...Attend Ginny...

Ce n’est rien Ginny, je te démontrais simplement, que le règlement est parfois stupide, lui dis-je en lui souriant.

Je suivis alors Ginny dans les couloirs je vis alors Blaise, Goyle et le professeur Rogue, je m’approcha en silence et écouta la conversation, entre les trois Serpentard, même si le professeur n’en était plus un il avait toujours l’âme.

Monsieur, dis-je en baissant les yeux, sous votre respect, il me semble que Monsieur Malefoy hait profondément Potter, toute fois, il n’a jamais agit comme Monsieur Goyle du moins il me semble, dis-je les yeux rivés sur le sol.

Je fus plus que surpris de voir arriver Aelita sur les lieux, en plus de ça elle trouvait le courage de dire ce qu’elle pensait au professeur Rogue. J’étais sidéré, en la regardant, elle avait une attitude soumise au professeur Rogue, comme tout bon Serpentard qui se respect. Elle arrivait encore à me bluffer, je n’arrivais pas à croire mes yeux. Elle était vraiment faite pour notre maison, j’eu un sourire en coin à cette pensée.

*Elle a raison jamais Drago ne c’était battu dans un couloirs avec Potter, pourtant ils se haïssaient, plus que Clara et Gregory*, pensais-je en regardant Goyle.

*Tiens elle appelle Drago, Monsieur Malefoy, maintenant c’est nouveau ça ?*, me demandais-je en la regardant.

Clément passa dans les couloirs pour se rendre dans la salle commune afin de faire ses devoirs, vit au loin des élèves et un professeur, intrigué il s'avanca vers eux, Clément regarda par terre et vit Clara, il releva les yeux vers les autres ils semblaient trop absorber par leur débat pour s'en soucier, il reconnu Goyle

il s'accroupi près de Clara :

"-faut qu'elle aille vite à l'infirmerie, qu'a tu fait goyle encore?"

dit il en se relevant et en fixant Goyle du regard

"-tu t'en prend aux filles ? tu fais preuve de lacheté tu sais"

puis se remis près de Clara se demandant pourquoi personne ne l'avait encore transporter à l'infirmerie, son état avait l'air d'être sérieux, même s'il n'était pas medicomage pour l'affirmer.

Rogue semblait garder son calme, bien que sous son visage impassible bouillonnait une terrible envie d'envoyer tout le monde promener.

"Mr Goyle, mesurez-vos paroles je vous prie." fit-il nul surpris par les propos de Goyle.

Peut-être partageait-il l'opinion de Grégory, mais nul ne le savait.

"Quand à vous Zabini, vous irez dans mon bureau, j'ai à vous parler." dit-il d'un ton toujours aussi calme.

L'attroupement se grossissait à vu d'oeil, et Rogue n'appréciait pas trop.

"Stones, on ne vous a pas demandé votre avis!" dit-il d'un ton ferme.

Depuis les événement qui s'étaient produits entre Drago et Stones, il ne pouvait plus la voir en peinture. Comment cette fille pouvait-elle être la fille d'un de ses meilleurs amis, celui qu'il avait lui-même connu à Poudlard lorsqu'ils étaient élèves? Cela le surprenait vraiment. Ce n'était qu'une petite arrogante, prétentieuse, et pleurnicharde.
Bien qu'il se répulsait à lui parler, il ne la regarda pas.

"Emmenez Toppinen à l'infirmerie tout de suite, et emmenez Myu aussi!" fit-il d'un ton dur, alors qu'il regardait le Gryffondor accroupit près de Toppinen.

Alors qu'ils s'éloignait en emportant Toppinen vers l'infirmerie, Rogue se retourna vers Zabini et Goyle.

"Donc, si j'ai bien compris, Toppinen est votre petite amie?" fit-il d'un ton hypocrite.

Je regardais le professeur, j’étais étonné par la prestance de l’homme, qui ce tenait non loin de moi, il me commanda de le retrouver dans son bureau, j’acquiesçai d’un signe de tête. Puis, il regarda un par, un les élèves présents, je le regardais moi-même quant il dit à Aelita de se taire, puis il me demanda si Clara était ma petite amie.

Oui, monsieur, c’est le cas, dis-je en baissant les yeux, pour la première fois, je me doutais de ce qu’il allait me dire, mais je voulais l’entendre.

A la réponse de Zabini, Rogue fit un léger rictus méprisant. Comment l'un de ses élèves les plus prometteurs pouvait-il se corrompre avec cette fille de bas étage? Soudain Rogue se demanda si Zabini n'avait pas été ensorcelé. Toppinen aurait pu en être capable, ingénieuse comme elle était... mais les effets se seraient estompés au fil du temps. Ce n'était pas la bonne solution. Rogue l'observait à la dérobé. Bien que Zabini sache maîtriser l'occlumencie, il n'était pas aussi expérimenté que Rogue qui était un maître en la matière.

*Il ressent des sentiments forts pour elle...* songeait-il soudain perplexe.

Rogue se demandait si les élèves de Serpentard n'étaient pas tombé sur la tête. D'abord Drago, puis ensuite Zabini.... à qui le tour? Quelle honte pour la maison de Serpentard. Le terme qu'avait utilisé Goyle était le plus approprié pour caractérisé des personnes comme Stones et Toppinen; c'étaient de vraies mantes religieuses. Elles attiraient les hommes pour mieux les trahirent ensuite.

"Je vois...." fit-il d'un ton évasif.

Rogue croissa ses mains très lentement, comme si le temps s'était arrêté.

"Depuis quand ça dur?" fit-il soudainement.

J’entendis alors la voix de mon directeur de maison me demander depuis quand duré ma relation avec Clara, tout avait commencé au mois de février et nous étions proche du mois d’avril, alors cela devais faire…

Deux mois et demi, monsieur, dis-je sans relever les yeux.

Je bloqua alors mon esprit et le vida de toutes pensées extérieur, comme pour me protéger, c’était plus un réflexe qu’autre chose.

Rogue sentit l'esprit de Zabini se vider. Rogue ne chercha pas à en savoir plus, il n'était plus d'humeur à ça. Zabini semblait être un étranger aux yeux de Rogue.

*2 mois et demi?....* pensait-il comme desespéré.

"Je vois..." disait-il indifférent.

Cela n'annonçait rien de bon. Rogue semblait trop calme.

"Très bien, on m'avait prévenu... des mesures s'imposent." fit-il d'un ton énigmatique.

Des mesures monsieur, quelles mesures ? Je vous en prie ne la renvoyez pas de cette école, je ferais absolument tout ce que vous voudrez, mais ne la faites pas partir de cette école, lui dis-je presque implorant, ce qui n’était pas digne pour un Serpentard.

Je gardais mes yeux fixaient sur le sol, pour ne pas rencontrer les yeux vides d’émotions du professeur Rogue.