait envie de passer la soirée avec quelqu’un d’autre qu’elle ne lui en voudrait pas.

- Susan, si je n’ai invité que toi au bal, je ne comptais y aller avec personne d’autre, lui dit-il sérieusement, tu es une fille bien et je viens de découvrir que tu étais aussi amusante qu’intelligente, tu penses vraiment que je veux passer la soirée avec une autre personne ? lui demanda-t-il en la regardant droit dans les yeux. Je t’aime bien Susan, lui dit-il en rougissant légèrement et en se penchant pour lui donner un léger baiser sur la joue de la jeune fille.

Il arrive parfois que les choses ne se passent pas du tout comme la logique le voudrait. Susan vivait exactement un de ces moments. C'était à la fois follement excitant et atrocement déstabilisant. Toute à sa surprise, Susan écarquilla les yeux, gratifiant ainsi Alister d'un long regard candide qui aurait été risible si la petite rouquine n'avait pas l'air aussi grave.
Et la légère bise de son cavalier ne fit rien pour améliorer les choses. Si Alister rosit, Susan, elle s'empourpra carrément en baissant les yeux plus vite que son ombre (parce que oui, les ombres ont des yeux).

- Ah... Euh... Ben... bafouilla-t-elle, merci... Moi aussi je t'aime bien... J'étais vraiment contente que tu me demandes d'aller au bal avec toi, rajouta-t-elle dans un souffle.

Finalement, la Poufsouffle sembla retrouver suffisamment de confiance en elle pour redresser la tête et reprendre d'un ton visiblement amusé :

- Alors comme ça tu penses que je suis amusante ? C'est une première. N'importe qui d'autre aurait dit que j'étais folle !

Sauf Luna Lovegood, peut-être. Mais cette fille était vraiment très particulière. Ceci étant, de l'avis de ses parents, le père de Luna était lui-même un peu atteint. La pauvre Serdaigle avait été à bonne enseigne avec lui...

Daphné regardait toujours avec froideur son cavalier tout en se demandant encore à l'heure qu'il était pourquoi elle avait accepté. D'accord, elle avait apprit le Sang Pur du jeune homme mais pour avoir été digne d'être au bras de la jeune brunette, il aurait dû être de Serpentard. La aussi, Daphné ne respectait que peu de Serpentard, et le seul qui avait réussit à la charmer, était Raphaël. D'ailleurs, que devait-elle faire ?
Depuis sa rentrée de quatrième année, la jeune Vert et Argent commençait à avoir des hallucinations. Comment ce faisait-il qu'elle imaginait en cher et en os Raphaël alors que celui-ci était parti après la première année ? Lui manquait-il au point de devenir folle en l'imaginant ? Le pire de tout était qu'il lui parlait... Trop soucieuse de ce qu'elle pouvait montrer autour d'elle, Daphné avait toujours fait en sorte de répondre à ce qu'elle croyait son imagination, quand les autres n'étaient pas là. Autrement, elle faisait de simple signe, que personne n'aurait pu soupçonner comme une skyzophrène.

Qu'est ce qui lui passait par la tête franchement pour voir, depuis la rentrée à Poudlard, le corps, très vivant, du garçon pour lequel elle s'était attaché ? N'était-ce pas assez douloureux qu'il ne réponde pas à ses lettres durant les vacances d'été ? N'était-ce pas d'autant plus pénible que d'avoir été abandonné par le seul et l'unique garçon qui avait vu vrai en elle ?
La vie était vraiment injuste et Daphné s'était endurcie durant tout ce temps, espérant l'oublier enfin un jour. Seulement pour l'instant, il lui était impossible de le faire, et encore moins vu ses hallucinations !
Elle l'avait évité le plus possible, bien trop perdue pour voir qu'il était bel et bien revenu à Poudlard !
Peut-être que finalement, si elle avait accepté d'être la cavalière de MacMillan, c'était pour faire une croix sur ce jeune homme de Serpentard. Que devait-elle faire ? Que devait-elle même dire ?
Ernie ne semblait pas lui rendre son bonsoir. Peut-être parce qu'il se rendait compte de son erreur pour avoir choisi Daphné comme cavalière ? N'était-elle pas assez jolie pour lui ? Devait-elle repartir sur le champ dans son dortoir et ne plus avoir honte de rien ?

Alors qu'elle allait reprendre la parole pour rentrer dans la Salle Commune des Vert et Argent, elle entendit une voix qui lui était connue. Fermant les yeux un court instant, la jeune brunette priait de tout son coeur qu'elle arrête de faire ses songes éveillés mais en voyant le regard surprit d’Ernie, elle écarquilla des yeux en réalisant ce qui se passait. Elle se détourna rapidement vers le beau brun de quatrième année, reprenant un air des plus détaché. Comment avait-elle réussit, seul Merlin le savait, mais pour l’instant, elle devait faire face au réel Raphaël qu’elle avait cru jusqu’à lors être son imagination.
Le regardant avec une certaine distance, ne réalisant pas encore tout ce qui se passait. Sur le coup, elle avait été surprise, mais absolument pas pour les raisons que Raphaël aurait pu s'imaginer. Avait-il seulement découvert qu'elle le voyait comme étant ses songes ? Avait-il deviné à quel point il lui avait manqué durant deux années ?
Quoi qu'il en soit, la jeune adolescente répondit au geste de prestance du jeune homme et lui tendit la main quand celui-ci lui proposa une danse.

Elle n'arrivait pas à parler. Elle ne savait même pas comment exprimer ses sentiments ? Et puis, en tendant la main, ne venait-elle pas d'ignorer tout bonnement son cavalier ? Ce n'était pas digne d'elle et Daphné le savait mais son coeur avait parlé avant son âme.
Elle préféra ne jeter aucun regard au Poufouffle, sachant parfaitement à quoi s'attendre. Qu'allait-il penser d'elle ? C'était déjà sûr et certain, elle n'aurait plus le plaisir de pouvoir taquiner ce jeune homme comme avant. Avait-elle eu ou non raison d'accepter cette danse avec Raphaël ? Et puis, d'après ses souvenirs, si il était réel, n'avait-il pas prévenu qu'il ne viendrait pas ?
Elle ne pouvait pas laisser le jeune homme pour lequel elle avait des sentiments sous prétexte de blesser un autre ! Si ?! Tut cela était si compliquée pour la jeune fille.
La Serpentard se laissa entraîner par les gestes de son... cavalier ?
Jamais Daphné aurait pu s'imaginer qu'il puisse être jaloux mais simplement qu'il avait changé d'avis. Mais elle, avait-il le droit de la manipuler comme bon lui semblait quand il le voulait ? C'était lui et lui seul qui avait refusé d'aller au bal au départ.
Elle l'enlaça avec délicatesse autour du coup, se collant à lui comme jamais elle ne l'avait fait avec personne. Pas un mot ne daignait sortir de sa bouche. Elle regarda alors Ernie, tout en se promettant de ne pas rester esclave des désirs du Serpentard... mais y arriverait-elle ?


[ HJ ~> Comme Ernie ne répond pas, que dois-je penser ou faire ? ]

Wayne se tourna vers le couple que saluait Elizabeth. Susan Bones et Alister Summerby, il leur adressa un petit signe de la main avant de se retourner vers sa cavalière.
« Je veux bien un verre de bière au beurre. » Répondit-il enfin, de sa voix tranquille.

Il n’aimait pas trop le terme « couple » pour désigner les paires de garçons et de filles obligés d’aller ensemble au bal pour faire bonne impression. C’est vrai quoi, pourquoi ne pas appeler ça « binôme » ? Au moins, ce mot avait l’avantage de ne pas être ambigu. Pensa-t-il.
Et puis, il ne voyait vraiment pas pourquoi tout le monde faisait autant d’histoires pour le bal. Ça n’avait rien de bien extraordinaire, c’était même beaucoup trop huppé et cérémonieux à son goût.
L’opinion plutôt mitigée de l’adolescent pouvait s’expliquer du fait qu’il ne savait pas vraiment danser et avait indéniablement honte de sa tenue de soirée. Il détestait cet espèce de smoking pour sorcier d’occasion. Autant de bonnes raisons pour lui de rester dans l’ombre du buffet.
Car, au plus grand malheur de sa jeune cavalière, Wayne Hopkins n’avait absolument rien de John Travolta. Sur la piste, peu importait le morceau que l’on pouvait passer, il était beaucoup trop raide. Après tout, on ne pouvait pas l’en blâmer : il n’y avait pas de cours de danse à Poudlard.

« Oui, je connais Susan. J’connais les préfets de Poudlard, tout de même. Dit-il avec un petit sourire amusé. Alister, je le connais principalement de nom et de vue, je ne lui ai jamais vraiment parlé, mais il est plutôt sympa comme mec... »

Il n’avait jamais été bien doué pour donner son avis sur les autres, d’un tempérament tranquille et un chouia détaché, Wayne avait dans l’ensemble une bonne opinion de ses camarades jaunes et noirs.
Le Gallois but une gorgée de son verre et décida de faire plus sérieusement la conversation à Elizabeth : ainsi elle ne penserait peut-être pas à aller danser.
Mais si elle insistait vraiment, il cèderait probablement après avoir épuisé son stock de « bonnes excuses » car dans le fond, Wayne était beaucoup trop bonne pâte pour être catégorique dans un refus.

« Dis-moi Elizabeth, toi qui fais partie de l’équipe de Quidditch de notre maison, quelle est ton équipe préférée ? Au niveau national je veux dire. Perso, j’adore les Catapultes de Caerphilly. En ce qui concerne le niveau international, c’est l’Irlande que je préfère. Et toi, t’as des idoles dans ce sport ? T’es fan de Viktor Krum peut-être ? Remarque, c’est un excellent joueur. »

Et oui, Wayne ne trouvait pas mieux que de parler sport le soir du bal de noël ^^. Venant de sa part, ça n’avait rien d’étonnant.

Bal de Noël. Waw, ça en voulait dire, des choses. En premier, ça voulait dire que Hermione était vêtue d’une tenue totalement extraordinaire, c'est-à-dire d’une robe, ce qu’elle n’avait pas vraiment l’habitude de porter. Ensuite, ça voulait dire qu’elle était accompagnée d’un cavalier, alias son amoureux, R’hapsody McFerley. Et en troisième, ça voulait signifier quelque chose de très spécial pour miss Granger ; Aujourd’hui, en ce 25 décembre, ça faisait un an pile que R’hapsody et elle s’étaient rencontrés véritablement. La jeune Gryffondor avait bien l’intention de fêter le tout en s’amusant ce soir, c’était simplement certain…

Hermione se contemplait devant son miroir, abasourdie juste à se regarder. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle avait changé autant en si peu de temps. Ses cheveux habituellement ébouriffés étaient frisés parfaitement, et montés sur sa tête. Une légère mèche descendait derrière sa nuque, mais le reste était en chignon, et c’était simplement magnifique à voir. Ensuite, il y avait son maquillage. Disons que la jeune fille n’avait pas l’habitude de se maquiller, mais elle l’avait fait. Un peu de crayon noir, du far à joues, de l’ombre à paupière, du rouge à lèvres, le tout pour le tout quoi ! Le pire, c’était que ça lui allait bien… En troisième, il y avait sa tenue. C’était sa mère qui lui avait trouvé. Une magnifique robe rose, découpée à la perfection, qui lui allait à ravir.


« Bon, c’est le temps d’y aller… Courage ! » Hermione pris une grande respiration. Elle pris son sac à main et quitta son dortoir. Hermione descendit dans la Salle Commune, mais ne vit personne. * Ah, étrange, vraiment…* Tout le monde était descendu chez la maison des lions, et il ne restait plus qu’elle. La jeune anglaise sourit et quitta la Salle Commune, et descendit les escaliers multiples. Plus elle descendait en se rapprochant de la Grande Salle, plus la jeune fille stressait. Puis, elle arrivait à l’escalier principal, celui qui était décoré spécialement pour le Bal de Noël. Hermione s’arrêta doucement, et regarda doucement pour voir si R’hapsody était arrivé. Ah, elle venait de le voir entrer. La jeune Gryffondor pris donc son courage à deux mains et descendit l’escalier de marbre, sa robe la suivant doucement, un léger sourire timide aux lèvres.

Plusieurs élèves chuchotèrent sur son passage, l’air passablement surpris de la voir dans cette robe avec ce maquillage. Hermione leur sourit, heureuse intérieurement d’avoir pu rendre les autres surpris. Elle entra dans la Grande Salle avec prestance, avançant doucement, observant les décorations. *C’est magnifique…* Songea t-elle en contemplant le ciel magique, avec la neige scintillante blanche qui tombait au dessus des têtes des élèves de l’école. Soudain, la jeune brunette fut attirée par la tenue de soirée de son petit ami, qui semblait la chercher. La jeune demoiselle le regarda se diriger vers Harry et Alehandra, voulant sans doute leur demander s’il l’avait vu.

La jeune fille en profita pour s’approcher de son beau McFerley, décider à lui faire une belle entrée. Elle arriva à sa hauteur et lui tapota l’épaule, un sourire aux lèvres. Il se retourna aussitôt, apparemment heureux de la voir. Hermione lui sourit et lui pris la main. Elle ferma les yeux et déposa un léger baiser sur ses lèvres, histoire de ne pas le mettre en embarra, et pour lui prouver qu’elle l’aimait. Après ce petit échange de lèvres, Hermione enlaça son petit Poufsouffle et se tourna vers Harry et Alehandra, le visage rayonnant. « Bonsoir vous deux ! » Répondit-elle en souriant. « Vous êtes ravissants, vraiment… Leur dit-elle en contemplant leur tenue. Si vous me le permettez, je vais kidnapper R’hapsody pour la soirée. Leur divulgua t-elle en rougissant. Amusez vous bien ! »

Puis, elle pris la main de son amoureux et l’entraîna à l’autre bout de la table, là où elle avait décidé qu’ils allaient s’asseoir. Elle pris une table en retrait du reste de la Grande Salle, pour être sûre qu’ils allaient pouvoir se parler sans avoir la musique dans le creux de leurs oreilles. Puis, une fois tous les deux assis, la jeune Gryffondor posa son regard noisette dans celui de son amoureux. Elle lui pris la main, et déposa à nouveau un baiser sur ses lèvres. « Ce soir, c’est une soirée très spéciale… Lui annonça t-elle en lui souriant. Non seulement c’est notre premier Bal en tant que couple, mais ça fait également un an aujourd’hui que nous nous sommes vraiment rencontrés… » Hermione regarda son beau Poufsouffle, attendant sa réaction…

[ Tenue de soirée de miss Granger ; ]

Lorsqu'Alehandra lui rendit le compliment, un sentiment de soulagement se répandit dans le coeur du jeune Gryffondor, mais il fut cependant presqu'immédiatement suivi d'un éclair d'inquiétude quand elle lui dit qu'elle aimerait faire quelque chose. Qu'y avait-il ? Son noeud était défait ? Il y avait une tâche sur sa veste ? Une déchirure à son chemisier ? Mais avant qu'il n'ai eut le temps de s'inquiéter d'avantage, la jeune fille passa sa main dans ses cheveux d'un noir de jais afin de les ébourriffer un peu plus. Ouf ce n'était que ça !

Le jeune Gryffondor accueilla avec plaisir le léger baiser que lui offrit Alehandra à nouveau tandis qu'elle lui avouait qu'il était le jeune homme qu'elle aimait maintenant, devant elle. Il rougit, oubliant tout ce qui n'allait pas dans sa vie en ce moment pour se concentrer uniquement sur le merveilleux présent qui s'offrait à lui. Il prit la main de la jeune lionne mais, alors qu'il s'apprêtait à engager un peu plus la conversation, il aperçut le petit ami d'Hermione qui se dirigeait vers eux. Ce dernier cherchait justement sa cavalière et leur demanda s'ils ne l'avaient pas vu.

"Salut, non désolé personnellement je ne l'ai pas vu ce soir, mais il me semble qu'elle était encore dans son dortoir quand je suis descendu... Ah ben tiens la voi..."

Mais Harry n'eut pas vraiment le temps de terminer sa phrase, car en effet, Hermione venait d'arriver, mais lorsqu'il la vit embrasser sans aucune gêne le Poufsouffle, comme ça, il se demanda s'il ne s'était pas finalement trompé et si c'était bien Hermione Granger, LA Hermione Granger qu'il connaissait depuis sa première année. LA Hermione Granger habituellement coincée en matière de garçons, LA Hermione Granger qui n'était pas censée connaître la fonction d'une trousse de maquillage, LA Hermione Granger qui ne portait jamais de robe hormis celles pour l'école, la Miss-je-sais-tout quoi... Il en fut légèrement perturbé, bien qu'il n'en laissa rien paraître par politesse, et par respect.

Il s'en était tellement fait un cliché après tant d'années qu'il en avait oublié l'essentiel. Jusque là, il n'avait jamais vraiment prêté attention à son apparence physique, il la considérait juste comme sa meilleure amie, mais la voir ce soir aussi belle dans une robe sublime et aussi libre d'esprit venait de casser toutes les gentilles idées reçues qu'il s'était fait sur elle. Le déranger ? Mais au contraire ! La voir se lâcher de cette manière était quelque chose qui ne pouvait que le rendre heureux ! Puisqu'elle l'était visiblement, comme le montrait son visage rayonnant, et c'était tout ce qui importait... Vraiment, elle ne cesserait jamais de le surprendre ! Elle s'adressa à Alehandra et lui, les complimentant sur leur tenue, puis leur disant qu'elle leur enlevait R'hapsody.

Le jeune lion lui rendit son sourire, tenant toujours la main d'Alehandra dans la sienne, et lui répondit :

"Salut Hermione, je peux sincèrement te retourner le compliment ! Tu devrais mettre des robes plus souvent tu sais, ça te va vraiment très bien... Pas de problème, amusez-vous bien vous aussi et joyeux Noël !"

Laissant les deux amoureux s'éloigner pour aller s'amuser de leur côté, Harry se tourna vers Alehandra, sourire aux lèvres. Entendant soudainement la musique à la mode des tous les jeunes sorciers d'Angleterre, il proposa alors à la jeune rouquine :

"Ca te dit d'aller danser ? Je crois que les Bizarr'sisters ont commencé à jouer..."

[HJ : Désolé pour le retard *phrase à connaître par coeur venant de moi XD*]

[Hj : suite du poste avec Miles]

Aelita se dirigea avec Miles vers le buffet, ils prirent à boire et ensuite elle le prit par la main pour aller s’asseoir à une des tables qui composait la Grande Salle. La jeune fille regardait autour d’elle et à part le professeur Flitwick, elle remarqua qu’il n’y avait pas trop de monde. Bien sûr la jeune fille pensait aux adultes, elle baissa alors les yeux sur son verre en pensant à ce qu’elle avait dit au professeur Quint, elle avait un peu peur d’en avoir trop dit justement.

*Et si jamais…, oh je ne dois pas penser comme ça mais, si il était de son…, de leur côté…, il avait l’air de craindre l’Auror… Non, je me trompe sans doute, je vois des Mangemort partout*, se dit-elle en voyant le professeur Rogue sortir de la pièce.

La jeune fille voulait se lever pour aller lui parler, puis elle décida que ce n’était peut-être pas une si bonne idée que cela. Elle regarda alors Miles pour ne pas qu’il s’inquiète de sa mine défaite et c’est là qu’elle vit sa cousine en compagnie de Potter. La jeune Serdaigle détourna les yeux pour ne pas croiser le regard de sa cousine et regarda de nouveau Miles et lui prit la main.

- Je suis tellement heureuse que tu m’ais invité, lui dit-elle en lui souriant.